KENYA ♥ Je ne suis pas Anastasiya Kataïeva sans toi

A peine j'eu passé le pas de la porte qu'il me faisait part de son ressentie. Je me posais à ses côtés, assise sur le lit, alors que lui était allongé en chien de fusil, je caressais ses cheveux tout en l'écoutant parler. Il répondait à une de mes questions silencieuse, je sais que lorsque j'avais été dans le coma, j'avais vu ma vie défilé devant mes yeux, peut être parce que j'avais été proche de la mort. Il me parlait de Teddy, des autres, mais aussi de notre fille et de moi. De mon autre main, j'allais attraper l'une des siennes Chuuuut dis pas ça dis-je en le poussant un peu pour m'allonger à ses côtés. Je caressais son visage tout en le regardant, le couvant d'un tendre regard. T'es pas comme ton père et tu le seras jamais. Tu te trompes sur toute la ligne. Tu n'es pas un mauvais père bien au contraire, tu es le meilleur qu'il soit et jamais je pourrais espérer mieux pour notre fille. je relevais son visage pour qu'il plonge son regard dans le mien. Je sais que t'aimes ta fille plus que tout au monde, mais j'ai aussi ma place dans ton coeur dis-je en posant ma main contre ce dernier Une grosse place ... ce qui me vas tout à fait dis-je avec un petit sourire. Il se redressait, je me laissais tomber sur le dos en soupirant un peu Je sais que c'est difficile, enfin, j'imagine, je me souviens encore de la bombe, de cette prise d'otage ... même si toutes les situations sont différentes ... mais ne te mets pas à penser ce genre de chose. Alessia t'aime et tu l'aime toi aussi plus que tout. .. ne te fais pas de soucis pour ça , elle le sait dis-je en attrapant sa main pour qu'il arrête sa course folle. Viens là dis-je en ouvrant les bras, espérant que cette fois ci, je ne me prendrais pas un vent

Bien sur qu'elle n'était pas objective, j'attendais dans ses mots un peu ce qu'elle venait de me dire, j'étais un bon père pour elle, pour Alessia, j'avais des doutes en même temps il y avait toujours cette relation fusionnelle qu'Anya avait avec notre fille, une relation que je n'avais pas. Je ne parlais pas, j'avais plus la force, je me contentais de la regarder, de connaitre encore et encore les traits parfait de son visage, de me dire que j'avais de la chance, voir bouger ses lèvres me donnait juste envie de les embrasser, je souriais légèrement à ce qu'elle me disait, une grosse place dans mon cœur. Oh oui ! Elle avait une très grande place, elle s'était bien installé à l'intérieur de moi, je fermais un peu les yeux, je passais ma main dans les cheveux de la russe pour foncer dans ses bras. Je ne voulais pas qu'elle me lâche, à une autre époque, j'aurais essayé de faire face, de faire le mec que rien atteins, mais elle pouvait comprendre. Anya avait vécue la bombe, elle avait vu des proches mourir et replonger dans ce cauchemar ne m'enchantait pas du tout. "Je t'aime." Dis-je en laissant ma tête contre son épaule. Je sais, je lui disais de trop mais j'avais besoin, envie de le crier, elle m'appartenait comme moi je pouvais lui donner mon cœur. "Notre dispute était bête." Finissais-je par dire en me détachant d'elle. "Je dois te faire confiance, je le sais mais… mais je pouvais pas savoir que tu n'étais pas en sécurité chez lui encore il serait venu à la maison, j'aurais été dans mon studio ok mais là… J'ai eu si peur, je me suis emporté, c'était pas raisonnable." Alors pour le coup oui ce n'était absolument pas raisonnable cependant elle avait pu voir mon amour pour elle, je m'étais fais frappé, je l'avais frappé aussi, ça avait dégénéré cette histoire sans compter les jours d'ignorance qui ont suivis entre nous. "Je devrais appeler ton père." Terminais-je par dire. "Il va apprendre ce que j'ai fais aux journalistes et… votre image va être taché par ma faute, je dois m'excuser." Nouveau Kenny? Totalement qui aurait cru que je prendrais en compte l'avis de cet homme.

Allongeai face à mon époux, dans la même position que lui, je caressais sa peau et ses cheveux tout en tentant de le rassurer, de l'apaiser sur ses sentiments. Je ne voulais pas qu'il pense ce genre de chose parce que ce n'était que mensonge. Kenny était un excellent père, un père que j'aurais aimé avoir. Okay, c'est un peu bizarre de dire ça, mais sa façon d'agir avec notre fille était remarquable. Je le sais dis-en caressant ses lèvres du bout de mes doigts. Contrairement à Kenny, ce n'était pas des mots que je disais souvent, mais tout à l'heure, je le lui avais dit, c'était la première chose que j'avais faite lorsqu'il avait apparu devant mes yeux, c'est une évidence, je l'aime plus que tout. Ma main dans ses cheveux, mon menton sur le sommet de sa tête, je l'écoutais attentivement encore une fois, totalement d'accord avec ce qu'il disait. Oui, c'était stupide, mais je comprend ce que tu voulais me faire comprendre, t'essayais juste de me protéger... sauf que je connais mon ami et j'étais certaine qu'il n'avait rien à voir avec ça. Il n'est pas comme ça, c'est certes, le genre d'homme à avoir beaucoup de femme et encore depuis qu'il a rencontrer sa copine il est stable, mais jamais il ne forcerait l'une d'entre elle, dans le fond, vous vous ressemblez pas mal. Il a trouvé celle qu'il fait battre son coeur, plus que son engin dis-je en éclatant de rire, posant ma main aussitôt contre son oreille pour ne pas lui faire mal. N'empêche que tu avais ces airs de bad boy en le frappant, je dis pas que je cautionne ce que vous avez fait, mais tu m'as fait de l'effet, je dois le reconnaître dis-je en riant encore un peu pour déposer un baiser contre sa tempe. Kenny me disait devoir appeler mon père, j'étais un peu choqué de l'entendre dire ça et d'autant plus par ce qu'il m'annonçait ensuite. T'en fais pas on l'appellera demain, pour l'instant, je vais faire l'égoïste, j'ai pas envie que tu t'éloigne de moi, je veux pas te partager dis-je en enroulant mes bras et mes jambes autour de lui. Si tu veux manger, il va falloir m'emmener avec toi, je me décroche plus dis-je en fermant les yeux, bien heureuse de l'avoir contre moi T'as été fort Kenny et tu es fort mais si t'as besoin de craquer, fais le, je porterai pas de jugement tu sais

"Je sais que tu le connais mais parfois les gens donnent une apparence." Dis-je en haussant les épaules. Anya était bien placée pour le savoir fallait la voir avec moi, la reine des glaces n'y était pas, c'était un petit sucre d'orge alors qu'est-ce qui me disait que Royce n'était pas le même genre de mec. Elle riait, moi aussi, sa phrase me faisait penser un peu à moi honnêtement quand j'avais rencontré Anya, j'avais réfléchis pour la première fois de ma vie avec la tête. "A croire que la violence te plait." M'amusais-je à dire, je passais ma main dans ses cheveux, je voulais rester ici seulement je pensais à tout un tas de truc comme le fait d'appeler mon beau-père, je devais m'excuser, je sais que par ma faute l'image pouvait se dégrader et j'avais pas envie qu'il pense que je l'avais fais exprès ou autre, je voulais qu'il sache que je l'avais fais parce qu'on était venu me voir, qu'on avait chercher les embrouilles. "Mais." Elle s'attachait autour de moi, je riais un peu, son petit coté possessif quand il ressortait, c'était tellement adorable. "Ta de la chance que je t'aime sinon je t'aurais mordu." Dis-je en bougeant un peu, je me laissais basculer sur le coté pour attraper mon tacos que je mangeais directement en croquant dedans, c'était si bon. "ça va, je vais bien mon amour." Terminais-je par dire, surtout que ce n'est pas du tout ça que j'avais envie d'entendre, je veux dire je voulais pas qu'elle me dise limite de pleurer, je voulais, je sais pas… ça me perturbait sa phrase. Les yeux rivés sur ma nourriture, je me laissais aller en arrière écrasant aussi ma femme par la même occasion vu qu'elle était derrière moi. "Si je veux prendre une douche ça se passe comment?" Une bouchée j'étais calé, j'avais croqué pour dire que je n'avais mangé rien de plus.

Si la violence me plaisait ? Je réfléchissais un instant avant d'hausser les épaules Non ... enfin je sais pas, je trouve ça sexy quand tu t'énerves il ne me semble pas que je lui ai déjà dis quelque chose dans le genre, mais à croire que ce soir j'étais amené à faire quelques confidences tout comme lui. Je souriais lorsqu'il passait une main dans mes cheveux, j'adorais lorsqu'il fait ce genre de chose d'ailleurs. Je n'avais pas envie que Kenny commence une conversation avec mon père, pas maintenant, parce que je savais qu'il allait lui tenir la jambe et je voulais rien que pour moi. C'est pour cela d'ailleurs, que je m'attachais autour de lui, bras, jambe sans compter ma tête que je posais contre lui. Tu m'aurais mordu comme un chien en mort en autre lorsqu'il l'approche de trop près ? lui demandais-je en arquant un sourcil, c'est vrai Kenny avait souvent l'habitude de me mordre et par moment, je me demandais s'il n'avait pas un côté canin bien trop développé. Il tentait de me faire bouger, mais je résistai. Merci mes abdos en acier. Je tenais bon, même lorsqu'il mangeait et même lorsqu'il se laissait tomber en arrière, m'écrasant au passage. Bordel, à chaque fois, j'oubliais de prendre en compte ce paramètre. Ce n'était pas la première fois qu'il me faisait le coup. Babe ?! Tu m'écrases, tu le sais ? d'ailleurs, je penchais même la tête sur le côté afin de respirer correctement et aussi afin que ma voix puisse porter davantage. Je tentais de le pousser, de me défaire de cette emprise mais c'était peine perdu, il avait l'air bien installé. La prochaine fois, je réfléchirais à deux fois avant de faire ce genre de chose. Si tu veux prendre ta douche ? Il va falloir faire avec moi, ou alors que tu puisse arriver à enlever ta coquille oui, en y regardant de près, Kenny était la limace, j'étais la coquille et on formait un escargot.

Je refaisais surface peu à peu grâce à elle, elle m'apprenait inconsciemment à aimer de nouveau la vie, à aimer le fait d'être ensemble sans violence, je ne pouvais pas rester dans un état de léthargie même si je reconnaissais que j'aimais notre possession, moi qui l'écrasait, j'avais l'impression de la protéger. "Je sais." Dis-je en tournant un peu la tête sur le coté pour lui donner l'occasion de respirer, je bougeais un peu, j'évitais de m'écraser un peu trop contre elle jusqu'à me redresser totalement. N'allons quand même pas la tuer. "Et ma coquille veux prendre un bain avec moi?" Alessia dormait, Manuela était partie, je demandais rien de plus que de la retrouver elle, de pouvoir la serrer dans mes bras, de la toucher, de me dire que oui aujourd'hui c'était une sale journée mais que demain l'avenir serait plus beau seulement mon téléphone sonnait. Ma mère. Je fronçais les sourcils, j'avais pas envie de décrocher cependant je ne pouvais lui en vouloir, elle était inquiète, je voyais tous les messages qu'elle m'avait envoyé. "Je vais bien." Dis-je après m'être déplacé pour prendre mon téléphone. "Je vais très bien, je suis juste fatigué." Elle avait l'air de le comprendre, elle me souhaitait une bonne soirée et peut-être qu'elle allait passer demain, envahissante? Non juste une simple maman. "Je t'aime aussi…" murmurais-je pour ne pas qu'Anya rigole. "Bisous." Je raccrochais, je soupirais un peu, j'avais pas envie de parler de ce que j'avais pu voir mais voilà qu'Igor me joignais. "Tu vois." Dis-je en montrant mon téléphone à Anya. "Allo?" Et étonnamment, je parlais russe, plutôt bien, ma langue fourchait à deux ou trois reprises mais au bout de 5 bonnes minutes tout était ok, il comprenait, m'en voulait mais il pouvait comprendre mon ressenti enfin il ne l'avait pas dit directement mais il criait pas c'était déjà ça.

Tu sais bien que ta coquille elle va te suivre partout, par contre, elle risque pas de rester derrière bien longtemps .... tu m'as écrasé je déposais un baiser contre sa joue, son oreille avant de me faire glisser sur mes pieds pour le rejoindre dans la salle de bain mais c'était sans compté sa mère. Elle me le monopolisait. J'avais envie de prendre le téléphone et de raccrocher, je voulais qu'il ne pense qu'à moi, ne voit que moi et ne profite que de moi. Je vais faire couler le bain dis-je en haussant les épaules. J'attendais encore et encore, les bougies que j'avais allumées se mirent à fondre petit à petit, l'eau commençait à refroidir, sa mère ne le lâchait pas jusqu'à ce qu'il ne l'expédie - c'était pas trop tôt- mais cette dernière annonçait sa visite. Demain. Elle allait certainement venir de bonheur, comme elle le faisait d'ordinaire, nous réveiller pourquoi pas utiliser les clés qu'elle avait. En pensant à cela, j'espérais que Kenny les lui avait demandé. Nous en avions parlé et il savait le fond de ma pensée à ce sujet. Je n'avais pas envie qu'elle puisse entrer comme bon lui semble dans nos chez nous, encore si elle faisait preuve de limite, si elle respectait notre vie privée, cela ne m'aurait pas dérangé, mais elle faisait tout le contraire. Kenny ça commence à refroidir ... l'appelais-je, j'avais même cédé à la tentation d'entrée dans le bain pour me réchauffer, mais c'était sans compté mn père ? Je fus surprise et por une fois désagréablement, c'était ça alors la soirée que nous allions passé ? Je soupirais, pour finalement faire partir l'eau de la baignoire et prendre une douche pour me rincer. Il était toujours au téléphone, j'enroulais une serviette autour de mon corps pour retourner dans la chambre et m'allonger sur le lit, lui montrant bien par ces gestes que ce n'était pas de mon goût tout ça. Ne pouvait-il pas couper son téléphone comme je l'avais fait, juste pour que nous puissions partager notre soirée rien que tous les deux ? J'avais eu peur pour lui toute l'aprés midi et j'avais besoin de le retrouver et m'assurer que merde, il était bien vivant et à mes côtés, mais apparemment, c'était bien trop demandé.

Je n'aurais pas cru que mon beau-père allait m'appeler pour savoir si j'allais bien et en fait ce n'était pas du tout pour ça mais pour me parler de ce que j'avais fais devant les journalistes, il ne criait pas vraiment, Anya quant à elle revenait avec une serviette autour d'elle comme excédé, j'haussais les épaules, l'air de dire que je n'y pouvais rien seulement au fond cette histoire, voir tout le monde y comprit ma belle-famille prendre de mes nouvelles me redonnait l'impression de compter pour des gens, j'avais envie d'entendre des mots encourageants même si Igor n'en prononçait pas, la démarche était bien là. Silencieux, je passais ma main dans mes cheveux jusqu'à raccrocher et éteindre mon téléphone. Ma mère passerait demain matin, j'avais repris les clés heureusement, je lui avais aussi bien dis de ne pas passer super tôt parce que je voulais dormir et qu'Anya et Alessia était aussi épuisée car oui notre fille avait ressenti le stress de sa mère, normal. "On peux y aller." Dis-je en prenant sa main dans la mienne, le bain était un peu froid, je tirais sur le bouchon pour le vider un peu et le remplir de nouveau, là il était bon, juste la température idéale. "Fais pas la tête." Je la regardais, j'y pouvais rien après tout, je me déshabillais rapidement, je prenais la serviette de mon épouse pour l'attirer dans le bain, l'avoir contre moi, l'enlacer tendrement et poser ma joue contre la sienne, mes doigts noués aux siens, parfait.

Kenny raccrochait enfin, alors que je m'étais fait tomber sur le lit en serviette. Oui, j'en avais eu marre d'attendre. J'étais presque frigorifié par cette eau qui était devenu froide. Mon mari revenait vers moi pour me demander de revenir, je n'avais plus tellement envie à vrai dire mais c'était sans compter la ténacité de Kenny qui m'attirait contre lui pour m'entrainer de nouveau dans la salle de bain. Il remplissait la baignoire à nouveau d'eau chaude Je fais pas la tête, je veux juste passer ma soirée avec toi, pas avec toi et ton téléphone lui dis-je en faisant la moue. Je le regardais se déshabiller en penchant la tête sur le côté et dire que cet après midi ces tordues auraient pu m'enlever tout ça. Je soupirais en y pensant, j'étais triste jusqu'à ce qu'il ne m'enlève ma serviette pour m'amener dans le bain. Je me laissais faire comme une marionnette, j'aurais dû être celle au petit soin mais encore une fois, il le faisait avant moi. Je me laissais aller contre lui, je ne voulais pas le lâcher. Sa joue contre la mienne, je fermais peu à peu les yeux alors que nos doigts s'entrelaçaient. Qu'est ce que mon père voulait ? oui, il ne m'avait rien dit quant à leur conversation et je me demandais bien pourquoi il l'avait fait d'ailleurs, j'espérais qu'il ne l'ait pas cherché. J'espérais qu'il n'ait pas haussé le ton. Ne fais pas attention à lui dis-je avant qu'il ne me raconte leur conversation, avant de savoir que mon père avait été courtois et que finalement, il s'était juste inquiété pour mon mari, bien qu'il ait sa façon à lui de dire les choses.

"Il est éteint et dans le tiroir, voilà !" Je le fourrais dans le tiroir en levant les mains en l'air tout content, je faisais bonne figure seulement au fond elle devait se douter de ce que je ressentais, j'étais triste, je pouvais pas le nier, moi qui avait un caractère un peu innocent sur certaines choses, voir des humains se tuer ainsi pour des raisons sombres, je ne comprenais pas, c'est là que je me disais qu'Harvard n'était pas un si bon campus. Peut-être que notre fille ne ferait pas ses études ici, c'était trop en trois ans, trop d'accumulations. J'étais dans le bain avec Anya, silencieux, je repensais à ce que ma famille me disait, ma mère, mon beau-père, j'avais aussi entendu la grand-mère d'Anya derrière le bout du fils qui disait je ne sais trop quoi mais voilà cette famille, c'était la mienne. "Me parler des journalistes." Lâchais-je simplement. Je repensais à cette conversation, jusqu'à ce qu'elle me dise de ne pas faire attention à ses paroles. "Il a été gentil… Enfin à sa manière, il pas crier, il a pas sourit ou autre, il… je sais pas… c'était pas une dispute, ni du soulagement de m'entendre, étrange." Je ne savais jamais les sentiments d'Igor, Anya avait beau dire qu'il m'appréciait, j'avais des doutes même si sa démarche prouvait le contraire. Les yeux rivés sur nos doigts, je frôlais la poitrine de mon épouse pour finalement lui prendre un sein, bon ok j'avais pas envie de sexe mais c'était étrange. "Je peux te poser une question." Dis-je sans attendre une réponse. "Ta grossi? Tes seins sont…" Je les connaissais bien les deux là, me semblait pas que je pouvais autant en avoir dans la main si je puis dire, je pouvais pas oublier ça en quelques jours quand même. "Ils sont gonflés." Les hormones surement, peut-être qu'elle serait dans sa période, mon dieu, j'espérais pas, je n'aimais pas la voir sur les nerfs, pas maintenant.