KENYA ▬ I need your loving I need it now

Elle revenait enfin. J'avais hâte de voir ma femme, hâte de la prendre dans mes bras, hâte de l'embrasser, de la toucher, de lui dire à quel point ses grands yeux bleu mon manqué, que son rire m'a aussi manqué, hâte tout court. A l'aéroport, je trépignais d'impatience, je l'attendais au terminal pour une fois elle prenait un avion de tourisme, la neige était bien trop présente chez nous, les jet privé était interdit de vol alors avec Alessia dans sa poussette et Manuela juste derrière, j'attendais. Je bougeais mes pieds nerveusement, Alessia quant à elle tenait le gros bouquet de fleur debout, elle avait du mal, ça glissait de ses petites mains mais à chaque fois que j'essayais de lui prendre elle tirait la tête du coup j'avais abandonné l'idée en plus elle souriait. "Maman arrive bientôt…" dis-je en voyant les portes s'ouvrir. Je souriais, je passais ma main dans mes cheveux, je me recoiffais, oui je voulais être beau pour elle, je voulais être le meilleur, après les mails qu'on avait échangés je peux vous dire que j'étais très fébrile, nerveux, comme si c'était un rendez-vous alors que notre puce était là. "Regarde mon amour qui est là." Je faisais un signe de la main à Anastasiya, on était très visible, par contre Alessia ne la voyait pas, elle était cachée par les grosses fleurs, je rigolais un peu en lui poussant à genoux pour être à sa hauteur. Son visage s'illuminait totalement, elle lâchait les fleurs et se mise à courir à sa manière vers Anya, passant même en dessous les barrières de sécurité bien trop grande pour elle. Les vigiles allaient s'interposer avant que je cours derrière ma fille qui était dans les bras de mon épouse. C'était touchant et j'étais aussi jaloux, je voulais aussi un câlin seulement j'étais aussi un papa, je pouvais laisser du temps à Alessia qui allait dormir dans 4 heures, Anya je l'aurais toute la nuit.

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pris ce genre d'avion. D'ordinaire, je prenais toujours un jet privé, pour être à l'aise mais aussi loin de tout ces gens et quand bien même j'avais été installé en première classe, l'adolescent qui me fixait en face de moi, le papi qui avait la goute au nez à côté ... non merci. La neige encombrait le paysage. Autant dire que le soleil de Los Angeles me manquait déjà, mais Kenny et Alessia encore plus et j'étais heureuse de les retrouver. Nous nous étions mis d'accord avec Kenny, avions posés à plat ce qu'il s'était passé entre nous par email et cela s'était arrangé comme une évidence. Les mots passaient et sortaient avec beaucoup plus de facilité de cette manière. Je sortais de l'appareil, passant sous le tunnel blanc de neige, qui d'ordinaire était transparent, pour rejoindre l'intérieur de l'aéroport . Je poussais un peu les passagers sans m'excuser, j'étais pressée. Mon regard se posaient sur Kenny, Manuela et un énorme bouquet de fleur avec des jambes. Je riais, me doutant que c'était Alessia qui allait finir par tomber puis rapidement, se fut les fleurs qui tombaient et une Alessia qui me couraient droit dessus. Je m'abaissais me fichant de déranger les autres, pour la réceptionner dans mes bras et la serrer contre moi. Bon, j'étai resté accroupi pendant un petit moment le temps qu'elle arrive avec ses petite jambes mais c'était le bonheur de la serrer contre moi Je suis là ma chérie, je suis là . Alors comment ça s'est passé New York avec Papa ? Elle me regardait en hochant la tête, comme si j'allais comprendre, elle tentait de parler avec ses bruits bien à elle puis mon mari avancé. Je le regardais, Alessia se cachait dans mon cou, je posais ma main dans ses cheveux pour les lui caresser et je passais mon bras autour du cou de mon mari. Je peux vous embrasser monsieur ? et sans attendre sa réponse, je déposais un baiser sur ses lèvres, Rapide mais amoureux, je me décollais de lui avec ce sourire un grand sourire aux lèvres. Tu m'as manqué je déposais un autre baiser sur ses lèvres puis j'allais vers Manuela pour lui donner Alessia Tu vois le problème de ce genre d'avion c'est que je vais devoir attendre que ma valise fasse le tour du ... tapis ?

Fallait voir notre fille courir en se dandinant avec sa couche c'était affreusement drôle, j'ai cru qu'elle allait tombée mais pas du tout elle était à fond, elle se débrouillait bien, je courais quand même derrière elle au cas où mais une fois en sécurité dans les bras de maman, elle se laissait aller à lui faire des tonnes de bisous de partout sur son petit visage. Elle rigolait, elle baragouinait comme si on la comprenait, c'était mignon, je restais un peu en retrait avant d'avancer plus vers Anya, mon regard brillait, elle était belle, fatiguée mais belle, ses grands yeux bleu, son visage si fin, ses longs cheveux blonds, divine. Elle me contemplait, je souriais, mon cœur tambourinait tellement fort dans ma poitrine que je manquais presque de m'évanouir limite, ok excessif mais toute la nuit j'avais pensé à nos retrouvailles et la journée avait été trop longue à attendre. Elle m'embrassait, je souriais même à travers notre baiser, passant ma main dans le creux de ses reins. "Toi aussi plus que tu le pense." Chuchotais-je proche de ses lèvres que j'embrassais de nouveau. Manuela prenait Alessia, moi j'attrapais Anya pour l'avoir contre moi, poser mes mains sur son visage, dégageant ses cheveux, je souriais toujours comme un idiot. "Oui mais le bonheur c'est que moi pendant ce temps, je vais pouvoir te contempler, t'embrasser et te dire que je suis content de te voir. T'es pas trop fatigué?" dis-je en sentant quelque chose me cogner au niveau des jambes. Alessia, son gros bouquet de fleur qu'elle avait trainée par terre pour le donner à sa maman, je fondais clairement, regarder moi ce petit bout de chou qui avait comprit qu'elle devait donner ça à Anya et qui obéissait. "C'est Alessia qui a choisi, on a été chez le fleuriste et elle a montré ça."

Tout semblait être normal entre nous et c'était bon de retrouver mon mari, de revoir son sourire sans aucune gêne. Oui la nuit avant que je parte avait été délicieuse mais le retour à la réalité quelque peu embarrassant. Mes derniers mots avaient été "C'était sympa" autant dire que c'était gênant. Ses lèvres contre les miennes, je ne voulais pas les lâcher, je souriais, surtout à sa réponse. Je te crois sur parole je lui faisais un clin d'oeil, le brun posait ses mains sur mon visage, mes cheveux. Cela me faisait tellement du bien de sentir ses mains contre moi. tais-toi et embrasses moi dis-je en frottant mon nez contre le sien jusqu'à ce qu'Alessia ne vienne. Je n'avais même pas remarqué ce gros bouquet de fleur marcher vers moi. T'inquiète pas je vais bien dis-je avant de m'abaisser à nouveau pour prendre les fleurs entre mes mains. C'est toi qui les a choisis ? Waouuuuuuh, elles sont magnifiques, je dois faire un bisous à qui ? demandais-je en regardant Kenny et Alessia, puis c'est finalement vers cette dernière que je me tournais pour la remercier. Des bisous un peu partout à nouveau et Manuela la prenait dans ses bras, encore une fois. Toi je te remercierai ce soir dis-je au creux de l'oreille de Kenny avant d'aller vers le tapis Tu me dis si tu vois ma valise ... j'ai pas l'habitude

"C'est que tu es autoritaire." Dis-je surpris et totalement sous le charme. Je l'embrassais, ses lèvres m'avaient manqué, dire qu'il y a quelques jours on avait eu un moment des plus divins ensemble, c'est la suite qui était délicate. Sympa. Non mais ce mot était tellement drôle, j'en riais encore d'ailleurs quand j'y pensais, elle avait osée me le sortir, je lui referais cette blague un jour, pour mon plaisir. "Sur?" Je passais ma main dans ses cheveux alors qu'un petit bouquet de fleur sur patte venait nous rejoindre, je rigolais, Alessia mettait toute sa force dedans, on voyait qu'elle avait envie de faire plaisir. "A elle." Dis-je en la voyant réclamé sa maman, je les regardais attendrit, je partageais un peu à contre cœur sur le coup mais faut dire que cette vision je l'aimais, c'était reposant, j'aimais savoir que mes femmes étaient contente de se retrouver ensemble. "J'espère bien." Murmurais-je en posant ma main dans le creux de ses reins. "T'inquiète pas." Sa valise ne passait pas encore, je regardais le tapis, sourire dans le coin des lèvres taquin et coquin. "Vu que tu es pas fatiguée, je pourrais te faire l'amour toute la nuit." Oui je me risquais à faire des avances verbales dans un lieux public, sensuel et charmeur, je posais un bisou dans son cou, la tournant plus vers moi pour la couvrir d'un regard des plus chaud. "Je n'oublie pas ce que j'ai promis par mail… Je vais tout faire, je suis un homme de parole et j'ai pas cessé de penser à toi…" Je m'apprêtais à l'embrasser quand j'apercevais sa valise, je me jetais presque dessus, je voulais pas attendre un autre tour, je voulais rentrer coucher la petite et être avec Anya, égoïstement. "Il y a une tenue pour ce soir exigé d'ailleurs, tu l'as connais, tu l'as déjà enfilé, en plus j'ai entendu que mon équipe avait gagné… Le gagnant gagne le trophée et tout ce qui l'entoure."

Nous attendions ma valise après qu'Alessia m'ait donné l'énorme bouquet qu'elle avait choisis pour moi. Le nez dans une fleur, je sursautais légèrement en sentant un Kenny tout proche de moi à me faire des propositions indécentes. Un énième petit sourire en coin se formait sur mes lèvres à ses mots, un baiser dans mon cou et il me tournait vers lui. C'est osé de me dire ce genre de chose en public Kovalevski, vous n'avez aucune décence je secouais la tête, comme pour lui faire une réprimande mais mon sourire me trahissais, le nez dans une fleur à nouveau pour en sentir son parfum je soufflais juste Je sais bien que t'es un homme de parole... et tu peux pas savoir à quel point j'ai pensé à toi aussi, après tes mails, j'ai fais certains rêve interdit au moins de 18 ans je te signal je riais, me rappelant très bien de mes doux rêves qui allaient devenir réalité. Kenny se chargeait de ma valise, la prenant sur le tapis, fort heureusement qu'il était là, je ne l'avais même pas vu, un petit tour d'ensemble, elle ne semblait ne rien à voir C'est bien beau, chaque année j'ai une tenue exigé à cette période, mais aussi à la saint valentin, à pâque, à ton anniversaire, à Noël et d'autre jour qui ne se font pas ... rares en fin de compte mais toi ? J'exige le pompon à Pâque dis-je en éclatant de rire mais à la suite de ses mots, je fis la moue oh non t'as tout gâché, on était censé ne pas se tenir au courant, éviter tout contact, maintenant que tu sais l'issue du match ça ne sert même plus à rien qu'on le regarde j'étais déçue pour le coup, j'avais fait tellement attention pour ne rien savoir, quitte à me promener avec des écouteurs et de la musique dans les oreilles dans chaque lieu public pour ne surprendre aucune conversation qui ne gâcherai notre soirée.

"Je perds tout mon contrôle quand je pose mes yeux sur vous Kataieva, je n'y peux rien, vous êtes… magnétique." Murmurais-je en l'incendiant du regard. J'avalais ma salive, je la voulais maintenant, c'était horrible, je l'imaginais en plus faire ses rêves sans moi, mon doeu fallait pas qu'elle me dise ça. "Je ferais en sorte de réaliser tout ce que j'ai fais dans ton rêve." J'étais toujours sensuel, j'avais clairement envie, je posais même ma main dans le creux de ses reins pour qu'elle sente ma réaction, je ne l'aurais pas fait à une époque mais elle qui pensait que je ne la voyais plus comme une femme, je pensais qu'elle devait se rendre comment j'étais quand on parlait de ceci, comment je me sentais quand elle posait ses yeux sur moi. "Le pompon de pâque?" Je rigolais avec elle. "Si tu veux, je suis pas trop sur qu'il y a quelques choses d'excitant dedans mais bon si tu le veux, je le ferais." Je ferais tout pour elle, j'espère qu'elle s'en rendait compte par contre oui j'avais entendu l’issue du match tout le monde en parlait, la radio que j'avais mise dans la voiture l'avait même annoncé alors qu'à la base il passait juste de la musique pour enfant c'est pour dire l'impact que ça à. "Ah si on va le regarder, je ne sais pas le score, je veux voir moi. J'y peux rien en plus, j'aurais jamais cru que sur la radio pour enfant il dirait ça." Je faisais un peu la moue en tirant sa valise, ma main cherchait la sienne, je la serrais plus fortement. "Fais pas la tête ma puce." Manuela avançait vers la voiture, Alessia baillait déjà, le fait de porter le bouquet l'avait tuée vraiment crevé. Une fois dans la voiture, valise dans le coffre, je montais à l'avant, Anya à mes cotés, je caressais sa tête encore, j'étais très tactile mais elle me faisait tellement envie, elle me rendait malade complètement même en conduisant, je ne pouvais pas m'empêcher de poser ma main sur sa jambe.
Une bonne vingtaine de minutes plus tard, la maison se dessinait à l'horizon, je descendais le premier, Manuela voulait faire manger Alessia vu qu'elle piquait du nez alors je lui laissais faire. "D'accord, je dois montrer un truc urgent à Anastasiya, vous pouvez le faire?" Elle acceptait sans rien dire, je prenais la main de la russe, mon ordinateur aussi pour avoir une excuse plus crédible et quand on arrivait dans la chambre, je l'embrassais langoureusement. Je perdais pas de temps, rien du tout, si elle savait comment j'avais pensé à tout ça. "Je te laisse pas le choix Kataieva, je vais te prendre maintenant et toute la soirée." Ok là c'était chaud, indécent, j'espère que mon vocabulaire, ma manière de faire lui plaise, moi en tout cas j'étais aux anges.

Il savait déjà l'issue du match, je le regardais, la bouche en coeur. mais c'est pas drôle, je sais que mon équipe va perdre maintenant, que je vais perdre le pari qu'on fait chaque année et que je vais devoir faite bonita toute la journée du lendemain oui, c'était ce genre de pari qu'on faisait, quand l'autre perdait, il devait être au petit soin pour l'autre, toute la journée du lendemain, accéder à ses moindres désirs. Je me souvenais encore de la cloche que je faisais retentir dans la maison quand je voulais quelque chose. Alors si je pouvais y échapper parce que monsieur était déjà certain de gagner, pourquoi pas tenter ?
Rapidement nous arrivions dans la maison. Le long du trajet en voiture, j'avais posé ma main sur celle de Kenny pour entrelacer nos doigts, lui faisant part de mon séjour sans oublier de lui donner des nouvelles de Candice. J'étais heureuse d'arriver à la maison, Milo, Kenya & Jay me sautaient carrément dessus, j'avais l'impression que cela faisait des mois qu'ils ne m'avaient pas vu et sans que je ne puisse dire ouf, Kenny m'entrainait dans notre chambre. Tu dois me montrer quoi ? Y'a une urgence ? okay, sur le coup, je n'avais pas été très perspicace, mais je le fus un peu plus lorsque ses lèvres se posaient sur les miennes. Ses mots me firent sourire, j'enlaçais son cou, le regardant un instant avant de lui toucher le nez, du bout de mon index. J'accepte ta proposition, mais juste laisse moi le temps d'aller prendre une douche, je me sens sale dis-je en posant mon regard sur moi, je n'avais pas l'habitude des avions publics, j'étais habitué au confort d'un jet privé ayant souvent des salle de bain à l'intérieur. puis j'ai envie de profiter de tout ça dis-je en laissant trainer ma main sur son torse comme il faut

"Une grosse urgence !" dis-je en la regardant. Je montais en haut rapidement, ordinateur dans les bras pour avoir une excuse face à Manuela qui n'avait pas laissé paraitre un sourire, elle avait l'air ailleurs. Mon pied fermait la porte, mes lèvres s'abattaient sur les siennes, désireuses, je fus heureux de la voir répondre avec la même ferveur, je souriais à travers, mes mains désormais libre vu que j'avais jeté mon mac sur le lit, je l'entourais bien fortement contre moi faisant cette proposition des plus indécentes. "Sale?" dis-je en fronçant les sourcils. Je faisais la moue un peu, j'étais déçu pour une fois que je faisais tout un cinéma, que je cherchais une excuse pour la faire monter, que je la contemplais avec une folle envie de faire des bêtises en sa compagnie, là rien. "Tu te rattrapes bien Kataieva, je peux même pas t'en vouloir." Je terminais par sourire finalement fallait la voir, poser son index sur moi, le laisser glisser, je riais légèrement alors que ma main allait de nouveau contre sa nuque pour l'embrasser langoureusement. "En même temps, je suis sale moi aussi, j'ai attendu… Je devrais peut-être en prendre une aussi et vu qu'on aime la planète, on la prend à deux…" Je passais ma main dans ses cheveux, frottant mon nez contre le sien, je décidais de la prendre par la main pour l'attirer dans notre salle de bain. Oui j'oubliais mon rôle de papa mais mon dieu ce qu'elle m'avait manquée, ce n'était pas juste deux jours ou trois d'absence c'était à cause de notre dispute, de ma peur de la perdre, de la colère que j'avais pu avoir à son égard aussi, bref j'étais content je crois qu'elle le savait, qu'elle pouvait le voir en tout cas.

Je sais bien que pour le coup, je venais de le freiner dans ses intentions, mais j'avais absolument besoin de prendre une douche et le temps d'atterrir. D'ailleurs, je me demandais si Kenny était revenu ici le temps que je n'étais pas là, ou s'il avait passé la nuit à la maison du lac. Oui, enfin tu sais avec toutes ces personnes, puis la salle d'attente, les tapis pour les valises, je te parle même pas des douanes. On m'a fouillé ! Moi ! Une grosse camioneuse a poser ses grosses mains sur moi parce que j'avais sonné, j'avais oublié de mettre mon téléphone dans le petit bac ... je te jure Kenny, c'est terminé, je veux pas être comme tous le monde dis-je en frissonnant violemment en pensant aux grosses mains de cette femme. Merde quoi, elle était ignoble, je réprimais une nouvelle grimace tout en commençant à me déshabiller pour terminer de remplir le panier de linge sale qui était dans la chambre, prêt à être apporté à la buanderie. C'est à ce moment là que Kenny choisissait pour m'embrasser à nouveau alors que je bataillais avec mon pantalon manquant de tomber au passage. Il me rattrapait, contre ses lèvres, je riais en le voyant ainsi. Je ne me moquais pas, non, c'était un rire amoureux et heureux. Je sautais même dans ses bras en entourant sa taille de mes longes jambes,en sous vêtement. Si tu te sens sale aussi, je vois pas d'autre solution bébé un petit sourire en coin et je comptais sur lui pour me maintenir fermement parce que j'enlevais mes bras autour de son cou pour lui retirer son pull, puis son tee-shirt alors qu'ils nous amené dans la salle de bain. Une fois dedans, je descendais, pour retirer ses chaussures,à genoux devant lui, puis ses chaussettes, son pantalon et son boxer .... mon regard se posait sur un endroit précis puis sur ses yeux avant de me redresse. tout à l'heure je sais bien qu'il avait compris ce que je voulais dire. on prend notre douche en premier dis-je en retirant mes sous vêtements, en me regardant dans la salle de bain.