KENYA ▬ I need your loving I need it now

Le col en V? Je la scrutais avec des yeux qui essayaient de décélé si oui ou non elle se moquait de moi. "Toi tu peux te permettre par contre…" sifflotais-je en arquant deux fois de suite les sourcils, c'était sexy, je l'imaginais bien dedans dis donc avec le creux de sa poitrine apparente, j'avais chaud. "Ouais encore ça va mais ta vu ça…" Je lui montrais le pantalon, j'en revenais pas, comment on pouvait me donner ce genre de vêtement fallait me voir pour savoir que c'était loin d'être mon style alors un peu blasé, je décidais de mettre un boxer. Je l'essayais, d'habitude on avait pas le droit mais j'avais eu l'accord de la personne, oui je n'étais pas n'importe qui, j'usais de mon statut pour la première fois dans un magasin et ce sentiment de puissance était si fort qu'il en était appréciable. "Qu'est-ce que…" Elle remettait en place? Je rigolais amusé, fébrile aussi, elle avait conscience que ce geste risquait de faire naitre en moi des envies, j'ai pas l'impression, j'avais plus l'impression que c'était comme si elle remettait une mèche de cheveux à sa place. "Tu es intenable." Je me regardais dans le miroir, je détestais pour ma part, je trouvais que tout était moche, la couleur noire était bien basique mais c'était le lisérait gris qui était horrible. "Je suis quand même capable de le prendre rien que parce que tu aimes mes fesses dedans." Riais-je en retirant le boxer. J'étais nu dans la cabine, regardant un autre boxer que j'enfilais, blanc cette fois, beaucoup plus avantageuse, il était parfait, rien à dire, il moulait là ou je voulais et puis le contraste avec mes tatouages étaient saisissante. "le spectacle te plait ça va? Tu comptes payer la séance ou tu vas fuir en mode voleuse? Parce que je peux toujours…" Mes yeux brillaient en me tournant vers elle, je la voyais observé la scène depuis tout à l'heure à travers la glace, ne savant pas trop ce qu'elle pouvait en penser alors j'avançais pour la coincer contre le mur. "Je peux toujours te dénoncer." Murmurais-je avec une vive sensualité.

J'aimais bien moi, comment ce boxer lui allait, je le regardais dans le miroir, puis je penchais la tête en arrière pour regarder ses fesses, ses belles fesses rebondis et musclés. Je posais même ma paume dessus pour caresser le tissus Non mais même le tissus, il a l'air super confortable et agréable à porter dis-je en retirant ma main jusqu'à ce qu'il ne me dise que j'étais intenable ? Je te signal que je t'aide juste à choisir, faut bien que je me fasse ma propre opinion, je ne juge pas sans tester chose fausse, j'étais bien le genre de femme à juger avant de connaître, à mettre les étiquettes sur les gens. Sache que j'aime tes fesses sans aussi dis-je en haussant une épaule avec un énorme sourire sur les lèvres alors que je papillonnais des yeux. Ce n'étais pas un secret, il le savait. Il essayait un nouveau boxer, un blanc cette fois ci. C'était encore mieux. Je le regardais dans le miroir, tortillant une mèche de cheveux autour de mon index, tout en me mâchouillant la lèvre. Hein ? Quoi ? dis-je en redressant vivement la tête. Je n'avais même pas entendu ce qu'il me disait, parce que j'étais bien trop concentrée sur son essayage que je trouvais très attrayant. L'instant d'après, je me retrouvais plaqué contre contre le mur. Mes yeux dans les siens, je penchais la tête sur le côté en la secouant légèrement Non tu ne feras pas ça, parce que sinon ça voudrait dire que je devrais sortir de cette cabine et d'après ce que je comprend, tu n'as pas envie que je sorte dis-je en passant mes mains sur ses épaules. Je déposais mes lèvres contre le haut de son torse, les faisant ensuite glisser contre sa gorge, puis sa mâchoire, le dessous de son oreille que je mordillait ensuite. puis .. c'est pas bien le chantage Kovalevski mon index sur sa lèvre, je la tapotais en secouant négativement la tête. Allez, enlèves moi ça dis-je en le poussant pour qu'il tombe sur la petite banquette. Je tendais ma longue jambe vers lui pour qu'il me retire ma botte

"Tu m'écoutes même pas." Dis-je en me tournant. Ma démarche était plus assurée, la voir se mordre la lèvre avait quelque chose d'affreusement érotique, je ne sais pas si c'est moi qui était complètement frustré de tout à l'heure ou alors elle qui me donnait envie comme pas possible mais j'étais en ébullition surtout quand je la plaquais contre le mur de la cabine d'essayage. Elle était grande, les murs couvraient nos pieds et nos voix que demande le peuple? "C'est vrai, tu ne sortira pas d'ici, j'ai pas envie, j'ai envie de te séquestrer…" dis-je en regardant son corps. Mes pupilles brulaient d'excitation, ma main posé sur le mur proche de sa tête restait fixe alors que l'autre se posait sur sa hanche pour attirer son bassin contre le mien. Après ce qui avait eu tout à l'heure, je n'aurais pas cru un seul instant qu'elle me ferait des avances, sentir ses lèvres contre ma peau était un don du ciel, elles étaient si douce, si délicieuse que je fermais les yeux à chaque assauts, à chaque mordillements. "Si c'est pour te voir dans cet état Kataieva, je te ferais du chantage toute ma vie." Murmurais-je avant de me faire bousculer. Mes fesses tombaient sur la banquette, je souriais, j'en revenais pas, parfois j'avais tellement l'impression d'avoir une autre femme que c'était perturbant. Je lui retirais ses bottes, une par une, docilement, la voir autoritaire m'excitait je reconnais que là quand elle avait prit ce petit ton bien ma peau n'était pas la seule chose qui avait réagit sur mon corps. Je me redressais rapidement, je lui laissais rarement l'occasion de commander, là je ne lui laisserais pas non plus surtout que j'avais hâte de la déshabiller, de l'avoir face à moi, de le faire ici dans un lieux public alors de mes mains rapide, je lui faisais tomber son manteau, mes doigts s'occupaient de la fermeture éclaire pour qu'elle se retrouve en sous-vêtement devant moi. "Qu'est-ce que tu es…" Je m'interrompais, j'avais envie de lui parler un peu plus crument mais je me rappelais de sa réticence, de son coté romantique qu'elle refoulait. Mes lèvres s'écrasaient contre les siennes, ma langue allait chercher la sienne pour se livrer à un ballet des plus excitants.

Il ne voulait pas me laisser partir, je penchais la tête en le regardant, avec une moue interrogative Ah oui ? Pourquoi donc ? lui demandais-je d'une manière presque angélique. Je n'y croyais pas. Il n'allait pas m'empêcher de sortir si ? Apparemment, oui. Il avait d'autre projet pour moi, pour nous. Dis tout de suite, que je fais ce genre de chose qu'en cas de chantage sur ces mots, je mordillais son oreille un peu plus fort mais pas assez pour lui faire mal, ou rien qu'un peu. Je prenais un peu les devant en le poussant sur la petite banquette en lui tendant ma jambe pour qu'il retire ma première botte, puis la seconde pour qu'il en fasse de même. Je le regardais faire avec un petit sourire sur les lèvres. Il était doux, il était lent , je pouvais sentir ses doigts glisser sur mes jambes jusqu'à ce qu'il se redresse. Mon manteau tombait à mes pieds puis ma fermeture éclaire se fit entendre dans la cabine d'essaye, puis elle aussi tombée à mes pieds. Je suis quoi Kenny ? lui demandais-je en plein milieu du baiser, essoufflé avant de reprendre ses lèvres que je tirais un peu, je jouais avec l'élastique de son boxer le faisant un peu claquer. Il te va vraiment bien celui-ci il met en avant tout ce qu'il faut je riais un peu contre ses lèvres baissant mon regard amusé alors que je le lui retiré bien vite. Un baiser sur son trésors et je remontais pour poser mes bras contre ses épaules. Tu vois un peu le genre de chose que tu me fait faire ?

Kenny était doué, trop doué. Je faisais ce qu'il me demandait sans rechigner, je suivais ses instructions à la lettre. J'étais presque au bord du gouffre. Tournant la tête vers le miroir je le vis faire. J'arquais un sourcil, surprise, mais j'étais bien trop essoufflé pour parler. Je fermais les yeux fortement, je tentais de me retenir, de ne faire aucun bruit, surtout lorsque le vendeur toquait à la porte de la cabine, trop impatient de savoir s'il allait conclure cette vente. Kenny lui répondait froidement, je prenais sa main pour la plaquer contre ma bouche afin d'étouffer mes cris et alors que j'atteignais le paroxysme de l'eau ruisselais sur moi ? Tellement emprise par ce plaisir qui me consommait sur l'instant je n'avais pas entendu le bruit de l'alarme incendie, jusqu'à revenir à la réalité en sentant l'eau sortir des extincteurs automatiques C'est quoi cette merde ? dis-je en poussant un peu Kenny, levant les yeux au ciel, je commençais à être trempée quand vivement, le vendeur revenait vers Kenny Monsieur il faut sortir, rapidement ! dit-il en cognant la porte. Je regardais Kenny, j'enfilais rapidement mon long manteau, prenant ma robe dans mes mains en regardant Kenny Je peux pas sortir, je préfère brûler plutôt qu'on nous affiche dans les journaux Kenny lui dis-je dans un regard suppliant. Je voulais qu'il trouve une solution, on était complètement trempé, le vendeur toquait fortement à la porte à la limite de l'arracher pour sauver son client préféré et ... et j'étais en sous vêtement sous mon manteau. Sérieusement ? Y'a-t-il une situation plus ridicule que ça ?