KENYA ♥ Thanksgiving

"J'ai à peine mal ça va aller." Dis-je en marchant. Je ne ressentais pas plus de douleur que d'habitude, je marchais bien par moment je vacillais mais rien de très grave. Ma main dans la sienne, j'avais l'impression que nous avions oublié le petit passage du sans-abri. "Non du tout." Question bizarre, elle savait que je n'avais pratiquement jamais froid mais non madame me mettait une écharpe autour du cou. Je levais les yeux au ciel, trouvant tout ceci adorable, j'aimais ce genre de moment rien que nous deux, en amoureux j'ai envie de dire. Un baiser, je lui en volais un autre. "Moi aussi mais je suis sur que tu vas dire autre chose quand je t'aurais battu." Riais-je en tirant sur son bras pour l'avoir plus contre moi, mon bras glissait autour de son épaule tout en marchant jusqu'au stand de tir. Trois parties. Je prenais le faux fusil à bille dans mes mains, hum, Anya allait gagner c'était sur mais comment ne pas se rendre ridicule? Je sais pas en tout cas je fus le premier à commence. Un tir et j'avais raté la boite de conserve. Pas glorieux du tout, je vous le dis. "J'étais pas prêt." Dis-je en sifflotant comme pour me trouver une fausse excuse.

J'étais soulagé et satisfaite que Kenny aille mieux. Qu'il n'ait pas mal. C'était rassurant. J'attrapais tout de même sa main dans la mienne, afin de le retenir, si jamais il devait se passer quelque chose. Je n'avais pas envie qu'il se fasse mal à nouveau par mégarde. Il était aussi doué que moi en ce qui concerne de tomber, quand bien même, j'avais toujours un peu plus de chance que lui. Je ne me faisais pas mal. J'allais dans le coffre, pour prendre une écharpe à Kenny, écharpe que je lui mettais rapidement au cou d'ailleurs. Je le ramenais contre moi, par la même occasion, j'étais heureuse en cet instant. Mon ventre s'était calmé, tout comme mon humeur.  Parole, parole, parooooleeee  chantonnais-je en l'entendant se vanter. Je savais parfaitement que j'étais une meilleure tireuse que lui. Je pratiquai, lui non. Nous nous dirigions d'ailleurs vers un stand. Je laissais Kenny faire en premier.  Prends en une des miennes, je te l'offre dis-je en la faisant glisser vers lui, avec un petit sourire assez agaçant sur le visage. Je le regardais à nouveau faire. Il n'y arrivait pas. Je riais, j'attrapais mon fusil. Quant à moi c'était une cible. Je visais directement, les deux qu'il me restait dans le coeur. Le forain, m'en offrait une, épaté par ce que je venais de faire. Elle est pour toi celle-là mon coeur, tu peux choisir ta peluche sauf que je faisais exprès de la louper, lorsque je vis que Kenny venait de toucher une boite, encore. Je voulais lui laisser le plaisir de m'offrir une peluche, en laissant ma fierté de côté.

Je réussissais une. Juste une pour le moment alors qu'Anya dégommait sa cible comme si c'était normal, facile. Comment elle faisait? J'arrivais pas à maitriser le recul de l'arme même avec un pistolet à bille et dans ma tête je me disais comment je ferais si je devais tirer pour protéger ma famille, j'étais pas fichu de le faire correctement là. "Jubile pas trop, tu…" Je fus coupé dans mon élan quand le forain lui disait que c'était la première personne qu'il voyait tirer avec autant de facilité. Ouais bien j'étais un gros nul moi. Je tirais une deuxième fois, je réussissais surement un coup de bol. "Ah ah ah !" oui mon égo était blessé, oui j'avais du mal à me dire que je pouvais pas offrir une peluche à mon épouse sauf que madame ratait sa dernière cible et moi… QUOI ? J'avais gagné !! Mes yeux s'agrandissaient, je fus trop content en déposant l'arme, tellement que je brandissais mes bras en l'air. "Voilà alors on dit pas que je suis un nul hein, ta perdu !" dis-je en choisissant la licorne d'Agnes dans moi moche et méchant, je la prenais avant de lui donner, franchement la soirée commençait bien, c'était cliché d'offrir une peluche à son épouse mais j'en avais tellement envie. "Tiens." Souriais-je en lui donnant, je tirais sur son manteau pour lui voler un baiser avant de murmurer. "La prochaine fois me laisse pas gagner." Murmurais-je tendrement avant de lui voler un autre baiser. L'euphorie passée, je venais de me rendre compte de la réalité, j'avais fais la même chose lors d'une course au chalet vers NY la dernière fois et la voir me faire ça, bien je l'aimais davantage même si je pensais que c'était impossible. "La grande roue ou la maison hanté?"

Il venait de gagner, par défaut, mais ça il ne le savait pas. Je sais bien qu'un homme aime savoir qu'il peut protéger sa famille. Je ne voulais pas qu'il puisse penser le contraire. Je serais capable de lui laisser ma vie entre les mains si l'occasion se présentée. J'ai une totale confiance en mon mari et je voulais qu'il puisse l'avoir aussi. C'était peut être futile, mais je voyais bien que ça faisait du bien à son égo, à sa virilité ...  C'est la chance du débutant, rien de plus oui, si je ne râlais, pas, ça ne serait pas crédible. Kenny prenait une peluche pour me l'offrir. C'était la première depuis que nous étions en couple. Ce genre de chose, c'est ce qu'on fait au début d'une relation, quand on veut laisser un beau souvenir à l'autre, quand on veut lui prouver son attachement... et qu'il me le fasse maintenant avait d'autant plus de signification et je peux vous dire, qu'elle allait aller dans mes affaires et non dans la chambre d'Alessia, juste parce que je trouvais ça symbolique. Alessia ... elle a qu'à avoir un amoureux qui lui offre ce genre de chose ( #SBAFFF ) je dis ça maintenant mais bien entendu que si notre princesse tombe sous le charme de cette magnifique petite licorne, j'allais lui donner. Il me tirait contre lui, en attrapant les pans de mon manteau blanc. Je souriais, en me laissant faire, complètement. Je passais mes bras autour de son cou, lui rendant un instant son baiser avant de rire et de poser mon visage dans son cou  Je vois pas du tout de quoi tu veux parler je riais encore, il m'avait grillé. Moi qui me croyais bonne comédienne, je ne l'étais apparemment pas.  Je sais pas, tu me proposes que deux endroits, deux endroits où tu peux me cajoler tranquillement, aurais-tu une envie particulière de me prendre dans tes bras ? lui demandais, un sourcil arqué avant de regarder tout autour. Je veux faire la grande roue, que si tu me promets qu'elle va rester coincé en haut et que tu vas en profiter pour me dire à quel point tu m'aimes et me donner un baiser comme à Hollywood ... quand je dis comme à Hollywood, je veux pas dire que tu m'embrasses sur le menton pour faire genre, je veux le baiser magique dis-je en l'entrainant donc rapidement vers la grande roue, excitée à l'idée de pouvoir voir la ville sous cet angle là, surtout en pleine nuit.

La licorne était adorable et seulement pour Anya rien que pour elle, pas pour notre princesse je lui en prendrais une autre parce que c'était peluche avait du sens a mes yeux. Elle reflétait cette sortie entre nous, dans mon pays et nos petites retrouvailles en amoureux. J'étais heureux d'avoir essayé de battre Anya mais je n'étais pas dupe, ma victoire n'était pas grâce a une divinité ou autre c'était bien à cause de son amour a mon égard. Un amour tellement pur et sincère qu'elle avait même arrivé a mettre sa fierté de côté pour vous dire, c'était beau non? Moi en tout cas j'étais sur mon petit nuage. "Oui bien sur fait l'innocente en plus." Riais-je avec elle. Qu'est ce que ça me faisait du bien la serrer contre moi debout j'avais pas pu a l'époque de mon genou maintenant je retrouvais les sensations que j'éprouvais en le faisant. Je voulais tellement nous retrouver que prolonger nos étreintes semblaient parfait dans la grande roue ou à la maison hanté qui soit disant en passant ne faisait pas si peur a mes yeux. "Possible sauf si tu es contre mes câlins dans ce cas la..." Dis-je en brandissant mes mains en l'air. "Bien ce que je pensais." Oui la grande roue c'était romantique, normalement, je n'avais pas le vertige mais cette grande roue la, bof. "Bon attend je vais payer le mec alors." Riais-je en allant le voir. Je payais pour deux choses pour qu'on soit bloqué mais aussi pour qu'on soit bien tout seul dans la nacelle sinon y avait plus aucuns intérêts. Hors de la vue de mon épouse j'en profitais pour lui offrir une rose blanche acheté a un homme qui en vendait, une rose plutôt qu'un bouquet était bien sur plus pratique pour la suite et quand j'arrivais vers ma femme pour lui donner je me sentais plus ridicule, tellement que je ne disais rien. Je lui donnais et je la prenais dans mes bras pour embrasser sa tête et aller dans la nacelle.

Je ne répondais plus à ce qu'il me disait, il avait deviné et j'avais beau tenter de faire comme ci de rien était, il ne goberait pas mes mensonge. Je me contentais de lui faire un sourire, un beau sourire de toute mes dents avant qu'il ne me serre dans ses bras. J'étais totalement attendrie par sa façon de faire. J'encerclais son corps de mes bras, ma tête dans son cou. Je n'avais pas envie de sortir de là. J'étais protégé envers et contre tous dans ses bras, même le froid n'arrivait pas à percer son corps musclé.  Si je suis contre tes câlins ... je sais pas... ça reste à voir  dis-je en riant légèrement. Je ne serais surement jamais contre ses câlins, enfin lorsque nous étions dans une ambiance semblable. Je dis pas que lorsque nous nous disputions, j'avais forcément envie qu'il m'enlace et ne me lâche plus, bien au contraire. Je lui parlais de la grande roue que je regardais. La tête légèrement penchait en arrière, je la trouvais belle et j'étais certaine que de nuit, ça devait être quelque chose. Kenny me demandait d'attendre, je me contentais de contempler encore cette merveille lorsqu'il revint, sans que je ne me soit aperçu de la longueur de son absence. Il était là, tenant une rose blanche , l'air un peu intimidé. Je la prenais entre mes doigts, la serrais légèrement avant de la porter à mon nez pour la sentir, un sourire aux lèvres. J'étais aux anges. J'aimais ce genre de petite attention. Sans crier garde, il me prenait dans ses bras à nouveau, déposait un baiser contre ma tête pour m'embarquer dans la nacelle, tout ceci sans que je ne réagisse assez rapidement, encore sous l'émotion de la fleur. J'avais juste l'impression d'être dans un compte de fée. Je riais enfin en me posant à ses côtés sans la nacelle.  Tu me laisses même pas le temps de profiter chacune des émotions que tu me donnes dis-je en le regardant, le rire encore présent. Je me rapprochais de mon mari, posant mes deux jambes sur les siennes, pour poser la tête contre son torse.  Elle sent super bon dis-je en faisant tourner la fleur juste en dessous de mon nez, faisant de même avec lui, un petit instant avant d'être éblouie par le merveilleux paysage que nous avions. Waouuuuuh regardes ! dis-je en pointant du doigt Bigben, c'était beau, c'était génial et gigantesque. Londres étaient déjà à nos pieds alors que nous n'étions pas encore tout en haut de la roue. Serres moi fort  dis-je en plongeant mon regard dans le sien. J'avais juste envie de profiter de sa présence, le sentir contre moi.

Je me sentais tellement ridicule d'offrir une seule et unique rose mais je pouvais pas faire autrement faut dire qu'on avait envie de s'amuser juste après et avec des fleurs c'étaient presque loupé. En plus pour couronner le tout je voyais les yeux de mon épouse, il était différent. Elle était comme attendrit et douce, tout le contraire que je pensais en arrivant et lui donnant cette fleur, j'aurais cru qu'elle allait me dire une seule rose? Non, du tout le réponse a son baiser était en plus super. Je la serrais, elle aussi, mes lèvres toujours contre les siennes je me surprenais même a sourire. C'était ce que je voulais, la retrouver totalement, voir son visage prendre une autre forme en me regardant, voir sa peau frissonner sous mes doigts. J'étais sur mon petit nuage alors que je l'attirais dans la nacelle. "Bien si la, tu vas pouvoir digérer." M'amusait-je a dire. Posé â ses côtés, je regardais Anya s'amuse avec sa rose, la main sur ses jambes posés sur les miennes, je faisais des va et viens juste pour lui faire un câlin. La rose sous mon nez je tournais la tête pour éternuer rieur juste ensuite. "Je confirme elle sent bon." Riais-je en la regardant. Je lui volais plusieurs petits bisous sur la tête, sur la joue quand Anya s'émerveillait face au paysage. Je tournais la tête et je soupirais, ça me manquait par moment, cette vie était si paisible, elle me rappelait tellement de bon souvenir. "On ira demain si tu veux avec notre princesse..." Dis-je en lui caressant ses cheveux. Je regardais la fenêtre, serrant bien fortement Anastasiya comme elle me le demandait, yeux dans les yeux, j'approchais mes lèvres des siennes pour finalement mordre le bout de son petit nez. Rieur, je le fus un peu moins quand on restait bloqué en haut. La nacelle se balançais de haut en bas sous mes yeux heureusement que je connaissais cette roue sinon j'aurais pu qu'elle se décroche et qu'on tombe. "Regarde de l'autre côté." Dis-je en lui montrant le haut de la fête foraine de haut, toutes les lumières, la nuit, Noel et elle, ma ville aussi, ça me donnait du bonne au cœur, rechargeais mes batteries à fond.

J'avais posé mes longues et fines jambes sur les siennes pour qu'on soit plus proche. J'en avais besoin. Allait savoir pourquoi. Je regardais la rose qu'il m'avait offerte. Je jouais avec avant de la lui mettre sous le nez pour qu'il puisse la sentir.  Oui enfin maintenant elle est pleine de salive et j'ose pas dire de morve ? dis-je en penchant la tête sur le côté pour voir l'état des trous de nez de Kenny. Non ça va, ils étaient propre, il n'y en avais pas dans ma rose et qui plus est, c'était juste pour l'embêter. Je laissais mon regard s'émerveiller sur le paysage. Londres de nuit était vraiment magnifique.  On peut aller dedans ou c'est juste un monument qu'on regarde de l'extérieur ?  oui j'étais un peu curieuse quant aux monuments de son pays. Je demandais à Kenny de me serrer contre lui, j'approchais un peu plus de lui, en avançant mes fesses. Yeux dans les yeux, j'attendais qu'il m'embrasse, surtout que j'avais même fermé les paupières mais non il me mordait le nez.  Aooutch, t'es vraiment un cannibale quand tu t'y met toi  je me frottais le nez comme pour soulager la douleur.  En plus j'ai ton haleine dans le nez maintenant dis-je en riant, pour me frotter le nez ensuite. La roue s'arrêtait, je fus surpris par le mouvement de balancier de cette dernière. WAOUUUH, Kenny pourquoi on se balance comme ça ? C'est pas normal dis-je en me penchant pour regarder. Oui, dans les films, je suis pas certaine que ça bouge autant donc, à la place de regarder la vue, je m'accrochais à Kenny, parce que ça me faisait un peu flipper l'histoire quand même.  Arrêtes de bouger hein dis-je alors que ma voix était étouffé étant donné que mes lèvres étaient contre son torse, je suis, même, pas certaine qu'il m'ait comprise.

"Abuse pas ! J'ai tourné la tête." Je riais un peu regardant sa rose, y avait rien puis c'était un simple éternuement sans morve. "Et en plus tu regardes mon nez." Je levais les yeux au ciel, rieur, j'en pouvais plus de cette femme elle me faisait souvent rire, trop souvent, limite si j'avais des abdos c'était grâce à elle. La nuit était magnifique, on était tous les deux et depuis deux semaines c'était bien ce qu'il nous fallait, j'étais apaisé par cette ville, comme si j'étais en Russie, il m'arrivait de me sentir simplement bien parfois, souvent j'avais eu du mal à Cambridge et j'étais un autre homme ici. Je serrais Anya, je lui faisais des câlins, je lui offrais les roses parce que j'étais en accord avec moi-même. "Non on peut rentrer, y a les bijoux de la reine, sa couronne, le carrosse de son couronnement aussi, tu verras c'est vraiment même si je pense que tu connais un peu tout ça." On était fier ici, j'étais fier de lui montrer mon pays, de lui montrer notre monarchie pour la simple et bonne raison que ça coulait dans notre sang ce genre de coutume. "J'ai faim de toi." Je riais en la voyant se frotter son petit nez tout mignon, je déposais un baiser sur la pointe. "Pour le meilleur et pour le pire mon amour." Je riais un peu tendre, la serrant toujours contre moi quand la nacelle se mise à vaciller de tous les cotés. "Non c'est pas normal." Je faisais mine d'être aussi inquiet elle-même quand je me levais pour aller voir ce qui se passait en bas, ça m'éclatait de jouer les hommes forts face à elle surtout que je fondais totalement quant elle fonçait vers moi pour mettre son visage contre mon torse. Je me sentais puissant totalement, amoureux aussi, caressant son crâne avec douceur. "Hein?" dis-je en fronçant les sourcils, la nacelle bougeait toujours autant, je me mordais la joue pour ne pas rire face à sa petite peur. "Tu imagines ça se décroche, on va tomber et s'écraser de haut." M'amusais-je à dire alors que la nacelle bougeait encore pas mal, je m'inquiétais pas mais j'étais curieux de savoir pourquoi on ne se stabilisait pas. "Peut-être qu'avant de mourir, tu as un truc à me dire?" Je profitais de sa faiblesse. Tant pis.

C'est parce que j'aime tes trous dis-je en riant avant de m'apercevoir que ma phrase était assez étrange. On va faire abstraction de ce que je viens de dire parce que ça sonne bizarrement je grimaçais un peu d'ailleurs en y repensant. Je pinçais son nez en le secouant un peu comme pour effacer ce que je venais de ire. Humm t'as l'air d'aimer tout ça, mais dis moi, c'est qui ta reine préférée ? question piège, j'étais la future reine de Russie, j'espère bien avoir pris la place de la vieille monarque. T'as faim de moi et c'est mon nez que tu manges ... triste vie dis-je en faisant mine d'être faussement outrée et déçue mais j'aimais lorsqu'il était doux comme ça. Je souriais, je déposais un baiser sur le bout de son nez aussi . Il était tellement mignon. Sauf que la nacelle s'était arrêté. Elle se balançait même. Rapidement, je me mettais contre lui. Je me scotchai même contre lui. Je parlais , il ne me comprenais certainement pas mais je ne voulais pas. Je m'accrochai à lui. Mes mains serraient son manteau. Dans les films ça se passe pas comme ça, les héros tombent pas ! oui, merde, on a pas encore mangé la dinde de Thanksgiving quoi ! Dis pas n'importe quoi, on va pas mourir ! dis-je en relevant mon visage vers lui On va pas mourir hein ? si c'est le cas, sache, que mourir dans tes bras n'est pas une fin en soit. Dans tes bras, je serais toujours en sécurité, dans tes bras, je partirais au paradis parce que t'es bon pour nous deux mon amour et je t'aime, je t'aime plus que tout.