KENYA ▬ I need your loving I need it now

Je la serrais contre moi, ma main dans son dos, je cherchais encore à la réconforter, je ne voulais pas la pousser, je ne le ferais pas même si c'était affreusement dur pour moi d'avoir autant de questions dans ma tête. Bébé ou pas? Je ne savais pas moi-même si j'étais prêt à en avoir un autre, parfois j'avais dis que oui mais je voyais le coté pratique, je voyais que nos études n'étaient pas encore terminé, qu'on pouvait élevé et voir le futur bébé grandir alors qu'en Russie tout allait changer. Les trajets jusqu'à l'entreprise, les heures de mon épouse, Alessia qui demanderait un peu plus d'attention pour ses études et aussi parce qu'elle grandissait tout simplement, je pensais que oui c'était une bonne idée maintenant d'en avoir un puis de l'autre coté, j'étais égoïste. Je voulais avoir Anya pour moi tout le temps constamment, Alessia avait été un tel bouleversement dans notre vie de couple, la voir simplement se lever du lit le soir pour aller la consoler et me laisser seul m'avait souvent rendu triste. J'étais perdu, encore plus maintenant. "Serais tu entrain de tricher Anya?" dis-je en la regardant à propos de la cloche. "Je la veux, je l'aurais, au pire j'en achèterais une autre, pas de souci, ça va pas nous ruiner." M'amusais-je à dire. "Je me trompe pas souvent et encore moins aujourd'hui sur ce fait, tu as perdue mais je serais gentil, je te demanderai quelques petits services pas trop désagréable, d'ailleurs tu as vu l'état des toilettes? Elle sont sales." Je faisais la moue avant de rire, j'étais entrain de lui dire implicitement qu'elle devait être nettoyée. "Je rigole, tire par cette tête." Je lui volais un bisou avant de reprendre. "Oui tu m'as manqué quand même je l'avoue mais oui on a visité un peu avec Alessia, je l'ai emmené à l'aquarium puis on a visité, fait des gâteaux, rien de très palpitant." Dis-je en haussant les épaules. Le match se jouait, mon équipe marquait. "ça sent mauvais pour toi Kovalevski."

Oui, j'avais caché la cloche qu'on avait acheté pour ce genre de soirée ou nos équipes, souvent adversaire se rencontrait durant des événements sportifs en tout genre, comme ce soir. Fort heureusement, au moins pour le basket, nous avions la même. Je ne triche pas, je défend mes arrières riais-je légèrement en posant mon visage contre son torse, regardant le match distraitement tout en l'écoutant parler et il su retenir mon attention, allant même jusqu'à me faire lever le nez lorsqu'il me parlait des toilettes ? Venait-il de me demander de les faire ? Tu crois sérieusement que je vais nettoyer les toilettes ? J'y suis même pas aller, je suis sûre que t'as fait pipi sur la cuvette, puis si elles sont sales, il va falloir que j'en touche deux mots à Manuela, c'est inadmissible et attention je savais que pour le coup, Kenny reviendrait sur ses mots, parce qu'il ne voulait pas que je vire Manuela. J'aimais beaucoup cette femme mais je ne faisais pas d'amalgame, amitié au travail. Le travail c'est le travail, si c'est mal fait, il est normal qu'il y est des répercussions. J'ai eu peur que tu oses insinuer que ces belles mains soient destinées à ça, moi je pense qu'elles ont un autre dessein, tu crois pas ? Quelques choses de plus grands à accomplir et je faisais glisser une de mes mains sur son pantalon d'ailleurs, sa cuisse, sa jambe pour remonter vers le centre avant de la laisser là. Après tout, c'était à moi (aa) Kenny me parlait de NY, j'étais heureuse pour eux deux, qu'ils partagent ce genre de moment. Tu sais que je ne suis jamais allé à l'aquarium moi aussi ? et j'avais drôlement envie d'y aller. elle a aimée ? dis-je avant qu'il ne me parle du match, je me laissais tomber, le buste sur les jambes de Kenny en cachant ma tête dans les coussins, sentant la main de Kenny caresser mon dos complètement nue j'ai même pas envie de regarder la branler que je vais me prendre

Le coup des toilettes me faisait bien rire intérieurement, je ne la voyais pas se mettre à genoux pour nettoyer et c'était si prévisible sa manière de me parler, elle savait que j'allais protéger Manuela car j'avais une sorte d'affection pour elle comme je pouvais avoir pour ma mère. Elle s'était occupée de moi, elle faisait bien son travail, pourquoi je serais méchant en retour, ce n'était pas dans ma nature. "Déjà je ne fais pas pipi sur la cuvette c'est faux." Dis-je en hochant négativement la tête. "Puis Manuela n'était pas là ces derniers jours, elle est revenue juste aujourd'hui." Avouais-je en la regardant. Oui j'étais revenu vivre ici après nos mails, j'avais eu envie, je me sentais bien chez nous. "Moi aussi j'en suis persuadé." Ses paroles me déstabilisait, il y avait quelque chose de plus coquins que ce qu'elle pouvait prétendre puis fallait la voir me toucher, je frissonnais, j'avalais même ma salive bruyamment, elle ne parlait que rarement comme ça encore moins avec des gestes alors ça me chamboulait, ça me plaisait, même mon corps se redressait, mon bassin allait à la rencontre de sa main sans aucune honte alors que je parlais de notre voyage à deux entre père et fille. "Ah bon? J'aurais su j'aurais pas été avec elle, je t'aurais aimé, va falloir qu'on remédie à tout ceci." Dis-je en caressant ses cheveux. "Non elle a pas aimée, elle pleurait, surtout les gros poissons sauf les dauphins elle en a touché un en plus, elle rigolait, Priape l'a filmé, je te montrerais." Dis-je en tournant mes yeux enfin sur la télévision. Premier points pour mon équipe, d'autres allaient suivre et c'est une Anya désespérée qui s'allongeait sur le ventre sur mes jambes. Rieur, je caressais son dos nu de mes doigts. "Mais si tu vas regarder." Dis-je en laissant mes doigts glisser sous le fin bout de tissus noir pour caresser son postérieur royal. "Ou on passe directement à ma récompense… J'ai fais quelques courses d'ailleurs ce matin." Je le faisais exprès, je voulais voir sa réaction, moi aussi j'avais envie de jouer comme elle pouvait le faire avec ses petits yeux.

Si tu fais pipi sur la cuvette des fois dis-je en hochant la tête tout en le regardant droit dans les yeux. Une fois, je me suis même assise dessus, .. c'était je secouais la tête en frissonnant à cette pensée, un peu dégoutante. C'était en pleine nuit et je n'avais rien vu. Donc, si elle n'était pas là, que toi oui, j'en conclu que c'est toi qui les a salit, CQFD terminais-je par dire en arquant un sourcil, sûr de moi. On y retournera tous les deux si elle a eu peur j'aurais aimé partagé un tel moment avec ma fille, mais maintenant qu'elle avait peur, je n'avais pas envie de la confronter de nouveau à ce genre de chose. Son équipe venait de marquer, je me laissais tomber sur ses jambes en soufflant. Je souriais en sentant sa main caresser mon dos puis passer sous mon dessus pour caresser mon fessier. Je frissonnais d'ailleurs laissant un petit bruit de contentement sortir d'entre mes lèvres, j'aimais sentir ses mains fortes et virils contre ma peau. T'as fait des courses ? je tournais mon visage vers lui, le coude sur le canapé et le menton dans la main, curieuse. du genre ? oui autant que je passe à sa récompense tout de suite

"Anya !" dis-je en la regardant après sa démonstration. Pour l'amour de dieu ne pouvait-elle pas se montrer plus glamour? Elle disait que je faisais pipi sur la dunette des toilettes alors oui je reconnais que je visais mal mais je n'avais souvent pas mes lentilles de contact le soir, je voyais mais pas autant donc voilà. "Tu peux pas juste dire que je suis parfait non? Juste pour mon égo." Je riais un peu. Mon équipe marquait, mon sourire s'élargissait alors que mes doigts glissaient le long de sa colonne vertébrale pour finir en dessous du bout de tissus sur son fessier. Elle soupirait de contentement, j'en étais bien heureux dis donc, je ne pensais pas qu'un petit bruit de la sorte pouvait me mettre dans cet état. "Oui pas énormément mais j'ai fais quelques courses." Dis-je en continuant de caresser sa peau. Elle tournait la tête intéressée, un sourire mystérieux se lisait sur mon visage, devrais-je lui dire? Possible, oui je crois que oui. "De la glace à la fraise, au chocolat et à la framboise, tout dépendra de mon envie du moment le choix du parfum sans compter… une corde et un bout de tissus en satin." Avouais-je avec des yeux brulant. Elle devait deviner ce que j'entendais faire, elle devait bien se douter, je la scrutais toujours avec des yeux amoureux, plus tendre jusqu'à ce que je retire ma main de son bout de tissus pour aller empoigner un peu ses cheveux et l'embrasser langoureusement. "Tu m'as fais mal la dernière fois, je vais me venger Anya…" La dernière fois je parlais de notre dispute, la vengeance, elle me connaissait assez bien, pour ne pas dire par cœur, pour savoir que je n'allais pas la blesser. "Monte dans la chambre, j'arrive."

Tu es parfait mon amour ... dis-je avec un grand sourire, un sourire à la colgate. c'est bien comme ça ? lui demandais-je avant de rire jusqu'à ce qu'il ne me parle de course. Sur le coup, je me demandais de quoi il parlait. De course pour nous ? Pour moi ? De la nourriture ? Quelque chose que j'aimais particulièrement ? J'étais un peu perdue d'ailleurs et j'étais curieuse de nature, il le savait, c'est donc tout naturellement que je lui demandais. Il me parlait de glace. A la fraise, à la framboise et au chocolat, 3 goûts que j'aimais beaucoup. Cependant, lorsqu'il me parlait de corde et de tissus de satin ... j'étais un peu plus décontenancée Si tu n'avais pas ajouter le satin, je me serais demandée si tu voulais qu'on aille faire du camping, mais là, je suis perdue lorsque sa main quittée ma peau, j'eu comme un frissons dû à cette nouvelle froideur. Je n'avais plus cette source de chaleur qui me caressait, je n'avais plus ce contact et il me manquait déjà. Kenny me disait que je lui avais fait mal puis soudainement il m'empoignait les cheveux pour m'embrasser. Aoutch. Tu pourrais lâcher mes cheveux maintenant ? Parce que ça tire vraiment dis-je dans un petit sourire en biais et lorsqu'il le fit, je montais dans la chambre en posant mon bras contre ma poitrine. En me levant j'avais ramassé un coussin que je lui envoyai dessus avant de monter. J'étais vraiment perplexe mais tellement curieuse que j'allumais un peu de bougie mais aussi le match. La télé était en connexion avec celle du bas et au moins, Kenny pourrait apprécier sa victoire, même ici.

"ça passe mieux oui." Je levais les yeux au ciel, elle me faisait sourire, elle m'amusait avec son grand sourire digne d'une pub. Silencieux, au début sur les courses, j'avouais tout, fallait la voir avec ses yeux bleu me regarder, se moquer aussi, si elle savait ce que je lui réservais ce soir, que j'allais pouvoir la torturer à ma guise, elle ne serait pas aussi joyeuse. "Oh je suis sur que tu as une idée, je m'inquiète pas devant ton faux air tourmenté." Je lâchais mon emprise sur son dos pour empoigner ses cheveux, je l'embrassais langoureusement sans aucunes retenues finalement ça, ce Kenny là qui était montré au grand jour bien c'était celui qu'elle avait souvent eu peur de ne pas contenter, j'avais des envies particulières de temps en temps, j'espérais juste qu'elle ne parte pas en courant, j'avais peur pour le coup, tellement que j'oubliais de lui lâcher les cheveux. "Désolé." Dis-je ailleurs. Je regardais la télé avant de me manger le coussin. "Attention Kovalevski." M'amusais-je à dire finalement puis zut on avait le droit d'essayer après tout, si elle ne voulait pas ou que c'était trop pour elle, elle me le dirait j'en ai aucuns doutes. J'éteignais la télévision, le baby-phone dans ma main, j'allais prendre la glace. Fraise. J'avais envie de ce parfum et de vrais fraises que j'attrapais dans le saladier. Remontant dans la chambre, je regardais partout. Des bougies, le match, je fermais la porte avec mes pieds en souriant un peu, elle voulait que ce soit romantique? Bon honnêtement, je ne m'attendais pas vraiment à ça, sensuel oui maintenant oups je faisais fausse route. "Sympa les bougies." Oui le mot sympa était prononcé délibérément rien que pour l'embêter. Déposant le tout sur la commode, j'avançais d'un pas assuré vers anya, mes mains sur ses hanches, je la poussais sur le lit. "Allonge-toi…" dis-je avec un peu d'autorité. "Tu me fais confiance mon amour?" Bien sur que oui, je savais la réponse, j'avais juste envie de l'entendre.

Je n'avais aucune idée de ce que mon mari avait en tête, s'il ne m'avait pas mentionner la corde, je me serais dit qu'il voulait me bander les yeux avec ce tissus en satin, ou alors les poignets mais la corde ... peut être qu'il allait la tendre et faire une sorte de cabane de l'amour ? Je n'en savais rien, j'étais un peu décontenancée. Avant de partir je lui avais lancé un coussin en pleine tête, ce qui me valait quelques réprimandes avant que je ne monte dans notre chambre. Je ne savais pas quoi faire en l'attendant. Alors j'allumais des bougies, je mettais le match pour qu'il puisse voir sa victoire. Debout devant le lit, les bras croisés contre ma poitrine, j'attendais et c'est 5 minutes plus tard qu'il montait. A ses mots, je regardais autour de moi, je n'en avais pas tant allumés que ça ... mais du coup, je me demandais s'il appréciait. Tu veux que je les éteigne ? oui, je ne savais pas ce qu'il avait en tête, quoique .. il revenait vers moi avec un air assez déterminé, assez pour me surprendre. Je le regardais, surprise, attendant qu'importe de ses mouvements. Ses mains sur mes hanches, il me poussait sur le lit en m'ordonnant de m'allonger ? Je le faisais, j'étais si curieuse et ... je sais pas son air me rendait accroc. Ramenant une mèche de mes cheveux blonds derrière mon oreille, je le regardais en hochant la tête. Oui je te fais confiance .. pourquoi tu me demande ça ?