KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

"je suis content pour ton année." Dis-je en rinçant ma main. "Mais j'ai failli te perdre alors ce sujet restera toujours délicat pour moi, ça ne changera pas." En refusant New York, notre relation avait été sur la sellette de nous ne mentons pas car je connaissais comment les relations à distances terminaient, même si je croyais en nous, je sais qu'on aurait jamais supporté d'être loin de l'autre. Je m'occupais de ma main, je la séchais en continuant de parler, je regardais Anya s'emballer seule avant de refixer ma main qui me faisait froncer les sourcils. J'avais mal à un petit endroit, plus qu'un autre, peut-être que j'avais un éclat sauf que je ne faisais pas plus attention que ça. "Déjà j'ai pas dis ta mère donc tu l'as retire dedans mais ton père balancer ce genre de sujet sur la table alors qu'il sait toutes les réponses à ce sujet, ça lui apporte quoi? Dis moi alors, si c'est pas avoir un coté malsain de mettre les autres mal à l'aise je vois pas." J'haussais les épaules. "J'ai pas envie de me disputer avec toi, j'ai envie d'aller manger et partir me coucher." Je jetais les petites serviettes quand un homme débarquait dans les toilettes, il regardait à plusieurs reprises la porte comme s'il pensait s'être planté avant de partir dans les toilettes. "On devrait y retourner."

'avais un peu de mal vis à vis à ce qu'il me disait, parce qu'il avait voulu me quitter, il m'avait quitté de son propre chef et rien ni personne n'avait été à l'origine de sa décision, alors j'avais du mal à ce qu'il me dise que ça compté pour lui, parce que je n'avais pas l'impression. Je ne disais rien, j'avais juste baissé le visage. Je regardais juste mes pieds, attendant qu'il termine jusqu'à ce qu'il ne me dise que mon père était malsain. Je fronçais les sourcils, je n'aimais pas qu'il insinue que mon père ne pouvait pas s'occuper de notre fille. Il n'avait fait un pas de travers avec elle, il ne l'avais jamais privé de rien bien au contraire, il la gâté comme une princesse, plus que ce qu'il n'avait fait avec moi. J'ai pas envie de me disputer avec toi non plus ... dis-je en me mordillant les lèvres et en relevant le regard vers Kenny. Un homme entrait dans les toilettes. J'attrapais tout de même sa main dans la mienne pour regarder les dégâts. Il y avait un petit bout de verre. Je prenais ma pochette pour attraper ma pince à épiler et lui retirer le petit bout. voilà, c'est mieux comme ça, mais je t'en pris arrête de péter des verres

Je souriais, c'est vrai me disputer avec elle ne me tentait pas du tout surtout que c'était de la faute de son père si on le faisait, je refusais de revenir en plus sur le passé. Je passais ma main sur sa joue quand une personne débarquait, mon attention était prise deux secondes pour qu'Anya prenne la perche et regarde ma plaie. "Ta combien de trucs dans ton sac." Dis-je en regardant sa petite pochette ou elle avait sortie une pince à épilé. Elle me retirait le bout de verre sans aucunes douleurs. "D'accord, j'arrête." Je secouais la tête alors qu'elle rangeait ses affaires mes yeux la contemplaient sans cesse jusqu'à ce que je lui prenne la main pour l'attirer dans une des cabines des toilettes, je fermais la porte derrière nous avec mon pied tandis que mes lèvres se dirigeaient vers les siennes avec ardeur, que mes mains glissaient le long de sa silhouette jusqu'à son fessier. Le feu nous consumait sur place tous les deux à s'embrasser dans les toilettes du country club comme le ferait deux fugitifs. "C'est tout ce que j'avais à dire." Murmurais-je proche de ses lèvres. J'ouvrais la porte, sortant en premier des toilettes après avoir retiré le rouge à lèvre de mon épouse sur ma bouche, Anya me suivait et c'est ensemble qu'on rejoignait notre table ou le serveur s'apprêtait à prendre nos repas après que notre table ai été rangée.

Une femme doit toujours avoir une pince à épiler sur elle, tu sais jamais ce qu'il peut arriver dis-je en faisant les gros yeux. Je souriais, la rangeant dans ma pochette tout en lui demandant d'arrêter de casser des verres et de se mettre en danger d'ailleurs. Il m'attrapait la main, je souriais, m'attendant à ce que nous repartions dans la salle, mais je fus bien surprise lorsqu'il m'entrainait dans l'un des toilettes. Il fermait la porte avec son pied en posant ses lèvres contre les miennes. Je souriais contre ses lèvres, passant mes mains dans ses cheveux, l'une descendant contre sa chemise, alors que lui posait les siennes contre mes fesses pour me coller contre lui en me faisant légèrement décoller du sol. Je me décalais de lui en essayant de reprendre mon souffle. Waouh, faut que t'arrêtes de faire ce genre de chose aussi ... j'ai plus de souffle dis-je amusé en essuyant mes lèvres mais aussi celle de mon époux. T'as plein de rouge dis-je amusé en passant mon pouce sur ses lèvres puis nous regagnions notre table, je passais ma main sur le fessier de mon mari pour le lui pincer avant de me poser sur ma chaise, comme ci de rien était Oui tout vas bien, il avait juste quelques éclats de verre mais on les a retiré ... donc de quoi parlions-nous ?! Ah oui, donc l'année prochaine, Kenny et moi allons rester à Cambridge pour que je puisse faire mon doctorat, j'aurais du temps libre et nous avons décidé d'avoir un second enfant BOOM

"En même temps vu comment tu m'as sauté dessus." Je souriais avec malice pendant qu'elle retirait le rouge à lèvre de ma bouche, j'étais amusé, détendu aussi. Je commandais mon plat puis celui qu'Anya avait choisi, le serveur repartait quand Anya se mise à balancer quelque chose qui faisait tousser Igor qui tenait son verre de vin. J'étais aussi choqué que son père, je tournais la tête vers ma femme en mode qu'est-ce que tu racontes. Je n'aimais pas qu'elle déballe notre vie privée comme ça, je veux dire on veut un second bébé d'accord, j'en étais très heureux seulement désormais je paniquais encore plus déjà que CS avait des infos sur ma vie, sur mon état de santé, je peux deviner aisément que les beaux parents de ma femme le sache eux aussi. "On pense aussi vendre... l'autre maison." J'essayais de noyer le poisson afin que mon beau-père ne meurt pas ou pire qu'il me tue avec ses yeux. Déjà l'annonce de la première grossesse était passée avec un peu de difficulté parce que je n'étais pas marié avec Anya, là… bien en fait je ne comprenais pas vraiment, ils pensaient peut-être que nous allions faire seulement un seul et unique enfant comme ils l'avaient fait.

Oui, j'avais balancé ça comme ci de rien était, je voulais que mon père arrête d'ennuyer Kenny, je voulais qu'il le considère comme un membre de notre famille à part entière et qu'il se détende avec lui. Oui, je savais qu'il était intransigeant avec les personnes qu'il aimait, lui aussi, mais ce qu'il faisait avec Kenny, cela allait au-delà. Ma mère était heureuse de notre nouvelle, mon père nous regardait tour à tour sans rien dire. Kenny parlait de la maison, j'en avais déjà parlé tout à l'heure en leur disant que nous habitions à la maison du lac maintenant. J'attrapais la main de Kenny sous la table pour la serrer, alors que mon père ne disait toujours rien . Anya .., tu penses pas que c'est tôt encore une fois ? oui moi aussi j'avais pensé que pour ma première grossesse, pour Alessia, c'était tôt [color=dodgerblue[ tu dois encore faire ton doctorat et .. /color] ma mère le coupait en lui demandant d'arrêter et mon père le faisait en émettant un petit mais de contestation, mais plus rien d'autre après le regard de ma mère Je suis tellement heureux pour vous Anastasiya ... tu as bien raison, si tu penses que c'est le bon moment, fais le maintenant elle attrapait ma main et celle de Kenny, je regardais mon époux avec un petit sourire, je savais que mon père ronchonnait, il regardait ailleurs et ne parlait pas.

Encore une fois? Il était bien content d'être grand-père, décidément je ne trouverais jamais grâce à ses yeux par contre sentir la petite main de ma femme sous la table me donnait de la force, elle me donnait la capacité de ne pas me mettre en colère tout comme les paroles d'Irina. Douce, gentille, elle était heureuse ça se voyait, en prenant ma main dans la sienne, je me sentais adopter en quelque sorte, je sais qu'avec eux je n'aurais jamais plus mais je m'en contenterais, vraiment. "Je…" Je prenais une aspiration. "Je suis content que vous accueillez bien la nouvelle." Igor était entrain de marmonner je crois, je comprenais pas trop. "Igor, vous comprenez pas, je sais mais pour Anya et moi c'est le bon moment, j'ai décidé de rester à ses cotés pendant son doctorat, j'aurais du temps libre, je pourrais m'occuper de mes deux femmes, du bébé, Anya ne sera jamais seule." Et je crois qu'après le drame, il pouvait me faire confiance sur ce point là, protéger sa fille je l'avais fais malgré tout j'avais l'impression de m'enfoncer en confiant que je restais au coté d'Anya pour la simple et bonne raison que l'homme était censé travailler et non rester à la maison. Nos plats arrivaient, le mien avait l'air vraiment meilleur que le reste, sans compter l'odeur qu'il dégageait, j'en avais l'eau à la bouche.

Mon père se déridait après les mots de Kenny. Il passait une main dans sa barbe en attrapant son verre de vin pour trinquer avec Kenny Je ne veux pas qu'elle soit freiné dans sa destinée, je sais qu'elle fera de grande chose dit-il tout simplement. Je regardais mon père, un peu surpris de ce qu'il venait de dire, alors s'il était si dur avec moi, c'était parce qu'il pensait que j'aspirais à de grande chose, que j'allais accomplir mont et merveille ? C'était beaucoup de pression d'un coup, je dois l'avouer, mais j'aimais ça, j'aimais me dire qu'en fait mon père croyait tellement en moi qu'il me poussait à être meilleure encore et encore. Je regardais Kenny avec un petit sourire en coin alors que nous continuons de manger tranquillement cette fois ci du coup vous allez rester à Cambridge ... comment vous allez faire pour votre entreprise ? demanda mon père, intrigué, à Kenny.

Je trinquais avec Igor, j'aurais pas cru ça possible durant le diner comme quoi tout arrive, les gens peuvent vous surprendre. "Vous n'êtes pas la seule à croire en elle." A votre avis pourquoi j'arrêtais aussi pour la soutenir? Parce que je l'aimais c'est vrai mais aussi parce que je croyais en elle, je savais qu'Anya deviendrait une femme puissante, une femme qui marquerait son histoire, je savais qu'elle était destiner à finir dans les bouquins russe pour son magnifique règne. Je buvais un peu de mon verre de vin captant le visage ravis de ma femme, le compliment de son père l'avait rendu si contente, je le voyais, je passais même ma main sous la table pour lui frotter la cuisse. "De la maison, j'ai des collaborateurs qui savent bien mener le bateau, je m'en fais pas trop." Dis-je entre deux bouchées. "J'ai une vision différente de la famille, mon père à préférer sa carrière plutôt que sa vie de famille, pour ma part je pense que le bonheur ne vient pas d'une carrière mais de son entourage. Anya et Alessia ainsi que le futur bébé seront toujours mes priorités, Anya le sait parfaitement alors si je dois lâcher mon poste quelques temps je le ferais." Vu comme ça je sais qu'Igor n'allait pas être content, cependant Irina avait l'air de l'être en même temps qui n'aimerait pas que sa fille soit aimer de la sorte, entendre dire qu'on claquerait sa carrière pour sa vie de famille c'était agréable à entendre pour une maman.

Okay, j'avais l'impression que c'était devenu ma fête ce soir. Une avalanche de compliment sourd était entrain de se faire, tous le monde croyait en moi autour de cette table, sinon pas de pression du tout. Je regardais chaque personne attablé attentivement, ne disant rien, buvant sagement mon verre de vin, avec un petit sourire que je n'arrivais pas à faire disparaître. Kenny quant à lui continuer de converser avec mon paternel mais son petit geste sous la table me fit du bien, me fit sourire d'autant plus. Je posais ma main sur la sienne en la serrant doucement, entrelaçant finalement nos doigts ensemble. Mon père se grattait la barbe en l'écoutant dire que sa carrière passerait après sa famille, lui avait su concilier les deux, du moins, c'était ce qu'il pensait, moi j'avais le souvenir de parents absent, qui allaient à des soirées mondaines plusieurs fois par semaine... Mon père ne répondait pas, pour la simple et bonne raison qu'il n'était pas d'accord, se fut ma mère qui prit le relais et elle était ravis de la tournure de la conversation Igor, tu devrais prendre exemple sur ton gendre ... tu vois, il est pas si mauvais pour notre fille finalement je riais un peu à ce que venais de dire ma mère, sachant très bien que mon père n'avait pas apprécié Kenny au premier regard, on ne peut pas dire que c'était le coup de foudre Peut être ... et je connaissais ce peut être qui voulais dire " je sais, tu as raison" c'est bien pour cela que je donnais une petite impulsion contre la main de Kenny, tournant mon regard vers ce dernier pour lui sourire. Les choses s'arrangeait apparemment, même si je savais que mon père serait toujours du genre ronchon, au fond, il aimait bien Kenny.