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PRIALYA ► Leave me alone

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« On verra ! » Je lui souris et on s'installe, l'un contre l'autre, comme un couple même si nous n'en sommes pas un. Ca m'apaise d'être ainsi contre lui et je me sens moins responsable seule du bébé. Mon regard remonte vers le sien, je sais que je ne devrais pas capturer ses yeux, laisser mon regard errer sur ses lèvres. Je suis bien installée, mon sourire le dit, mon rythme de respiration régulier le laisse comprendre. Il finit par me supplier mais son regard ne flanche pas comme si une nouvelle fois sa tête et son coeur ne disent pas la même chose. Je sens qu'il va partir, je sens qu'il va se défiler. Ma main monte sans réfléchir vers sa joue et mes lèvres se déposent sur les siennes. Quand il laisse s'entrouvrir sa bouche j'en profite pour prolonger le baiser, je ferme les yeux un instant puis je sépare nos lèvres pour lui souffler : « Je te promets que maintenant je dors. » Je remets mon bras plus bas, à la lisière de son tee shirt et de son pantalon si bien qu'une partie de ma main est posée sur sa peau. Je ne lui laisse pas le temps de protester et je ferme les yeux pour commencer ma nuit en laissant sortir de ma bouche dans un dernier souffle avant le sommeil : « On est deux à veiller sur le bébé comme ça... »
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Je lui fis part de mon appréhension : je ne devrais pas être ici. Et mes yeux scrutaient sa bouche avec avidité. C’était plus fort que moi, impossible de paraître détaché alors qu’elle était ainsi lovée contre moi. Ce fut elle qui fit finalement se rencontrer nos lèvres et je n’eus aucun mouvement de recul. Faible. J’étais faible. Et surtout j’en avais terriblement envie. Je savourais ce baiser, sans lutter le prolongeant même et lorsqu’il prit fin, Talya vint me souffler la promesse qu’elle allait dormir. J’avais envie de lui répondre que ça n’allait surement pas être mon cas, d’autant plus quand je sentis ses doigts effleurant ma peau au niveau du bas de mon ventre, zone des plus sensible et réactive. Mais je me contentais de lui souhaiter : « Bonne nuit… » sur un ton tendre, essayant de faire abstraction du reste, de ce baiser qu’on venait d’échanger, de cette proximité entre nous, de cette tension dans mon pantalon que je ne regrettais pourtant pas d’avoir garder vu comment le simple et très léger contact de sa main sur une petite parcelle de ma peau avait le don de réveiller tous mes sens. Je tâchais de faire le vide, fermant les yeux, espérant trouver le sommeil…
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J'avais peur, peur qu'il me repousse, peur qu'il parte, peur qu'il s'énerve et pourtant rien de tout cela. Il m'embrassa avec la même douceur que je lui donnais, ne me repoussant pas du tout, préférant répondre pour créer un véritable échange. Je lui promis ensuite de dormir pour ne pas abuser de ses failles, lui montrer que je peux aussi respecter ses failles, ce que sa tête ne veut pas. Autant satisfaire une fois le coeur, une fois la tête... Stratégie ? Absolument pas, feeling même si je devais bien avouer que je mourrais d'envie de parcourir son corps de mes mains une nouvelle fois. J'eus légèrement du mal à trouver le sommeil, mais j'y parvins tout de même glissant ma main entre le tissu de son tee shirt et sa peau pour sentir la chaleur de son corps. Son souffle dans mes cheveux, ma tête se soulevant au rythme de sa respiration... J'étais doucement bercée et ma nuit fut meilleure que celle de d'habitude, comme toujours auprès de Priape. La nuit fut calme mais le réveil en fanfare avec l'arrivée des infirmières dans la chambre. Bim la lumière dans la figure, j'ouvris les yeux, Priape étant toujours près de moi. Je sentis la panique des gens pris sur le fait le gagner plus vite que moi et je lui dis rapidement : « Doucement... ! De toute manière maintenant c'est grillé. » Qu'il se lève doucement si c'est vraiment ce qu'il veut faire mais vraiment... Je ne veux pas qu'il secoue le bébé alors que mon ventre est à moitié reposé sur lui. Je fusille du regard les infirmières espérant qu'elles se taisent. On vient me prendre ma tension, étonnamment bonne selon elles, puis elles me laissent un plateau de petit déjeuner, venant rapidement en apporter un deuxième avec un sourire mielleux et on se retrouve à nouveau tous les deux. J'ai envie d'éclater de rire mais je me contente de regarder Priape qui ne sait où se mettre.
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Je ne pouvais pas vraiment bouger. Ce n’était pas désagréable d’avoir Talya contre moi, mais j’avais trop chaud et ses mains contre moi n’allaient pas aider ma température corporelle à descendre. Je la sentis sombrer dans le sommeil. Je me redressais un peu pour observer dans la pénombre son visage endormi. Ma main caressa un instant sa joue avec tendresse, puis je laissai à nouveau tomber ma tête sur l’oreiller. Mes muscles se décontractèrent peu à peu, malgré l’hypersensibilité de ma peau réveillée au contact de ses doigts qui se glissèrent sous mon T shirt. Ce fut une nuit agitée de rêves dans lesquels s’entremêlaient nos disputes, nos baisers, notre nuit au SC… Songes écourtés par l’arrivée soudaine de l’équipe du matin. La porte s’ouvrit sur les soignants apportant le petit déjeuner. Je me crispais aussitôt, commençant à me redresser mais la main de Talya me stoppa alors qu’elle me chuchotait que de toute façon, le mal était fait on nous avait grillé. J’aurais voulu disparaître dans un trou de souris. Je saisis le drap pour me recouvrir complètement alors que les infirmières s’affairaient autour de Talya pour prendre ses constantes. Mais qu’elles se magnent bordel, et qu’elles se cassent vite fait. Mais non, comme si je n’étais pas suffisamment mal à l’aise, on me ramena un deuxième plateau. Je sortis finalement la tête de sous la couverture, une fois la porte définitivement fermée et je croisai le regard de Talya qui semblait presque amusée par la situation… « Je t’interdis de rire. » ronchonnai-je. « Je te l’avais dit : je savais que c’était une mauvaise idée. En plus j’ai mal dormi, j’ai trop chaud… J’suis sûr que leur café est dégueulasse… » Et j’ai encore désespérément envie de t’embrasser… Ha non, ça il ne valait mieux pas que je le dise.
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« Zacharias arrête de ronchonner tout de suite où je te fais taire à ma manière et je ne suis pas sûre qu'elle te plaise ! » Op il ne m'en fallait pas plus pour rentrer dans son jeu. Un petit de ronchonnerie et je me jouais de ses humeurs. Mais s'il continuait j'allais vraiment l'embrasser à nouveau, je ne louperais aucun moment où pouvoir le faire, aucune occasion, il le savait, je n'avais pas froid aux yeux de ce côté là surtout que je le savais réceptif. « T'étais mignon à te cacher sous les draps, on aurait dit un gamin prit à avoir fait une bêtise ! » Alors qu'au final on avait fait que dormir. Certes les visites n'étaient pas autorisées la nuit mais ma tension était meilleure qu'à mon arrivée et Priape était interne ici comme moi alors les infirmières n'avaient trop rien dit. « Prend le déjeuner avec moi et contente toi de ce qu'il y a, ça t'encouragera à m'amener autres choses le plus souvent possible ! » Et oui tout le monde savait que la bouffe à l'hôpital était infecte et nous qui étions étudiants ici le savions que trop bien mais nous avions rarement l'occasion de la déguster, mon séjour ici allait me donner une occasion que j'aurais bien loupé. « Bon tu sais en sortant que si tu croises mon père, il vaut mieux que tu fuies ! » Je lui adresse un clin d'oeil, j'ai bien dormi moi, je suis d'humeur taquine ! « T'as si mal dormi que ça ? » Et mes yeux plantés dans les siens lui demandent d'être honnête, pas bridé.
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Talya m'ordonna d'arrêter, m’avertissant qu’elle allait me faire taire à sa manière sinon, menace que j’avais presqu’envie qu’elle mette à exécution… Mais non, un peu de sérieux, je me retins un instant de grogner, mais quand elle se moqua de ma réaction. « C’était une bêtise de dormir ensemble, t’aurais pu contracter, le lit est trop petit et… » Non mais c’était plus fort que moi, puis le matin quand j’avais pas encore bu mon café j’étais ronchon… D’ailleurs, la blondinette insista pour que je reste prendre le petit déj, et maintenant que le plateau était là... J’acquieçai. « Si je suis malade après, je te préviens je… » Je croisai son regard et me stoppai. « Je t’amènerai des croissants les prochains matins. » concédai-je. Même si il pleut et que j’ai pas les bonnes chaussures. Je sortis du lit un instant pour m’étirer, puis je tirai sur les pans de mon T shirt pour tenter de le défroisser un peu et avoir l’air présentable si comme le supposait Talya, je venais à croiser son père. Elle me demanda si j’avais vraiment mal dormi. « J’ai pas fermé l’œil tellement tu ronflais… » la taquinai-je avant de remarquer son regard planté dans le mien qui m’intimait le sérieux. « Ok, c’est pas vrai… J’ai juste eu du mal à faire abstraction de tout ça… » Explication bien vague, bien floue, à la Zacharias quoi…  
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Je vis un peu d'intrigue dans le regard de Priape quand je lui dis que j'allais le faire taire mais il avait l'air décidé à se taire, à faire taire sa ronchonnerie, enfin pour quelques minutes. Je lui adressais un regard mais il n'arrêta pas et mes lèvres vinrent se poser sur les siennes. Quelques secondes, assez pour le faire taire. « Stop... » Je souris puis décalais mon visage alors qu'il se mettait à me parler de croissant ce qui était beaucoup mieux. Il se leva du lit et défroissa son tee shirt bredouillant quelques excuses sur mes ronflements pour expliquer son manque de sommeil et son côté ronchon. « Bon tu sais quoi, si c'était si dérangeant, si désagréable et tout, tu peux me laisser les deux plateaux que je mangerais volontiers et tu peux partir hein, je ne veux pas te retenir plus longtemps quand cet endroit hostile pour toi ! » Du grand Priape, toujours à râler certes mais quand même il n'y avait rien eu entre nous à part un baiser et un deuxième qu'il avait cherché ce matin, alors vraiment il ne pouvait pas se contenter d'être honnête un jour plutôt que de chercher midi à quatorze heures ? On pouvait sentir dans mon ton un peu d'agacement mais vraiment si ma compagnie était si mauvaise, je ne le forçais pas à rester, après tout j'avais même voulu lui éviter de venir en ne lui disant pas que j'étais là alors bon...

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Je récoltais ce que j’avais mérité, mais le soucis c’était que ce n’était en rien une punition… Je ne pouvais pas m’empêcher de trouver mes réactions anormales, je ne devrais pas tant vouloir ses lèvres sur les miennes, je ne devrais pas me laisser troubler par ses doigts sur ma peau, la proximité de son corps contre le mien… Mais même après des mois de séparation, c’était toujours pareil… Je m’étais levé, servant des excuses floues et confuses pour expliquer mon manque de sommeil ce qui eut finalement la conséquence d’agacer Talya, qui, vexée, m’invita à prendre la porte. Je passais un instant mes mains sur mon visage, avant de finalement avancer de nouveau vers elle pour m’asseoir sur son lit : « C’est pas ça Talya… J’ai besoin de passer du temps ici, avec toi, de voir que tu vas bien, que le bébé va bien… Pour ça, c’était une bonne chose que je reste. » fis-je avec franchise cette fois. « Mais… » Parce que oui j’avais mal dormi, ce n’était pas un mensonge, le simple fait d’être rassuré n’avait pas suffit à provoquer un sommeil serein chez moi, parce que d’un autre côté, il y avait toujours ce trouble. « …mais cette nuit, ça m’a rappelé notre nuit au summer camp. » expliquai-je finalement à la jeune femme.
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Le jeune homme avait compris que j'étais légèrement agacée par son comportement, un coup c'était blanc, un coup c'était noir, en fait un coup c'était le coeur qui commandait, le coup d'après c'était la tête. Comment pouvait il y avoir autant de contradiction dans une seule et même personne ? Je n'arrivais pas à le comprendre, à l'accepter mais pourtant il le fallait. Priape vint s'asseoir sur le bord du lit bien décidé à prendre le petit déjeuner avec moi malgré mon invitation à prendre la porte. Et oui, moi aussi je pouvais changer d'attitude en un claquement de doigts mais moi c'était plus logique, j'étais enceinte, les hormones pouvaient tout expliquer. « Notre nuit au summer camp ? » Je plante mon regard dans le sien plein d'interrogations. Je ne sais pas ce que j'attends comme réponse en fait mais je suis intriguée. « Il y a une différence entre dormir ensemble et faire ce qu'on a fait ensemble au summer camp non ? » J'aime Priape, je le désire mais je sais aussi dormir paisiblement à ses côtés parce que sa présence là suffit à me rassurer. Pourquoi est ce que je n'ai pas de mal à faire ça alors que je suis celle qui en veut plus et pourquoi lui est si troublé à chaque fois ? Parce que le coeur et la tête se battent en duel ? « Je vais te parler pour le bébé en me laissant complètement de côté. Quand t'es là je suis beaucoup plus sereine, je ne suis pas seule à tout devoir assumer, à devoir assurer. C'est pas juste compliqué au niveau du coeur de ne plus être avec toi, ça l'est clairement par rapport au bébé, parce que je voudrais être rassurée, épaulée, plus que tu ne peux le faire en étant là temporairement... Mais ça... » Je l'ai cherché même si ce n'était pas du tout le but parce que je ne savais pas que j'étais enceinte.
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Après avoir tenté d’esquiver les questions, je finis par y répondre avec plus de sincérité. Notre nuit au summer camp, oui voilà les souvenirs qu’avait réveillé en moi le fait de dormir contre elle. « Bien sur que c’est différent… » Mais n’empêche que quand elle était plaquée contre moi, que je sentais souffle sur ma peau, ses doigts sous mon T shirt, ça avait le don de me rendre dingue… Et je détestais être aussi faible et à deux doigts de craquer à chaque moment où l’on se rapprochait. J’attrapai la tasse sur le plateau qui m’était destiné espérant que le café m’aiderait à y voir plus clair, et je relevai les yeux vers Talya pour l’écouter, tout en trempant mes lèvres dans le liquide fumant. Elle se concentra ensuite sur le bébé, pour me donner son point de vue sur le bienfait de me savoir près d’elle cette nuit : elle était plus sereine, elle se sentait plus rassurée, moins seule. Je réalisais un peu mon égoïsme à critiquer ce moment, à me plaindre et à freiner des deux pieds quand il s’agissait de passer du temps avec elle. « Talya je vais essayer d’être plus souvent là. Je te le promets. » Je comptais bien passer la voir tous les jours, et maintenant qu’elle était à Cambridge, coincée entre les quatre murs de cette chambre, ça allait surement être plus simple d’être présent près d’elle que lorsqu’elle était à l’autre bout du pays. J’allais mettre mes frustrations masculines de côté pour me concentrer moi aussi sur le bout de choux et son bien être. Je reposai finalement ma tasse en reprenant la parole : « Je consulte de dix heures à midi ce matin. Je vais rentrer chez moi là, me doucher, me raser, me changer… » Et éviter de croiser ton père dans les couloirs en sortant… Si les infirmières du service lui racontaient ce qu’elles avaient vu, j’étais surement un homme mort. « Je reviens pour manger avec toi ce midi si tu veux ? » proposai-je avant de m’avancer jusqu’à elle et de déposer un baiser sur son front.
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