MORDACHOV PARTY HARD (sur invitation).

Évidemment, Mallory savait dessiner, ça l'aurait étonné tiens.Son petit ami savait tout faire et pourtant il continuait à se plaindre perpétuellement de la misère de sa vie, pas à haute voix, bien sûr, il était trop fier pour ça, mais pour quelqu'un qui commençait à le connaitre un minimum, c'était flagrant. L'observant tandis qu'il lui dessinait un emblème de super héros -Amalric n'aimait pas les super héros, il détestait ça, il aurait préféré mourir plutôt que de se faire dessiner le logo de super man sur le torse, il ne dit rien-, il se demandait si Mallory serait un jour heureux. C'était une question triste à se poser, cependant ne pouvait-elle pas s'empêcher de surgir dans son esprit dans des moments comme ceux-là. A la différence de lui, son petit ami adorait ses ses frères, à la différence de lui ses frères n'auraient pas une vie particulièrement enrichissante, se sentirait-il toute sa vie obligé de les aider, de s'assurer qu'ils ne manquent de rien ? Pour l'instant ils étaient jeunes, c'était tout à fait normal qu'il s'occupe d'eux, mais Amalric avait parfois l'impression que ce n'était pas la seule raison, Mallory se sentait-il coupable de savoir qu'il était le seul à pouvoir s'échapper du merdier dans lequel ils étaient nés ? Ce serait triste, à ce moment il décida qu'il surveillerait toujours avec qui son petit ami vivrait, il devait s'assurer que celui avec il partagerait sa vie soit assez bien pour lui faire réaliser qu'il n'avait pas à douter de ce qu'il obtiendrait, qu'il avait autant de mérite que tous les autres... Oui, il lui devait bien ça.

Il le regarda interdit en récupérant le feutre, lui ne savait absolument pas dessiner, il avait essayer de faire un chien, une fois, à huit ans, tout le monde avait été unanime pour dire qu'il avait fait un magnifique camion. "Tu réalises que tout ce que je sais dessiner a un lien avec mes cours ?" Puis devant le regard peu effarouché de son partenaire "Je t'évite les modèles de Wilson" Il hésita un instant puis fini par enlever le débardeur de Mallory qu'il garda dans sa main droite. "Désolé, je vais avoir besoin de place." Il commença par dessiner la branche du bas sur son torse puis la partie principale sur son pectoral et la branche finale le long de son bras droit puis s'attaqua à l'autre moitié du torse de son petit ami, commençant sur son épaule, continuant sur son pectoral et finissant le long de son ventre. Une fois fini il se recula pour admirer son œuvre, d'un point de vue scientifique c'était parfait, d'un point de vue artistique... Mallory ne pouvait s'en prendre qu'à lui même ! "Tu auras juste besoin d'éviter les miroirs... et de ne pas trop regarder ton torse. Comme ça tu pourras être persuadé que c'est pas trop mal." Il lui lanca un sourire désolé en même temps que son haut et lui attrapa la main pour l'attirer vers lui à nouveau. "On visite ?" et on s'éloigne du reste du monde, tant qu'à faire.

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Bientôt le mois d'Avril, le printemps arrivait rapidement et le bal de fin d'année aussi, j'avais trop hâte. Mais ce soir, place à une soirée chez Drew pour le retour de Zakhar, j'allais certainement y trouver Alexys ou d'autres personnes que je connaissais et j'avais vraiment hâte. J'avais biensûr reçu une invitation donc j'allais pas être embêté pour rentrer à l'intérieur. Vigiles et tout, attention, ça ne rigolait plus.. Par contre c'était une soirée dans le noir, donc pour qu'on puisse se voir, tout le monde en blanc, ça allait faire ressortir avec les néons! C'est donc dans cette robe http://cdn01.cdn.justjared.com/wp-content/uploads/2009/05/shenae-jac/shenae-grimes-jac-and-gill-12.jpg que j'arrivais à cette soirée. Grandiose. Je m'avancais au milieu de la foule.

Mallory frissonna non-stop pendant qu'Amalric dessina sur son torse nu. Il n'aurait pas parié que son faux petit-ami oserait lui ôter son débardeur. Le Prince devenait de moins en moins réservé dans ses gestes envers le rouquin. Ce dernier en rougissait parce que ça lui faisait plaisir, mais rendait aussi plus difficile et douloureux de se souvenir que leur couple n'était qu'une mascarade. Il ne mit qu'une seconde à reconnaître ce qu'Amalric était en train de lui dessiner dessus. Enfin, il était en mesure de dire ce que c'était, sans être toutefois capable de connaître le nom de la molécule. Ses abdominaux se contractèrent quand l'artiste acheva son œuvre scientifique sur eux. Damn ! Amalric n'avait apparemment aucune idée de l'effet qu'il lui faisait réellement. « Arrête, c'est grave beau. Je suis fan !» S'exclama-il avec sincérité avant d'ajouter une petite plaisanterie pour la route : « Pour notre mariage, je me le ferai tatouer en vrai. » Quand son copain lui prit la main pour commencer à bouger, Mallory lui jeta un regard surpris mais lui sourit. Il aimait bien quand le beau brun prenait l'initiative. Lui savait qu'Amalric ne l'aimait pas mais, pour les gens autour d'eux, ils devaient avoir l'air d'un vrai couple. Comme il rêvait à moitié, son épaule cogna contre quelqu'un et alors qu'il tournait la tête pour baragouiner un mot d'excuses, il s'aperçut que la personne en question n'était autre qu'Alexys, la vice-présidente des Mather. « Alex ! » Il posa sa main libre sur la hanche de la jeune femme et se pencha pour donner un baiser à sa joue. « C'est cool de voir la reine des verts ici. Si un bleu te cherche des noises, appelle-moi surtout, hein. Je serai ton chevalier. » Il lui adressa un clin d'oeil et se demanda s'il devrait lui présenter Amalric ou pas. Leurs mains jointes parlaient sans doute pour lui. Au moment où il allait se décider, une nouvelle arrivée accrocha immédiatement son intérêt du coté de l'entrée. Royce Magyar était dans la place. Sa main dans celle d'Amalric devint comme instantanément moite tandis que sa tête resta bloquée dans la direction du président des Winthrop qui ne l'avait pas encore vu. Royce et lui avaient... une relation particulière. Sexuelle, occasionnelle et secrète au premier abord mais aussi beaucoup plus intime que ça. Ils se comprenaient mutuellement. Mallory avait toujours eu un ridicule béguin pour ce jeune homme, même s'il savait bien que ce ne serait jamais réciproque. Evidemment, ils ne s'étaient pas vus depuis qu'il était en couple à présent. Il passa bien quelques secondes à le contempler de loin jusqu'à ce qu'une pression sur sa main lui rappelle la présence de la fête autour de lui. Et d'Amalric qui le regardait à présent avec une expression indéfinissable dans le regard. Le rouquin rougit violemment comme pour avouer une certaine culpabilité. Heureusement, il faisait sombre ici et seul son tatouage brillait. « Tu veux danser ou boire un verre d'abord ? » Demanda-t-il pour chasser le léger malaise qu'il ressentait à cet instant.

Tu restais sans bouger afin de pouvoir laisser Zakhar et Davina laisser parler leurs âmes d'artiste, et tu éclatais de rire à la question très pertinente de l'ancien vice-président. « Avec des poils, soyons réalistes jusqu'au bout. » Tu lui répondais en hochant vivement la tête, mordant ta lèvre inférieure et observant ses talents de dessinateurs de bites... Pas de doutes, tu allais avoir un torse très lumineux et magnifique. Tu tournais ensuite ton visage, souriant en coin alors que la belle Georgia te répondait que tu serais sa toile – et oui, ça te plaisait bien d'être la muse de quelqu'un. « Allons, j'imagine que tu sais au moins dessiner de belles petites fleurs ? » Ok, c'était le cliché des filles ça, mais après tout, tu ne pensais pas prendre trop de risque en disant que ce devait être l'un des premiers dessin d'un gosse, les fleurs. Tu fronçais ensuite les sourcils en voyant arriver Mary, et t'essayais de comprendre la situation, avant que ton amie Georgina arrive quelques secondes plus tard. Tu souriais en la serrant contre toi, avant d'embrasser sa joue en posant tes yeux sur elle. « Tu es magnifique ! » Tu la complimentais en la détaillant de haut en bas, avant de sourire. « Ca va très bien, la soirée est géniale, et toi ? » Tu essayais ensuite de suivre la conversation – ou engueulade ? - entre Mary et Georgia qui semblait après réflexion ne pas vraiment s'apprécier... T'avais du mal à tout suivre, sachant que Tate arrivait entre temps, et lui faisant une petite accolade, haussant un peu tes épaules. « Ça va, je n'sais pas trop ce qu'il se passe... » T'avais l'air paumé, et d'un autre côté, tu te demandais s'il n'était pas tant que tu te mêles de l'histoire des autres afin d'en connaître un peu plus. Tu t'éclipsais un instant pour aller te chercher un mojito, voyant au loin Amalric et Mallory. Tu te fis une note mentale pour ne pas oublier d'aller les saluer plus tard, avant de revenir, voyant Zakhar partir avec sa meilleure amie. Ils s'étaient tous mis d'accord alors, plus de tensions ?

Les fleurs et les nuages, c'est les seuls trucs que j'sais faire, dis-je à Nemo en haussant une épaule, riante. J'étais tranquille et ce fut au tour de Mary de s'ramener. Sérieux, j'aurais pu m'passer d'sa présence. Mary était l'une des personnes les plus détestables de toute l'université à mon avis. C'en était même devenu physique, j'pouvais pas la blairer. Un grand sourire ironique sur le visage, j'attendais qu'elle m'explique le but de cette conversation qui était déjà sur le point de voler en éclats. Je l'écoutais parler, je la regardais s'exciter toute seule et j'me retenais d'rire. Faudrait que Marc apprenne à tenir sa fifille en laisse. Mary était drôle, c'était une qualité, et certainement la seule qu'elle possédait. C'est bon, t'as fini ton cirque ? Zakhar se tenait à côté de moi, et concrètement, j'avais pas envie qu'il y ait d'embrouilles. C'est la raison pour laquelle je restais relativement calme, même si de l'intérieur, j'étais en train d'bouillir. T'as pas trop l'impression de manquer d'respect, ça va ? T'sais, ici, t'es chez toi, mais je resterais là autant d'temps que j'le voudrais, pendant des heures et des heures encore, alors ... Je n'eu même pas le temps de finir ma phrase que Zakhar s'approcha d'moi et me porta sur son épaule, à l'arrache et devant tout le monde. Immédiatement, je baissais ma robe au plus bas par simple précaution, histoire que personne puisse voir ce qu'il y avait en-dessous. Ohhh chaton, qu'est-ce que tu fais ?! J'avais pas fini d'parler ! J'savais que c'était inutile de me débattre des bras de mon meilleur ami, j'avais une force de mouche comparée à la sienne. Le seul point positif à être portée en sac à patate devant tout le même c'est que Mary n'était plus dans mon champ de vision. Je sentais Zakhar faire quelques pas, et en entendant ce qu'il disait à Mary, un petit sourire discret étira mes lèvres. Ouais il avait besoin d'moi et j'avais besoin d'être ici pour lui, pouffiasse. Je ne rajoutais pas un mot, voulant éviter d'envenimer les choses. Pourtant c'était pas l'envie qui m'en manquait. Soudain, je me sentis légèrement basculer sur le côté lorsque mon meilleur ami leva le bras en l'air et se mit à danser. Indéniablement je me mis à rire, ma bonne humeur était revenue. Tu m'emmènes oùùùùù ? lui-demandais-je alors qu'il marchait vers je n'sais où. Mais je compris vite que nous étions dans le salon, là où le Martin Garrix avait commencé à mixer. POULOOOOOP. Zakhar me reposa à terre et nous nous mîmes à nous trémousser sur le son, passant mon bras sur les épaules de Zak' en sautant partout. MAIS C'EST TROP BIENNNNN ! Fille à fond dans le truc. Et l'espace d'un instant, je remarquais la silhouette de Marc assis au bar, seul. Inutile d'aller l'voir, son chien de garde allait revenir péter un plomb sinon. J'préférais profiter d'mon meilleur pote que d'un mec qui s'foutait royalement d'moi.

Mary était partie voir Georgia, pourquoi j'avais ouvert ma gueule sérieux ? Enfin elle l'aurait vu plus tard quoi, j'ai juste fais avancer les choses mais voilà Zackar ne voulait pas d'embrouilles ce soir, je le comprenais et moi non plus je n'en voulais pas mais avec ces deux femmes dans une même soirée c'est dur à éviter. Georgina venait de se pointer à son tour à la soirée, je souriais partageant aussi deux baisers sur chacune de ses joues puis la belle, curieuse évidemment, voulait savoir pourquoi Mary jouait les furies et alors que je lui disais qu'elle avait apprit une mauvaise nouvelle, Gina me sortait que ça allait s'arranger, aussitôt je lâchais un petit rire « Justement c'est parce que je la connais que c'est loin de s'arranger crois moi. » lui dis-je avant de porter mon verre de whisky en main et de trinquer avec elle « Ouais santé ma belle. » dis-je portant le verre à mes lèvres, grimaçant en avalant la gorgée, reposant mon verre presque fini sur le bar. Georgina s'en allait à son tour rejoindre le petit groupe prêt de l'entrée, je me retrouvais de nouveau seul, cette soirée commençait assez mal pour moi et j'arrêtais de fixer le groupe où Mary et Gia réglaient leurs comptes, j'en avais marre, ces deux filles me rendent dingue d'elles. Je finissais ma verre avant de retourner la tête vers elles et il semblerait que le ménage ait été fait, je voyais Mary avec Andrew et Georgia dans le salon avec Zackar à se trémousser sur le rythme de la musique de Martin Garrix, mon deuxième whisky pur arrivait devant moi, je tendais un sourire au barman avant de le porter à mes lèvres et de lancer des regards vers Georgia quelques fois, faut vraiment que je fasse mon choix entre la femme qui me rend dingue depuis plus de dix ans ou celle qui me rend dingue depuis deux ans.

 

Le président Eliot a toujours raison, dû moins il essaie.

 

J'étais arrivé à la super fiesta que mon bizut donnait à la villa de mon meilleur ami que je comprenais absolument rien. J'avais rejoins les membres de ma confrérie quand Zak arriva en coup de vent et me demandait de calmer Mary mais pourquoi?! Est-ce qu'on pouvait m'informer de ce qui se passe au moins? Je vis mon poisson-clown venir me saluer et il comprenait pas plus ce qui se passait en ce moment.  J'hochais de la tête et répondit: ''Alors on est deux, reste avec eux, j'ai besoin d'Un verre.'' J'avais envie de m'éclater ce soir pas de faire de la discipline, même si je sentais parfois que les Eliots étaient tous mes enfants et que je devais veiller sur eux avec un oeil paternel. J'abandonnais Nemo pour aller à la recherche d'un verre au plus vite. Je tentais de faire mon chemin dans le noir, ayant seulement la peinture fluorescente pour me guider. Je rentrais en collision avec une superbe fille (Maelys). Je l'attrapais pour pas qu'elle se retrouve par terre et je m'excusais: ''Je suis désolé, très chère. Je t'avais pas vue! On doit peinturer cette jolie robe!''


 

FAIT AVEC AMOUR PAR WILD HEART.

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Ma robe blanche enfilée, mes talons aux pieds, j'attrape mon sac ainsi que l'invitation de Mordachov avant de claquer la porte de la mather house. Je dois bien avouer que j'ai longuement hésité avant de me décider à prendre la route pour la villa dans laquelle se déroule la soirée organisée par le russe. Il faut dire que nos relations sont des plus tendues depuis que j'ai décidé de me tourner vers les mathers. Il joue le grand-frère voulant me ramener dans le droit chemin et c'est assez agaçant pour dire vrai. Je l'ai toujours beaucoup aimé, mais toute cette mascarade m'exaspère. Je crois qu'il ne se rend pas réellement compte que j'ai changé depuis l'enfance. Quelque chose en moi c'est brisé et j'ai beau essayé de lui faire entendre raison, il reste sur ses positions. Suite à quelques minutes de marche, j'arrive à l'endroit indiqué. Comme je m'y attendais, tout a été mis en place pour que même l'extérieur en envoie pleins les yeux. M'avançant dans l'allée, je présente mon invitation avant de pouvoir entrer. Je suis plutôt en retard. Faut avouer que la ponctualité et moi ce n'est plus trop ça. J'attrape les bracelets fluo qu'on me tend dès mes premiers pas à l'intérieur. J'aime beaucoup ce genre de concept, c'est donc tout naturellement que je fonce me faire peindre le corps. L'idée d'être une petite oeuvre d'art sur deux jambes m'arrache un large sourire. Une fois terminée, je m'avance vers le bar et demande une vodka avant de chercher du regard des têtes me disant quelques choses, mais ce n'est pas chose facile.

Bon sang ! Cette soiré vire au cauchemars quoi. J'avais décider de passer une bonne soiré, seulement à peine débarquer de cette soirée, que Marc refuse mon baiser à cause de cette poufiasse (Goergia) que je m'empressais d'aller la voir en furie pour la faire dégager de chez moi. Pourquoi je l'accepterais sous mon propre toit alors que je la hais plus que tout, rien que de la voir, je ne peux plus ! MOI manquer de respect? Elle se fout de ma gueule là. Genre je fais un cirque, mais regarde toi. « C'est toi qui manque de respect. T'as rien à faire ici.... » Je n'avais pas eu le temps de finir ma phrase que Zak arrive pour prendre Goergia comme un sac de patate et la faire s'éloigner de moi, il me demande gentiment de faire un effort pour lui. Je laisse échapper un soupir. J'en avais déjà marre de cette soirée de fou. Mais je ne comptais pas partir. Je lève les yeux au ciel et me dirige vers le bar commandant des shooters de vodka. Au moins, si je me bourre la gueule je ne penserais plus à rien. Je les bois d'un cul sec, un dizaine environ. Ouais, c'st con mais c'est mieux ça que je frappe cette pimbêche rose non? Ni une, ni deux, je décide de me diriger vers Tate qui était accompagner de mon amie d'enfance Maëlys. Je la prend dans mes bras avec sourire. « Hey ma belle ça va? Dit ça te déranges pas si je t'empruntes mon beau et tendre président, Tate ? » Je la lâchais après cette accolade avec mon mignon petit sourire. Puis sachant qu'elle n'allait pas refuser, je prend doucement la main de Tate pour aller sur la piste de danse afin de danser avec lui sensuellement. Allez let's go amusons nous !

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Il était temps que je rentre chez moi, enfin chez nous. Là où je vivais avec Andrew. Je savais qu'il y avait actuellement une fête. Une fête afin de célébrer le retour de Zakhar. J'avais enfilé quelque chose rapidement, chez moi, dans ma maison que je n'avais toujours pas vendue et direction la villa. C'est bien, j'avais plusieurs demeures. Une chez les Cabot, la mienne et celle que je partageais avec Andrew. J'étais plutôt bien logée oui. Arrivée sur les lieux, j'entendais la musique qui cognait contre les murs. La première personne que j’aperçus fut mon chéri en compagnie de ma toute nouvelle amie, Alexys. J'en prenais une dans mes bras tandis que j'embrassais l'autre pour les saluer. Y'a tellement d'Eliot ici ! C'était la première chose que je remarquais en jetant un oeil aux personnes présentes.

(Invité)