KENYA ▬ All my hidden desires Finally came alive

Le soleil venait me réveiller, en rentrant de la forêt hier soir parce qu'on se faisait attaquer par les moustiques et les araignées, on avait complètement oublié de fermer les rideaux alors quand mes yeux s'ouvraient j'étais limite agressé. Agressé mais bien, je me sentais apaisé, Anya dormait à mes cotés, j'ai l'impression qu'elle n'était pas dérangée par ce soleil si puissant de bon matin alors j'allais en profiter pour lui faire un petit déjeuner au lit. Je reconnais que j'hésitais devant le frigo, je voulais pas qu'elle pense que ce déjeuner était juste dans le but de me faire pardonner car c'était pas le cas, j'avais réellement envie de lui faire alors je me lançais. Café, jus d'orange pressé sans pulpe sans compter deux bons pancakes que je faisais et un petit peu de confiture sur le coté, j'allais dans notre chambre pour poser le plateau sur la table de chevet. "Ma puce…" Je revenais au lit, le ventre contre le matelas je caressais son visage avec douceur. "Debout il est 10h30, on va sortir un peu." Je continuais de lui faire des câlins puis des bisous ensuite dans son cou, sur sa joue, sur ses lèvres, un bon réveil que je n'aurais pas cru possible hier soir. "Anya." Elle bougeait pas, pire qu'une larve. "Anya debout sinon je vais te chatouiller et te jeter aux araignées dans la forêt."

Je dormais bien, tellement bien. La clim m'apportait la fraicheur dont j'avais besoin, tandis que les rayons du soleil chauffaient ma peau à la perfection. J'adorais cette sensation d'ailleurs, je me sentais bien. Tellement bien que je ne remarquais même pas que Kenny était sorti du lit pour aller dans la cuisine. Je ne l'entendais pas non plus cuisiner le petit déjeuner. Non, je dormais réellement bien. Prenant toute la place dans le lit en m'étalant de mon long, au milieu, je ne bougeais pas lorsque j'entendais la voix de Kenny. Il me parlait, mais je dormais tellement bien que je n'avais pas envie de me réveiller. Il caressait mon visage, déposait des baiser dans mon cou, sur mes joues, mes lèvres ... tout ceci pour me réveiller, mais rien, je n'ouvrais toujours pas les yeux, quand bien même je souriais. C'est encore tôt lui dis-je en tournant mon visage pour qu'il cesse de m'embêter La forêt est trop loin pour que tu le fasses sans que je ne réagisse et je sais bien que tu ne me ferais pas ça dis-je avec un grand sourire sur les lèvres, victorieux. Non, il n'allait pas me faire ce genre de chose, j'étais confiante. ça sent bon ... je me retournais, ouvrant les yeux cette fois ci, hier soir je n'avais pas la tête à manger et disons que là, mon ventre criait famine. c'est toi qui a fait ça ?

Je souriais, j'adorais quand elle était comme ça, toute molle mais aussi douce, je continuais de lui faire des bisous, j'aimais bien sentir mes lèvres sur ma peau en plus là elle ne se contrôlait pas, je voyais des petits frissons naitre à chaque fois, à chaque passage dans son cou. "Mais non." Dis-je en lui volant un baiser. Elle me cherchait c'est ça le pire, je rigolais doucement en levant les yeux au ciel, sa confiance était vraiment forte et elle avait raison, je n'allais pas la mettre aux araignées, je voulais pas lui faire peur. "Roh." Poussais-je en laissant tomber ma tête dans son cou. "Tu peux faire semblant d'avoir peur." Elle s'était retournée, je suivais le mouvement en me mettant en petit cuillère derrière elle, je pensais qu'elle allait continuer de me faire languir seulement son ventre prenait le dessus sur son cerveau à ce que j'entendais. "Oui c'est moi." Dis-je en regardant le petit déjeuner. "Tu dis de moi que je pense souvent à manger mais toi, t'es pas mieux." Je rigolais en me décalant. "Redresse-toi princesse." Je prenais le plateau pour lui poser sur les cuisses, écartant la couette pour éviter une catastrophe. "Je reviens." Je me levais pour attraper nos sacs d'hier soir sortant la trousse de premier secours afin de nettoyer la plaie de mon épouse au pied. "Petit peton ici." Dis-je en le prenant pour le poser sur ma cuisse, je m'occupais d'elle avec un plaisir fou, je me sentais si bien à présent, y avait pas de stresse pour l'avenir rien, juste nous deux.

Non j'ai pas envie de faire semblant répliquais-je en souriant. Sa tête dans mon cou, je passais ma main dans ses cheveux, automatiquement, pour les lui caresser, descendant dans sa nuque pour continuer à en faire de même. La situation est incomparable, mon ventre n'est pas au même niveau que le tiens, monsieur je me suis enfilé un sandwich de trois mètres en entier hier soir, je te signal que j'ai pas mangé moi lui dis-je en poussant un peu sa tête, joueuse. Oui captain' je me redressais comme il me l'avait demandé accueillant le plateau sur mes cuisses en essayant de ne rien faire tomber, cependant, c'était sans compter Kenny qui attrapait mon pied pour le soigner. Il faisait perdre l'équilibre au plateau et je me retrouvais avec les deux pancakes sur la poitrine. Le jus d'orange quant à lui c'était renversé sur ma poitrine également, dégoulinant contre la peau de mon ventre. Mes beaux sous vêtement français, rose pâle. Adieux. Je regardais pourtant les pancakes qui s'était posaient sur chacun de mes seins jusqu'à éclater de rire en croisant le regard de Kenny. C'est plus des seins mais des PANCABOOBS

"Je ne répondrais pas à ces accusations complètement fausses." Dis-je en levant un peu le menton, j'essayais d'imiter Anya mais ça me faisait plus rire qu'autre chose alors j'abandonnais pour lui donner le plateau et soigner son pied seulement quand je le soulevais, tout tombait. Les pancakes volaient, le jus d'orange s'étalait partout, je me mordais la lèvre pour ne pas éclater de rire. "Oups." Dis-je en roulant des yeux seulement le rire d'Anya et surtout sa blague me déridait complètement. "T'es nulle !" Je riais tellement fort que les larmes roulaient sur mes joues, elle m'avait achevée. Avançant vers elle, je regardais sa poitrine avec les pancakes. "Honnêtement j'aime bien ta poitrine tu le sais mais là c'est clair que tout mon corps est d'accord avec ça." Je pointais du doigt la nourriture jusqu'à glisser sensuellement ma langue sur son ventre pour retirer le jus d'orange. J'étais câlin, joueur et surtout à son écoute ce matin, je voulais qu'on passe une bonne journée c'est vrai mais je voulais me faire plaisir, laisser le Kenny étouffant et chiant parler en la chouchoutant comme pas possible. "Je me dévoue à retirer tout." Faux sacrifice oui, dès qu'il fallait la toucher je rappliquais rapidement en ne manquant jamais une occasion, preuve, je croquais déjà un des pancakes, je dis bien croqué à la base c'était pas mon déjeuner.

Le plateau s'était retourné contre moi lorsque Kenny avait prit ma jambe pour mettre mon pied contre sa cuisse. Le jus d'orange s'était renversé sur moi et les pancakes recouvraient outrageusement, la petite dentelle transparente, rose pâle de mon soutient gorge. J'éclatais de rire à ma blague, parce que je la trouvais vraiment drôle et apparemment, Kenny aussi. En temps normal, tout ton corps est d'accord avec ce que je dis ... Mettez une femme à moitié nue dans un lit, couvrez là de nourriture et vous rendrez de nombreux hommes heureux dis-je en me laissant glisser contre le lit, je soulevais mes fesses, à cause du jus d'orange, restant un instant dans une position de pont. Kenny en profitait pour me lécher le ventre, je me laissais tomber sur le matelas en frisonnant violemment Hey c'est mon jus d'orange et .... mes pancakes ! dis-je en le regardant croquer dedans. Tu te dévoues de rien du tout , allez craches je tendais ma main pour qu'il recrache le petit bout qu'il avait manger, l'air sérieuse, avant de rire et de croquer dans mes deux pancakes et de les lécher MES pancakes dis-je fièrement, même si je savais très bien que le fait d'avoir lécher les deux grosses crêpes n'allait pas l'arrêter. Tu sais quoi, vaut mieux que je me lèves, j'ai l'impression de mettre pisser dessus dis-je en regardant le jus d'orange sur nos draps. et pas de blague à ce propos, je ne me fais pas pipi dessus, je ne suis pas incontinente, je n'ai pas besoin de couche

"C'est si vrai. Nourriture plus femme égale bonheur total." Dis-je en me laissant aller en arrière les bras en étoile sur le matelas seulement sa position me donnait des idées comme passer ma langue sur son ventre. Anya frissonnait si violemment que sur l'instant j'étais surpris et flatté, je savais que je lui faisais de l'effet comme elle savait qu'elle me rendait dingue par des petits gestes ou regards mais là c'était agréable. "Trop tard." Dis-je en mâchant. "Si je me sacrifie et non je ne cracherais pas, là aussi j'avale pour savoir s'ils sont bons comme ça s'ils sont dégueu, je t'épargne, tu vois encore un sacrifice." J'avalais, mes papilles se réveillaient bien, c'était bon, tellement bon que mon ventre m'en remerciait mais en voulait encore. "Sérieux tu viens vraiment de faire ça…" Ma voix était sensuelle, la voir faire ce geste était tout bête, il pouvait être répugnant mais pour moi il était bien trop chaud. Je tendais la main vers elle quand madame se levait, je soupirais en faisant bien du bruit quand elle me coupait dans mes élans de blagues mais aussi de cochonnerie. "Roh j'allais pas faire de blague ça me ressemble pas en plus pour faire une blague faut que ce soit la vérité et la couleur du jus est bien trop orange comparé à ton pipi que j'ai vu lors de notre mariage." Riais-je en me levant à mon tour. J'attrapais mon épouse dans mes bras pour la porter comme une princesse. "Tu colles." Dis-je en fronçant le nez, je voulais prendre un air dégouté mais j'arrivais pas. "En plus tu te lèves alors que tu as une plaie au pied serait tu sadomaso?" Je la déposais sur le canapé avec douceur, son pied sur la table basse afin que je nettoie ce que j'avais commencé. "Je pense que tu devrais retirer tes sous-vêtements pour éviter d'attraper froid."

Donc la prochaine fois que je cuisinerais, tu seras aussi chevaleresque avec ton esprit de sacrifice ? j'arquais un sourcil, croisait les bras contre ma poitrine avec un petit sourire en coin, tout en attendant patiemment sa réponse qui ne tardait pas à venir. Bien sûr que oui, sinon t'allais me les manger je n'avais pas compris que ce geste que je venais de faire l'avait chauffé, c'est qu'il se contentait de rien. Tu m'avais dit qu'on ne parlerait plus de ce jour, je pouvais pas faire autrement je te signal, ma vessie allait exploser et t'aurais aimé ça toi ? Que je vive sans vessie ? Que je me promène avec une poche à pipi parce que je ne pourrais plus stocker ? Tu te vois entrain de me faire l'amour en faisant attention à une sonde ? je le regardais, avec de nouveau un sourcil arqué puis je secouais la tête en haussant les épaules puis moi aussi je te signal que je t'ai aidé à faire pipi et c'était bien plus que ce tenir ta robe oui parce que dans l'histoire, il avait seulement tenue mon énorme robe. De fil en aiguille, Kenny me portait jusqu'au petit salon, ne voulant pas que je marche, quand bien même j'allais bien, quand bien même hier soir nous nous étions baladé dans les bois et que je n'avais pas souffert Tu sais très bien que ça va mieux, j'ai rien ... cependant, je le laissais faire, ça avait l'air de lui faire plaisir, alors autant le laisser. Que je retire mes sous vêtement pour ne pas attraper froid, OXYMORE criais-je en le pointant du doigt. Puis t'as qu'à me les retirer toi, je suis occupé à manger là je croquais un bout de pancake, malicieuse en lui faisant un clin d'oeil

"Euh…" Je devais bien choisir ma réponse, une qui ne la vexerait pas mais une qui ne me grillerait pas non plus. "Ne change pas de sujet ce n'est pas la question, tu mets en doute mon esprit de sacrifice, j'aime pas ça." Voilà comment noyer le poisson, ne pas répondre en plus je changeais rapidement de sujet vu que je parlais de vessie, de robe, de mariage, je crois qu'il resterait mémorable ce mariage d'ailleurs, je l'avais tellement redouté mais j'avais de beaux souvenirs. "Avoue que tu me balance ça pour plus que je mange tes pancakes bien t'a gagné j'ai plus faim." Je faisais la grimace, comment me couper l'appétit en deux secondes, me parler d'une sonde. "Bon c'est vrai qu'on est sur le même pied d'égalité mais ça n'empêche pas que j'aime te le dire." Je rigolais, la portant dans mes bras, je la posais sur le canapé pour nettoyer sa plaie, je sais qu'hier elle avait marchée mais là elle avait la plaie sans pansement et le sol n'était pas si propre, je voulais pas que ça s'infecte puis ça me faisait bien plaisir. "Je préfère désinfecter." Dis-je en prenant l'alcool et une compresse. "Ne me pointe pas du doigt Kovalevski sinon je te… je sais pas ce que je ferais mais je trouverais." J'avais envie de lui balancer l'alcool sur sa plaie pour que ça lui pique un peu mais c'était trop méchant. "En plus j'ai rien compris, tu parles dans ta barbe avec ton accent russe, moi pas comprendre ta langue." Par contre je la comprenais parfaitement quand il s'agissait de lui retirer ses fringues, ça pas de doute mes oreilles étaient bien affutées. "Tu me le dis pas deux fois." Je lui mettais un pansement rapidement après avoir nettoyé la plaie et je fonçais à ses cotés, prenant la pancake qu'elle mangeait pour la poser sur la table basse dans la petite assiette afin de l'embrasser avec tendresse. "Je suis fort, non non je suis fort, je suis sur que je peux te résister." Je me poussais un peu bien que mes yeux brulaient de désir pour elle, j'étais pas fort, je sais même pas pourquoi j'essayais de m'en convaincre mais j'essayais. "Par contre toi si tu te sens incapable de me résister, je comprendrais..."

Toi tu ne comprend pas ma langue ? Et dire que t'as donc perdu quoi ? Deux ans à apprendre le Russe, je savais que t'avais des difficultés ... je savais qu'il n'avait pas de difficultés, je savais que mon mari était très intelligent et qu'il avait une bonne mémoire, car même malade, même avec un tas de médicament, il avait réussis chaque épreuve avec succès. Après mon pansement et mes mots, Kenny se jetais à mes côtés pour me retirer mes sous vêtements, mais finalement, il se résignait bien rapidement en se prétendant fort. Je reprenais mon pancake pour le terminer devant le spectacle Tu m diras quand tu auras terminé de parler avec ton toi intérieur ... Gollum je mâchais la dernière petite partie avant d'allonger mes jambes sur la table basse à nouveau. Si je me sens incapable de te résister ? Tu ne sais pas à qui tu parles et je te trouve assez négatif je faisais courir mes doigts sur son torse, descendant vers son pantalon en flanelle. Je passais ma main à l'intérieur pour la poser sur son boxer tout en déposant un baiser sur sa joue Allez je file sous la douche, tu m'as bien dit que je collais tout à l'heure, je crois que t'as raison en même temps, le jus d'orange sur mes sous vêtement et ma peau, n'était pas une sensation agréable. Alors que je déposais mes sous vêtement dans la corbeille à linge sale, je filais sous la douche en chantonnant, heureuse comme une papesse