KENYA ❖ Monsieur sainte Nitouche prend moi par la taille

Cela faisait quelques jours que nous étions rentrés chez nous, à Cambridge. Cependant, une maison de disque l'avait appelé pour qu'il pose sa voix sur un morceau. J'étais fière de lui, alors rapidement, je l'avais poussé à dire oui, je l'avais encouragé et nous étions parti tous les trois pour New York. En arrivant, nous avions déposé Alessia chez sa grand mère, la mère de Kenny qui était dans la grosse pomme elle aussi pour affaire, elle était bien heureuse de pouvoir se pavaner avec sa petite fille dans la maison d'édition de Vogue. Elle voulait en faire un petit modèle, mais Kenny avait émis son véto. On ne touche pas à ses femmes avait-il dit. Cela faisait quelques heures qu'il était parti pour le studio et quand à moi, j'étais partie faire les boutiques. Sauf que je sentais que j'avais des bouffés de chaleur. J'avais chaud, j'avais des picotements et des envies très peu chrétienne lorsque Kenny m'envoyait des snap chat de son travail. Aussitôt, j'allais à la pharmacie pour prendre un test de grossesse mais aussi d'ovulation. Je commençais par ce dernier et devinez quoi. J'étais en pleine période d'ovulation, c'était le jackpot. Ni une ni deux, je passais à la maison pour enfiler des sous-vêtement en dentelle rouge, digne de ce nom puis des escarpins louboutin, noir, avec la célèbre semelle rouge et une robe banche qui allait parfaitement avec mon bronzage. Sur le chemin, je n'oubliais pas de passer par un starbuck  pour prendre des boissons et des baguels pour l'équipe afin de les distraire et de me laisser du temps avec mon Kenny. J'entrais sans encombre, j'avais accompagné Kenny ce matin donc on me connaissait et lorsque j'arrivais au studio, je voyais Kenny entrain d'enregistrer. Il ne me voyait pas, je souriais, en restant planté là un instant, amoureuse, puis rapidement, je sentais ces picotements, m'envahir à nouveaux. Oh bordel. Il me faisait un effet boeuf là. Bonjour bonjour, regardez ce que j'ai là ... je suis certaine que vous mourrez tous de faim vous devriez prendre une pause, vous inquiétez pas pour Kenny, je m'occupe de lui, vous avez fait du bon travail ils étaient tous heureux, en me prenant dans leur bras, oui, c'était pas souvent qu'on leur disait d'aller en pause et quant à moi, je jetais mon sac sur la table de mixage sans vraiment le vouloir, appuyant sur un certain bouton, ON puis, j'entrais dans le studio. Je crois que c'est l'heure de ta pause ... et sur ces mots, je faisais glisser ma robe, qui se retrouvait à mes pieds, je l'enjambais, gardant mes talons tout en  prenant un baguel et une boissons dans mes mains pour venir m'asseoir sur les genoux de Kenny regardes, j'ai pris tout ce que tu préférais et je parlais bien aussi de la couleur de mes sous vêtements

New York. Cette ville était rapide, dynamique, on trouvait toujours un magasin ouvert à n'importe quelle heure, l'ambiance était incroyable, ça me donnait de l'énergie, l'envie de me dépasser. Quand Anya avait découvert une de mes compositions mais surtout l'appel d'une personne important qui recherchait une bande son pour son film elle ne m'avait plus lâché. Elle voulait que je le fasse, quant à moi j'étais plus sur ma réserve, j'avais peur, oui clairement je l'avouais, j'avais peur, peur de ce qu'on pense de moi, peur de l'échec mais Anya ne le voyait pas alors on était parti. Alessia au bras de sa grand-mère qui ne cessait pas de me demander si elle pouvait pas faire quelques photos de mode, Anya dans les boutiques, mes femmes étaient en sécurité, j'étais donc parfaitement à l'aise pour enregistrer surtout que je connaissais l'équipe. Une équipe qui partait? Je ne voyais pas ma femme seulement à la fin de l'enregistrement de la petite partie personne ne me parlait c'est alors que la porte s'ouvrait dévoilant une femme des plus belle dans sa robe blanche. Elle avait une allure d'ange, ses hauts talons, sa longue chevelure, je prenais chaud. "Hey." Ma voix était aussi sensuelle que mon regard qui brulait d'amour pour elle. Sa robe tombait. Je restais sans voix, la mâchoire qui tombait en direction du sol c'est clairement ce qui m'arrivait, elle se dénudait là, ici? Non je posais pas la question c'est plutôt sa lingerie d'un rouge vif avec de la dentelle qui me faisait avaler ma salive bruyamment. "Et pourquoi autant de… enfin tout ça?" J'enroulais mes mains autour d'elle, l'espace d'une seconde vu que je ne pouvais pas m'empêcher de glisser une de mes mains vers son buste, la naissance de sa poitrine que je caressais avec envie. "Je peux commencer par ce que je veux?" murmurais-je proche de la peau de son épaule, j'en revenais pas, vraiment Anya était surprenante, se pointer ici au studio, se déshabiller c'était… "L'équipe !" criais-je comme si j'avais une illumination. "Tu les as viré?" Je me redressais en plaquant ma femme derrière moi, protecteur, plus du tout dans la sensualité du moment.

J'avais envie de faire cette surprise à mon mari mais aussi profiter de ce petit moment d'ovulation pour tenter notre chance. J'avais dit à Kenny que c'était la seule chose que je vérifierais, la seule chose pour laquelle je pisserais sur un bâtonnet et je l'avais fait. Alors, ni une ni deux, j'étais rentré à l'appartement pour enfiler des sous vêtement qui lui plairait beaucoup plus que ce que je portais en cet instant, bien qu'ils soient jolis, ils n'étaient pas rouge et je savais que cette couleur sur moi le faisait craquer, d'ailleurs, c'est bien pour cela que j'en avais mis également sur mes lèvres. Après avoir appâté l'équipe avec laquelle il travaillait pour les faire sortir du studio, du moins pour les entrainer dans la salle de repos avec de quoi manger et boire, je passais la porte en verre pour rejoindre mon époux, qui lui était encore dans la salle isolée, celle d'enregistrement. Je ne perdais pas de temps, je retirais ma robe la laissant joncher sur le sol pour approcher de lui, l'air félin et me poser sur ses genoux. Parce que j'en ai envie et que je suis en pleine période d'ovulation et si tu savais à quel point j'ai envie de toi quand c'est ma période, j'en ai des bouffés de chaleur et lorsqu'il posait sa main contre ma peau il pouvait aisément sentir qu'elle était légèrement plus chaude que d'ordinaire. qui a dit que c'était un crime de commencer par le désert , c'est ce qu'il y'a de meilleur non ? Alors ne t'en prive pas dis-je contre son oreille, cependant, soudainement, il se mettait à me parler de l'équipe en me plaquant derrière lui. Je riais un instant devant cette ardeur alors que je glissais mes mains sur son pantalon, je défaisais le bouton ainsi que la fermeture éclaire en laissant mes mains sur l'endroit pour lui faire un petit palpage digne de ce nom j'ai acheté de quoi les éloignés quelques temps et je leur ai donné leur pause, alors y'a que toi et moi ... dis-je en le poussant vers le petit canapé qu'il y avait au fond. et c'est comme ça que tu me reçois ? lui demandais-je en retirant son tee-shirt je préfère ..

Ovulation. Le mot était lancé, par contre sa démarche je la comprenais pas, je rentrais dans quelques heures même pas 3 et elle se jetait sur moi comme une affamée, je me posais donc des questions, est-ce que je la contentais? Vu sa réaction j'aurais tendance à dire non. "ça m'étonnerais qu'ils restent longtemps en pause, ils me connaissent, ils savent que j'aime bosser rapidement." Lâchais-je à ma femme qui me poussait sur le canapé, je la regardais avec des grands yeux, elle était décidée à le faire ici sauf que moi j'étais en plan boulot, j'avais pas la tête aux câlins mais pas du tout même si je m'étais laissé toucher, retirer mon t-shirt sur le canapé. Je poussais un petit soupir d'aise, elle me rendait malade, j'aurais pas cru que je serais sur le point de la faire mienne. "Bébé attend." Une malade je vous le dire. "Tu voulais pas attendre ce soir pour que ce soit mieux?" Elle qui m'avait limite dit qu'elle se sentait utilisé, je comprenais pas tout ça mais vraiment pas seulement face à ma femme habillé en rouge bien mes volontés de la repousser pour son bien disparaissait doucement vu que mes lèvres s'attaquaient à son cou, que mes mains touchaient son fessier avec envie et empressement. "Je sais pas ce qu'il te prend." Avouais-je en frottant mon nez contre le sien. "C'est l'air de New york c'est ça?" Ce n'était pas non plus la première fois qu'elle était en ovulation pourtant j'avais rien remarqué auparavant.

C'est pas grave, on a pas besoin d'une heure non plus dis-je en faisant le tour de l'un de ses tatouages, le collier. 5 minutes ça me suffit dis-je en me mordillant la lèvre et encore, j'étais généreuse :sifle: Je retirais le tee-shirt de mon époux pour le jeter un peu plus loin, oui, j'étais décidé, mais Kenny pas vraiment. On pourra aussi le faire ce soir ... dis-je en haussant une épaule mais y'a Priape qui vient manger avec sa femme t'as pas oublié oui, monsieur l'avait eu au téléphone hier soir et avait lancé l'invitation, bien que dans le fond, ça ne me dérange guère bien au contraire, je les aimais bien, surtout si son ami pouvait me laisser le loisir de disposer de mon mari un peu plus de temps en faisant des tâches qui lui incombaient à l'ordinaire. Je souriais lorsque les lèvres de Kenny se posait contre mon cou et que ses mains s'empressaient contre mes fesses. Ah bah voilà, il lui en a fallu du temps, du moins, plus qu'à l'ordinaire, parce que dans l'ensemble, se fut assez rapide. Peut être bien ... je sais pas mais t'aimerais pas en profiter ? lui demandais-je en tirant un peu sur ses cheveux pour basculer sa tête en arrière afin que nos yeux puissent se rencontrer j'ai reçu tes snaps chats, puis je sais pas j'ai eu envie de toi, j'ai eu envie que tu me prennes dis-je avec un petit sourire en coin faut savoir laisser parler son corps par moment et le mien là tout de suite il est ... totalement à toi dis-je en me soulevant un peu pour faire coulisser son jeans jusqu'à ses genoux. mais si tu veux que je me rhabille et que je m'en aille ... je peux très bien le faire je me redressais, me retournant pour faire mine de partir en prenant ma robe au sol et en lui offrant un panorama des plus époustouflant, sur mon fessier (aa)

J'avais oublié Priape, oh merde, limite je n'avais pas envie qu'il vienne quand je savais qu'Anya m'offrait un super programme ce soir, je levais les yeux au ciel d'ailleurs désespéré seulement dans le fond il me manquait, je voulais qu'on se parle, qu'on passe un bon moment ensemble hors du boulot. Le boulot que j'oubliais assez rapidement au contact de ma femme vu comment je touchais son fessier, j'embrassais même son cou jusqu'à ce qu'elle me tire les cheveux, un geste assez sauvage dans un sens seulement au fils des années elle allait devoir faire attention manquerait plus que mes cheveux lui reste dans la main avec la vieillesse. "Je serais fou de ne pas en profiter de ce que tu m'offres." dis-je en demandant enfin pourquoi, mes photos que je lui avais envoyées avaient suffit à faire ça? Quand je lui envoyais des sextos par contre ça n'avait pas le même effet, allez savoir pourquoi. "Me parle pas comme ça." Dis-je avec une voix sensuelle. En fait si je voulais l'entendre me dire ça, je voulais l'écouter me dire ce qu'elle avait ressentie en voyant mes snaps chat, en pensant à moi quand elle avait mit ses vêtements ce qu'elle voulait clairement hormis moi. Un moi qui se retrouvait pratiquement nu et seul. "Bébé !" Je la rappelais presque à l'ordre, je n'étais pas d'humeur à courir derrière elle puis elle savait parfaitement qu'elle n'avait pas le droit de venir me chauffer pour me délaisser, je lui ferais la gueule, la guerre aussi. En boxer après m'être débarrassé de mon jean, je partais lui prendre la main pour l'entrainer de nouveau sur le canapé, oui finalement j'avais couru derrière elle, j'étais amoureux, je le restais. Anya au dessus moi je retirais ses sous-vêtements avec une rapidité déconcertante, j'avais cruellement envie d'elle, tellement que moi-même je montais en puissance rien qu'en la regardant, en sentant sa peau si brulante contre ma main, un monstre Anya était devenue un monstre.

A chaque fois qu'elle me griffait le dos je pensais à mes tatouages, je sais je ne devrais pas seulement si un tatouage avait une signification particulière c'était bien la pinup sur mon épaule qui la représentait alors sentir ses ongles me mettait entre deux eaux. J'avais pas envie de l'abimer seulement sentir son plaisir monter en puissance me rendait complètement malade, je poussais des râlements de plaisir contre son épaule, mes ongles moi s'enfonçaient dans son fessier rebondi sous son je t'aime. Oh moi aussi je l'aimais plus qu'elle ne s'imaginait, j'essayais de lui montrer dans ce genre de moment alors j'espérais que le message passe, je pense que oui vu mes yeux qui brillaient quand je les posais dans les siens. Ils étaient si bleu, si perçant, ils m'avaient souvent intimidé au début de notre relation puis au fils du temps je m'étais habitué, habitué à voir au dessus de ce regard qui pouvait paraitre froid. Je cédais avant elle. Je m'en voulais pas là, j'étais bien trop noyer dans l'intensité du moment, mon souffle manquait alors qu'on reprenait tous les deux jusqu'au tour de ma femme. Mon sourire aussi m'envahissait, mon rire la seconde suivante après ses paroles. "Il n'y a pas de temps à perdre dans une journée." Lâchais-je en frottant mon nez contre le sien rien que pour l'embêter avant que nos lèvres se touchent. Notre baiser était plus doux, vraiment amoureux, il n'avait pas grand-chose de passionnel comme on aurait pu le croire après ce moment mais il était juste parfait, il y avait rien que nous deux ici, nos deux cœurs qui battaient l'un pour l'autre, nos mains liées, elle et moi unit par le destin. "Tu sens mon odeur, tu vas devoir partir en évitant tout le monde." Riais-je en posant mon menton contre le sommet de son crâne. "Même si j'ai pas envie que tu partes…" Je la serrais comme je le faisais le soir avant de m'endormir, fortement. "Au pire tu restes, tu te mets dans un petit coin ni vu, ni connu."