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KENYA ♥ Je ne suis pas Anastasiya Kataïeva sans toi

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Kenny et moi, ne nous parlions plus depuis l'histoire chez Royce, depuis qu'il avait totalement pété son plomb parce que j'étais allé le voir mais là ... là, je ne pouvais plus l'ignorer. Mon amour pour lui était bien trop fort pour ne pas s'exprimer, surtout lorsque j'avais appris qu'il y avait une prise d'otage et qu'il était à l'intérieur. Que l'homme de ma vie, le père de ma fille était retenu contre son grès par un fou furieux. J'avais peur, peur pour lui, peur qu'il lui arrive quelque chose. Il m'avait demandé de prévenir tous le monde ainsi que la police, chose que j'avais faite avant de laisser Alessia à Manuela pour me rendre sur les lieux. Mon coeur battait à la chamade, je le sentais s'exprimer à une telle puissance que j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine. Dehors, devant la bibliothèque ou un périmètre de sécurité avait été dressé, je faisais les cents pas. Je tentais de lui envoyer des messages, de rester en contact avec lui, histoire de savoir qu'il était toujours en vie, mais il ne me répondait plus. Mes yeux étaient  d'un rouge vif, je n'arrivais plus à m'arrêter de pleurer. Pourquoi diable ce genre de chose se passe ? C'était tellement insensé et injuste.  Cela faisait peut être 4heures que j'attendais, une couverture de survis autour des épaules avant d'entendre un coup de feu et de voir les étudiants sortir. Je me mettais à courir pour rejoindre Kenny que je ne voyais pas, alors qu'un policier m'attrapait au passage pour me maintenir dans ses bras Restez là mademoiselle, vous ne pouvez pas y aller Madame ! Et mon mari fait parti des otages laissez moi passer MERDE dis-je en tentant de me débattre, cependant il me tenait toujours et moi je ne voyait toujours pas Kenny, la peur s'emparait de moi de plus en plus. Je commençais à me laisser faire par ce policier qui tentait de me calmer, mes bras et mes jambes en s'agitaient plus. Il n'était pas là ... il n'était pas vivant ? Merde ! Pourquoi ?! Il avait su combattre la maladie à trois reprises et il fallait qu'un fou furieux se charge de lui ? Si j'avais pu le tuer moi même, encore une fois, je le ferais, mais je le voyais enfin arriver, soutenant Teddy qui se faisait aussitôt prendre en charge et là, je trouva la force pour que le policier ne me lâche et je me jetais dans les bras de Kenny en courant vers lui. Je le serrais contre moi à l'en étouffer, mais j'étais tellement heureux. Si tu savais à quel point j'ai eu peur mon coeur battait fort, je le regardais, ne pouvant pas fermer les yeux alors que mes mains le touchées un peu partout comme pour me dire, oui, il est là, sain et sauf et en un seul morceau. Je t'aime lui dis-je enfin, je lui avais promis que je pourrais lui dire face à face et non par sms,c 'était chose faite.
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J'avais juste voulu demander un conseil à Teddy, juste voulu voir comment elle allait en plus avec ses parents décédés et je m'étais retrouvé ici dans cette bibliothèque, c'était vraiment une histoire de karma surtout que moi je n'allais presque plus en cours, j'étais très absent et me voilà ici le mauvais jour. Anya m'avait envoyé un message, je ne savais pas si elle avait vu les infos, je pense que oui et au fond j'en étais ravis qu'elle oublie sa fierté parce qu'elle était totalement morte de peur de me perdre, mes yeux étaient brillants alors que j'étais encore dans la bibliothèque. Je n'allais pas la revoir et la seule vision qu'il lui resterait c'est moi à faire le malade contre une porte, j'en revenais pas, ce jour là j'avais perdu mon sang froid, j'avais cru perdre ma femme auprès d'un pauvre mec qui n'avait rien fait. J'étais pris de remord, j'avais envoyé un SMS puis plus rien, l'état de Teddy me préoccupait, sa jambe saignait, j'avais du faire un point avec mes mains et je n'allais pas partir sans elle, non je le ferais pas. La suite? Tout se passait vite, Nathan était maitrisé au sol, tout le monde criait, on sortait tous et moi je prenais Teddy avec moi pour sortir, rapidement les ambulanciers la prenaient en charge et quelqu'un s'heurtait contre moi. Je reconnaissais cette odeur, cette voix, sa manière de me toucher, mon dieu ce qu'elle m'avait manqué, ce que j'avais eu peur de ne plus revoir ce si doux visage. "Bébé." La seule chose qui me sortait de la bouche, elle me murmurait un je t'aime, j'hochais la tête en la serrant davantage. "Je t'aime aussi." Tout avait pas été facile entre nous, Anya était absente ces derniers jours, la dispute, mon indifférence à son égard à cause de Royce, tout avait un peu dégénéré mais en l'espace de quelques secondes, on se retrouvait. Elle avait eu peur, moi encore plus, j'avais du sang sur les mains cependant dans l'effusion, j'avais tâché la couverture de survie d'Anya sans compter que je l'embrassais la seconde d'après. "Vous allez bien?" demanda un infirmier. "Oui oui." Terminais-je par dire après plusieurs secondes. J'étais traumatisé, j'avais le visage blanc, je voulais pas me détacher d'Anya, je voulais l'avoir contre moi encore plus que d'habitude, même quand l'infirmier me disait de le suivre, je ne bougeais pas tétaniser. La mort m'avait frôlé de si près que je ne réalisais pas que j'étais bien ici.
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J'étais tellement soulagée de le retrouver, de le voir, de sentir son odeur, ses bras autour de mon corps. Je n'avais plus envie qu'il me lâche, je m'étais fais un soucis monstre, à m'en arracher les cheveux. J'avais eu peur de ne plus le revoir. Je m'en étais voulu de cette dispute, de ne pas l'avoir écouté. Ces jours perdus, j'avais envie de les retrouver et de profiter de lui encore et encore. Dans ses bras, je ne le lâchais pas c'état limite si je n'étais pas entrain de l'écraser contre moi. Pardon , pardon je m'en veux tellement pour ces derniers jours, je veux pas te perdre dis-je en écrasant mes lèvres mouillées par mes larmes contre son oreille. Son je t'aime résonné dans mon coeur à plusieurs reprise. Me lâches pas lui dis-je lorsqu'un infirmier arrivait vers nous. Non je ne voulais pas qu'il me lâche , je ne voulais plus qu'il me lâche. Il m'embrassait, ses lèvres étaient d'une douceur particulière contre mes lèvres. Je me laissais aller dans ce baiser en y répondant ardemment. Ma couverture de survie tomber par terre, je me retrouvais avec les mains de Kenny pleines de sang sur moi mais je m'en fichais bien. J'ai eu tellement peur Kenny dis-je contre ses lèvres pour finalement le regarder, mes mains posées sur ses joues. Je plongeais mon regard dans le sien avec une intensité déconcertante. J'attrapais ensuite ses mains, me fichant encore une fois du sang pour entrelacer ses doigts aux miens. Comment tu vas ? Comment va Teddy ? lui demandais-je aussitôt en me rappelant que ma meilleure amie était dans un piteux état. Je tournais mon visage vers l'ambulance où elle était qui partait vers l'hôpital jusqu'à ce qu'un infirmier vienne de nouveau près de Kenny en lui disant qu'il faudrait au moins qu'il puisse l'examiner avant qu'il ne le laisse partir, histoire de savoir si tout allait bien physiquement mais aussi psychologiquement. Quant à moi, je ne lâchais pas la main de mon mari, la serrant d'autant plus dans la mienne. Je le suivais, lui pressant le pas en me collant contre son dos. Hors de question que je ne le lâche ce soir, ni les jours à venir.
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Je ne parlais pas, j'arrivais pas, je voyais Alex au sol, Teddy qui perdait son sang sans compter des personnes que je connaissais de vu et le visage de ce malade mental qui n'avait rien à faire de tuer ou blesser, j'étais choqué, tout le monde pouvait l'être à ma place en même temps. Je fermais un peu les yeux, Anya me tenait les mains, je regardais dans le vide puis ses yeux qui me ramenaient à la réalité, je l'embrassais ardemment aussi, elle m'avait manquée. Maintenant et les jours derniers, c'était si bête de ne pas lui avoir fait confiance et d'un autre coté, elle aurait du se rendre compte que je pouvais être inquiet qu'elle aille chez Royce présumé comme l'agresseur. "Ça va." Dis-je sans rien dire de plus. Je la regardais, elle avançait quand l'infirmier me demandait de le suivre, je ne voulais pas la lâcher, dès que son corps s'espaçait du mien je le recollais immédiatement. Dans le brancard, l'infirmier me nettoyait les mains, regardait mes yeux, me posait quelques questions comme mon âge, mon nom, qui était cette personne avec moi, des trucs pour vérifier la réactivité de mes pensées. "Je pense que l'on devrait vous hospitalisez." Déclara l'infirmier. "Non !" dis-je précipitamment. "Je veux… Je veux rentrer avec Anya." Il soupirait, regardait la petite blonde et hochait la tête, j'étais prêt à partir, je fonçais directement vers Anya, je sais pas pourquoi, je voulais l'avoir à moi comme pour prendre chaque instant qu'on nous donnait ensemble comme si cela pouvait être les derniers. "On s'en va." Je l'attirais, les policiers nous soulevait la barrière de sécurité, les journalistes nous harcelaient, je commençais à perdre mon sang froid, j'avais envie d'en frapper un et de tuer leur micros qu'ils nous jetaient sous la bouche et en fait c'est ce que je faisais, je prenais un micro que je jetais au sol. "On a rien à déclarer." Lâchais-je en colère. Ils respectaient rien mais rien du tout.
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Il me répondait un petit "ça va" sauf que je sentais que ça n'allait pas. A chaque pas que je faisais, il me recollait automatiquement contre lui, pour que nos corps ne cessent pas un instant de se toucher. Un infirmier venait tout de même chercher Kenny pour l'ausculter. Je le regardais s'éloigner de moi, sur la pointe des pieds, j'avais besoin d'un contact visuel. Je ne voulais plus le perdre de vue. C'était peut être excessif, mais jamais je n'avais dû faire face à ce genre de chose. Une prise d'otage. Il y'a deux ans, nous avions été pris, tout deux, dans l'engrenage d'un fou furieux qui menaçait de faire sauter notre université, cependant, nous avions été tous les deux, mourir à ses côtés, de me dérangeait pas, je sais que c'est égoïste de penser cela alors que nous avions une fille, une magnifique petite fille, mais je ne suis pas certaine de pouvoir vivre sans lui, sans sa présence. J'avais encore peur, je tremblait légèrement, toute l'inquiétude que j'avais ressentie ne s'était pas dissipée automatiquement. Je l'entendais dire qu'il ne voulait pas se faire hospitaliser, dire qu'il voulait juste rentrer avec moi. Je m'approchais, encore une fois égoïstement, je le souhaitais aussi, je ne voulais pas qu'il parte à l'hôpital, qu'on me l'arrache des heures et des heures. Babe, t'es certain, tu sais je peux venir avec toi oui je sais bien que c'est important ce genre de petit suivis, même si paradoxalement, je le tirais déjà contre moi pour le ramener à la maison. Lui aussi me ramenait contre lui, je le regardais, sans cesse, comme apaisé par la simple vu de son visage. Des journalistes nous attentaient, ou du moins, attendaient Kenny. Je serrais sa main, il balançait le micro de l'un d'entre eux par terre et automatiquement, les vautours s'éloignaient de nous. Calmes toi, ils sont plus là je sentais sa colère toujours au rendez vous lorsque nous arrivions près de la voiture. Je le plaquais doucement contre la voiture pour le prendre dans mes bras. Le serrer contre moi. Je suis là maintenant dis-je contre sa gorge, je posais ma tête contre son cou pour respirer son odeur si réconfortante. Je le serrais contre moi avant de m'en détacher légèrement Je suis là ... enfin tu sais si tu veux en parler.
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J'étais tellement sur de moi, je ne voulais pas partir ailleurs que chez moi, je voulais rentrer, je voulais oublier avec Anya et retrouver ma fille, ma princesse, j'avais beau dire que la plus belle chose au monde soit mon épouse mais pendant cette prise d'otage, mes pensées allaient souvent à Alessia aussi. Je me demandais quelle vision de papa je lui donnais, si j'étais assez présent, si elle m'aimait autant que moi je pouvais l'aimer, je fermais les yeux, je me levais pour aller vers Anastasiya qui malgré ses paroles qui me disait de rester, me tirait vers la sortie. Une sortie remplit de photographe, je ne pouvais pas ne pas m'énerver en même temps fallait les voir essayer d'avoir des scoops, leurs micros tendus comme si on allait livrer notre peine devant la terre entière, j'en étais vert, j'étais en colère, j'étais triste, je cassais un micro au sol. Tout le monde m'avait vu, filmé surement, le mari d'Anastasiya Kataieva qui péte un plomb devant la télé, quel beau scoop mais je m'en moquais royalement. "Ils ont pas autre chose à faire !" pestais-je en regardant Anya. Elle me tirait, me plaquant contre la voiture, j'étais toujours aussi énervé seulement son odeur, sa manière de me touchait m'apaisait de plus en plus, tout ça pour finir de l'enlacer beaucoup plus calmement. "Je sais…" chuchotais-je en réponse à ses deux questions. Je fermais les yeux, je la serrais encore puis je la regardais droit dans les yeux. "Je te suivrais." Dis-je remplit d'émotion et d'amour. "Partout ou tu veux, j'ai pas cessé de penser à toi et à Alessia dans la bibliothèque, je sais que j'ai fais le bon choix et que peu importe les choix que je ferais dans le futur du moment qu'il vous inclus, ça sera les meilleurs." Je lui volais un baiser pour ouvrir la porte, elle allait conduire, je n'étais pas en état, je voulais rentrer, prendre Alessia dans mes bras, lui dire que je l'aime et… lui faire des bisous de partout.
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Les journalistes voulaient prendre des nouvelles de mon mari, sonder son état et lui grappiller des informations sur ce qu'il s'était passé dans cette bibliothèque. C'est sous l'oeil des caméras que Kenny jeta un micro au sol, complètement hors de lui. Je le tirais vers la voiture, histoire qu'il ne se donne pas plus en spectacle mais aussi pour qu'on soit tranquilles. Je le plaquais doucement contre la voiture, juste pour le prendre dans mes bras. Je n'arriverais pas à m'en défaire. Je caressais ses cheveux, je le regardais avec une tendresse folle lui laissant l'opportunité de me parler si besoin, mais je n'avais pas l'impression qu'il en avait envie. J'espérais en tout cas qu'il le fasse avec quelqu'un qu'il puisse se défaire de ce terrible drame qu'il avait vécu. Je l'écoutais me parler d'Alessia et moi, me dire qu'il avait fait le bon choix. Je me pinçais un peu les lèvres, un petit sourire sur le coin des lèvres. J'avais envie d'avoir mon mari rien que pour moi égoïstement et pourtant, j'avais l'impression que c'était vers sa fille qu'il se tournerait et je le vivais un peu mal d'ailleurs. Je vais conduire dis-je en ouvrant la porte pour me mettre du côté conducteur. Je démarrais, c'est après une bonne vingtaine de minutes que nous arrivions chez nous. Je vais demander à Manuela qu'elle te fasse quelque chose à manger, tu dois être affamé enfin, à vrai dire, j'en ai aucune idée, mais je suppose, quoi que l'appétit, je suis pas certaine qu'il en est après toutes les émotions qui se sont succédées. J'attrapais sa main pour la serrer dans la mienne avant de passer la porte Manuela vous ... vous pouvez préparer quelque chose pour Kenny elle me disait que oui, qu'elle allait lui faire son repas favoris, elle aussi avait été inquiète pour lui et cela se voyait dans le soulagement de ses gestes et ses paroles lorsqu'elle avait posé son regard sur mon mari
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J'hochais la tête, je ne parlais pas durant le voyage, je ne savais pas quoi dire, tout ce sang, toutes les horreurs, les cries, les pleures des personnes c'était si dérangeant, si flippant, je fermais les yeux, la tête posé contre la vitre. Je n'étais pas si pressé de rentrer en fait, je pensais que voir ma fille me ferait un truc mais je me rendais compte que c'était nous adulte qui pouvait pourrir la vie d'une enfant, si innocente et insouciante, je ne voulais pas lui infliger mon état. On passait la porte, ma main dans celle d'Anya, Manuela me regardait de haut en bas pour me sonder, elle avait l'air rassurée alors que moi je serrais la main perturbé de voir du bruit si dure dans la cuisine, les portes qui se ferment, les bruits de la vaisselle, c'est une petite fille qui me tirait de mes rêveries en tirant sur mon pantalon pour que je l'attrape. "Hey." Dis-je en la prenant dans mes bras, je lui faisais un bisou, je la serrais bien fortement en me rapprochant d'Anya machinalement, mon centre de gravité, je crois qu'elle allait être mal barrée ces prochains jours parce que je me voyais mal sans elle. "Papa est fatigué, il va se reposer, on se fera des bisous tout à l'heure?" Elle hochait la tête en suçant son pouce, je crois pas qu'elle avait tout compris mais au moins, elle me lâchait la jambe. "Je vais me coucher." Chuchotais-je à Anya, je passais par les escaliers et je m'étalais sur le lit, j'avais besoin d'être un peu seul honnêtement, je voulais remettre mes idées au claire et égoïstement je ne pensais qu'à moi alors qu'Alexander et Teddy était tous les deux à l'hopital.
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Alessia était debout, dans son petit pyjama chat que Kenny lui avait acheté. Cela me faisait toujours autant rire lorsqu'elle le portait. Elle s'accrochait à la chambre de son père, je les regardais avec un sourire aux lèvres, baissant mon regard vers mon ventre ... qu'est ce que je dois faire ? Je vais surement devoir passer la case du test de grossesse, oui il faudrait surement que je le fasse, mais .... j'ai peur, tellement peur de la réponse. Je veux profiter de mon mari, je veux pouvoir l'avoir rien que pour moi et pas le partager en trois. Kenny posait Alessia par terre en lui disant qu'il était fatigué. Surprise, je me demandais s'il allait réellement bien. Il était 20 heures, il faisait nuit depuis un moment. D'accord, je la fais manger et je monte avec un plateau après l'avoir couché je tendais la joue pour qu'il dépose un baiser dessus en passant, je le regardais faire en me pinçant la lèvre inférieur. Il allait mal, je le connaissais assez pour savoir qu'il encaissait mal ce qu'il venait de se passer et en même temps quoi de plus normal ? Je donnais à manger à Alessia, assise sur le canapé, je jouais un peu avec elle avant d'aller la coucher. Elle ne semblait pas vouloir s'endormir rapidement, alors je réfrène l'envie que j'avais d'aller près de Kenny pour lui lire une histoire. Enfin ! Elle dormait. C'est à pas de loup que je fermais la porte après avoir éteint les lumières. Je retournai en bas pour préparer un plateau à Kenny, je sais bien qu'il n'allait pas en vouloir, que l'appétit lui avait été coupé, mais c'était l'intention et j'étais là pour lui, j'allais prendre soin de lui. Je poussais la porte avec mes fesses, les mains pleines, pour déposer le plateau sur la petite table qu'on avait près du mur. Tu dors ? lui demandais-je en me penchant au dessus du lit pour voir son visage
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Je lui faisais pas de bisou, je n'avais pas vu sa joue qui se tendait vers moi, j'étais ailleurs totalement perdu. Mon âme était comme déconnecté de mon corps, je fermais les yeux désormais sur le lit, allongé, je voulais dormir comme si ma peine allait partir mais rien du tout, je ressassais, c'était marquant, troublant, je pensais pas revivre ça un jour ou l'autre et pourtant je devais apprendre à me blinder, Anya avait une condition qui allait nous exposer constamment sur le devant de la scène, moi aussi, je devais faire face prendre le dessus, seulement quand c'était vos amis qui étaient face à vous, je peux vous dire que vous oubliez rapidement de dresser vos barrières. Anastasiya arrivait, elle me sortait de mes rêveries, l'odeur aussi de mes tacos préférés me soulevait l'estomac, je devais manger, j'en avais besoin au moins pour mon diabète histoire de ne pas tomber dans les pommes. "J'ai pas vu ma vie défilée." Dis-je sans la regarder. "C'est bizarre, j'avais pas l'impression que j'allais mourir, tout le monde avait peur, Teddy… Teddy était tellement mal, moi je pensais juste à toi. J'ai pensé plus à toi qu'à notre fille sur les derniers instants… Je me sens coupable, je me rends compte qu'en fait je suis comme mon père, je fais un enfant et… et tout ce qui compte c'est toi." Avouais-je en prenant une aspiration. Mon père faisait passer sa carrière avant sa famille, moi ma femme avant autre chose, avant moi-même et surtout avant mon propre sang qu'était Alessia. "J'espère que tu m'en veux pas. Je suis pas le père que j'aurais aimé être, je ne le serais jamais mais je vais essayer d'être bien quand même." Je me redressais, la mine complètement défaite, c'était une révélation pour moi, de le reconnaitre à voix haute alors qu'au fond je le savais depuis longtemps.
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