Camilo (+) Il y a du soleil et des beaux mecs.

J'aimais sentir ses lèvres contre les miennes et sa langue qui dansait avec la mienne me rendait dingue, c'était excitant comme tout, comment ne pas succomber devant un mec comme ça et avec ces choses là. Je sentis ses mains glissés contre mes bras pour terminer sur mes cuisses, je fermais les yeux pour apprécier son geste, des frissons me parcourrait le corps, ses doigts remontaient contre mes hanche et je fus plaquer contre lui je laissa ses lèvres quitter les miennes pour venir sur le lobe de mon oreille et donner des coups de langue, merde ce mec m'excitait vraiment trop, je l'attrapais par son haut pour le tirer avec moi vers la porte. "Bien sur que je veux tu ne va pas t'en aller comme ça." J'ouvris la porte et je la poussais en entrant avec lui, je retournais capturer ces lèvres en glissant mes mains sous son haut pour lui caresser le torse.

Ses caresses douces sur mon torse, c'était sensuel mais surtout sauvage et naturel, nous faisions les préliminaires d'une facon que je n'avais jamais expérimenté. C'était sauvage, des plaquages contre le mur, des griffes qui glissaient sur nos dos. Je donnais un léger coup sur la porte pour qu'elle se ferme et mes mains glissèrent le long de sa colonne pour venir masser ses femmes sous son mini-short, avant de l'enlever complètement et de le laisser glisser le long de ses cuisses. Nos lèvres étaient toujours collés, avant que je puisse descendre doucement donner de doux baisers dans son cou, le lécher avec désir et mordiller chaque bout de peau qu'elle avait. On peut, monter dans ta chambre? dis-je avec un sourire espiègle et complice.

Putain merde c'était parti pour une nuit de folie, enfin j'espérais qu'il reste pour la nuit et qu'il ne ce comporte pas comme un vrai connard ensuite, je le laissa donc faire en me plaquant contre les murs et je répondais de la même façon en le plaquant contre les mus au fur et à mesure qu'on entrait dans le chalet je caressais son torse puis mon ongles ce planta dans son dos et nous voilà en train de nous embrassé à pleine bouche de manière assez sauvage pour le coup, quand il demanda après ma chambre je lui releva son tee shirt pour lui retirer qu'il soit torse nu alors que lui s'occupa de mon short après avoir malaxé mes fesses. "On aurait pu baptisé toutes les pièces du chalet." Je souris en lui sautant dans les bras et je l'entourais à la taille en chuchotant contre ses lèvres. "Au fond du couloir la chambre." Ces moridllements sur ma peau me rendait dingue.