KENYA ♥ Je ne suis pas Anastasiya Kataïeva sans toi

Peut être pour toi, mais pour moi c'est beaucoup lui-dis en déposant un baiser contre le haut de son dos qui était découvert grâce au col de son tee-shirt. La sonnette. La mère de Kenny. J'allais ouvrir pour rapidement les laisser tous les deux. Je pouvais comprendre que Meredith veuille rester avec son fils, qu'elle veuille profiter de lui alors je terminais mon petit déjeuner pour monter à l'étage, dans notre jambe. J'allais dans mon dressing, je me sentais bien dedans entouré de tout ces vêtements, allait savoir pourquoi. Je n'avais même pas entendu la mère de Kenny partir, ni même monter. Je m'étais changé, j'avais opté par un jeans et un petit débardeur rouge qui remontait sur mon ventre. Je le soulevai un peu pour regarder mon ventre avec des questions plein la tête. J'étais obnubilé par cela d'ailleurs. D'ailleurs, c'est dans le miroir que je vis Kenny, ses yeux un peu surpris sur moi, se demandant ce que j'étais en train de faire. Du moins, c'est ce que je pensais. Je me retournais en baissant le tissus sur mon ventre pour le regarder. Tu m'as dis que j'avais grossi hier, alors je regardais si c'était visible je tentais de brouiller les pistes, je ne voulais pas qu'il soit au courant sans que je n'ai fait le test et sans que je ne réfléchisse à cette idée. Ta mère est déjà partie ? oui je tentais de faire diversion au maximum quitte à l'envoyer sur d'autre conversion d'une minute à l'autre, quitte à ne pas être cohérente.

Anastasiya se tenait tranquille en haut, c'était étrange, généralement la demoiselle faisait la fouineuse quand j'étais avec ma mère sauf qu'aujourd'hui non. Je crois que cette histoire l'avait aussi rendu triste, elle avait eu l'impression de me perdre et je ne pouvais pas rester sans rien faire, je devais avancer, je voulais le faire pour nous deux, notre fille aussi. Montant les marches, j'arrivais proche du dressing quand je vis ma belle se regarder le ventre. Elle pensait à la grossesse? Je souriais légèrement au fond, j'aimerais bien mais quand elle me disait que c'était de ma faute, je levais les yeux au ciel. "T'es parfaite mon amour." Dis-je en arrivant vers elle, j'enroulais mes bras autour de son cou pour l'attirer contre moi. Son débardeur rouge, la couleur rouge, c'était sensuel à mes yeux, peut-être parce que c'était la seule couleur que j'arrivais à bien distinguer en tout cas ça me faisait un petit effet, plutôt joueur et coquin. "Oui et Alessia joue dans son parc." Je l'embrassais la seconde suivante, mes bras toujours autour de son cou, son corps contre le mien, j'avançais vers le fond du dressing pour la plaquer contre le mur en prolongeant ce divin baiser. Hier je n'avais pas été très tactile, j'avais voulu oublier avec le sexe mais en fait ça m'avait plus miné le moral qu'autre chose, aujourd'hui tout ce que je voulais c'était des câlins, juste des bisous, des regards, des caresses rien d'autre, me sentir aimer et apprécier. Je frottais mon nez contre le sien, mes yeux et mon sourire étaient tout brillant remplit d'amour à son égard. "Ta eu peur hier…" dis-je en glissant mes mains dans ses cheveux, la gardant contre moi. "ça se voit sur ton visage encore…"

Apparemment, j'avais réussi à le mettre sur une toute autre piste. Puis qu'il tentait de me rassurer en me disant que j'étais parfaite. J'acceptai le compliment, parce qu'il était vrai. J'étais parfaite (aa) Tu peux le répéter encore ? dis-je d'une manière taquine. Pourquoi ne pas se faire plaisir et écouter sans cesse ce genre de petits mots ? Ses bras autour de mon cou, il me ramenait contre lui ce qui m'obligeait à lever mon regard dans le sien. Ah oui et je dois comprendre quelque chose ? lui demandais-je en arquant un sourcil, laissant mes bras glisser contre ses reins jusqu'à ce qu'il ne m'embrasse en allant me plaquer contre le mur du dressing qui n'était d'autre qu'une glace. Ce dressing était géant, c'était une pièce aménagé avec des allés, tout mes vêtements étaient rangé par matière, couleur, saisons et je trouvais encore le plaisir d'en acheter une tonne. Ses lèvres contre les miennes, je le laissais faire, sourire sur les lèvres, j'étais heureuse. Peu à peu, j'ouvrais les yeux à son nez qui se frottait contre le mien. Bien sûr que j'ai eu peur Kenny ! dis-je en le regardant un peu plus sérieusement. j'ai eu peur de te perdre et quand bien même j'ai ressenti un soulagement énorme en te voyant, au fond, j'ai peur qu'on te prenne. Qu'on m'arrache à toi. Ce genre de chose est indépendant de notre volonté et ça se passe sans qu'on puisse faire quelque chose, c'est frustrant et terrifiant dis-je en le serrant encore plus contre moi, alors que j'étais littéralement plaqué contre le miroir. je veux que tu restes contre moi

"Tu es parfaite." Répétais-je. Je n'aurais pas du, je sais qu'elle allait prendre la grosse tête, même si elle avait déjà un peu à cause de moi, mais voilà ses yeux, sa manière d'être, j'avais envie qu'elle sache que malgré deux ans passés à ses cotés, j'étais toujours autant amoureux, je l'a trouvais toujours aussi parfaite. Mes yeux dans les siens, mes bras enroulés autour de son cou, je riais un peu. "Bien je sais pas, peut-être. Tu as mis du rouge en plus, tu sais ce que le rouge me fait." Sa bouche, sa robe aussi de saint-valentin de la première année ou elle m'avait fait littéralement tourné la tête. Je soupirais content, mes lèvres contre les siennes, Anya désormais contre le miroir, je l'embrassais amoureusement, j'en avais terriblement envie, je la sentais peu à peu plus détendu même si sur son visage, je décelais encore les traces de la mésaventure d'hier. Je voulais qu'elle oublie, j'essayais de le faire mais je n'y arrivais pas personnellement. Mon nez contre le sien, je passais mes mains dans ses cheveux puis sous ses yeux pour toucher ses cernes. "On m'a pas prit alors tu peux… respirer." Dis-je en caressant son visage de mes mains. "Je suis encore à toi et pendant des années et des années. Tu vas en avoir marre au bout d'un moment, un mec qui te touche tout le temps." Je plaisantais mais au fond c'était le cas, j'avais toujours mes mains sur elle. La serrant dans mes bras, je manquais même de l'étouffer. "Je partirais plus alors, on va se souder ensemble avec du thermocollant sur le coté tu sais comme des siamois." Je riais un peu, je m'imaginais avec elle souder, j'avoue que ça serait affreusement drôle mais très contraignant. "Par contre va falloir que tu fermes les yeux quand je ferais l'amour avec ma maitresse, je suis pudique." Une boutade rien de plus, je lui volais même un baiser, coinçant son visage dans mes mains.

Il me le répétait à nouveau. Je souriais. Qu'avais-je fait au bon dieu pour mériter un tel homme à mes côtés ? Peut être que j'ai fais exprès dis-je en haussant deux fois de suite les sourcils. Je n'avais pas fait exprès, j'avais mis un débardeur lambda pour trainer. Lambda ... c'est vite dit parce qu'il avait une coupe parfaite, un beau décolleté et venait d'un grand couturier. Sous ses lèvres, je me détendais peu à peu, parce que cela signifiait qu'il était là. A mes côtés, que je l'avais bien entre les doigts et que ce n'était pas qu'une douce illusion. Ses doigts terminaient par se poser dans mes cheveux pour revenir sur mon visage. Je le laissais faire en fermant doucement les yeux. Cette sensation était la meilleure que je connaisse au monde, se faire toucher par l'être aimé, sentir jusqu'au plus profond de son âme que c'est lui, que c'est le bon. J'exagérai ma respiration lorsqu'il m'informait que je pouvais respirer à présent, puis un léger sourire venait orner mon visage. J'ai l'habitude de toute manière alors un peu plus un peu moins, je pense que je peux m'y faire et j'avais envie de m'y faire, je n'avais pas envie de perdre le contact avec lui. J'avais envie de pouvoir voir son visage chaque jour, sentir son odeur me bercer, ses bras m'entourer, sa voix me conté de douce chose. Qu'on se soude ensemble avec du thermocollant ... dis, est-ce que je devrais avoir peur la nuit en dormant à tes côtés ? puis à la suite de sa phrase, je lui donnais un coup de poing contre l'un de ses pectoraux Je ne fermerait pas les yeux, tant pis, tu vas devoir te contenter de ta femme j'haussais une épaule , levant mon index devant ses yeux comme lui dire " Attention à ce que tu vas dire "

"Bien je me lasse jamais de te toucher." Je la regardais tellement amoureusement, mes yeux brillaient, mon touché était délicat, ma respiration saccadée, elle me rendait dingue. Il m'était arrivé parfois de me réveiller la nuit pour vérifier si elle était bien là. Je sais que c'est débile mais j'avais l'impression de rêver cette vie, elle était parfaite, qui aurait cru que j'allais épouser celle que j'aimais depuis plus de trois ans, que j'allais avoir un bébé avec elle et que j'allais laisser mon rêve de revenir dans mon pays natal pour la suivre, personne sauf moi. Je me rappelais de Tyler, des mots qu'il avait souvent eu en pensant à cette relation étrange avec Anya à l'époque et maintenant j'avais envie de lui dire de nouveau, j'avais raison, je me suis accroché, j'ai touché le jackpot. "Peur? Non voyons, je suis sain d'esprit après peut-être que mes mains ne se contrôleront pas et te toucheront mais sinon tu peux dormir tranquille." Je riais un peu, j'étais parfois somnambule, je touchais mon épouse, chastement mais il est vrai que j'avais eu plusieurs remarques de sa part le soir et je n'avais jamais osé avouer que c'était pour vérifier si elle était bien là, avec moi. Je m'amusais, jusqu'au coup. "AIE !" m'écriais-je faussement blessé. Petit index levé, sourcils froncés, Kataieva en colère. "Bon ok alors on va improviser." Je la regardais en me reculant, amusé. "Tu pourras regarder si c'est ton délire." Je rigolais en me reculant toujours. "Un genre de plan à trois sans que tu touches mon corps, dommage n'amour !" Je rigolais jusqu'à partir sur le lit comme un gamin, m'étalant dessus le ventre en premier, rebondissant sur le matelas, j'étais content ce matin finalement.

J'espère, parce que j'ai pas envie de me retrouver thermophilé avec toi même si je l'aime de tout mon coeur, je ne pense pas que je pourrais passer H24 avec lui. J'avais besoin de ma petite intimité, de me pomponner le matin, de faire pipi tranquillement, de pouvoir m'habiller ... Comment ça on va improviser ? Il s'éloignait, continuant de me parler de sa maîtresse, de regarder ... mon regard s'accrochait à Kenny, le suivant dans ses moindres fait et geste. Si tu parles de cette maîtresse là dis-je en lui montrant du doigt sa main et en faisant un geste assez équivoque. Je l'ai déjà vu faire je riais, je me pinçais même la lèvre pour ne pas éclater de rire avant de me laisser tomber sur lui. Mes fesses contre les siennes, je regardais le plafond en soufflant un peu. Pourquoi tu me parles de plan à trois ? T'as déjà pensé à ça ? demandais-je en tournant juste mon visage sur le côté pour tenter d'apercevoir son visage. Je sais qu'à un moment donné de sa vie, il avait fait ce genre d'expérience, mais peut être qu'il avait envie de réitéré l'expérience. C'était simplement une question comme une autre, parce que je ne me voyais pas faire ce genre de chose. J'étais totalement contre pour dire la vérité.

"Bien improviser, tu vois pas ce que ça veux dire." Je faisais des pas en arrière, je rigolais aussi, je trouvais ça vraiment amusant de la chercher seulement Anya me cassait totalement en désignant ma main. "T'es nulle, tu peux pas faire genre que tu es jalouse que j'aille voir ailleurs? Juste pour que je me sente… important." J'hochais la tête en partant dans la chambre rigolant, amusé par cette journée qui pourtant avait mal commencé vu mon réveil assez tôt, ce qui ne me ressemblait pas. Allongé, Anya était sur moi, elle m'écrasait. "OUTCH !" fis-je exprès comme si elle avait faussement grossit. "Ta pris je sais pas combien là, tu… je… je meurs…" Je riais ensuite, j'espérais qu'elle le prenne pas mal en tout cas moi je le prenais pas vraiment mal quand elle parlait de mes petites bouées à une époque, c'était une taquinerie comme d'habitude. "Hein?" Je tournais la tête pour essayer de l'apercevoir. "Non j'y ai pas pensé, je suis trop jaloux et égoïste de toute manière, je partage pas ce qui m'appartiens." La question qui tue quand même, si j'avais déjà pensé à ça, au fond je cherchais et je retombais sur la même réponse: non. Anya me suffisait largement, elle avait un appétit aussi grand que le mien donc on était souvent sur la même longueur d'onde pour ça puis je sais pas, je serais nul d'aller voir ailleurs alors que j'avais celle qui faisait battre mon cœur contre moi. Passant mes mains derrière moi, j'agrippais mon épouse. "Me dis pas que tu y as pensé, moi je veux pas, c'est mort donc tu oublies tout ça." Après tout qui me dit que ce n'était pas elle qui le voulait, j'en savais rien. "Au fait, tu m'apprendra la petite courbette que je dois te faire?"

Je suis tellement jalouse, tellement, tellement dis-je en posant une main contre mon coeur tout en avançant vers mon mari. Si tu croises le regard ne serait-ce que d'une autre femme que moi, je te crèves les yeux dis-je en montrant mes yeux de deux doigts, puis les siens, du genre, je t'ai à l'oeil mon coco avant d'éclater de rire. C'était faux, il voulait que je lui montre que j'étais jalouse, alors je tentais d'amplifier ce sentiment. Il savait que j'étais une femme jalouse, il en avait déjà fait les frais par le passé. Je me laissais ensuite tomber sur lui, posant l'arrête de ma tête contre l'arrière de la sienne, mes fesses contre les siennes. Dans ce cas, tu seras gentil, meurs en silence j'appuyais d'ailleurs sur ma tête pour que la sienne s'enfonce un peu plus contre le coussin. Savait-il de quoi il parlait ? Parce que peut être que c'était le cas. Peut être que j'avais réellement pris du poids à cause d'une grossesse que je ne voulais pas. Demain, je fais un test. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer. Il tournait la tête, moi aussi, nous pouvions nous voir, dans le miroir face à nous. Je souriais à sa réponse, heureuse qu'il ne pense pas à ce genre de chose parce que cela voulait bien dire que je lui suffisait. Soudainement, je sentais ses bras m'entourer. Je riais, surprise en posant mes mains sur les siennes. Cette position devait lui faire mal, j'en conviens, mais j'étais bien. Je te signal que j'y ai jamais pensé, tu me suffis aussi ! c'était nos moments à nous et je n'avais pas envie de partager cela avec une autre personne. Qui plus est, j'étais bien trop jalouse pour le faire et il devait le savoir. Très bien ... lèves toi C'est après lui avoir demandé de le faire que je le faisais a mon tour. Debout sur le lit, je le regardais, tout en posant ma main contre mon ventre pour lui faire la révérence. Comme ça, tu baisses ton genoux et tu le pose au sol en gardant bien ta main contre ton coeur.

Ouf. Je fus soulager, déjà parce qu'Anya ne pensait pas à un plan à trois et qu'en plus elle ne prenait pas le fait que je lui ai dis qu'elle avait grossit. De toute manière, je crois que je n'aurais pas été capable d'assumer une dispute, j'aurais surement botté en touche ou alors je me serais énervé et je me serais enfermé dans mon studio pour évacuer le stress. Je crois qu'en fait aujourd'hui, elle comme moi étions heureux de nous retrouver en amoureux un peu, Alessia jouait toujours en bas, je l'entendais rigoler, elle avait mon coté un peu idiot parfois, c'est triste qu'elle ait héritée de ça. "Je suis prêt." Je me mettais sur mes pieds, sautant sur le matelas prêt à faire la révérence, Anya me la montrait un peu, je la regardais faire, je souriais en me mordant la lèvre pour ne pas rire. "Refais j'ai pas bien vu." Mentais-je rien que pour la forcer à me faire la révérence. "Non sérieux, j'ai pas vu l'emplacement du pied, c'est compliqué, t'es petite, du coup j'ai une vue qui plonge sur ton dos enfin tu vois." Embrouille du jour bonjour, je la regardais en faire une deuxième avant de poser ma main sur son dos pour l'écraser un peu plus bas vers mes genoux mais avec douceur, je n'allais pas non plus lui faire mal. "Ah je crois que je pourrais m'y habituer à ça. Merci." Riais-je en laissant tomber mes fesses sur le matelas. Le faire? Non hors de question, je voulais juste l'emmerder, la voir se mettre presque à genoux devant son Dieu, devant moi. "Fais pas cette tête, viens là mon nounours !" Je lui tendais les bras pour qu'elle vienne contre moi. "Je vais te faire des bisous et si tu es sage, je te ferais le câlin de tout l'univers rien que pour te consoler."