KENYA ♥ ça fait 4 fois que tu vas au petit coin aujourd'hui. Pourquoi d'instinct t'essayes toujours de t'échapper

"La guerre n'attend pas." Puis rapide fallait la voir quand je la faisais mienne le degré d'excitation de la demoiselle, je poussais un râlement de plaisir, je sais pas pourquoi mais j'avais l'impression que demain moi comme elle on allait souffrir, on allait se sentir fatigué et on allait avoir mal de partout à cause de nos chutes, de nos autres bêtises aussi. Je fermais les yeux, je la faisais taire en l'embrassant langoureusement, moi désormais en position de force Anya se mettait un citron dans la bouche, je prenais la téquila, j'en buvais un cou et quand elle faisait des siennes. J'eu du mal à lui arracher le citron que je recrachais plus loin, j'étais amusé totalement. Je l'embrassais à nouveau, plus profondément, mes dents s'attardant ensuite sur sa lèvre inférieure totalement sauvage alors que mon bassin se voulait de plus en plus présent. Je grogne, je me perds, cette douce sensation m'envahit, m'enveloppe, elle était divine, il y avait qu'elle qui était capable de me faire perdre aussi vite pied, fallait la sentir, me griffer le dos, je devais fou la voir partir sous le plaisir. "Serre un peu plus les jam…" Pas le temps de finir que la porte s'ouvrait, qu'une femme que je connaissais que trop bien débarquait. "J'y crois pas !" cria t'elle en voyant les bouteilles de bière au sol puis nous. "LEVEZ VOUS TOUT DE SUITE !"commença t'elle à nous dire. "Mais maman va t'en !" Je lançais un coussin qu'elle évitait toujours sur Anya, je poussais un grognement mais de mécontentement. "KENNY DAMIAN ! Tu te lèves maintenant !!!" Je me détachais de mon épouse quand je voyais Alessia dans la poussette derrière. "Merde… Y a la petite." Je prenais le plaid couvrait Anya, je prenais mon boxer pour le remettre. "Vous allez venir avec moi tous les deux et je ne veux pas entendre de protestation, ni de soufflement et encore moins lever les yeux au ciel, tous les deux ! Habillez vous dépêcher !" Elle me jetais un coussin, je ronchonnais en marmonnant dans ma bière avant de glisser et tomber sur les fesses en riant.

Kenny était comme fou, je pense que j'avais loupé une étape, mais j'étais bien trop saoul pour me poser des questions. J'étais bien trop amoureuse pour vouloir m'en poser et bien trop excité pour me défaire de cette situation. Je serrais un peu plus les jambes, j'avais compris ce qu'il voulait, sauf que je m'attendais pas à entendre une voix. Une voix que j'avais appris à connaître et dont je me serais passé. Bordel Kenny c'est fou j'ai l'impression d'entendre ta mère dis-je en éclatant de rire. Je relevais un peu mon visage pour attraper ses lèvres, je gémissais même contre elles avant que Kenny ne demande à sa mère de partir en lui lançant un coussin ? Du coup, elle est vraiment là ? Les mains autour du cou de Kenny je lève la tête pour regarder ma belle mère, cachant ma poitrine contre le torse de mon mari, quand bien même j'avais toujours mon soutient gorge étant donné qu'il n'était pas arrivé à l'enlever. Babe, y'a ta mère dis-je en riant contre son cou. Je me laissais retomber contre le canapé en éclatant de rire. Il partait, je faisais la tête, laissant mon bras retomber dans le vide, étant donné que je n'avais pas réussi à l'attraper. Alessia était là ? Oh merde, on devait aller la chercher après le restaurant. Kenny, ma culotte dis-je en la voyant trôner autour d'une bouteille de bière. Je la mettais ensuite rapidement , ainsi que mon jeans et alors que j'allais pour prendre mon tee-shirt Kenny tombait. J'éclatais de rire en mettant mon tee-shirt à l'envers finalement avant d'aider Kenny à se relever, mais il me faisait tomber. Je riais et je commençais à l'embrasser, mes mains sur ses joues. Me foutant bien de l'autre mégère Je veux pas partir, on a pas fini et je m'amuse bien .. soufflais-je contre ses lèvres en plongeant mon regard dans le sien

Sa culotte? Je souriais. "Tu vois ça c'est mes talents de basketteur." Elle était pile autour de la bouteille, je lui redonnais en rigolant, je me levais même pour aller prendre mon pantalon quand je m'étalais. Anya riait, je riais encore plus. "Mais arrête !" rigolais-je en lui lançant un petit coussin. Anya arrivait, m'aider à me relever avant de s'étaler sur moi. "Je te l'avais dis tu peux pas me soulever avec ta petite force." Dis-je en la prenant dans mes bras. "Mon bébé…" murmurais-je tout amoureux, je la regardais elle m'embrassait, elle voulait pas partir et moi non plus. "Moi aussi je veux pas." Je lui répondais doucement avant de regarder ma mère. "ON PART PAS ! On a pas fini de se faire des câlins en plus puis on refuse ta dictature." Je serrais Anya, Meredith voyait rouge, elle me lançait des éclairs. "Oh que si vous allez vous habillez, je ne vais pas risquer de perdre mon fils dans un coma éthylique parce qu'il a voulu faire la fête avec son épouse ! Et toi aussi Anya, tu te lève, tu t'habilles, je pars pas sans toi !" Elle arrivait vers nous, tirait Anya de mes bras, me donnait une petite tape sur la tête. Je ronchonnais encore plus, je me levais, je prenais ma chemise que j'enfilais, mon pantalon, encore une fois j'avais faillis tomber et même si je me ramassais pas, je m'étais pris le petit coin du meuble en plein orteil. "AHHHHHHHHHHh !" criais-je en sautant à cloche pied sur place. "MAL MAL MAL MAL !!!" répétais-je en allant sur le canapé. Ma mère donnait les vêtements à mon épouse puis une fois fait, elle nous poussait tous les deux vers sa voiture, installait Alessia sur le siège auto de devant pour l'avoir à l'œil et nous en arrière. "Vous vous attachez !"

En fait, je n'en avais que faire de l'autre. On était chez nous et bordel, je me demandais toujours, comment elle faisait pour entrer dans n'importe quel de nos maisons. Elle avait un double de toutes les clés ou quoi . J'embrassais mon mari, de petit baiser amoureux, les yeux plongés dans les siens, je souriais, attrapais sa lèvre pour la suçoter avant qu'il ne dise à sa mère qu'on ne partirait pas. Je mordillais sa lèvre inférieur avant que sa mère ne se mette à crier, enfin c'était l'impression que j'avais puis elle m'attraper part le poignet pour me relever. J'étais complètement choqué. Okay, on se calme big mama, je suis pas ta fille, je fais ce que je veux et moi je reste là pour la première fois, je venais de la tutoyer, j'étais juste énervé tout à coup. Puis merde, comment tu fais pour toujours entrer chez nous comme ci de rien était, hallucinant ! Aucun respect de la vie privée ! elle me donnait mes affaires, je les mettais quand même. Je soupirais en me faisait pousser par ma belle mère, mais aux côtés de Kenny. On peu jamais se détendre et faire ce qu'on veut, ça m'énerve lui dis-je , boudeuse. J'avais envie qu'on puisse passer des soirées comme celle-ci , en ayant aucune responsabilité, en faisant ce qu'on veut, quand on veut. Assise à l'arrière de la voiture, je regardais le paysage nocturne, complètement, blasé par sa mère.

Ma mère ne répondait rien, elle se contentait juste de regarder Anya. "Tu fais pas ce que tu veux non, mon fils t'aime trop, s'il t'arrive un truc, je veux pas le perdre alors habille toi." Elle me regardait, on sortait tous les quatre. Désormais dans la voiture, Anya boudait, il était plus de 3 heures du matin, je n'avais pas forcément sommeil, j'avais juste un petit gout amer au fond de la bouche je voulais tellement être à ses cotés, m'amuser encore mais non rien. "Bébé…" dis-je en tirant sur son bras, je la faisais venir vers moi pour l'embrasser langoureusement, après tout elle avait dit de la suivre pas que l'on arrête de s'amuser. Je rigolais proche de ses lèvres, ma mère soupirait mais il y avait un petit sourire sur ses lèvres, elle ne m'avait jamais vu comme ça, jamais avec une femme, j'avais souvent refusé de présenter d'éventuelle femme avec qui je couchais même depuis plus d'un an genre Rachel, elle n'avait jamais vu ma mère, ni mon père, pourtant Anya oui. Je lui volais d'autres baisers en riant alors que la voiture s'arrêtait. On descendait, ma mère avec Alessia, elle ouvrait la porte alors que moi j'attrapais Anya pour la faire glisser derrière mon dos, je penchais même la tête en arrière pour lui déposer un petit bisou sous le menton. "Vous allez vous couchez, Kenny dans ta chambre, Anya celle d'Apple." Je la regardais. "Mais maman." Meredith me fixait dure et froide. "Vous pouvez dormir ensemble si vous ne faites pas de bruit, Alessia dort à coté de ta chambre je te signal, vous avez une fille merde ! Vous pouvez pas faire ça, revenir bourré, ou ne pas donner de nouvelles, vous n'avez plus 18 ans !" s'écria t'elle. "Je voulais profiter avec Anya, peut-être qu'il me restera peu de temps pour faire ça, j'ai le droit puis depuis quand tu dis de prendre mes responsabilités quand je les fais en me mariant avec Anya tu as rechignés, tu… tu trouves toujours un truc qui te déplait en elle." Dis-je avant de monter. "Kenny tu descends maintenant j'ai pas fini !" Anya toujours sur mon dos, je continuais de monter les marches. "Bien moi si, on va dormir, au revoir." Et dans la chambre je claquais la porte, agacé tout d'un coup.

Elle me disait clairement que je ne faisais pas ce que je voulais ? J'avais une deuxième mère maintenant ? Je riais en la regardant finalement J'ai déjà une mère merci bien. C'est bien de vouloir la faire avec moi mais faites le avec vos deux filles d'abords, parce que y'en a bien besoin. Kenny a 27 ans, c'est mon mari et on fait ce qu'on veut au bout d'un moment, on a pas besoin d'une femme aigri sur notre dos à longueur de temps merde quoi, ça commençait réellement à me saouler. A croire que l'alcool me faisait passer par tout les stades et là, c'était un mauvais. Dans la voiture, Kenny me tirait contre lui, m'embrassait avec une sensualité débordante. Je souriais, je posais mes mains sur son visage pour prolonger ce baiser. Mon dieu ce que je l'aimais. J'avais envie qu'on s'enfuis, rien que tous les deux. Arrivés, Kenny me prenait dans ses bras pour me passer dans son dos, je riais dans son cou, m'accrochant bien en lui donnant des petites tapes sur les fesses jusqu'à ce que sa mère nous dise que nous n'allions pas dormir ensemble Vous avez peur de quoi ? Qu'on couche ensemble ? Votre fils est loin d'avoir gardé sa vertu , vous en avez la preuve dans vos main.. elle est pas tombé du ciel ... Oh et tu sais quoi Kenny, je vais rentrer, ça me saoul Kenny à ma rescousse, il répondait à sa mère, mettant bien le doigt sur le fait qu'elle est un soucis avec moi, mais je retenais bien le fait qu'il lui resterait peut être pas assez de temps. Mon visage s'assombrissait bien rapidement. J'avais pas envie qu'il me laisses et je sentais déjà mes larmes couler sur mes joues et dans son cou. Je me cachais un peu d'ailleurs, voilà la raison de notre soirée, la raison de notre état. On voulait juste oublier . Tu m'expliques comment elle fait toujours pour entrer chez nous ? Où qu'on soit dis-je en me laissant tomber sur le lit. Je crois qu'elle me déteste réellement dis-je en éclatant de rire finalement

Ma femme était à fond, j'aurais pu la supporter avec des pompons si j'en avais eu seulement après c'est moi qui râlait, je pouvais pas sérieux, j'en avais marre de la voir si hostile auprès de mon épouse, alors oui elle ne l'aimait pas mais quand même un minimum de respect n'allait pas la tuer. Alors que je me disputais, je sentais de l'eau contre mon cou, j'ai cru qu'Anya s'était endormi et qu'elle bavait rien de plus, je pensais pas un seul instant à des larmes. En haut dans ma chambre, je la déposais sur le lit puis je me laissais aller à ses cotés. "Elle a les clés." Avouais-je en la regardant. "Quand on ne vivait pas ensemble et que j'étais malade je lui avais donné pour qu'elle vienne si y avait une urgence et que tu étais pas disponible." J'haussais les épaules avant de rire. "Mais non enfin elle t'aime pas trop trop !" riais-je. "Mais parce qu'elle a peur que je sois triste s'il t'arrive un truc, elle était là quand tu étais dans le coma…" Mon visage se fermait un peu plus. "On dodo viens…" Je me levais retirant mon manteau, celui de mon épouse, ses chaussures puis les miennes, mon pantalon et toutes les fringues d'Anya avant de filer sous les draps. Même saoul j'arrivais à prendre soin d'elle comme ça. "Pas la cuillère ce soir." Lâchais-je en la regardant. "Après j'ai le bras tout engourdi, je bouffe tes cheveux et j'ai une érection inutile alors tu viens contre moi…"

Sa mère avait les clés. Je fronçais les sourcils et le nez, secouant aussitôt la tête ce qui venait faire voyager mes cheveux. Je veux que tu les récupères Kenny, je veux plus qu'elle entre chez nous comme ça, elle viole notre intimité, tu te souviens de la dernière fois cette fois-ci où on était dans le même genre de position d'ailleurs. Maintenant elle m'aime pas trop. Alors qu'il y'a un mois, elle m'adorait, pourquoi tu me fais croire des choses comme ça ? oui pourquoi il me disait que sa mère m'aimait alors que ce n'était pas le cas Ta mère est taré Kenny , elle m'en veut parce que j'ai été dans le coma ? A la prochaine grippe elle va vouloir me tuer parce que tu risque d'avoir de la peine que je sois malade ? dis-je en soulevant mes fesses, les mains posées à plat de chaque côté de ma taille pour l'aider à me retirer mon jeans. Je levais ensuite les bras au dessus de ma tête pour qu'il retirer mon débardeur. Je peux pas lui promettre d'être toujours en pleine forme, je peux pas lui promettre de jamais te rendre triste, parce que oui, ça nous arrive de nous disputer, mais bordel elle sait que je t'aime ça devrait lui suffire, c'est une coincée du cul ! je n'avais plus de barrière dans cet état là. Kenny ne voulait pas qu'on fasse la cuillère ce soir, je le regardais, un peu surprise d'ailleurs, il voulait toujours qu'on la fasse et là, je me mis à rire. T'es sérieux ? Pourquoi tu m'as jamais dis tout ça lui demandais-je en allant vers lui, posant ma tête contre son torse et une de mes jambes sur les siennes. Je croyais que vous étiez du genre à en avoir presque chaque matin en plus

Je n'avais rien répondu pour la simple et bonne raison c'est que mon cerveau se déconnectait totalement, je commençais à piquer du nez debout même quand je déshabillais mon épouse, il ne se passait rien c'était platonique. Je baillais, je la contemplais avant de me mettre au lit pour la rejoindre, je ne voulais pas faire la cuillère c'était trop de contraintes et il fallait que sous le coup de l'alcool je l'avoue. "Parce que tu aimes bien, je le vois, tu souris quand tu t'endors contre moi." Je voulais qu'elle continue à être heureuse moi, elle se posait bien, je la serrais déposant un baiser sur sa tête en rigolant toujours un peu pour une raison obscure. "On en a chaque matin seulement le soir, j'essaye de pas te faire sentir contre toi que Caporal te dis bonjour." Riais-je en déposant pleins de petits bisous sur sa tête et finalement je m'endors.
Il était dans les 11 heures quand j'étais le premier à ouvrir les yeux, Anya dormait toujours, finalement on dormait en cuillère l'habitude surement. En plus, on était dans ma chambre d'ados, chez mes parents, je ne savais pas du tout ce qu'on fichait ici. Je bougeais un peu, ma tête me faisait mal, je la touchais, horrible, je me sentais nauséeux en plus mais je reconnais que tout ce que je trouvais à faire c'était la réveiller en douceur, embrassant son épaule, son bras, passant ma main entre ses jambes délicatement avant de laisser tomber. J'avais pas la pêche, j'aimais faire un câlin le matin sauf que ma gueule de bois était trop puissante, heureusement, je n'étais pas le genre à vomir. "Bonjour toi." Je lui volais un baiser. Je descends…" murmurais-je en sortant du lit tout chaud, j'enfilais mon pantalon avec difficulté puis je sortais. Ma mère était en bas, elle préparait à manger quand Alessia avançait vers moi. "Salut toi." Dis-je en l'attrapant, je lui faisais des bisous, elle riait, mon maux de tête prenait une sacré proportion. "Hum." Poussais-je. "Bonjour." Dis-je à ma mère. Elle me regardait pas avant de le faire. "Tu es malade, tu ne dis rien, est-ce que je devrais te frapper ou faire comme si ça ne me faisait rien." Je prenais une aspiration. "Je sais pas si je suis malade, j'aurais les résultats en fin d'après-midi mais si j'ai été nul hier, je suis désolé, je me souviens pas on avait besoin d'oublier." Avouais-je en baissant la tête. "Je sais Kenny… Je sais mais fallait m'appeler je me suis inquiété, Anya me dit que vous passez bientôt et personne arrive, personne décroche le téléphone, j'étais morte de trouille pour toi et Anya, car oui je m'inquiétais pour elle aussi." Je m'excusais, je lui faisais un bisou avant de me poser sur une chaise de comptoir.