KENYA ♥ Je ne suis pas Anastasiya Kataïeva sans toi

Kenny me parlait de mon père chose qui me faisait sourire, je le connaissais assez pour savoir qu'en vu de ses mots, son intention était bonne. Cela me faisais sourire. Il est comme ça, c'est qu'il a dû s'inquiéter pour toi, tu sais ... il est pas du genre à montrer son inquiétude et s'il t'a appelé toi au lieu de m'appeler ... ça veut dire que c'était pour t'entendre toi et pas moi Si mon père avait été de mauvaise humeur, s'il avait mal pris ce que Kenny avait fait, il m'aurait appelé moi pour me le dire et non directement Kenny, c'est qu'au fond, c'était pour le sonder lui. Je posais un peu plus ma tête contre son épaule, j'étais bien là, juste dans ses bras, par contre son geste me fit ouvrir les yeux. Sa question me stressait d'autant plus. Pourquoi me disait-il cela ? Pourquoi me parlait-il de mes seins ? J'attrapais ses doigts pour les entrelacer au mien et les enlever de mon sein. Non, j'ai pas grossi mais je vais surement avoir mes règles, enfin je vais les avoir oui je voulais mes règles, je voulais qu'elles arrivent bien rapidement d'ailleurs. J'avais déjà du retard, ça me faisait peur d'autant plus à cause du coup de la dernière fois au restaurant. Arrêtes de les regarder comme ça, tu vas les faire dégonfler comme un soufflet, tu devrais être heureux dis-je avec un petit sourire sur le coin des lèvres ayant toujours les yeux fermés. Tu veux faire quoi demain ?

"C'est bizarre mais j'aime bien." Oui Igor qui se faisait enfin à l'idée qu'Anya et moi étions un vrai couple et que je n'étais pas nocif pour le statut de sa fille fallait le fêter vous ne croyez pas? Seulement mes pensées passaient tout de suite à autre chose quand mes mains se retrouvaient sur ses seins, ils étaient tout rond, ils étaient étrange oui, oui, décidément c'était le mot de la soirée. Elle enlaçait mes doigts avec les siens du coup je les fixais normal. "Ah je me disais." Dis-je en les regardant toujours. "Mais ils sont beaux, ils sont tout rond, comme quand tu étais enceinte." Je voulais les toucher encore, en profiter comme elle le disait mais elle ne me laissait pas du tout l'occasion de le faire. "Je sais pas déjà je veux toucher." Dis-je en me défaisant de ses doigts pour les malaxer et c'est là que je voyais que ses seins me désignaient la direction droit devant eux, ça lui plaisait? Je faisais des gros yeux, ce n'était pas possible, généralement ça lui faisait mal parce que j'avais lu dans un des magasines qu'elle avait que c'était une partie très sensible et là… Je restais sur les fesses. "ça te plait?" demandais-je curieux. "Ils disent bonjour." A aucuns moments je pensais à une grossesse, je pensais que c'était juste une réaction physique d'Anya, de me retrouver, les émotions et tout, j'étais tellement naïf que je me penchais pour embrasser son cou très lentement juste pour tester après tout, ou était le mal? Bien il était que je m'occupais d'elle avant moi, je devais me ménager, tout ce que je trouvais c'était m'échapper avec des câlins.

J'étais ravie que mon père porte de l'intérêt à mon mari. D'ordinaire, c'était des regards en biais, de rares paroles qui pouvaient parfois être assassines, mais là, je savais que c'était tout simplement de l'inquiétude. Bien que je n'étais pas proche de mon paternel, je le connaissais. Je l'avais étudié pendant 18 années. Moi aussi j'aime bien, beaucoup même. dis-je en inspirant longuement, les yeux fermés. J'étais heureuse que tout s'arrange qu'il n'y est plus de problème entre mon père et Kenny. J'en avais assez de devoir prendre des partis mais aussi de les voir se lancer des piques sous la table, avec un air de défi. Alors que je pensais à cela, mon cher et tendre mari se mettait à me malaxer les seins ? J'étais étonné, je baissais les yeux pour le regarder faire avant de lui enlever les mains à sa réplique. J'avais les mêmes seins que lorsque j'étais enceinte ? S'il savait ce qu'il se passait peut être dans mon ventre. C'est pour cela que j'enlevais ses mains en essayant de passer à un autre sujet. Dis pas n'importe quoi, je suis pas enceinte, je te dis que c'est mes règles lui dis-je doucement, dans un souffle. Je tentais de m'apaiser un peu, alors que je sentais déjà mon coeur battre un peu plus fort. Kenny et ses caprices, il revenait à la charge. Dans un autre contexte j'aurais apprécié ce genre de geste, j'en aurai même retiré du plaisir, mais là, le fait qu'il me dise que mes seins étaient ceux de ma jadis grossesse ... c'était perturbant. Kenny, tu peux arrêter de me triturer les seins s'il te plait ? Si tu veux te détendre les doigts on ira acheter des balles demain c'est vrai quoi, je me redressais un peu lorsque monsieur venait embrasser mon cou. Je le laissais faire, me mordillant un peu la lèvre d'ailleurs, pourquoi se mettait-il à faire tout ceci ? Kenny, arrêtes ... tu peux pas faire ça ce soir, c'est ... je sais pas c'était pas normal qu'il se mette à m'affectionner comme ceci, après ce qu'il avait vécu.

Elle s'énervait, j'aimais les défis, à croire qu'elle le faisait exprès. Mes yeux étaient joueur, je sais que je n'aurais pas du me comporter ainsi, que je devais être en deuil mais je ne voulais plus me morfondre, je voulais profiter, j'avais eu de la chance de ne pas être blessé, que ma femme et ma fille aille bien alors je tiendrais bon. "C'est qu'elle s'énerve Kataieva…" chuchotais-je en posant mes mains de chaque coté de la baignoire, mes doigts tapaient dessus, j'étais impatient, prêt à les faires revenir à l'attaque dès qu'elle allait émettre une faiblesse sauf qu'après une autre fois, c'était fini. "ça va, ça va, tes hormones là." Le mot balle me ramenait à la réalité, mes lèvres sur son cou s'arrêtaient net et mon envie de jouer partait en fumé, disparu, oublié. Je me relevais un peu, je me raclais la gorge, elle m'avait pas agacée mais presque, Anya voulait être avec moi mais elle voulait pas subir mes assauts alors bon j'allais rester comme une peluche, à attendre qu'on joue avec moi. Silencieux, je passais ma main dans mes cheveux pour finalement sortir du bain, ça me prenait la tête, j'avais refusé de voir la vérité en face tout à l'heure mais elle m'éjectait comme une merde c'était lourd. Je me rinçais sous la douche, je me frottais la tête, me nettoyait encore et encore, énergiquement, je sais pas ce qui me prenait, ma peau devenait rouge, j'essayais juste de chasser toutes les traces de cette journée et finalement je m'écroulais sous le poids, me laissait aller au sol de notre douche italienne, les jambes un peu recroquevillé et la tête dans mes mains, j'avais envie que tout prenne fin.

Je n'avais pas envie qu'il me dise que ma poitrine ressemblait à celle d'une femme enceinte, bien que je savais au fond que c'était un compliment. Mes seins étaient plus ronds, plus gros sans pour autant tomber. Ils étaient tout bonnement parfait en cet instant. Cependant, je n'avais pas envie qu'il me confronte à la réalité, je n'avais pas envie de me dire, que oui, il y avait une forte possibilité que je sois enceinte. Alors je préférais l'éloigner du sujet, de moi. C'était sans compter sur son côté insistant, il revenait à la charge, se mettait même à déposer ses lèvres avec une certaine sensualité, mal placé pour ce soir, contre mon cou. Sans que je ne comprenne quoique se soit en vu de la rapidité affolante dont il avait fait preuve, je me retrouvai seule dans la baignoire, sans mon mari derrière. J'avais froid soudainement. Je le regardai faire, se lever pour aller dans la douche italienne. Kenny, le prend pas mal comme ça ... dis-je en tentant de le rattraper par la main, mais c'était peine perdue. Je soufflais un bon coup, pour me remettre dans la baignoire pendant que monsieur prenait sa douche. Je voyais ses mouvements, il frottait, frottait et frottait. Ce n'était pas normal. Je fronçais les sourcils, je me relevais pour allait voir ce qu'il faisait. Il était au sol, comme recroquevillé sur lui même, la peau irrité. Mon amour ... Dis-je en me baissant devant lui, j'enlevais ses bras pour le prendre contre moi. A genoux devant lui, je posais sa tête contre ma poitrine pour lui caresser les cheveux, sous le jet de la douche. On est à la maison, en sécurité et ensemble .. t'inquiète pas. dis-je en le berçant contre moi, continuant mes petites caresses dans ses cheveux. Je n'aimais pas le voir comme ça, si déboussolé. Tu veux sortir de la douche où on reste là ? ça ne me dérangeait pas de rester ici tout en gardant mon mari dans mes bras. D'ailleurs je posais mes fesses au sol, mes jambes sur le côté, c'est que cette position me faisait mal aux genoux et je reprenais Kenny contre moi, contre ma poitrine, en lui caressant la tête et en regardant devant nous. Tu devrais prendre quelques jours, pour te reposer tu crois pas ?

J'avais l'impression de me perdre, je ne sais pas tout arrivait si rapidement, c'était… J'étais perdu, je ne savais plus comment faire pour être en sécurité moi-même et j'avais en plus une famille sur qui veiller, j'abandonnais. Je frottais ma peau avec l'espèce de fleur de douche d'Anya rose encore et encore sans cesse sur mes mains qui étaient sale à mes yeux, le sang de Teddy, sa voix, sa manière de crier de douleur, les coups de feu, je lâchais prise, mon cerveau, mon corps ne répondait plus et je m'écroulais sur le sol. J'en avais plus rien à faire, Anya pouvait penser tout ce qu'elle voulait de moi, je n'étais plus capable de faire face en cet instant. Assit sur le sol, je laissais mes mains sur mon visage, elle avait beau m'appeler, je ne levais pas la tête jusqu'à ce qu'elle me force. Elle me ramenait contre elle et je l'enlaçais. On était jamais en sécurité, ni même dans un endroit ou on devait apprendre, un endroit ou à la base toutes les cultures, toutes les visions avaient leur place, c'était affreux ce qui avait eu, ce qui pouvait se passer sur cette ville, même à New York ce n'était pas si tragique en si peu de temps. Je ne répondais pas à sa question, je ne voulais pas sortir, je voulais juste rester ici, j'avais l'impression qu'on serait en sécurité l'un contre l'autre. Je fermais les yeux, Anya me chouchoutait, je n'aimais pas ça d'habitude, c'était toujours moi la personne qui la touchait, lui faisait des bisous et aujourd'hui j'oubliais mon rôle parce que je n'y arrivais plus. "Je vais en prendre." Murmurais-je contre sa poitrine. On restait ici plusieurs minutes jusqu'à ce que je me redresse, je la regardais puis je lui volais un doux baiser, rien de très passionné ou même langoureux juste un baiser tendre et amoureux. "On va dormir?" Oui oublions vite tout ceci, je t'en supplie.

Je ne l'avais jamais vu ainsi. Je veux dire par là que Kenny me montrait toujours l'allure de l'homme, le vrai. Celui qui arrive à déplacer des montagnes, celui qui protège sa famille et là, il paraissait si vulnérable et en cet instant, je l'aimais encore plus. Mon mari contre moi, je me posais sur les fesses parce que mes genoux commençaient à me faire mal contre la mosaïque du sol, c'était assez désagréable. Le visage de Kenny contre ma poitrine, le mien au dessus du sien, nous n'avion pas besoin de parler. Juste de doux gestes tendres suffisaient. Ma main dans ses cheveux, j'entrelaçais mes doigts à sa chevelure brune, trempée tout en fermant les yeux. Il s'accrochait à moi, me serrait contre lui. J'avais de la peine pour lui, pour ce qu'il avait vécu pour son état actuel. Je voulais qu'il aille mieux, qu'il se sente mieux et qu'il puisse oublier les heures traumatisantes qu'il avait subit dans cette prise d'otage. Cependant, je sais bien que ce n'est pas le genre de chose qu'on oublis en un claquement de doigt. Il faut du temps pour dissiper les images et pour qu'elle ne deviennent plus qu'un amas de pixel sans netteté, parce qu'au fond, elles seront toujours là. Je vais en prendre moi aussi lui dis-je en déposant un baiser contre sa tempe. Il voulait se coucher, se redressant même avec cette conviction. Au contact de ses lèvres, je fermais les yeux, le serrant d'autant plus contre moi. Oui, tu veux un somnifère ? sans ça, je n'étais pas certaine qu'il dorme bien, que les images ne reviennent pas dans son sommeil, mais j'étais prête à passer une nuit blanche pour calmer ses cauchemars. Prenant une serviette en coton blanc, je séchais Kenny, puis j'allais prendre son boxer pour le lui enfiler. Il était dans un état si léthargique que je n'étais pas certaine qu'il le ferait. Devant le miroir, je prenais le sèche cheveux pour sécher sa masse brune, une serviette autour de mon corps tout en lui massant le cuir chevelu et c'est après que nos dents soient brossés que nous allions sur le lit. J'enfilais rapidement une petite nuisette pour me mettre dans les draps en sa compagnie et reposer sa tête contre ma poitrine tout en caressant son visage et sa nuque du bout de mes doigts.

Il me fallait du temps, peut-être plus que les gens normaux, ces derniers jours avaient été compliqué. La prise d'otage mais aussi l'épée de Damoclès au dessus de ma tête concernant ma maladie m'avait complètement miné, j'étais un déchet, clairement, je ne parlais que très peu hochant la tête à la question de mon épouse, enfilant mes vêtements comme si mon âme avait quitté mon corps, j'avais un peu abandonné. J'étais fort d'habitude, sans vouloir me vanter, j'étais le genre de personne à qui on a demandé très tôt d'être un homme et là aujourd'hui, je me comportais comme un enfant traumatisé. Je suivais Anastasiya, sans vraiment la voir pourtant dieu seul sait qu'elle était belle dans cette tenue, dans cette nuisette qu'elle avait mise et sa poitrine toute ronde ou j'avais désormais ma joue. Je sais que… En fait, je savais très peu de chose, je savais juste qu'elle était là, que ce qu'elle faisait pour moi, sans me juger était une magnifique preuve d'amour. On pouvait tout dire d'elle, je pouvais la maudire intérieurement quand elle faisait le bébé mais voilà Anya resterait une femme forte, une femme remplit de douceur et d'attentions vis-à-vis de moi, même si aujourd'hui ça n'allait pas fort. Après avoir pris un somnifère, je remettais ma tête sur son buste, les yeux dans le vide, les images commençaient à partir, mes pupilles clignotaient et je succombais à l'appel de Morphée.

Il était tôt quand je me suis réveillé, Anya dormait toujours, la maison était plongée dans l'obscurité, mon téléphone était éteint et je ne jugeais pas bon de le rallumer chose que je faisais souvent au réveil, je le prenais même pas, je descendais en bas dans le salon. Marchant dans la peine ombre, je croisais les bras, je faisais les 100 pas, regardant autour de moi pour finalement partir sur le canapé avec l'ordinateur portable et me plonger dans les préparatifs de mariage. J'avais besoin d'un événement joyeux, là c'était un événement de plus beau pour moi et Anya, je voulais que tout soit parfait, être à la hauteur, je voulais qu'elle se dise qu'elle avait de la chance et non pas qu'elle se récoltait une épave comme hier sous la douche. J'écumais les propositions de table, regardait un peu les images du futur smoking mais surtout le déroulement de la cérémonie.

JCette nuit, j'avais un gardé un oeil à moitié ouvert, j'avais continué pendant longtemps à laisser mes doigts trainer sur sa peau comme pour l'apaiser et surtout lui faire sentir que j'étais là, qu'il n'était pas tout seul. Peut être que j'avais fait ça pour rien, qu'il n'avait rien senti mais au cas ou, je ne voulais pas qu'il pense autre chose. Le voir comme ça m'avait déchirée. Mon mari, mon roc, mon pilier, il m'avait semblé si fragile hier soir et j'espérai que de part mes gestes et ma façon d'être j'avais pu être son roc et son pilier comme lui l'était chaque jour que dieu fasse. Finalement je m'étais endormie quelques heures après lui et c'est pourquoi ce matin lorsqu'il avait quitté le lit conjugal, je ne l'avais pas entendu, ni senti. C'est deux heures après que j'émergeai à mon rythme, me frottant les yeux tout en m'étirant ensuite les bras et les jambes. Ma main venait s'abattre contre le côté de Kenny, il n'était pas là. J'ouvrais bien plus vite les yeux pour regarder autour de moi, me demandant si tout allait bien. J'entendais du bruit en bas. Je passais par la chambre de la petite, elle dormait encore, tant mieux. Rapidement, je descendais les escaliers pour avoir une vue sur Kenny qui était sur le canapé blanc, entourait des chiens avec son ordinateur. J'ouvrais la baie vitrée pour faire sortie les deux bêtes puis je passais derrière le canapé. Mes deux mains sur les joues de mon mari, je basculais son visage en arrière pour poser mes lèvres sur les siennes. Coucou toi, ça va ce matin ? demandais-je en déposant un énième baiser sur ses lèvres puis son nez et son front avant de me faire tomber à l'envers à ses côtés. Les jambes sur le dossier du canapé et le buste sur l'assise, je regardais Kenny faire, les cheveux pendant dans le vide, allant même jusqu'à ce plier sur le sol, c'est qu'ils avaient poussés. T'as déjà déjeuné ? demandais-je enfin en baillant un peu.

Je regardais tout, la disposition, les photos de la salle, je ne savais pas comment prendre ce mariage, pour moi c'était un événement très heureux mais de l'autre coté j'étais tellement mort de stress, j'avais peur de faire une bêtise, de ne pas me tenir correctement aussi, j'aimais avoir ce genre de souci, tout ceci pouvait paraitre si innocent comparé à hier. Un bruit. Anya. Elle ouvrait la baie vitrée, je la regardais quelques secondes, elle penchait ma tête en arrière pour embrasser mes lèvres. "Oui." Dis-je en souriant très peu. J'aimais cette petite bouille toute chiffonné du matin. "Non." Bon ok fallait pas trop me pousser ce matin mais mes gestes trahissaient bien mon envie de la toucher vu que je caressais sa tête proche de moi. J'étais encore un peu ailleurs, brouillé, déboussolé mais le mariage, le russe que je lisais m'occupais tellement l'esprit que j'étais désormais beaucoup plus concentré que triste. "Dis je pourrais voir ta robe?" dis-je en russe. Parfois il m'arrivait de parler ainsi, pour me familiariser avec la langue que j'apprenais, j'avais du mal avec la prononciation de temps en temps sur certains mors mais tout devenait pas mal avec le temps. "De mariage, je pourrais te voir quand tu te prépara?" Je posais les questions, j'avais aucune idée de comment ça se déroulait en vrai, dans la trame rien ne stipulait que je ne devais pas voir la marié.