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KENYA ▬ I need your loving I need it now

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J'avais espéré que mes lèvres l'apaiseraient mais en vain. Anya faisait une crise de panique, elle avait du mal à respirer, elle avait les yeux rouge, mon cœur battait fortement, j'avais peur qu'elle me laisse tomber, peur qu'elle se dise que j'étais nocif et que tout était de ma faute. Je crois qu'en fait sa crise était contaminant mais je n'en démordais pas, j'essayais de calmer ma femme qui se serrait contre moi, je l'étreignais fortement encore et encore pendant de longues minutes. Les gens déambulaient sur le parking, nous regardant comme des bêtes sauvage, mon nez se logeait dans les cheveux de ma femme, mes lèvres embrassaient son cuire chevelu délicatement. "ça va aller mon amour." Murmurais-je à son oreille. Je fermais les yeux, je lui caressais la nuque doucement alors que mon autre main frottait son dos. "On devrait rentrer." Finalement adieu les magasins, je crois qu'elle ou moi n'étions pas vraiment dans de bonnes conditions même si au fond j'étais persuadé que ça pouvait nous libérer la tête. "Anya…" Je prenais sa tête entre mes mains, la forçant à me regarder, ça me brisait totalement de la voir si triste et pourtant malgré la situation un peu tragique, je la trouvais d'une beauté renversante, si fragile. "Te met pas dans cet état, on va régler tout ceci." Dis-je avant de reprendre. "Je t'aime plus que tout tu le sais ça, rien ne changera entre nous, au contraire, je pourrais plus t'avoir rien que pour moi." Je me risquais à sourire un peu. "Je suis égoïste et possessif en plus d'être affreusement jaloux et te trouver irrésistible avec tes petits yeux tout rouge, même comme ça tu réussis à m'aguicher Kataieva !" J'essayais de la faire sourire. "Avoue que tu le fais pour que je craque et que je te parle de la saint valentin, bien ça ne marche pas, enfin un peu mais je dirais rien même sous la torture, même sous un bisou." Valait mieux penser à autre chose, elle avait le cœur trop lourd et moi je n'aimais pas la voir comme ça, je voulais la voir comme tout à l'heure excité de savoir ou j'allais l'emmener à la saint valentin, joueuse ou même énervé parce que je refusais le dressing de notre fille.
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J'avais juste besoin qu'il me serre dans ses bras. J'avais juste besoin de sentir ses bras musclés autour de mon corps qui me dirait. Je suis là, je suis là pour te soutenir. Je te lâcherai jamais quoiqu'il arrive. Je serais toujours là, à te soutenir et c'est ce qu'il faisait. Peu à peu, je me calmais contre lui, humant son odeur si réconfortante. Mes larmes roulaient sur mes joues pour venir continuer leur course dans son cou, puis contre son torse. J'hochais la tête, je n'avais pas envie de parler, je voulais juste, juste me dire que tout ceci n'était qu'un cauchemar et bien qu'il me dise maintenant qu'il ferait ce que je veux, j'avais peur et je ne voulais pas qu'il me le reproche un jour. Ses mains encadrées mon visage, mes paupières étaient closes, je ne voulais pas le regarder, je n'en avais pas envie, pas maintenant. il m'appeler , me disait qu'on allait régler ce soucis. Peu à peu j'ouvrais les yeux, comme pour m'assurer qu'il pensait réellement ce qu'il était en train de me dire. Je riais un peu à ce qu'il me disait, ce n'était pas des éclats de rire, mais mes lèvres tentaient au moins de faire un effort. Je reniflais un peu, alors qu'il me disait qu'il me trouvait irrésistible. Je n'en croyais pas un mot. Je devais avoir les yeux rouge, les lèvres gonflées et rougie, les joues rouges et le visage légèrement bouffi. J'étais toujours contre la voiture, contre lui. Il me coinçait si fort, à croire qu'il avait peur que je m'enfuie. J'hochais encore la tête, en fait, j'avais peur que ma voix se brise si je parlais, j'avais peur de fondre en larme à nouveau. Mes hormones étaient bousculées et mes nerfs lâchaient enfin après lui avoir menti et caché la vérité durant presque 2 semaines. Je n'en pouvais plus. Je soufflais un peu, reposant ma tête contre son épaule, pour respirer l'air frais, calmement. J'étais toujours contre lui et je ne voulais pas qu'il me lâche.
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"Ah j'aime ce sourire." Dis-je en caressant son doux visage, mes yeux étaient amoureux, je ferais tout pour elle, je serais capable de soulever des montagnes si elle le voulait, j'étais à elle, je lui appartenais comme elle m'appartenait. Mes yeux ne se dérobaient pas des siens, je souriais un peu en frottant mon nez contre le sien avant de la serrer de nouveau dans mes bras. "Je te promet que ça va aller." Répétais-je pour essayer de la convaincre. Ce n'était pas un drame, on était adulte, on était jeune et on avait l'avenir devant nous, on avait le droit de prendre ce genre de décision, on faisait rien de mal surtout qu'on la prenait en commun. Anastasiya m'avait beaucoup donné, elle avait affrontée sa peur du mariage, d'avoir un bébé pour moi, je ne pouvais pas fuir, en fait j'avais peur que ce soit elle qui parte pour ça que je la serrais si fortement contre la voiture, que je ne la laissais pas respirer de trop. "Anya…" Je lui soulevais doucement le visage, elle se calmait peu à peu, elle m'avait fait peur, la voir ainsi était un tel déchirement pour moi, mon cœur saignait en même temps que le sien. "Tu es la plus belle chose qui me soit arrivé et… je vais tout faire pour que tu sois heureuse seulement ne croit pas que c'est juste ta décision, c'est aussi la mienne, je n'en veux pas, tout ce que je veux c'est toi, t'avoir tous les jours à mes cotés, sentir ton regard posé sur moi, sentir ta main dans mes cheveux, c'est ton attention, ton amour que je veux et même si je suis entrain d'apprendre peu à peu à te partager avec notre fille, je ne serais pas prêt de te déchirer encore en petite partie pour un autre." Avouais-je en la scrutant. "Tu me rends heureux comme tu es toi, je t'aime plus que tout au monde et je vais me taire parce que tu vas me prendre pour un mec qui veut te tuer avec de l'amour et pleins de bisous." Terminais-je en riant légérement.
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S'il me promettait que tout allait bien, alors tout irait bien. J'avais confiance en lui, tellement. J'avais envie de le croire. Il essayait de me convaincre et il faisait ça tellement bien. Je me serrais contre lui, son nez se frottait contre le mien, j'esquissais un petit sourire, presque invisible, mais tout de même. Mon visage dans son cou, je caressais sa nuque comme pour me réconforter jusqu'à ce qu'il ne saisisse mon visage. Je le regardais droit dans les yeux cette fois-ci, j'étais plus calme, mes épaules ne se soulevaient plus, j'étais plus tranquille. Je le regardais, je l'écoutais. Ce qu'il me disait été beau. J'avais l'impression d'être la plus belle chose au monde, d'être unique et aimée à un tel point que j'en avais des frissons. Il me donnait confiance, confiance nous. Mon sourire se fit plus franc cette fois ci, alors que je me pinçais un peu les lèvres. Je me sentais mieux et ceci grâce à lui. Je m'en veux de ne t'avoir rien dit ... tu sais, c'était compliqué dis-je en baissant un peu la tête. Je la posais d'ailleurs contre son torse, relevant ensuite mon visage, à nouveau vers le sien. Tu sais, je voulais pas, mais j'avais juste peur, peur que se soit réel et je pensais que tu voudrais pas que ... qu'on arrête tout ceci je pensais qu'il était contre, il était contre en général. Je veux bien que tu continus de me tuer comme ça Kenny lui dis-je en riant un peu mais en pleurant à nouveau. Sauf que cette fois ci, c'était plus de la joie. Merci ... merci d'être toi je caressais sa joue en soufflant un peu de soulagement. embrasses moi le suppliais-je presque
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Je crois que j'avais besoin d'entendre ça, d'entendre dire qu'elle regrettait ne pas l'avoir dit et une fois fais je me sentais plus léger. J'avais été un peu blessé, je reconnais, le fait de savoir que ma femme me cachait un truc sous mon nez, qu'elle me mentait ouvertement par message interposé m'avait posé souci cependant je pouvais comprendre sa peur vis-à-vis de moi, je sais que je pouvais demander énormément aux personnes que j'aimais, j'en payais le prix. "Chut…" murmurais-je en posant mon index sur ses lèvres, je souriais délicatement me mordillant ensuite ma lèvre. Ce n'était pas humain, la voir si triste, les yeux rouges et le visage légèrement gonflé je trouvais le moyen de la désirer ardemment. "C'est pas grave." Terminais-je par dire en fixant toujours ses lèvres. J'avalais ma salive alors qu'elle se blottissait contre moi, je lui caressais la joue alors que j'avais peu à peu perdu la notion du temps. "Anya quand il y a un problème tu dois m'en parler, vraiment, j'y tiens. Je savais depuis hier soir, quand tu n'as pas avalé le verre de vin ou encore sous la douche quand tu as explosé en quelques secondes, je te connais et pourtant je n'étais pas si blessé que je l'aurais cru. Tu te protège de tes sentiments et de moi, je peux comprendre vraiment maintenant je veux de l'honnêteté entre nous total et pour ce qui est du souci…" Je regardais son ventre puis de nouveau ses grands yeux bleus. "Tu es ma priorité, tu le restera toujours." J'essayais de la consoler, de la faire sourire, de lui faire surtout comprendre qu'elle passerait toujours la première, que rien ne changerait alors je tombais dans le coté un peu naïf peut-être et je m'en rendais compte. "Non je vais éviter de te tuer, j'y survivrais pas." Dis-je spontanément, je laissais ma main sur sa joue, essuyant ses quelques larmes qui roulaient. Son sourire était si beau, si sincère, l'orage passait peu à peu. "Hum je crois que je devrais enregistrer ce moment là histoire de me le passer en boucle quand tu vas râler parce que soit disant je fais pipi sur la dunette." Je rigolais totalement de toute manière cette histoire m'avait toujours amusé surtout quand je voyais Anya revenir avec les sourcils froncés totalement furieuse. "Vous êtes exigeante petite créature." Répondais-je à sa demande seulement la seconde suivante je l'embrassais. Un baiser tendre, amoureux et complètement fougueux ensuite, remplit de désir à son égard, il dérapait totalement, mes mains glissaient le long de son fessier alors qu'elle était toujours contre ma voiture, merde Kenny. Je me reculais un peu, les bras en l'air, c'était bien trop puissant, j'haletais un peu perdu. "Ok ça Anya va falloir qu'on discute de ce genre de baiser, j'y survivrais pas un jour." Je riais doucement pour laisser de nouveau mes bras aller contre elle. "Je t'ai promis les magasins, tu veux toujours?"
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Qu'avais-je fait pour mériter un mari pareil ? Il était parfait, tellement parfait et par moment, je me demandais ce que j'avais pu faire, pour l'avoir dans ma vie, à mes côtés. J'étais heureuse, la femme la plus heureuse que la terre puisse porter. Cela me paraître naïf me diriez vous, mais je le pensais vraiment. Aucune femme au monde ne pouvait être aussi heureuse, autant aimé et adulé par un homme. C'était tellement bon comme sensation. J'ai toujours manqué d'affection dans ma famille, depuis ma plus tendre enfance, peut être pour rééquilibrer la balance, pour que le monde ne soit pas trop injuste, parce qu'au fond, il m'était destiné et que le tout puissant, savait que j'allais être aimé, plus que ce que je ne méritai. Je me protège pas de toi Kenny .... juste de moi. C'est toujours difficile pour moi de reconnaître certaine chose, tu sais avant toi ma vie était planifié, je savais ce que j'allais faire et t'es venu tout chambouler et je sais plus , y'a des choses qui me font peur et je veux tellement pas te décevoir toi. Tu sais je m'en fou bien des autres mais pas de toi Kenny. Je veux pas que tu penses que je suis une peste, que je suis la femme la plus intimidante de cette université ou la reine des glaces, parce que je veux pas l'être avec toi, j'ai pas envie dis-je en haussant une épaule, avec encore quelques larmes au coin des yeux. alors oui, je me suis posé des question, c'est peut être pour ça que je voulais pas le reconnaître parce qu'un bébé de toi, c'est ... toi , un bout de toi que tu m'offres et je me sens tellement coupable de vouloir l'abandonner, parce que t'es la meilleure chose qui me soit arriver Kenny, je me demande encore ce que j'ai fais pour mériter tout ce bonheur et même s'il nous arrive de nous disputer plus que la normale, je n'échangerai aucun de ces moments, je voudrais tout refaire, de la même manière je relevais mon visage vers lui, je riais en pleurant encore. Je te déteste, tu me rends tellement niaise. Mon " Je te déteste " voulait dire tout le contraire, ça voulait dire " Je t'aime de tout mon coeur " Tu serais toujours ma priorité aussi et jamais je ne veux que tu penses le contraire je riais à ce qu'il me disait, en penchant la tête contre mon épaule, passant une main dans mes cheveux blond pour profiter de cette brise, pour qu'elle vienne essuyer et sécher mon visage. Je ne le répéterais pas, je vois pas de quoi tu veux parler et pourtant, je pourrais lui dire encore et encore. Autant qu'il le voudra. Un baiser, c'est ce que je voulais. J'étais enfin prête à accueillir ses lèvres. C'était tendre, amoureux et ça me faisait du bien, cependant, je riais contre ses lèvres en sentant les mains de Kenny passer sur mes fesses. T'es pas possible lui dis-je en me rapprochant de lui pour déposer un baiser sur sa joue. J'hochais la tête lorsqu'il me parlait des magasins, je ne voulais pas rentrer, pas maintenant, j'avais envie de profiter encore de notre sortie, de notre bulle.
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Tous les mots qu'elle venait de me dire, me touchait. J'avais eu le droit à une magnifique déclaration à notre mariage mais là, là je ne m'y attendais pas. Je restais sans voix, mes yeux trahissaient à la fois la surprise et l'émotion qui me gagnait. "Oh Anya." Dis-je comme vaincu. Je la prenais dans mes bras pour la serrer si fortement que j'ai bien cru que je pourrais la tuer l'espace d'une seconde. "Qu'est-ce que je t'aime." C'est la seule phrase qui sortait de ma bouche merde quoi, j'en revenais pas, elle avait tellement su me toucher que mes pensées étaient en vrac, mon cerveau n'était plus du tout capable de réfléchir correctement. "Moi aussi je te déteste, regarde toi, tu es trop…" je la désignais de la main de haut en bas. "Parfaite, c'est horrible, tu fou des complexes à tout le monde." Je souriais un peu, mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine encore et encore, je crois qu'il allait me falloir du temps pour pouvoir digérer toutes les phrases qu'elle venait de me dire, j'essayais de ne rien gâcher seulement le baiser me trahissait totalement surtout mes mains qui glissaient sur ses fesses, je souriais en la sentait faire la même chose sous mes lèvres. "J'ai rien fais. Je suis l'innocence incarnée." Dis-je faussement innocent. Je fermais les yeux sous son bisou sur ma joue, repassant la main sur l'une de ses fesses pour lui pincer. "ça m'appartient tout ça." Je rigolais en sortant les clés de la voiture, l'installant en fermant la porte derrière elle puis je partais du coté conducteur. "Bon Kovalevski, on a du pain sur la planche, trouver les cadeaux pour Alessia, trouver des boxers pour moi parce que j'ai tout oublié à New York puis un truc pour toi." Je mettais le contact pour aller en ville. "J'ai pris des demandes en considération sur ta tenue que tu dois porter dans notre chambre, j'ai décidé d'accepter tout ce qui est de couleur rouge ou noir et qui recouvre pas toute ta peau. Je suis généreux profite." Je n'étais pas forcément d'une humeur coquine je reconnais mais Anya devait penser à autre chose et sur ce terrain elle et moi étions doués pour s'amuser sans compter que je me voyais mal revenir à des sujets basiques après ce qui venait de se dérouler, je voulais juste être avec elle dans notre bulle, que l'on laisse nos autres statuts derrière nous pour garder celui d'amant et d'époux. "C'est pas négociable ça alors on négocie pas."
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Je sais pas bien ce qu'il venait de me prendre, j'avais eu besoin de lui dire tout ça, parce que je voulais pas qu'il pense que je ne lui faisais pas confiance, ou que c'était de sa faute, je voulais qu'il comprenne qu'il était mon tout. Que c'était lui qui faisait fonctionner la pompe qu'était mon coeur. Après un baiser, je riais lorsqu'il me touchait les fesses, je sais que c'était dans cette optique là qu'il le faisait. T'es loin d'être l'innocence incarnée, t'as pris toute ma vertu dis-je en lui donnant, finalement, un petit coup contre le torse comme pour balayer ce moment bien trop naïf et amoureux pour que je ne le supporte bien longtemps. Au passage, je lui montrais mes poignets qui étaient légèrement marqués, puis je riais en déposant un baiser contre sa nuque lorsqu'il passait devant moi. J'avais envie que sa peau soit contre la mienne, d'en sentir sa chaleur. Une fois dans la voiture, je tournais la tête vers Kenny, après avoir passé mes mains contre mon visage comme pour effacer tout ça. Je suis pas trop horrible ou je dois mettre mes lunettes de soleil ? demandais-je en le regardant droit dans les yeux, battant des cils sans vraiment le vouloir. T'as pris tout tes boxer pour New York ? j'étais un peu surprise d'ailleurs et pour l'embêter, je me risquais à une petite blague. Ou alors t'as pété tellement fort que tu les a troué ? je le regardais en faisant les gros yeux, les joues rondes, prête à exploser de rire, parce que je savais qu'il était gêné devant moi même ci ces derniers temps, il se lâchait un peu plus ... au point de trouer ses boxer (aa) je vais en profiter dans ces cas là dis-je en attrapant sa mains pour serrer mes doigts au sien, posant ma tête contre son torse, mon mari c'est un pilote, je suis certaine que même comme ça, il peut le faire. J'ai jamais dis que je voulais négocier, moi ça me va très bien, puis il faut aussi qu'on regarde pour tes cours ... dis-je en riant un peu. Je m'étais engagé à être son professeur non ? Je passais ma main sous son tee-shirt pour caresser sa peau, en fermant un peu les yeux profitant juste de ce moment, puis finalement, je laissais tomber ma tête contre sa cuisse, le regard sur son menton. Je passe les vitesses dis-je en me tournant un peu, pour avoir le regard sur le levier de vitesse. Hey, j'ai pas dis lui ! dis-je en éclatant de rire, Kenny et sa forme Olympique il pourrait certainement rentrer dans le livre des records.
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Dans le petit habitacle, je soupirais. J'avais l'impression qu'elle allait mieux, j'espérais en tout cas, je ne voyais pas comment la rassurer davantage puis me livrer de la sorte était tellement difficile parfois que ça m'en fatiguait. J'avais peur qu'elle ne fuit vraiment, je me disais que si une grossesse l'avait mise dans cet état une fois, peut-être que plus tard si une autre arrivait, elle ferait la même chose. Je commençais à brouiller du noir alors que je tournais les yeux vers elle, c'est là que mon visage s'illuminait, elle était là, je doutais pour rien, je me faisais des films qui n'avait pas lieu d'être. "Lunette, t'es trop horrible." Dis-je en lui tirant la langue. Je m'en amusais ça me rappelait à l'époque ou on se cherchait même si la mon regard me trahissait, j'étais bien trop amouraché d'elle puis en plus j'avais un désir énorme à son égard, elle m'avait laissée des traces hier soir, pas physique, psychologique. "Bien ouais j'ai tout prix, j'ai fais péter la machine à laver en partant, franchement on m'avait pas dit qui fallait mettre le savon dans le petit compartiment ! Moi je l'ai mis dans le grand, ça a fait pleins de mousse puis… je me suis retrouvé sans rien alors voilà." J'haussais les épaules en conduisant avant d'éclater de rire. "Ta bouffé un clown?" m'amusais-je à dire. "Non sérieusement, tu crois que si je péte assez fort, j'arrive à décoller du canapé? Si je suis ta logique en trouant mes boxers, je peux très bien réussir. J'essayerai, tu verras." Rieur, je conduisais, l'ambiance était plus légère, je me sentais mieux, la voir se moquer de moi bien ça me soulager, je n'aurais jamais cru dire ça un jour mais son petit rire, sa voix plus gaie me rendait encore plus heureux même si je restais très distrait. Je ne cessais pas de penser à sa mine, son air tellement défait, on aurait dit qu'elle m'avait annoncé la mort de quelqu'un ou qu'elle m'avait trompé, elle était si désemparé tout à l'heure, je comprenais mieux ce qu'elle ressentait quand je lui cachais mes soucis de santé. "Oh comment tu mens !" dis-je en tournant mes yeux vers elle au feu rouge. "Quand je te dis retire ton pyjama, tu rechignes, tu respectes les règles une fois sur 10 malgré tout j'accepte ton aide et vu que tu as besoin de matière pour tes cours…" Je sifflotais, Anya avait posé sa tête contre mon torse, je souriais déposant un baiser dessus, elle sentait bon, elle était belle, bref j'étais complètement fou, j'avais surtout très envie d'elle, trop. "Quoi? Tu peux le passer." M'amusais-je à dire en regardant mon jean. "Il est pas contre, je crois qu'il aimerait bien que tu l'utilises, il se sent en concurrence." Je rigolais encore un peu me garant sur le parking du grand centre commercial, coupant le moteur. "Descend pas toi." Je prenais la main d'Anya pour l'attirer sur mes genoux, les vitres teintées nous cachait faisant disparaitre ma pudeur pour laisser place à un coté beaucoup plus chaud et sexy de mon caractère. Je l'embrassais langoureusement, notre bulle avait faillit voler en éclat.
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Je suis certaine que oui, par moment, j'ai l'impression d'être au première loge du décollage de la fusée Ariane, limite si je ressens pas les tremblements dis-je en éclatant de rire, mon dieu ce que ça me faisait du bien, surtout qu'il entre dans le jeu. Je me moquais de lui, mais gentiment, ce n'était en aucun cas méchant, c'était juste une blague comme une autre. Tu vois, c'est toi qui me force à en mettre ... tu veux avoir de la matière tu t'es trahis , c'est trop tard doucement, je secouais la tête pour la déposer contre son torse, je posais ma main contre sa cuisse. Un baiser contre ma tempe et je laissais ma tête glisser. Je voulais passer les vitesses, qu'on soit partenaire tous les deux, c'était ridicule, mais c'est ce genre de petite chose qu'on se souviendrait toujours. Lorsque lui conduisait et que moi je passais les vitesses et vice versa. J'avais oublié à quel point il était susceptible, il se sent en concurrence avec tout, la dernière fois il m'a fait une scène avec la télécommande je me tournais un peu, l'arrière de mon crâne sur sa jambe, pour le regarder bien dans les yeux un instant avant que je ne me lève pour sortir de la voiture mais c'était sans compter Kenny qui me demandait de ne pas descendre. Qu'est ce qu'il y a ? surprise, j'arquais un sourcil jusqu'à ce qu'il ne me fasse monter sur ses genoux. Son baiser vint me surprendre d'autant plus, je baissais un peu ma robe sur mes cuisses pendant notre baiser tandis que mes mains étaient contre ses joues. Qu'est ce que tu fais j'étais bien là et je riais contre ses lèvres en levant mon regard dans le siens, sans effacer notre promiscuité.
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