Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityyou know you really love someone when you can't hate them for breaking your heart. (Talya) - Page 8
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you know you really love someone when you can't hate them for breaking your heart. (Talya)

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Les mains de Talya sur mon corps me firent rapidement perdre toute envie de résister. Elle se retrouva posée sur le plan de travail de la cuisine, le T shirt qu’elle portait vola dans la pièce, révélant sa poitrine généreuse, cette vision d’elle en simple petite culotte ne fit que décupler mon envie d’elle. Ses seins avaient vraiment pris du volume avec la grossesse et mes mains les effleurèrent un instant puis je me penchai pour y déposer mes lèvres. Ses doigts continuaient d’enflammer ma peau, affolant mes sens. Et lorsqu’ils glissèrent habilement jusqu’à mon pantalon, le point de non retour était atteint… Je ne portais rien sous mon jogging, je me retrouvais donc nu, et vu l’état dans lequel je me trouvais, impossible de lui faire croire désormais qu’il fallait être sages, que je ne voulais pas plus, que je ne la désirais pas. « On ne devrait pas faire ça… » soufflai-je d’une voix rauque avant que ma bouche ne s’empare à nouveau de la sienne. Mes mains derrière sa tête, retirèrent son élastique pour libérer sa cascade de cheveux blonds, avant de descendre le long de son dos, de glisser entre ses cuisses pour les écarter, je tirai doucement sur le coton de son sous vêtement, dernier obstacle de tissu entre nous.
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Le jogging de Priape tombé à ses pieds, en me rapprochant de lui, me collant à lui je pus sentir que lui non plus n'avait pas pris le temps de remettre un sous vêtement et en plus de cela il n était sûrement pas aussi prévoyant qu'une femme et n'en avait tout simplement peut être pas. Je sentais son envie envie contre moi. Tous ses gestes, ses mouvements trahissaient son envie de résister. Son regard fiévreux lui ne mentait pas sur le fait qu'il se retenait depuis un moment. Les paroles du bal résonnerent quelques instants dans ma tête : je ne veux pas te pardonner. Aujourd'hui le problème était bien visible ce n'était pas l'envie mais la volonté qui était en question sauf que la j'avais tout sauf envie de réfléchir à cela. Je me laissais emporter par son rythme de respiration accéléré, par ses caresses faisant frémir la moindre parcelle de peau. Je crus un instant qu'il allait revenir à lui lorsqu'il avoua avec justesse que nous ne devrions pas faire cela mais il ne fit pas demi tour et me retira le seul vêtement qui nous empêchait jusqu'alors de ne faire plus qu'un. Ma culotte vola dans la pièce et je murmurait tout près de ses levres: « On ne devrait pas faire ça ici... Le canapé.... » La position assise n'était en effet pas devenue ma position préférée tout au long de la journée alors je doutais qu'elle le soit pour ce genre de chose. Mes bras s'enroulerent autour de son cou et mes jambes autour de sa taille, ses mains passèrent sous mes cuisses et je me retrouvais rapidement allongée sur le canapé qui devait sûrement être le même que celui sur lequel il dormait chez Elia. Priape au dessus de moi mon regard se promena sur ce corps dénudé qui m'avait tant manqué avant de se replanter dans ses yeux. Il n'y avait plus de question à se poser même la question du préservatif était exclu : j étais enceinte et je lui faisais assez confiance pour ne pas avoir été trempé son pinceau n'importe où, si jamais il n'avait pas ce respect pour moi il l'avait assurément pour notre enfant je ne doutais pas. Son bassin se rapprocha donc de l'intérieur de mes cuisses et il s'introduit doucement en moi pour que nous deux corps s'emballent à l'unisson.

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J’avais laissé échapper qu’on ne devrait pas faire ça, et ça ne se référait pas à l’endroit mais bien à ce que l’on était en train de faire, ce vers quoi tendait ce rapprochement, ces baisers, ces caresses… Mais la jeune femme ne se laissa pas troubler, de toute manière mes gestes et mon empressement à lui retirer le dernier vêtement qui la recouvrait encore trahissaient bien la vérité : que j’en avais quand même terriblement envie d’elle. Elle me souffla alors que le canapé serait surement plus confortable. Je la désirais tellement que je l’aurais prise n’importe où, mais à vrai dire, avec son petit ventre, il valait surement mieux opter pour une position allongée. Mes mains glissèrent sous ses cuisses, ses jambes s’enroulèrent autour de moi, le frottement de mon entrejambe contre son intimité ne fit que me durcir davantage alors que je la portais jusqu’au salon, l’allongeant avec douceur sur le canapé. Malgré mon désir de plus en plus fiévreux, je pris un instant pour la contempler, là, étendue devant moi, superbe, sa poitrine se soulevant rapidement au rythme de sa respiration. Un petit sourire étira un instant mes lèvres, refusant toutes les pensées qui devraient pourtant se bousculer dans ma tête : je ne voulais penser à rien d’autre qu’à elle, qu’à ce moment. Puis je succombais, me glissant doucement en elle, unissant nos deux corps en laissant échapper un soupir de plaisir.
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Quoi de mieux pour terminer la journée que de finir dans ses bras, contre lui, sans rien entre nous, même pas l'ombre d'une fine couche de tissu ? Ce moment avait été parfait mais l'exercice et l'heure tardive qu'il était maintenant m'emportèrent rapidement vers un sommeil lourd et profond qui empêcha bien toute discussion gênante. Sans fatigue je me serais surement rhabillée et je serais partie, ou il l'aurait fait, enfin on ne saura jamais. Ma nuit fut coupée par mon ventre me tiraillant mais cela se calma assez rapidement et bébé resta plutôt calme me permettant de retrouver le sommeil vite. Malgré toute les questions qui tournaient dans ma tête, je dormis assez bien, les mettant en sourdine, ce n'était pas le moment pour ça sérieusement. Oui je savais que nous n'aurions pas dû mais comment ne pas le faire quand on fait taire son envie depuis des mois ? Son envie d'un seul et unique homme et que cet homme laisse enfin tomber toutes les barrières ? Impossible d'y échapper. Les minutes passent, les heures même et c'est finalement une sonnerie de téléphone qui me réveille. Cette sonnerie ce n'est pas la mienne, c'est celle du téléphone de Priape. Putain, Priape, son téléphone, son avion. Je me réveille en faisant un bon, il n'y a plus personne à côté de moi. A t'il oublié son téléphone ici ou est il encore là ?

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Après le plaisir libérateur de succomber enfin à la tentation, de se laisser aller dans les bras de la jeune femme, les questions auraient pu surgir dans mon esprit mais elles furent terrassées par la fatigue. M’endormant, Talya lovée contre moi, je fus néanmoins tiré du sommeil sur le petit matin, immobile, contre elle, n’osant pas bouger d’abord pour ne pas la réveiller, je me repassais la soirée de la veille, tout mon séjour ici même, pour comprendre comment on en était arrivés là… J’avais tout fait foiré en craquant ainsi… Parce que cette nuit ensemble signifiait surement quelque chose, pour Talya ça allait faire renaitre je ne sais quel espoir en elle, et de mon côté, j’étais bien trop paumé pour savoir exactement ce que ça voulait dire. La vérité c’était qu’en l’observant ainsi dans la pénombre, endormie et paisible contre moi, je n’avais juste aucune envie de m’en aller. Pourtant, je n’étais pas prêt à affronter les questions, la discussion sur le sens et les conséquences de tout cela, alors lâchement, très lâchement même, m'échapper d'ici me parut l'option la plus simple. Je me redressai. Je me penchai une dernière fois sur elle, posai mes lèvres sur son épaule dénudée avant de la recouvrir d’un plaid que je pris sur le canapé. Je me levai, prenant soin de ne faire aucun bruit, ramassant mon pantalon avant de me rendre à pas de loups jusqu’à la salle de bain pour me rhabiller, remettant mon T shirt de la veille et rassemblant en silence le reste de mes affaires, mais une sonnerie retentit dans le salon, faisant tomber à l’eau tout plan de fuite discrète. Je reconnus la tonalité de mon portable, et c’est une Talya réveillée, la bouille endormie et déboussolée que je retrouvais alors dans le canapé. Je m’avançai rapidement pour saisir le combiné et décrochai : « Leanne ? Oui, oui, je suis prêt… Le taxi est déjà là ? T’inquiète non, je veux pas recommencer un sprint dans l’aéroport comme l’autre jour… Je prends ma valise et je te rejoins devant l’entrée oui… » Je raccrochai, fourrai le téléphone dans ma poche et relevai finalement les yeux pour croiser le regard de Talya. « Je suis désolé… » Désolé d'avoir voulu fuir. Désolé de partir ainsi. Désolé de ce qui s’est passé entre nous. Désolé d’avoir succombé. Elle pouvait mettre ce qu’elle voulait sur mon désolé. Je me penchai une nouvelle fois vers elle, l’embrassant à la commissure des lèvres. « Passe une bonne fin de séjour… » la saluai-je finalement en me redressant précipitamment. Je sortis ensuite du chalet d’un pas rapide… Pas parce que j’avais un avion à prendre mais bien parce que je voulais échapper aux explications qui s’imposaient pourtant entre nous après ce qui venait de se produire.
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Une sonnerie me tira de mon sommeil et c'est comme ça que je remarquais la place vide à côté de moi. Priape n'avait pas pu être assez rapide pour se lever et atteindre le combiné aussi rapidement alors qu'il venait à peine de sonner. Et au passage il n'avait pas pu être assez vif pour se rhabiller comme ça d'un coup. Mon esprit ne tarda pas à faire le lient avec notre nuit et toutes interrogations à laquelle j'avais déjà mes réponses dans ma tête. Il avait tenté de s'échapper sans me réveiller pour éviter tout cela. C'est avec un petit pincement au coeur que je lui tendis la joue lorsqu'il me dit qu'il était désolé et que je le vis se diriger vers la porte de sortie. Je reçus un baiser au coin des lèvres, mieux que je n'aurais très certainement demandé et il partit en un rien de temps. « Ecris moi quand t'arrives et ne t'en fais pas pour nous ! » Les mots s'étaient surement perdus dans le petit vent du matin. Je regroupais mes affaires, remis le tee shirt de Priape, ma culotte, sortis par la porte, quelqu'un viendrait bien la refermer, je me dirigeais vers mon lit espérant ne croiser personne dans cette tenue et personne pour me poser des questions.


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