Camilo (+) Il y a du soleil et des beaux mecs.

Ce soir j'avais été me balader dans les recoins de la ville, je savais que bientôt les vacances seraient fini du coup je profitais des paysages autant que je le pouvais, je m'étais arrêter ensuite boire un verre dans un bar mais simplement un verre, pas au point de finir ivre et de ne savoir plus marcher droit du coup après un petit moment détente je rentrais enfin direction les chalets. Je comptais bien rentrer et profiter de la soirée pour me détendre, déjà retirer ces talons et enfiler une nuisette pour ensuite me poser sur le sofa du salon dans ce petit chalet confortable mais alors que j'arrivais près de mon chalet pour talon ce détacha de ma chaussure. "Et merde.." Je me baissais pour ramasser mon talon et retirer ma chaussure qui était complètement foutu, je soupirais avant de redresser la tête et là je tombais sur un certain Camilo, je l'avais déjà croiser mais lui et moi on avait pas eu le temps d'être ami voir plus on se connaissait simplement de vue, je souris en l'interpellant. "Bonsoir, j'aurais bien besoin d'une épaule pour me ramener au chalet pour éviter de poser le pied par terre." Je lui montra ma chaussure complètement détruite avec ce petit sourire charmeur pour qu'il accepte.

J'avais passé une bonne partie de mon temps dehors, loin de chez moi, mais jamais assez comme on disait. Et pour un mâle alpha tel que moi, ce serait une aubaine que de trouvez encore plus de proies à cibler. Quelle surprise (ou pas) que j'eus en voyant d'ailleurs une fille que j'avais déjà vu au Summer Camp, sortant d'un chalet en titubant. Cette fois-ci, c'était loin du chalet qu'elle titubait, encore une fois les effets de l'alcool. Mais bizarrement, elle était toujours aussi chaude. En fait non, c'était pas bizarre du tout. Bonsoir, j'aurais bien besoin d'une épaule pour me ramener au chalet pour éviter de poser le pied par terre.. Elle indiqua rapidement son soulier qui étaiti visiblement bien amoché. Je souris après avoir apercu son sourire, qui avait encore une fois un effet dévastateur sur moi (bien que je contrôlais la situation). Pas de soucis, tu peux monter sur mon dos si tu veux...Sally? dis-je après hésitation, puis en indiquant mon dos carrelé avec une ossature assez évidente sur mon débardeur blanc. C'était un peu con comme idée, mais elle se rapprocherait de moi et ne pourrait pas résister, j'en étais sur.

Qu'est ce que j'aurais bien pu faire si je n'étais pas tombé sur Camilo, marcher pieds nus jusqu'à mon chalet au risque de me blesser avec toutes les merdes qu'il y avait au sol, en fait je n'aurais pas eu tellement choix mais juste devant moi j'avais aperçu ce mec qui ferait de l'effet à n'importe qu'elle fille qui lui tomberait dessus et non mon bit n'était pas de l'attirer dans mon lit, quoi que il était pas mal mais je dois avouer qu'il était sexy comme garçon et ce soir je voulais peut être prouver que j'attirais encore de beaux mâles et pourquoi pas passer une bonne soirée en sa compagnie si l'excuse du sauveteur marchait. Je marchais jusqu'à lui après l'avoir interpeller pour qu'il puisse m'aider et quand il m'offrit son dos je fis un petit sourire aux coins des lèvres, même de dos il était toujours aussi bien foutu. "Faut pas me le demander deux fois. Oui Sally c'est mon prénom et toi c'est Camilo il me semble??" Je passa mes bras autour de ces épaules pour grimper sur son dos mais la cambrure de son épaule qui était juste sous mon nez me faisait de l'oeil. "Ce sont de vrais muscles que tu a là." Ces muscles me troublait mais j'en oubliais pas de lui indiquer où était mon chalet.

Je souris, la sensation de sa poitrine contre mon dos m'enivrait et m'excitait déjà, heureusement qu'elle ne pouvait pas voir la bosse qui se formait dans mon entrejambe. Je souris aveuglément, acquiescant quand elle dit mon nom en indiquant la route vers le chalet. Mes mains soulevaient alors son corps un peu plus haut pour qu'elle soit mieux aggrippée, mais j'eus à remonter ses fesses pour m'exécuter. Espérons quelle ne me prenne pas trop pour un pervers, j'en étais pas un après tout. Oui des vrais muscles, mais bon rien de folichon hein. dis-je en riant légèrement, tentant de faire le modeste un peu pour l'intérésser plus. J'imagine. Je jetais un regard par-dessus mon épaule, regardant et jugeant ses traits avec désir et finesse du regard. Sa chevelure douce caressait mon oreille, ca me dérangeait un peu mais sans plus. Mais ca va, niveau corps je crois que t'as bien été gâtée aussi... dis-je avec un clin d'oeil. J'attendis sa réaction. Ca faisait beaucoup de sous-entendus quand même.

Je ne pouvais pas nier que d'être sur le dos d'un mec comme lui n'était pas agréable, c'était plus qu'agréable parce que mine de rien si je pouvais je lisserais trainer mes mains et mes lèvres contre ce dos parfaitement dessiner, c'était la première fois que le dos d'un mec me fascinait autant, il fallait une première fois à tout apparemment. Je me mordais la lèvre inférieur en espérant ne pas passer pour une allumeuse avec mes allusions mais merde c'était la pur vérité et j'étais sûre que je n'étais pas la première à lui faire remarquer. "Ils sont... Enfin toutes les filles ont déjà dû te le dire." Je m'étais stopper à temps dans ma remarque parce que je pouvais très vite déraper et j'en avais tellement envie. "Venant d'un mec comme toi c'est flatteur." Je savais que j'étais une belle femme mais des belles femmes il pouvait en voir beaucoup ici, le bout de mon nez effleura la cambrure de son épaule et discrètement mes lèvres ce posa dessus pour y poser un petit baiser, quand je disais que je pouvais vite déraper surtout en l'ayant sous les yeux.

Je sursautais brusquement à chaque caresse encore plus sensuelle et attentionnée qu'elle me faisait. Puis doucement je sentis ses lèvres déposer un doux baiser sur mon épaule, furtivement mais pas assez pour ne pas que je le remarques. Je me stoppai net et déposais Sally par terre, qui visiblement ne comprenait rien. Je lui lanca un sourire charmeur (vous savez, celui dont seul moi aies le secret) et m'approchais rapidement d'elle, laissant une infime distance entre nos deux corps tendus et bouillonnants de désir. Tu sais si tu veux je peux te soulever par en avant... J'empoignais ses hanches et la souleva avec force dans les airs, en espérant qu'elle allait enrouler ses jambes autour de ma taille. Elle savait autant que moi que je mourrais de désir, et en témoignait les quelques millimètres qui séparait mes lèvres de sa poitrine. Mes yeux se concentrèrent sur les siens, attendant qu'elle penche sa tête.

Je savais que je n'aurais pas dû lui déposer ce baiser sur l'épaule, c'était carrément un appel au viol, quoi que je serais consentante pour un viol, je ne voulais juste pas qu'il croit que j'étais l'allumeuse qu'on racontait en ce moment sur les articles mais bon je m'en foutais pas mal pour le coup, Camilo me plaisait et j'avais l'air de lui plaire aussi du moins un minimum. Je le sentis me déposer par terre et pour e coup je ne comprenais pas, peut être qu'il avait mal prit mon baiser parce qu'il avait une copine où tout simplement parce qu'il n'aimait pas ça mais quand il me fit cette remarque je souris en le regardant dans les yeux. "T'es sûr que tu va contrôler ton mini toi dans cette position??" Je lui montrais son entre jambe du doigt avant de le sentir me soulever, je laissa mes jambes s'enrouler autour de lui tout en glissant mes mains dans sa nuque tendrement pour me tenir à lui.

Je ris légèrement à sa remarque, néanmoins heureux que ca lui pose pas problème que j'aies une meilleure vue sur sa poitrine que sur le chalet. J'te garantis rien... souriais-je. Je marchais dans la direction qu'elle m'avait indiqué, et quelques pas plus tard nous étions déjà au seuil de sa porte. Je la déposais doucement par terre, tout en gardant mes mains autour de sa taille fine et chaude. Je la regardai avec un sourire espiègle et marchais vers elle avant de doucement la plaquer contre le mur et d'incliner ma tête légèrement, de sorte à ce qu'elle soit collée à son front que nos langues ne soit qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Je souris légèrement alors que la nuit allait tomber, et que je m'apprêtais à faire une assez grosse connerie. Mais bon, pas grave, ca en valait la peine.

Je ne pensais pas qu'on n'en viendrait à ce taquiner comme ça lui et moi, enfin j'étais surtout celle qui le taquinait depuis tout à l'heure avec des sous entendus et un baiser voler sur son épaule mais j'avais l'impression qu'avec lui c'était naturel. Je souris à sa réponse avant de me retrouver dans ces bras tandis qu'il marchait vers mon chalet, il commençait à faire nuit et j'étais bien contente d'être raccompagné par un mec comme lui. Une fois au seuil de ma porte je lui souris et j'étais prête à le remercier mais il me déposa par terre, il avança vers moi et j'étais plaquer entre son torse et le mur. Ma main ce posa contre sa joue et je le tira vers moi pour que nos lèvres ce touchent, j'en avais marre d'attendre et de ne pas agir, je l'embrassais alors fougueusement en laissant ma langue ce frayer un chemin pour aller chercher la sienne.

Le goût de ses lèvres était délicieux, sa langue froide cognant contre la mienne, chaude, se laissant glisser l'une sur l'autre, c'était un moment de douceur et de sensualité inoubliable. Mes mains descendirent le long de son bras tandis que mes doigts se glissaient sur sa cuisse à moitié decouverte (fallait dire que ces mini-shorts qu'elle portait c'était diablement sexy). Je remontais le long de ses hanches puis la serrait encore plus contre moi tout en laissant ma langue jouer dans la sienne, puis alla mordiller le lobe de son oreille avant de donner des coups de langues derrière. Je souris avec angélisme. On peut rentrer si tu veux... chuchotai-je dans son oreille, pesant sur chaque syllabe avec sensualité et charme.