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PRIALYA ► Leave me alone

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Il pourra bien dire ce qu'il veut, je lis dans son jeu comme dans un livre ouvert et après une bonne engueulade je ne me gêne pas pour le taquiner un peu, même si avec son humeur grognon ça risque de le faire partir une nouvelle fois au quart de tour. « Ajoute à la jalousie la mauvaise foi... Heureusement que je découvre tes défauts maintenant qu'on est séparé... » Je rigole doucement, toute seule, ses défauts ne font de lui qu'un mec plus séduisant, plus parfait, parce qu'être parfait c'est ne pas l'être et avoir de beaux défauts. Mon petit rire part en bel éclat quand il me demande s'il y a déjà eu quelque chose avec Isaac. Mon dieu. Ca c'est la meilleure. « Isaac m'a avoué qu'il aurait aimé plus quand on s'est rencontré le premier soir et que c'est passé aussi vite quand on s'est revu, qu'il a compris que c'était que de l'amitié. De mon côté ça n'a toujours été que mon pote de délire, je l'ai rencontré on était déjà ensemble et il ne m'a jamais fait douter de mon choix. » Cet hiver on s'était mis ensemble puis j'étais partie en classe de neige sans lui, il s'en était passé des choses mais jamais je n'avais regretté de m'être mise en couple avec lui... « J'ai juste eu envie de tuer en rentrant en urgence quand Charlie était hospitalisée depuis deux jours et que vous me l'aviez caché avec ma mère... Tu vois que tu me caches des choses toi aussi et qui concernent ma fille en plus ! » Il y a des fois c'est mieux de ne pas dire tout de suite les choses, de laisser passer un peu de temps, avec l'exemple que je venais de lui donner il ne pouvait pas dire qu'il n'était pas partisan de cette politique. Bref, il revient sur toutes les filles que je lui ai énumérée. « La fameuse syphilis ! » Je suis contente de savoir qu'elle est heureuse parce que c'est vraiment une fille bien et elle est très gentille, en fait je n'avais aucun souci avec elle, je ne sais pas pourquoi je l'ai mise dans la liste, juste pour être rassurée peut être. « Amis en quelques sortes ? Ouai avec ma cousine tu sais jamais ce qu'elle a derrière la tête... Si t'es son ami c'est qu'elle doit vouloir plus... » Et ce, peut être, juste pour me faire chier, c'est tellement son genre. Sa phrase ne fit que confirmer ce que je craignais... « Quoi ? » Je relevais les yeux vers lui et tentais de trouver son regard, un regard fuyant. « Non mais tu m'as fait détester Leanne en un claquement de doigt, c'est horrible ce que tu as fait ! T'étais blessée mais j'étais quand même enceinte de toi déjà à l'époque, avoue que c'était pas fin... » Revenir sur les femmes nous permettait de revenir sur les étapes de notre couple et de ce qu'il s'était passé après, ce n'était pas plus mal en fait. « Leevy m'a raconté, je voulais juste que tu me l'avoues... » Mon petit sourire est victorieux, mais deux noms me restent en travers de la gorge. « Ok, alors Aby la géniale qui est comme sa cousine avec qui tu as couché et Brynn la charmante mais trop violente juste pour atténuer qu'elle est charmante... C'est les deux noms que je vais retenir... » Deux nanas à surveiller. « Sauf que pour Aby c'est toi qui la piquera à Matthéo si tu continues... Y aura un point dans chaque camp comme ça on pourra tous reprendre de zéro peut être. » Je baisse les yeux sur mes mains qui se sont activées toutes seules devenant complètement moites, se triturant dans tous les sens. Je déteste cette conversation. « Bref tu sais quoi, si il se passe un truc je veux juste le savoir mais je veux pas les détails de où vous avez couché ensemble et comment c'était, c'est au dessus de mes forces, déjà que là c'est... » Si je n'avais pas mangé déjà je n'aurais surement plus faim en fait. « Priape... La première fois que je t'ai rencontré c'était en soirée, t'étais aussi saoule que moi et tu profitais de ma nouveauté dans la maison pour me taxer, qu'est ce que tu voulais bien que ça me fasse que tu me dises que t'étais coureur avant ? » Je ne comprenais pas pourquoi il m'avait caché cela, pourquoi ça l'avait bloqué. Mais en tout cas j'espère que ça le bloquerait bien dans ses futures conquêtes pour qu'il ne retrouve personne à qui en parler et qu'il me revienne. Oui je l'aime et c'est comme ça c'est tout. « T'as pensé quoi quand je t'ai expliqué mon histoire? Tu t'es dit que ça allait être facile et simple ? » Parce qu'au final il avait voulu me simplifier la chose mais il n'avait fait que l'empirer.
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Je pris une mine faussement vexée, tournant un instant la tête en ronchonnant : « Et ajoute aussi susceptible alors. » Mais je ne pus pas bouder bien longtemps, me mettant à pouffer en entendant son rire. Parce que je pouvais pas sérieusement lui faire la tête pour si peu, surtout après la dispute qu’on venait d’avoir. J’avais besoin d’être sûr qu’on était en bons termes, que tout était ok entre nous… Et la franchise était surement le meilleur moyen de mettre les choses à plat. Je l’écoutais donc me raconter son amitié avec Isaac. Ce qui lui fit se remémorer nos débuts, son voyage en classe de neige et le retour en catastrophe avec Charlie hospitalisée. Petite remise en place au passage pour moi, elle me rappela que moi aussi je l’avais mise à l’écart alors. « Je… » Je n’avais rien à dire pour ma défense en fait. « Je plaide coupable, j’aurais pas du faire ça je suis désolé. » Même si je l’avais fait uniquement pour la préserver et lui éviter des tracas, ce n’était pas la bonne façon de faire. Et ce fut ensuite à mon tour de passer à la casserole, devant expliquer mes relations avec certaines de mes amies. Talya tiqua sur mon explication, un peu foireuse, concernant Zoïa. Je levai les yeux au ciel quand elle soupçonna quelque chose de plus concernant la rouquine. Elles se diabolisaient vraiment, j’avais du mal à comprendre, surtout que Talya n’était pas du genre à prendre les personnes en grippe. Enfin dans mon élan de franchise, j’avais commencé à évoquer un petit détail de ma relation avec mon ancienne binôme. « Tu t’énerves pas hein ? » Il lui fallait du calme et du repos, j’étais pas là pour aggraver son état mais elle méritait de savoir ça, histoire d’éviter que ça lui revienne déformé jusqu’aux oreilles. «Le soir du bal, on s’est fait un after à la DH, dans sa chambre, et un verre en entrainant un autre, on était tellement bourrés qu’on a fini dans son lit… » commençai-je avant d’ajouter rapidement, pour éviter toute confusion : « On a juste dormi…. Habillés et tout. » Petite précision qui avait son importance. Y’avait rien eu. On avait juste ronflé à l’unisson. Mais je me sentais déjà trop mal rien que de lui raconter cela. Mon regard ne retrouva le sien qu’une fois cet aveu passé, quand on parla de Leanne et de mon plan débile. « J’espère que ça va mieux entre vous ? Tu sais c’est une fille géniale, elle voulait pas te faire du mal, c’est juste qu’elle a voulu me rendre service. C’était de ma faute et c'était complètement stupide comme idée. » avouai-je sans mal. « Mais au moins t’as eu un étalage de mes talents d’acteur, tu sais que je suis pas très bon comédien comme ça. » Oui parce que Talya avait grillé très vite que c’était du fake avec Leanne. Peut être aussi parce qu’elle me connaissait bien malgré tout et que d’oublier quelqu’un en un claquement de doigts, ça ne me ressemblait pas.  Pour Leevy c’était un test, elle lui avait déjà raconté. « Donc tu l’as revue ? » Je n’avais pas pu m’empêcher de ronchonner, mais d’un autre côté, Talya était suffisamment grande pour gérer ses fréquentations comme bon lui semblait. Et finalement donc, mon ex conclut qu’elle ne retenait que deux prénoms celui d’Aby et de Brynn. « Comment tu déformes tout ce que je dis… »rigolai-je mais en posant mes prunelles sur elle, je vis qu'elle était beaucoup moins amusée par notre petit jeu soudain, bien plus sérieuse, presque soucieuse même. Je remarquais alors ses gestes nerveux, et mes mains se posèrent sur les siennes pour les stopper. « Hey calme toi Talya, arrête… » Mais elle ne s’apaisa pas, continuant en me disant que finalement, si il se passait quelque chose, elle ne voulait surtout pas de détails… « Tu veux pas une copie de la sexe tape t’es sûre ? » demandai-je avec sarcasme, un petit sourire aux lèvres, espérant que cette petite marque d’humour la détendrait. Mais je repris mon sérieux : « Talya, j’en suis pas là… J’en suis même très loin. J’ai des amies filles certes, mais j'en ai toujours eu... » Et puis au final, la seule avec qui j’avais couché en six mois de célibat c’était elle... Mais je me retins de le dire. Evoquer notre nuit ensemble risquait d'aggraver le malaise. Pourtant, il allait bien falloir un jour qu'on en parle. Elle remit ensuite sur le tapis notre toute première soirée. « J’étais pas un coureur… Ca c’est un euphémisme : j’étais un connard. » corrigeai-je avec un véritable mépris pour moi même dans la voix. « Ce que j’ai fait à la sœur de Matthéo, je l’ai fait à pas mal d’autres nanas… Je me suis fâché avec mon petit frère Denys à cause de ça… Pourquoi je te l'ai caché ? Je… Je sais pas, je pressentais peut être que tu allais devenir quelqu’un d’important pour moi, une sorte d’instinct, et j’ai voulu éviter de t’effrayer en te dépeignant la personne détestable que j’avais pu être. » Concernant l’histoire de Talya, non ça ne m’avait pas rebuté. « Je me suis dit que tu étais quelqu’un d’exceptionnel et que du coup, il valait mieux mettre l’ancien Priape au placard pour éviter de te faire fuir. » J’avais changé, j’avais aucun mal à occulter mon passé. Mais en faisant cela, pensant bien agir, j’avais entraîné la première scissure dans notre couple. Je pouvais que m’en mordre les doigts désormais, même si depuis, j’avais révélé beaucoup de choses de mon passé à la jeune femme. C’était trop tard.
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« Je note. » Je le regarde et je ne peux pas m'empêcher de rire, vraiment. C'est marrant de le voir bouder même si cela dure à peine trois secondes avant qu'il ne reprenne un ton normal et me réponde sur l'épisode de l'hospitalisation de Charlie. « On fait toujours les meilleurs choix, ceux qu'on pense les meilleurs pour l'autre, pour le préserver mais c'est rarement ce que l'autre voulait... Je suis désolée de ne pas t'avoir prévenu que j'étais hospitalisée... » Mais après tout il savait que je rentrais et il n'avait pas pris le temps de me demander si j'étais bien revenue non ? La conversation tourna sur les exs de Priape et plus particulièrement sur la révélation qu'il avait à me faire concernant Zoia. Qu'est ce qu'elle avait bien pu faire encore. « Juste dormis ? Tout habillés ? Enfin vous vous souvenez de ce qu'il s'est passé ? Vous vous êtes embrassés ? » Les questions arrivent à profusion dans mon esprit et je dois surement devenir rouge, de colère, ou de honte parce que j'ai honte de ne pas réussir à empêcher ma putain de cousine de parvenir à ses fins. Je suis vraiment nulle, bien en dessous d'elle, je me demande pourquoi elle m'en veut tellement d'avoir toujours eu les faveurs de sa mère alors que je ne suis qu'une bonne à rien. « Tu as bien vu que j'ai revu mon jugement concernant Leanne... Mais oui je sais que t'es mauvais comédien, en fait t'es mauvais quand tu mens et quand tu dis pas tout aussi. » Ou alors c'est moi qui lit un peu trop en lui comme dans un livre ouvert comme il sait bien le faire lui aussi. On a passé que trois mois véritablement en couple mais on se connait très bien. C'est assez impressionnant de le découvrir au fil du temps, l'alchimie quoi... « J'ai discuté avec Leevy à la piscine une fois pendant les vacances. Elle ne m'a pas noyé tu vois. » J'écarte les mains et hausse les épaules, je suis en vie non ? Finalement notre ton plutôt léger devient un ton plus lourd, je déteste parler de ça, ça m'angoisse. Je suis angoissée à l'idée de voir une autre prendre ma place dans sa vie, je suis angoissée à l'idée de le voir partager des moments avec notre bébé avec une autre, c'est des choses qu'on devrait vivre ensemble. Je n'ai aucune envie que mon bébé ait une future belle mère qu'il appellera peut être maman en se trompant. Mes angoisses encore et toujours. Sur ce point, Priape me connait et plutôt que de s'énerver il saisit mes mains pour les serrer dans les siennes, comme pour me rassurer. Sa phrase me fait rire mais ne me calme pas. Au final je laisse ma tête se poser contre lui alors qu'il est toujours installé à côté de moi sur le bord du lit. Je ferme les yeux quelques instants et je tente de me laisser bercer, rassurer par ses mots. « Sauf que tes amies filles savaient que tu étais avec moi... Etre célibataire, ça change souvent les amitiés tu sais... » C'est un constat, une remarque, il en fera ce qu'il voudra. Je l'écoutais ensuite me parler de son passé, de pourquoi il me l'avait caché... « Je n'aurais pas fuit... T'aurais surement juste mis plus de temps à me mettre dans ton lit... » Je relève les yeux vers lui mais je me recule nous voyant trop proches l'un de l'autre. « Après cette première soirée, j'étais... impatiente de te revoir ? Et j'ai remercié cent fois intérieurement ton chef de pédiatrie d'avoir été retenu quand j'avais rendez vous avec Charlie... Ca m'aurait pas fait peur... Je voulais tout connaitre de toi Priape, c'est les mensonges, les non dits qui m'ont fait peur, c'est une relation comme ça que je ne voulais pas. » Pourquoi est ce que nous n'avions pas simplement eu cette conversation avant ?
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Après m’être excusé pour m’être tu concernant l’hospitalisation de Charlie en décembre dernier, elle s’excusa de ne pas m’avoir tenu informé de son hospitalisation actuelle. « L’important c’est que tout se passe bien maintenant, qu’on se tienne au courant… » Plus de non dits, plus de cachoteries. Ca commençait par la mise au point sur toutes nos relations actuelles. Du côté de Talya, je trouverais toujours à ronchonner, après Aaron ou d’autres, mais au final à part son amitié avec Matthéo je n’avais pas vraiment matière à lui reprocher quoi que ce soit. Puis ce fut mon tour, Talya me donna une liste interminable de prénoms et on s’attarda un peu sur le cas de sa cousine. « Juste dormis, tout habillés oui. » confirmai-je avec un hochement de tête. Je n’étais pas en faute. A la rigueur, même si on avait passé la nuit à s’envoyer en l’air, il n’y aurait pas eu de mal puisque Talya et moi n’étions plus en couple. Pourtant, je me sentais obligé de me justifier. « On se souvient pas non, on était morts, complètement saouls… » Et au final j’étais sûr qu’il ne s’était rien passé, parce que la fois où j’avais dérapé avec Elia, je m’en souvenais malgré mon état d’ébriété. J’avais des flashs de Vegas, alors que la nuit du bal, quedal. J’avais du sombré dans un de ces sommeils du plomb dans lequel l’alcool sait si bien nous emporter. « Embrassés ? Mais pourquoi voudrais-tu qu’on s’embrasse ? Non, y’a rien eu de ce genre Talya… » Mais finalement en voyant sa réaction, en écoutant ses questions qui fusaient, je ne pus m’empêcher de demander : « Ca t’embête tant que ça qu’on ait dormi ensemble? » Ouais parce qu’au final elle avait quand même dormi dans la même pièce que Matthéo tout l’été. Bon pas dans le même lit, dieu merci. « Mais c’est parce que c’est Zoïa ou parce que c’était avec moi ? » Parce que si c'était la simple idée que je dorme avec une autre nana qui la rend dingue, faudrait peut être que je lui parle d’autre chose, quelque chose qui s'était passé plus récemment… J’étais content de savoir qu’elle avait réussi à apprécier Leanne malgré mon plan foireux, et concernant Leevy, je ne pus retenir un nouvel avertissement : « On s’est pris la tête y’a quelques jours de cela elle et moi, alors fais attention… » Je voulais pas qu’elle –utilise- Talya pour m’atteindre, ou se venger parce que j’avais été proche de Delilah… On n’était jamais trop prudents, on ne pouvait pas savoir ce qui se passait dans son esprit tordu. Quand mon ex souligna finalement que mon célibat pouvait changer la vision que mes amies féminines avaient de moi, je rétorquai : « Dans ce cas, la remarque s’applique également à tes fréquentations masculines… » Peut être que ses potes allaient eux aussi la voir d’un autre œil à présent et envisager quelque chose de plus qu’une simple amitié avec elle. Quand on évoqua mes soucis de communication, le fait que j’ai caché certains faits de mon passé à la jeune femme alors même qu’on était en couple, elle me répondit que ce n’était pas le genre de chose qui l’aurait fait fuir, ça aurait juste retarder le moment où elle avait fini dans mon lit. « J’avais pas de temps à perdre… » plaisantai-je avec un petit sourire amusé, parce qu’au final on n’avait quand même pris notre temps et je ne me rappelais pas de m’être montré impatient ou d’avoir mis une quelconque pression à Talya pour notre première fois. « Je m’excuse encore pour ça Talya… Vraiment. » Si on pouvait réécrire l’histoire, j’agirais surement différemment, je m'ouvrirais plus. Mais des si ne suffisaient pas, c’était présentement qu’on pouvait agir, améliorer les choses entre nous.
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L'important était qu'on communique ce qu'on avait du mal à faire depuis le début de notre relation et qui nous avait sûrement mené la ou nous en étions aujourd'hui mais aussi il fallait qu'on se fasse confiance et qu'on sache se reposer l'un sur l'autre. Nos disputes à répétition et le fait que chacun de nous soit sur la réserve concernant les relations de l'autre ne nous aidaient sûrement pas à avancer sur la bonne voix dans cette direction. Mais nous allions tout deux faire des efforts pour que cela se passe mieux et je ne doutais pas qu'on y parviendrait nous étions deux adultes responsables non ? Enfin moi en tant que maman je l'étais déjà et priape s'il ne l'était pas déjà il était vraiment en train de le devenir. J acquiesçai donc simplement à sa phrase puis je portais mon attention sur toutes les filles qui grouillaient  autour de lui et bordel qu'il y en avait c'était assez impressionnant mais il pouvait dire la même chose pour moi en fait. Le cas Zoia faisait débat. 

- Le fait que Zoia puisse se servir de toi pour m atteindre ne me plaît pas parce que même si vous êtes amis je ne doute pas qu'elle soit sincère elle fait juste d'une pièce deux coups... et le fait de savoir qu'une autre personne prend ma place dans ton lit...

Ma gorge se noue. Ça ne me plaît pas. C'est normal non ? C'est comme ça quand on aime quelqu'un pas vrai ?

- Le même lit... la proximité... c'est normal que ça ne me plaise pas non ?

Avait il autre aveu à me faire qu'il voulait mon avis la dessus ? J'allais sûrement bientôt le savoir.

- T'en fais pas je ne me laisserais pas manipuler par Leevy, par personne d'ailleurs je te l'ai déjà dit.

J'étais maîtresse de ma vie et il n'y avait que moi pour savoir ce qu'il y avait de bon pour moi. Personne ne me dirait quoi faire ou ne pas faire donc qu'il ne se fasse pas de souci pour Leevy aucune chance qu'elle me manipule facilement.

- T'oublies un détail important entre toi et moi : je suis enceinte jusqu'au cou et à moins d'attirer un malade mental je ne vois pas qui pourrait vouloir de moi...

Le deuxième détail important c'était bien que j'étais folle amoureuse de lui et pas du tout prête à passer à autre chose. Il ne voulait pas me pardonner ? Moi je ne voulais pas l'oublier pas le remplacer... on était bien barrés  tous les deux. Il parvint à me faire rire à nouveau en me disant qu'il n'avait pas de temps à perdre pour me mettre dans son lit.

- C'est ton côté coureur ou connard comme tu veux ça !

Je lui donne un petit coup de coude dans les côtes pour rire et j'ajoute.

- En même temps on n'a pas franchement mis longtemps à s'exprimer mutuellement notre envie d'aller plus loin que de simples bisous...

Ça avait été simple entre nous aussi simple que la manière dont nous avions remis le couvert il y a quelques jours en fait... pourquoi tout était si simple en général et qu'on ne savait pas passer les complications ?

- Aller c'est bon c'est trop tard maintenant...

A nous deux on a saboté  notre couple  comme des rois et je ne peux pas recoller les morceaux avec ma seule volonté.
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J’avais pas pu m’empêcher de la questionner sur l’impact de ma révélation sur elle : oui, je voyais bien que Talya était perturbée d’apprendre que j’avais dormi dans le même lit que sa cousine, mais était-ce parce que c’était Zoïa, ou aurait-elle réagi pareil si il avait été question d’une autre fille ? Elle finit par reconnaître que ça ne lui plaisait pas. J’eus une petite grimace, parce que je sentais bien que dans notre phase -mettons carte sur table- je devais jouer le jeu. Et comme le sujet partage de lit était mis sur le tapis, je commençais maladroitement : « Bah, puisqu’on parle de ça… Y’a quelques semaines, j’ai mangé avec une amie à l’appart… Elle avait un peu bu, elle était crevée, alors je lui ai proposé de rester dormir chez moi. » Dans mon lit avec moi à côté, mais vu que c’était le thème sur lequel on était, pas la peine de le repréciser.  Quand elle émit le bémol que les amis changeaient d’avis lorsqu’ils apprenaient notre célibat, je soulignai que la remarque s’appliquait également à ses fréquentations à elle. Mais elle était enceinte, elle me rétorqua que seul un malade mental pourrait vouloir d’elle. « Quoi ? T’es en train de me traiter de malade mental là ? » fis-je alors avec un air offusqué avant de me mettre à rire, puisque oui, moi j’avais voulu d’elle durant cette nuit au summer camp, mais ça n’avait pas été la seule fois d’ailleurs. Ca faisait des mois que je prenais sur moi pour résister. Même enceinte, je la trouvais toujours aussi attirante et magnifique. Aborder le sujet de notre nuit ensemble, comme ça, en en riant, c’était peut être la façon la plus adéquate. Puis, on parla ensuite de nos débuts, de la facilité avec laquelle les choses s’étaient faite entre nous. Il planait presque un parfum de nostalgie dans la pièce. « C’était bien comme ça en tout cas… » Ca c’était fait naturellement, sans pression, mais sans frustration non plus… Mais la conclusion de Talya alors que je m’excusais pour mon manque de dialogue de l’époque fut que de toute façon c’était trop tard. Je finis par me redresser et me lever de son lit : « Tu veux faire quoi ce soir ? T’allais peut être te coucher avant que j’arrive ? Si tu veux je vais te chercher une tisane ou un truc pour dans le genre pour t’aider à dormir. »
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Il y a quelques semaines il avait dormi dans le même lit qu'une fille qui avait bu... dans son lit dans son appartement... j'avalais  difficilement ma salive la pilule avait bien du mal à passer en fait elle ne passait pas du tout...

- Tu m'as déjà avoué Zoia ça ne peut pas être May ni Leanne alors je suppose que c'était Aby ?

Par déduction c'était la seule qui était la et avec qui s'était possible. Si Brynn n'avait pas été au summer camp je lui aurais sûrement donné le choix mais la je n'en voyais pas vraiment de possible. J'avais la boule au ventre et je finis par ajouter:

- Elle a dormi avec toi dans ton lit dans ton appartement chose que je n'ai pas faite et qui me foue  les boules certes mais en plus moi j'ai toujours pas eu le droit de voir ou tu vis quoi ...

J'avais baisse mon regard incapable de rester là à le fixer dans les yeux et lui dire avec honte à quel point jetais jalouse de tout ce qu'il pouvait partager avec ses "amies". Quand je lui dis que de mon côté il n'y avait aucun risque que je le remplace car le regard des garçons ne changeaient pas sur moi comme j'étais enceinte sauf celui des malades mentaux il prit la réflexion pour lui et cela me fit rire à moitié même si je continuais d'éviter son regard.

- Toi c'est pas pareil... t'es mon petit ami enfin mon ex et tes le père du bébé que je porte...

C'est complètement différent. C'est comme si on était toujours en couple  et qu'on faisait l'amour en fait alors que si moi j'avais quelqu'un d'autre se serait bizarre que de s'introduire en moi alors qu'il y a déjà à cet endroit la progéniture d'un autre et c'était sans compter mon gros ventre légèrement envahissant ! 

- Puis même toi tu regrettes d'avoir couché  avec moi et ça doit te repugner parce que t'allais te barrer en douce.

C'était le bon moment pour le glisser gentiment dans la conversation et démarrer une explication la dessus non ? Enfin moi je trouvais cela plutôt bien choisi.  

- Tellement bien...

Pourquoi on ne pouvait pas remonter le temps ? Enfin non pourquoi Priape Zacharias ne se décidait pas simplement à apprendre à pardonner et à donner une seconde chance pour pouvoir tout recommencer ? C'était compliqué certes mais quand même c'était faisable surtout pour une fille qu'il connaissait et dont il connaissait le passé irréprochable en matière de fidélité quoi.. 

- J'allais pleurer pour calmer mes nerfs et ma peur et dormir mais reste 

Ma main se tendit et prit la sienne l'attirant  près de moi il pouvait bien s'allonger.
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Talya sembla un peu secouée par ce deuxième aveu. Je m’en voulais de lui infliger cela mais d’un autre côté, le pacte était mon idée : je ne voulais plus rien lui cacher pour éviter de nouveaux quiproquos entre nous. J’hochai la tête pour acquiescer lorsqu’elle devina avec justesse qu’il s’agissait d’Aby. Elle ajouta qu’en plus de cette nuit passée ensemble dans le même lit, ce qui l’embêtait c’était qu’elle même n’avait même pas eu encore l’occasion de voir mon appartement. Ce qui me fit me rappeler qu’Aby avait d’ailleurs été la première à le visiter en avant première, avant même qu’il soit aménagé… Je déglutis, observant Talya qui baissait les yeux, incapable alors de la rassurer, de lui assurer qu’il n’y avait pas à s’en faire, qu’il n’y avait rien, parce que oui, même si courant de cette nuit il ne s’était pas vraiment passé quelque chose, je prenais conscience peu à peu de l’importance que la brunette avait pris dans ma vie ces derniers temps. La jeune femme se dévalorisa ensuite, sous entendant que personne ne pouvait être attiré par elle, excepté moi puisque j’étais son ex, elle ajouta qu’en plus, même moi je regrettais puisque j’avais essayé de me barrer en douce. « C’est pas ça Talya… J’avais un avion à prendre et je… » Je me stoppais dans mon début d’excuse bidon et repris avec bien plus d’honnêteté : « C’était bien cette nuit avec toi Talya. Mais le retour à la réalité est encore plus dur après ça. » Se confronter au fait qu’on était séparés, que j’arriverais jamais à lui pardonner, qu’on ne serait plus en couple ensemble tous les deux… « Je suis désolé, j’aurais pas du craquer comme ça… » Même si j’en avais terriblement envie, j’aurais du résister, ne pas céder à la tentation… « Ca n'a fait que te blesser davantage. » C’était se rapprocher pour mieux se repousser ensuite, ce n’était pas sain. Elle me retint finalement, m’informant qu’elle allait pleurer avant que j’arrive : « Ok, je reste mais pas de larme. » fis-je en souriant et en m’installant à côté d’elle avant de commenter avec un certain sarcasme : « Imagine qu’une infirmière du service nous voit : elle va encore aller baver à CS et le prochain article à conneries racontera que je fantasme sur les filles en blouses d’hôpital… »
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Même s'il n'avait que dormi ensemble j'encaissais vraiment difficilement son aveux et encore plus son rapprochement avec Aby. N'était elle pas venue me faire une petite leçon de morale comme quoi je devrais me tenir loin de Matthéo pour réparer son petit coeur parce qu'il était amoureux de moi ? Fallait il réellement que j'aille lui dire de ne pas s'approcher du père de mon bébé parce que je ne veux pas qu'il se détache de moi et que ce n'est pas sein d'être dans sa position, à très bien connaitre mes sentiments, ma position par rapport à tout cela mais à se rapprocher encore et encore de Priape ? Vraiment je détestais cet aveu et l'impact qu'il avait sur moi. « Priape t'étais debout avant que Leanne ne t'appelle... Je le sais. » Il n'avait pas pu courir jusqu'au téléphone en un rien de temps, c'était juste impossible. « C'est pas ça... Je savais très bien que cette nuit ne comptait pas pour toi, qu'elle ne voudrait rien dire... Mais est ce que je n'avais quand même pas droit à un peu plus de respect que tu tentes de te barrer en douce ? » C'était difficile d'accepter que cette nuit ne comptait pas pour lui, pas dans le sens du pardon mais si c'était ainsi je ne pouvais pas lutter... Il n'exprimait rien, il se contentait de dire encore et toujours qu'il ne voulait pas me pardonner sans dire ce qu'il pense vraiment au fond de lui, ce qu'il ressent. Etait ce trop dur à admettre pour lui qu'il en était au même point que moi ? Incapable de se détacher ? C'était juste de la fierté mal placée. « Tu m'as fait hurler, je pense que toutes les larmes qui auraient pu couler sont sorties à ce moment là. » Je le regarde en souriant, ben quoi c'est vrai ? J'ai évacué mes émotions d'une autre manière. « Tu sais très bien que CS ne dira pas ça... Que CS racontera simplement que c'est reparti entre toi et moi et ça ne te plaira pas... » Parce que ça le freinerait dans sa conquête de l'amour, d'un amour nouveau ? Peut être.
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Je tentais vainement et de manière très brève de servir une excuse plus concevable que la vérité, c’est à dire que je n’assumais pas d’avoir craqué si facilement, mais la jeune femme se doutait déjà de cela. Elle souligna quand même que j’aurais pu m’y prendre de manière plus courtoise que celle d’essayer de me barrer en douce, chose qui illustrait clairement un manque de respect. « Tu voulais que je te dise quoi Talya : désolé c’était bien le temps que ça a duré. Merci pour cette nuit et à bientôt… » Non, je n’avais pas pu lui servir ce discours là, à mes yeux encore plus irrespectueux que ma tentative de fuite. Alors oui, j’avais choisi l’option facile, celle de ne rien dire, de ne rien expliquer, de tout laisser en suspend. Ce n’était pas mieux parce qu’elle avait eu tout le loisir de s’interroger sur le sens de cette nuit, d’ailleurs elle m’informa qu’elle savait très bien que ça ne comptait pas pour moi, que ça ne voulait rien dire. « Arrête s'il te plait, tu sais très bien que c’est pas ça, tu sais ce que ça veut dire… » Elle le savait surement au fond d’elle, je le savais également au fond de moi, mais non je ne le dirais pas. Je ne lui dirais pas que je l’aime, tout simplement parce que prononcer ces mots ça serait y donner un ton bien trop solennel, définitif et assumé. Et puis à quoi ça rimait de lui dire que je l’aimais toujours si c’était pour ensuite ajouter que cela ne changeait rien. La jeune femme m’avait retenu malgré tout dans sa chambre, et j’avais tenté une petite vanne sur CS, espérant détendre l’atmosphère mais Talya rebondit dessus pour me renvoyer mon embarras face à ce rapprochement entre nous à la figure. Tant pis pour mon essai de plaisanterie, je repris un ton sérieux donc : « T’as raison, ça me plaira pas qu'ils écrivent ça… Parce que ça serait des mensonges  : ce n’est pas reparti entre nous. » C'était dur, j'en avais conscience, mais j’ajoutai : « Par contre, je vais essayer de faire des efforts. Je te le promets. » Pour le bébé. Pour elle. Pour moi aussi. Je ne voulais plus que ce genre de situation électrique se reproduise à nouveau ni que ça ait des conséquences sur sa santé ou celle de notre enfant. « Tu veux toujours que je reste ici avec toi quand même ? »  
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