KENYA♥ But I will come running for you

Mon dieu ce qu'elle me faisait chavirer, si je la faisais perdre le nord, moi aussi je devenais complètement marteau en embrassant ce coté là. J'adorais lui faire ceci, pour elle mais aussi pour moi, je trouvais qu'il y avait quelque chose de très sensuel, très agréable, mon excitation personnelle montait et le fait de savoir qu'elle était à moitié réveillé me faisait rappeler le doux réveil qu'elle avait pu me faire connaitre à un moment donné lors de notre lune de miel. Je savais que c'était surprenant et deux fois plus agréable, nos corps étaient tous les deux détendus le matin, son esprit encore dans les nuages en la connaissant alors quand je jouais avec ma langue, je ne pu m'empêcher de sourire pour finalement m'arrêter et embrasser juste la peau de l'intérieur de ses cuisses. Le deal n'était pas que je continue pour qu'elle ouvre les yeux? Si mais elle parlait de bisous, pas d'autres choses, je descendais plus bas, ses genoux, ses mollets, ses chevilles et même ses pieds que j'embrassais pour me retrouver à genoux devant elle, les fesses sur mes talons, une envie des plus impressionnantes à voir physiquement aussi. "Alors mon amour se réveille?" dis-je en rampant au-dessus de son corps prenant appuie sur le matelas, caressant sa joue de ma main libre.

Je souriais, mais bien rapidement, j'essayai de me contrôler. Je n'avais pas envie de faire de bruit, pas ce matin. C'était difficile. Ma main plaqué contre ses cheveux, l'autre contre son dos, je  refermai mes doigts contre sa peau, puis finalement je venais attraper le drap pour le serrer. Mes jambes s'étaient automatiquement pliées, je n'eu pas le temps d'atteindre le paroxysme mais c'était tellement bon. Finalement, il continuait à m'embrasser. C'était tout aussi délicieux, différent mais délicieux. J'en avais des frissons de partout. A un moment donné, je ne sentais plus ses lèvres contre ma peau, alors j'ouvrais un oeil pour le voir à genoux devant moi puis rapidement au dessus de moi. Fort heureusement je l'avais pu voir ramper juste au dessus de mon corps, je peux vous dire que voir cet homme faire ça juste au dessus de vous, ça vous met à l'envers. Oui oui, je me réveille dis-je en fermant un peu plus les yeux, en fronçant le nez et en m'étirant de tout mon long. Mes bras au dessus de ma tête, je me cambrais en me mordillant la lèvre tout en plongeant mon regard dans le sien après m'être frotté les yeux. C'est bon dis-je d'une toute petite voix angélique et innocente.  et j'ai le droit à un bisous ici .. et sur ces mots, je tapotais mes lèvres de mon index, avec une petite moue so cuuute.

J'attendais qu'elle ouvre les yeux hors j'ai eu le droit à tous les étirements possible et inimaginable. Et vas-y que j'étire mon bras, que je me cambre, d'ailleurs j'étais un peu en difficulté sentir son bassin contre le mien, le matin là alors que je lui avais fais un petit truc qui me plaisait particulièrement. "T'es sur?" Je passais mon doigt sous ses yeux, les plongeant dans les siens quant elle me regardait en me demandant un bisou. "Bien sur même plusieurs…" Je l'embrassais doucement, tendrement, pas trop longtemps même si elle comme moi apprécions les matins câlins de la sorte, on trouvait pas le temps d'habitude parce qu'on n'attendait pas l'autre pour se lever et ce matin j'avais décidé de ne pas l'attendre en la réveillant. Un bisou esquimaux suivait jusqu'à ce que je remonte bien la couverture sur nous pour ne pas qu'elle prenne froid, moi il était impossible que je prenne froid vu la température dans laquelle elle me mettait. "ça te dis de faire une économie d'eau avec moi avant d'aller voir Alessia? Je dois vérifier tout ceci…" dis-je en laissant ma main glisser sur sa silhouette.

Lorsque je m'étirais, ma poitrine allait se plaquer contre son torse, quand je me cambrais, je senti son bassin contre le mien et surtout l'urgence de la situation. Je baissais mon regard dessus d'ailleurs. Je me mordillais la lèvre, alors que je remontais ma jambe pour que ma cuisse longe la "télécommande" . Nos yeux se rencontraient, j'hochais doucement la tête sans pouvoir répondre devant l'intensité de son regard. C'est pas humain d'avoir cette lueur même au réveil, cette intensité si cruelle qui me transporté ailleurs. Je réclamais un bisous, il m'en donnait plusieurs, pas trop longs d'ailleurs, ce qui nous permis de pouvoir respirer et ne pas s'essouffler. La couverture au dessus de nous, je la tirais même jusqu'au dessus de notre tête pour nous faire une cabane d'amour.  Je crois bien que ça me dis oui dis-je après avoir fait mine de réfléchir. S'aménager un petit moment à nous avant de reprendre notre rôle de parent et je pense qu'on devrai le faire chaque jour, faut penser à la planète  ce n'était pas tellement crédible venant de nous. Avec toutes nos voitures, moto, maison, bateau, heureusement qu'on faisait le tri sélectif pour se racheter. Oui tu devrais penser à désamorcer la bombe, on est en plan vigi pirate et je pense que je pourrais exploser d'un moment à l'autre oui, oui je venais clairement de dire que j'étais une bombe, en même temps, c'est pas faux (aa)

"Ah je suis d'accord, j'aime bien quand on pense pareil tous les deux, la planète c'est important…" Ouais bien sur, j'avais des voitures de collection dans le garage de cette maison qui polluait deux fois plus que deux voitures de nouvelle génération puis Anya c'était la première à gaspiller niveau fringues autant vous dire que nos discours sonnaient faux mais aussi très sensuel quant elle me touchait, qu'elle me regardait. Je n'y pouvais vraiment rien, mes yeux étaient sans cesse brulant de désir pour elle, d'amour à son égard, j'étais constamment à la recherche des siens et parfois j'osais penser ne pas être normal parce qu'un homme regardait la poitrine, les fesses de sa compagne et moi non ses yeux. "Je suis très bien équipé… Je vais quand même définir la zone de danger avant tout intervention…" murmurais-je proche de ses lèvres avant de l'embrasser. Si Anya se lançait des fleurs, pourquoi pas moi après tout, je savais que je n'étais pas loin de la vérité, j'étais plutôt bien battis, plus construit et le patrimoine génétique qu'on offrait à nos enfants seraient totalement parfait. Un pur moment de tendresse, court trop court. Alessia était le genre de bébé qui avait des horaires comme les réveils matins c'était horrible, elle pleurait mais le souci ne venait pas forcément de là mais de Milo qui sautait sur le lit pour nous rejoindre sur la couette et me lécher la figure. "AH MAIS DEGAGE !!!!" m'écriais-je en pestant totalement. Bravo à moi-même de lui avoir autoriser de venir quand Anya était pas là.

Oui je déposais un baiser contre sa mâchoire c'est sa gorge tellement son torse [/color] important [/color] son épaule pour finalement revenir contre ses lèvres qu'on doit faire quelque chose toi et moi dis-je en riant doucement. Je passais mes bras autour de son cou pour nouer mes doigts derrière. Je le sais ça que t'es bien équipé, je le vois même  je baissais mon regard en hochant la tête, avant de faire les gros yeux en remontant mon regard dans le sien. Je le sens aussi d'ailleurs. Il me parlait de zone de danger, d'intervention ... je m'en foutais, j'avais ses lèvres contre les miennes. Je passais ma main droit dans ses cheveux que je serrais, je n'avais pas quitté ses yeux d'ailleurs, alors que nos lèvres se moulaient parfaitement bien, que nos nez se pelotés en même temps et que j'essayais de caresser sa langue de la mienne. Sauf que se fut à ce moment là, qu'Alessia se mit à pleurer ... je fermais les yeux en m'aggripant un peu plus à Kenny, je voulais pas qu'on se sépare, pas ce matin, j'avais envie de le retrouver encore. Mais se fut sans compter Milo qui arrivait. Il venait jamais normalement, je lui avais toujours appris à ne pas rentrer, puis la porte, je la fermais toujours, je l'avais fermé hier soir. Kenny se mit à crier sur Milo, je me laissais retomber sur le coussin, Alessia pleurait toujours.  ça me saoul ! dis-je en poussant un peu Kenny sur le côté pour me lever. J'attrapais mon peignoir en soie pour le mettre sur mon corps encore nu. MILO TU SORS MAINTENANT ! Depuis quand tu viens ici ! je pointais la porte avec mon doigt, il sortait alors que j'allais voir Alessia. J'avais plus envie du tout maintenant, c'était aussi efficace qu'une panne.

Milo, j'avais envie de le tuer quant il commençait à sauter sur nous, mais c'était de ma faute, j'avais accepté qu'il vienne de temps en temps quand j'étais malade à une époque, ce chien m'avait permis de combler le manque du mien parti trop tôt, de me faire une compagnie pendant que je souffrais alors bon le disputer comme ça je ne pouvais pas le faire même si je criais sur lui agacé d'avoir gâcher notre moment. "Mais non reste…" Elle me poussait trop tard, se levant pour s'habiller avec un seul et unique peignoir, je soupirais en passant mes mains sur mon visage, j'étais blasé, agacé aussi de la voir me faire ça, partir sans même prendre la peine de m'embrasser une dernière fois ou juste rester un peu dans mes bras. Milo lui aussi s'en allait, la queue entre les jambes et désormais seul dans la chambre, je me levais à mon tour après avoir fixé le plafond pendant plusieurs minutes. J'étais un peu en colère contre elle, elle abusé clairement de me faire ce genre de chose, elle qui m'avait empêché de dormir presque pour m'avoir toute la nuit, oui je pestais. Enfilant un boxer, j'attrapais aussi le bas de mon pyjama pour descendre torse nu. Je n'entendais plus Alessia pleurer, elle était surement calmer par sa maman qui avait un pouvoir réconfortant sur elle. Silencieux, je descendais en bas, Teddy n'était pas là, peut être qu'elle avait décidée de partir faire un tour, j'en sais rien en tout cas se retrouver avec une Anya de mauvaise humeur ne m'arrangeait pas. "Bonjour princesse…" murmurais-je à Alessia assise sur la chaise haute, je lui faisais un bisou, elle se mise à rire en attendant sagement son biberon et moi le café que je partais préparer.

J'allais pas rester dans ce brouhaha. Alessia pleurait encore et encore, sans jamais s'épuisser, Milo aboyer, léchant Kenny et moi. Non, j'avais plus envie, du tout. J'aurais voulu être tranquille. On peut jamais être tranquille dans cette maison, ça me gonfle c'est tout je pestais. Sérieusement. Kenny ne m'avait pas laissé dormir. Nous nous étions couché très tard et je n'avais que 3h30 de sommeil dans la tête. Je ne râlais pas à cause de ça, parce que j'avais aimé le réveil de mon mari, c'était tellement doux que j'aurais pu être de bonne humeur, c'était le cas avant d'ailleurs. J'entrais dans la chambre à Alessia, je la prenais dans mes bras, en lui faisant un bisous. Maman va changer la couche ... c'était donc pour ça que j'avais pas eu le droit à mon réveil en douceur, à cause d'une couche pleine ?! Après l'avoir nettoyai et changeai je descendais en bas avec le petit monstre que je posais dans la chaise haute pour lui faire son biberon. Kenny descendait à son tour pour se préparer son café. Okay, il ne s'en faisait qu'un. Tu sais qu'on peut en faire deux en même temps ... enfin je veux dire j'existe moi aussi  j'étais un peu choqué là.

Arrivé en bas, je voyais la tronche d'Anya, complètement fermé, Alessia qui était toute contente, je crois qu'il y avait eu une histoire de couche sale à ce que j'avais pu entendre dans le babyphone. J'avais d'ailleurs été soulagé que ce ne soit pas moi qui me coltine le changement, j'aimais notre fille mais c'était très souvent moi qui changeait la couche et je reconnais que ça m'agaçait souvent surtout quant elle était malade, l'odeur était horrible enfin après avoir fait un bisou à la petite princesse, je partais vers la machine à café pour faire un seul et unique café qui n'était pas pour moi sauf qu'Anya me sautait à la gorge. "Je sais…" dis-je en la regardant. "C'est pour toi…" Je ne comprenais pas enfin elle savait qu'avec mon diabète j'avais troqué le café contre le chocolat. "c'est pas parce que tu es de mauvaise humeur que tu es obligé de me sauter à la gorge hein ! Je veux bien supporter mais là sérieusement tu abuses, moi aussi je peux être agacé par la manière dont tu m'as laissé en plan, d'ailleurs la situation aurait été l'inverse tu l'aurais très mal prit alors arrête de passer tes nerfs sur moi !" Ouais je voyais la scène, si j'avais laissé Anya sans lui voler un baiser ou un dernier câlin, la troisième guerre mondial aurait eu lieu dans cette maison alors que moi je ne disais rien. L'autre tasse dans la main, je prenais le chocolat en poudre en bas ainsi que du sucre et un peu de lait que je passais au microonde, la machine à café était en route, le biberon de la petite refroidissait un peu, je partais m'installer au coté d'Alessia pour déjeuner.

Je regardais Kenny me dire que le café était pour moi. J'arquai un sourcil, à vrai dire, je ne me souvenais plus qu'il s'était privé de café. Enfin, par moment il en prenait encore alors .. Bon okay, sur le coup, je me sentais vraiment conne, mais je n'allais rien dire, je n'allais pas non plus m'abaisser encore une fois. J'avais déjà dû m'excuser hier soir pour avoir voulu aider ma meilleure amie, pour l'avoir inviter sans demander si elle pouvait rester chez nous.  Littéralement parlant, je te saute pas à la gorge. Je suis à ma place, tu es à la tienne et mes mains serrent juste un biberon qui me semble-t-il n'est pas ton cou dis-je en haussant une épaule toi arrête de passer ta frustration sur moi parce que je n'ai rien fait non plus. Alessia pleurait, je suis allé voir pendant que toi tu te faisais lécher par Milo ... je passe pas après un animal qui se lèches l'entre jambe toute la journée j'avais beau aimé mon chien, je détestait qu'il me lèche, je sais pas ou il fourre sa langue. Je passais le biberon sous l'eau froide avant de prendre Alessia dans mes bras et d'aller dans le canapé pour lui donner son biberon. Je mettais une émission russe, comme chaque matin un dessin animé notamment pour qu'Alessia se familiarise avec sa langue natale.