KENYA ♥ Thanksgiving

"Hum bonne question, j'ai besoin de temps pour réfléchir." J'aimais la faire marcher même si au fond j'aimais ma reine à moi, celle que j'avais connue depuis tout petit, je l'avais d'ailleurs rencontré une fois grâce à mes parents. "Je préfère ma reine à moi. Tu sais une petite femme qui porte ou portera une couronne, un sourire aux lèvres et tout…" Je noyais le poisson rien que pour l'agacer car finalement les indices que je donnais ou pouvait penser au deux alors que je parlais de mon épouse, de ma femme. Anya était ma reine depuis tellement longtemps désormais. Désormais que la nacelle se transformait en balançoire, je pouvais pas m'empêcher de me mettre au milieu pour regarder les cotés des attaches qui nous permettait de ne pas tomber, je le faisais exprès, Anya était souvent inquiète et moi je jubilais souvent en la voyant se coller comme ça contre moi, elle tirait même mon manteau alors mes bras la serrait plus fortement contre moi. "Peut être que ce n'est pas nous les héros mais Alessia… Les parents meurt souvent dans les histoires ce qui donne la force à leur progéniture." Je ne souriais pas, j'haussais les épaules, ma conscience elle par contre était prise d'un fou rire face aux petits yeux de mon épouse, après tout elle avait voulu qu'on s'arrête en haut parce que je cite ça faisait romantique. "Mais non on va pas mourir…" murmurais-je en posant mon menton sur le sommet de son crâne, la nacelle se remise à bouger, c'est là que je me suis rendu compte que si on devait mourir, mourir ensemble, dans cette condition, dans ce bonheur qui nous entoure, ce ne serait qu'une belle mort. Je sais que je l'avais aimé comme pas possible, que je l'aimerais encore bien au-delà des frontières du réelles. "On descend." Chuchotais-je en l'attirant vers les sièges pour nous assoir, je prenais sa licorne et sa rose la gardant sur mes genoux vu qu'Anya se transformait en vrai mollusque sur son rocher, collé à moi. Bonheur total je peux vous le dire. "On va faire la maison hanté plus tard parce que limite je pourrais m'habituer à ce que tu sois comme ça contre moi tout le temps."

Je te signal que je suis pas petite dis-je en lui donnant une tape sur le torse. Oui , je prenais tous ces mots pour moi. En tout cas, je préférais penser que c'était le cas et si c'est le cas contraire ... ben autant dire que je viens de me prendre un vent, que dire ... une tempête en plein visage. La nacelle bougeait, nous étions dedans et Kenny s'amusait à me faire peur. Je me collais à lui. C'est qu'il était clairement en train de me faire flipper. Okay, la vie n'est pas un beau film romantique, je veux pas que notre progéniture ait autant de force que ça.... progéniture, tu penses pas que ça fait un peu .... archaïque ? j'avais clairement l'impression qu'on était même en train de parler de nourriture. J'étais accroché à Kenny, je ne voulais pas le quitter. Je ne te quitterais pas au non jamaiiiiiis ( ) Kenny me serrait contre lui, je relevais mon visage vers lui lorsqu'il nous entrainait vers les sièges.  Me dis pas que tu la faisais bouger exprès  je fronçais les sourcils en le regardant avant de lui ébouriffer les cheveux. Tu m'as laissé croire que mes minutes étaient comptés et le pire dans l'histoire c'est que t'en en a même pas profiter pour m'embrasser ! Idiot !  Ben oui, j'aurais pas dit non à un baiser d'adieux même si ce n'était pas le cas. Je voulais profiter de ses lèvres, jusqu'au bout de ma vie.  Tu sais, j'ai pas forcément besoin de tout ça pour rester comme ça je souriais, j'ouvrais son manteau pour me glisser dans l'ouverture. Il ne prendrait pas froid et moi j'étais contre lui, contre son torse, dans la chaleur de son corps. Alors mon baiser d'adieu ?

"Non c'est notre progéniture, notre bébé à nous." C'était tendre dans ma voix comme souvent quand je parlais de notre fille, j'avais ce petit soin de voix qui changeait tout. Debout au milieu de la nacelle, j'arrêtais de la faire bouger et c'est là qu'Anya me cramait. Je riais énormément, j'en pouvais plus, fallait la voir comment elle avait eu peur, j'adorais l'embêter c'est fou. "Non je le faisais pas bouger." Dis-je pour la forme mais mon rire gâchait tout. "Et toi tu l'as même pas fait non plus !" dis-je en levant un peu le menton, je la serrais bien contre moi, je crois que c'était peut être un peu trop d'ailleurs. "Peut-être mais j'aime bien te voir contre moi quand tu es triste ou tu as peur." Avouais-je. Elle ouvrait mon manteau pour se mettre plus contre moi, je referais mes pans de ce dernier sur elle en respirant son odeur jusqu'à l'embrasser. Les yeux clos, je me laissais complètement allé, d'abord tout doux, un brin joueur, les émotions qui suivaient nous envahissait, mes poils s'irisaient, mon sourire se vit un peu sur mon visage alors que je l'embrassais langoureusement jusqu'à ce que le froid envahisse la nacelle. Oups. Tout le monde nous regardait, ils attendaient la place et moi je me raclais la gorge un peu gêné faut bien le dire, ce baiser était tellement passionné, tellement chaud à mes yeux que ça m'avait rendu fébrile. "Je prend… Je prend la licorne." J'avais les pensées embrouillés, je secouais même la tête tellement j'étais sur mon nuage, dans notre bulle à nous deux. "Faut vraiment que tu arrêtes de me perturber comme ça Anya sinon je vais mourir sous un de nos baisers, le pire c'est que j'ai limite envie de partir pour aller au cottage et…" Je manquais de tomber presque, mon genou avait flanché violemment mais je faisais comme si de rien était. "Et… ouvrir la bouteille de cham… Non rien en fait." Je parlais trop, je parlais trop.

J'ai pas eu peur dis-je en relevant un peu le menton, sauf que si, j'avais eu peur et je n'aime pas le reconnaître, en tout cas, dans les bras de mon mari, j'avais eu moins peur. Il était mon bouclier, mon armure et j'avais du mal à me l'enlever depuis qu'il était entré dans ma vie. Kenny nous amenait sur les banquettes de la nacelle parce qu'elles allaient reprendre leur rythme. Je défaisais son manteau pour venir m'y engouffrer, je souriais, en lui faisant comprendre que je voulais mon baiser. Ce baiser d'adieu, qui en soit, n'en était pas un, mais je sais bien ce que ce genre de baiser procure et je voulais qu'il me le procure. Maintenant. Je me redressais un tout petit peu, penchant la tête de Kenny en arrière que je tenais entre mes mains. Je souriais moi aussi contre ses lèvres, en jouant avec sa langue, tandis que je sentais ses mains passer à l'intérieur de mon manteau à moi jusqu'au moment ou un froid glacial venait s'engouffrer dans notre bulle. et moi ... la rose dis-je en la cherchant du regard. Une fois la main dessus, je sortais vite, les lèvres pinçaient, dérangée qu'on ait pu nous voir.  Tu peux tout de même considérer que c'est une belle fin, peut être même la plus belle qu'il soit  lui répondais-je en riant. Je n'avais pas vu qu'il avait manqué de tombé, non je regardais ma licorne tout en marchant.   Une bouteille de champagne ? j'arquais un sourcil, je me demandais bien ce qu'il avait pu prévoir. Tu m'en a trop dis ou pas assez, dis moi tout dis-je en le poussant vers la voiture pour le coincer. Tu m'échappera pas mon petit.

Comme souvent j'étais déçu que nos baisers prennent fin par un élément extérieur mais là j'étais en plus gêné, faut dire qu'on avait souvent eu l'habitude de s'enfermer dans notre bulle que je me rendais pas compte des regards sauf quand le froid avant envahi notre cabine et que ma main était sous le pull d'Anya posé sur son dos. Je pouvais pas m'empêcher de me racler la gorge et de passer ma main dans mes cheveux, je n'étais pas très à l'aise alors que je prenais la licorne et Anya sa rose. On sortait main dans la main, elle en première quand même alors que l'homme qui dirigeait la roue souriait. C'était un peu pervers ça, enfin j'en savais rien, je voulais juste fuir le regard car si en Amérique je passais souvent inaperçu, ici notre famille était relativement connu et en plus j'étais avec Anya, donc les yeux ont les avaient sur nous. "Une belle fin? Des regards posés sur nous comme si on était des bêtes curieuses tu trouves que c'est une belle fin?" souriais-je avant de reprendre. "ça c'est une belle fin…" Je la faisais tourner sur elle-même et quant elle se retrouvait face à moi je ne lui laissais pas une seconde que je l'embrassais tendrement, c'était romantique à souhait tout comme ce que je lui disais ensuite. "De quoi une bouteille de champagne? J'en ai pas parlé." Essayons de noyer le poisson sauf qu'elle me poussait contre la voiture et que j'écartais un peu les jambes, assis sur le capot, pour qu'elle se glisse entre et la coller contre moi. "Je dirais rien, même sous la torture et sous tes yeux adorable, je dirais rien." Je lui réservais pas un super truc, juste une bouteille de champagne, un jacuzzi, une table de massage pour la détendre et bien sur fait par moi, une soirée ou je la chouchoutais tout simplement. "Oh tu peux me regarder comme ça, je te dirais rien." Riais-je doucement quand un flash nous aveuglait. "Sérieusement?" dis-je en me défaisant un peu d'Anya pour voir l'homme qui prenait des photos de nous. "Vous croyez pas que vous nous dérangez là." J'étais un peu, beaucoup en colère, je serrais même le point.

Quoi, c'est pas une belle fin ? Mourir contre mes lèvres ? demandais-je, un sourcil arqué avant qu'il ne me montre une autre fin, alternative. Il me faisait tourner, je riais avant de me retrouver face à lui. Ses lèvres inondaient les miennes, j'en profitais et lorsque ce baiser se terminer, je riais pour enrouler mes bras autour de son cou. Elle est beaucoup plus belle en effet je le serrais contre moi un instant avant de partir vers la voiture. Monsieur me parlait de bouteille de champ ... je me doutais donc qu'il me parlait de champagne. Je le poussais vers la voiture et bien rapidement, comme un automatisme, lorsqu'il écartait les jambes, je venais m'y engouffrer, contre lui. C'était comme ci nos corps étaient appelés l'un à l'autre. Des aimants.  Même après ça ?  je baissais la tête, afin que mes cheveux me cache, puis je prenais de grand yeux, brillants, une bouche en coeur et un air tristounet. Je relevais le visage vers Kenny, mettant mes cheveux sur le côté pour battre des cils.  Normalement ça marche dis-je en croisant les bras contre ma poitrine et en tapant du pied comme une petite fille capricieuse. Un flash, je n'eu pas le temps de me retourner que Kenny s'énervait. Il serrait les poings, je le voyais parfaitement. Je me mettais devant lui, pour que ça ne se voit pas d'ailleurs et je fronçais les sourcils, face à cet intrus.  Le droit d'image vous connaissez ? Si vous publiez quoique se soit, vous aurez des nouvelles de nos avocats Je me retournais vers Kenny en lui faisant un signe de la tête vers la voiture. On rentre ..  oui ça venait de m'énerver et je n'avais pas envie qu'on nous prenne en photo. Je lui laissais le choix de prendre le volant ou pas, question de virilité face au photographe. Une fois sa réponse donné, nous allions enfin vers le cottage. Ce magnifique Cottage que je lui avais offert l'année dernière pour son anniversaire, d'ailleurs, son anniversaire arrivait bien vite.

Pour une fois on tait bien dehors, il faisait ni trop froid, ni trop chaud, j'étais totalement à l'aise contre mon épouse qui mettait ses cheveux devant son visage. Limite elle me faisait un remake du chat botté, je la regardais, un sourcil e l'air plus que l'autre, amusé et attendrit de la voir faire autant d'effort pour essayer de m'apitoyer et que je vende la mèche. "Même après ça." Dis-je en hochant négativement la tête, Anya s'agaçait, je riais un peu, elle faisait sa tête de bébé, les bras croisés et tout. Je voulais trop, trop la prendre contre moi pour la couvrir de bisous et c'est ce que je m'apprêtais à faire si un photographe nous avait pas prit en photo. Je pouvais encore accepter certaines photos, c'était le but, quand on était un peu connu, les gens s'intéressaient à nous alors bon je pouvais le cautionner mais franchement nous aveugler de la sorte, c'était limite pas humain, j'avais des étoiles et encore j'étais pas celui qui était face au flash, je m'énervais. Mon sang ne faisait qu'un tour faut dire que je protégeais Anya, j'étais si heureux tout à l'heure que là j'avais envie d'en découvre à celui qui touchait mon épouse. Cette dernière qui m'empêchait d'aller le voir en se mettant contre moi, Anya me temporisait en quelque sorte car je crois que je lui aurais bien mis ma main dans la tête et au lieu de ça je mettais ma main dans la sienne partant vers la voiture. "Je peux pas, ça serait pas prudent pour toi." Et même si ma virilité allait en prendre un coup, je ne pouvais pas me résigner à prendre le volant, je l'aimais bien trop d'ailleurs en montant dans la voiture j'avais pris mon attelle pour la remettre le temps du voyage. "ça m'agace, on est toujours poursuivis, j'étais limite nostalgique de venir mais là plus du tout, y a que chez nous enfin en Russie qu'on est tranquille." Nous. Oui ce pays était le mien définitivement. Je regardais la route qui se dessinait sous nos yeux, j'avais hâte d'aller au cottage, j'adorais cette endroit. "Le seul point positif c'est que j'ai pas cédé à tes petits yeux !" dis-je en brandissant les bras en l'air rieur.

Finalement, c'est moi qui prenait la voiture. Kenny avait mal au genoux, de nouveau et c'était plus prudent ainsi. Le photographe nous prenait encore en photo. Il me faisait limite mal aux yeux avec son flash. Main au dessus des yeux, j'attendais qu'il se pousse pour partir. Tu peux me passer mes lunettes de soleil, dans mon sac ? dis-je d'un ton assez lasse. C'était énervant. On était censé passer une bonne soirée et nous n'avions eu le temps de faire seulement deux attractions.  C'est pas grave, c'est le revers de la médaille  je tentais de le calmer en disant cela mais j'étais surement encore plus énervé que lui, mais mon père m'avait toujours appris à sourire aux photographes, à ne pas m'énerver devant eux, pour l'image du palais. en tout cas je retiens, notre pays dis-je en faisant des guillemets avec mes doigts avant de descendre la vitre excusez moi mais nous aimerions partir, si vous pouviez vous pousser je faisais un sourire, il me prenait en photo. Monsieur était content et partait. AMEN. Je roulais jusqu'au cottage, tranquillement, la main posé sur la cuisse de mon mari.  C'est juste parce qu'on a été dérangé, je suis certaine que t'aurais fini par céder je riais à nouveau, avant de prendre le dernier virage jusqu'au cottage. Il était camouflé dans la forêt, pas isolé complètement mais au moins, les photographes ne pouvaient pas entrer dans le domaine.  Par contre, je sais pas si le ménage a été fait, j'ai pas pensé à appeler quelqu'un il devait surement avoir de la poussière, j'espérais que Kenny y est pensé d'ailleurs.  ça va toujours pas ton genoux ?  oui dis moi si on va pouvoir enfin dormir ensemble ou pas Kenny !

Le journaliste m'avait bien tapé sur le système nerveux, j'avais été parfois poursuivi par ce genre d'espèce quand j'étais plus jeune bien avant d'être marié et d'être en couple avec Anya mais dans mon pays jamais autant. Anya avait sa main sur ma cuisse, je lui caressais doucement, j'étais un peu saoulé même si je pouvais pas m'empêcher de me détendre quant elle disait que j'aurais cédé si on avait pas été interrompu. "Oui bien sur comme on dit l'espoir fait vivre, du coup je vais te laisser espérer que ce soit vrai." Je bougeais la tête tout content regardant la route, je profitais, ce pays, le froid de ce dernier ça m'avait quand même un peu manqué même si désormais mon chez moi, notre chez nous se situait ailleurs. Ah Anya si tu savais comment je te remercie de m'offrir cette vie à tes cotés, de pouvoir être celui qui t'aime et qui te protégera. Je prenais une aspiration pensant à tout ceci. "Toi non mais moi si. J'ai fais venir quelqu'un aussi pour ma surprise du coup…" J'haussais deux fois de suite les sourcils amusé alors que je touchais mon genou. Deux semaines et demi qu'on faisait chambre à part, c'était trop, je pouvais pas attendre encore plus puis dans un jour on dépasserait le stade des trois semaines alors stop. "Si si ça va mieux, j'ai pas trop mal, je peux marcher en plus sans attelle, bon signe tout ça puis je dois arrêter le traitement bientôt." Dans une semaine, je préférais rester évasif sur le sujet. Retirant justement l'attelle pour descendre de la voiture, je la laissais dedans, je marchais sans vraiment de grosses difficultés tendant la main vers Anya pour qu'elle soit à mes cotés quand on passerait le pas de cette porte. Aucunes grosses surprises, juste le jacuzzi prêt, du champagne et table de massage avec quelques bougies à allumer pour faire une petite ambiance. "Alors le programme…" dis-je en me posant derrière elle après avoir fermé la porte. "C'est que tu vas te détendre déjà, je vais nous faire à manger, je vais te masser puis on va aller dans le jacuzzi tous les deux…" Je lui défaisais son manteau doucement, retirant son écharpe au passage pour déposer le tout derrière moi.

Nous arrivions au cottage. Je me demandais si le ménage était fait. C'est vrai, ça faisait longtemps qu'on avait pas mit les pieds dans cette maison, ce qui n'était certainement pas le cas de la poussière. Je sortais de la voiture, prenant la main de mon mari pour passer le pas de la porte. Cette maison était faite de nos souvenirs et ça me fait du bien d'y retourner. C'était un hommage à notre relation. A notre si belle relation qui me faisait vibrer chaque jour. Kenny me présentait le programme en se posant derrière moi. Je m'appuyai contre lui, en attrapant ses mains pour qu'il m'enlace tendrement.  Tout ça rien que pour moi ? C'est ma fête aujourd'hui ? Non parce que je suis pas au courant et alors dans ce cas, j'ai plein de fête à rattraper dis-je en riant, tournant juste mon visage vers monsieur. Monsieur qui m'enlevait mon manteau ainsi que mon écharpe. Je souriais, tournait sur moi même pour finalement le regarder faire. Je vais t'aider pour le repas oui , faire la cuisine à deux, j'aimais ça, bien que je ne sois pas aussi douer que mon cher et tendre. J'enlevais le manteau de Kenny à mon tour, ainsi que son écharpe pour finalement aller dans la cuisine. En passant, je vis le jaccuzzi qui était déjà prêt.  T'as vraiment pensé à tout dis-je avec de grand yeux. Je me retournai pour aller dans la cuisine, en posant ma main contre le comptoir. Waouh, je me sentais un peu étourdi. Je passais ma main contre mon front qui était chaud. Whaaat ? No way, je veux profiter de ma soirée. Je faisais abstraction de cela, même si je me sentais subitement fatiguée. Alors on commence par quoi ? dis-je en m'éventant un peu avec ma main, Kenny me regardait, je faisais les gros yeux, pour me reprendre avec un petit sourire.  T'as vu ce jeans, tu me donnes hyper chaud dis-je dans un petit rire