Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnd suddenly you're all I need ► Cody - Page 3
-50%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
54.99 € 109.99 €
Voir le deal


And suddenly you're all I need ► Cody

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cody et Danae ♡ And suddenly you're all I need.

Etre en couple changeait quand même quelques trucs dans la vie de tous les jours. Déjà, le statut sur Facebook : il faut bien avouer que le petit message « est passé de célibataire à en couple » a la classe. Et puis, lorsque les gens que tu croises te demandent « et alors, les amours ? », tu as des tonnes de choses sympas et de péripéties à raconter. Les gens ne te jettent plus un regard désolé, l'air de dire « la pauvre, elle est seule au monde et désespérée ». Parce que non, tu es à présent en couple et épanouie dans ta relation. Tu es heureuse, tout simplement (parce que selon la plupart des personnes, tu ne peux pas être heureux et célibataire). Etre en couple, c'est la sécurité, la garantie qu'aucune autre fille ne touchera à ton homme et que ton homme ne touchera aucune autre fille - enfin ça, c'est en théorie, en pratique, c'est un peu plus compliqué. Etre en couple, c'est également être choyée par l'autre et être couverte de petites attentions et de petits cadeaux - en théorie aussi, Cody étant fauché, je pouvais toujours rêver pour les cadeaux. Et être en couple, c'est aussi débarquer dans une nouvelle famille et se faire accepter par les beaux parents. En l'occurrence, par la belle-mère, aka la maman adorée de Cody. Qui semblait être sa troisième après moi et l'alcool. « Tu lui parles souvent sur Skype ? », demandais-je par curiosité. Je voulais en savoir plus sur la relation qu'entretenaient Cody et sa mère. A savoir si elle consistait en une simple relation mère-fils ordinaire, ou alors si on était carrément dans la relation de surprotection-fils-chéri-à-sa-maman. C'était souvent dans le deuxième cas que la belle-fille (aka moi) avait plus de mal à s'intégrer. Et bizarrement, j'avais l'impression que Cody entretenait précisément cette relation avec sa mère. En gros, il ne fallait jamais, ô grand jamais, que je disais un mot de travers sur maman Bleeker, au risque de me faire couper la tête. En tout cas, il semblait vraiment passionné par elle, me révélant tout son emploi du temps : entre journées yoga et réunions Tupperware, maman Bleeker semblait avoir une vie bien remplie. « Je sais pas. Peut-être qu'elle te manque. », disais-je en haussant les épaules. Je trouvais ça mignon que Cody aime autant sa mère. Bon, je trouvais ça sweet car je n'avais pas tout vu. Enfin, soit. Cody m'attrapa la main et m'entraina vers l'océan. Car l'air de rien, on ne s'était pas encore baigné. Et il faisait une chaleur à mourir, et l'eau était si bonne. « J'irais où tu iras. » Mon pays sera toi, j'irais où tu iras, qu'importe l'endroit.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
S'il y a une chose que Cody Bleeker savait sur les relations de couple, c'était qu'il ne séduirait jamais pas son physique, son compte en banque ou sa plastique de rêve. Il ne retiendrait jamais une fille en lui offrant des cadeaux hors de prix, en lui déposant un mot doux chaque matin sur son oreiller, un bouquet de fleur sur la table tous les soirs en rentrant du boulot, si tant est qu'il ait un boulot. Être en couple avec Cody Bleeker, c'est ne pas se poser de question. Improviser. Ne pas se demander chaque soir où il rentrerait un peu trop tard s'il n'est pas retenu par une femme, une bière ou un bouquin d'économie passioooonnant à la bibliothèque. Ne pas s'attendre à des vacances toutes préparées. Aimer les surprises, bonnes comme les mauvaises. Contourner les obstacles, ou foncer tête baissée. Vivre. Aimer vraiment. Aimer entièrement. Il ne se prenait pas la tête, avec Danae ça collerait ou ça ne collerait pas, un point c'est tout. Et sa famille, elle n'avait pas de souci à se faire. S'il fallait qu'elle s'inquiète de quelqu'un, c'était Jess, trois ans et demi, armée jusqu'aux dents par une armada de peluches. Ça, ça faisait peur. « Non … Oui, non, pas tout à fait, pas comme ça, pas … Bref. » Il parlait plus à sa fille qu'à sa mère, en vrai, mais il restait assez évasif à ce sujet. Avant de s'enfoncer, il reprit, tournant la situation à son avantage ; « C'est toi qui me manque. » Loveeeeer. Elle lui avait manqué. Beaucoup. Beaucoup. Beaucoup plus qu'il ne l'avouerait. Très vite, ils purent enfin profiter des premiers bienfaits d'un bain à Saint Barthelemy ; l'eau brûlante répandait une agréable chaleur des orteils au sommet de l'échine de Cody. Une fois l'eau à mi-brioche – la taille, chez les gens normaux, mais chez Cody on parlait plutôt de sa brioche Pasquier (ceci n'est pas un placement de produit, je ne suis pas comme ça) – il lâcha la main de Danae et vint se placer rapidement dans son dos, bloquant ses bras contre sa poitrine afin de la limiter dans ses mouvements. Et uniquement pour ça. Loiiiiin de lui l'idée de la peloter, jamais au premier rencard, sauf par accident ou dans les cas où il n'avait pas le choix – genre prise d'otage, dernière volonté avant de crever, m'voyez – donc là, ça se casait parmi les accidents. « T'as genre trente secondes pour me donner une raison de te lâcher avant que je te noie. » Ah, la vie de couple. La dernière fois qu'il l'avait prise par derrière (:hum:), c'était le soir du bal, après qu'il se soit jeté sous une bagnole. Ici, pas de bagnole. Il aurait pu se jeter sous une baleine (sous Danae en fait) mais il ne le fit pas. Il était bien, juste comme ça.


Légende gif : quand Cody ne calcule pas Danae.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cody et Danae ♡ And suddenly you're all I need.

Tout le monde savait que j'étais une personne très organisée. J'aimais bien que les choses soient planifiées et que mon existence suive un fil conducteur. Je me fixais des objectifs afin de ne pas errer sans but dans ma vie. Je laissais tout de même un peu de place à l'imprévu, suffisamment pour me laisser surprendre par les événements de temps en temps. Mais j'avais toujours un plan B au cas où le plan A ne marcherait, toujours quelque chose auquel me raccrocher en cas d'échec. J'avais besoin de sécurité. Néanmoins, s'il y a bien une chose que je n'avais pas planifiée, c'était bien mon histoire avec Cody. C'avait été la - bonne - surprise de l'année, la chose à laquelle je ne me serais jamais attendue : tomber sous son charme. Je m'étais laissée aller, et je ne regrettais absolument pas. Finalement, ne pas planifier chaque seconde de sa vie avait du bon, Cody me l'avait déjà dit au bal de fin d'année. Et je savais que je pouvais m'attendre à de nombreuses surprises en sortant avec lui. Que la routine ne s'installerait, que chaque jour serait différent. C'est peut-être ça que j'appréciais chez lui : il était tellement différent de moi sur ce point que j'avais l'impression de casser mon quotidien, de revivre. Lorsque je demandais à Cody s'il parlait souvent à sa mère sur Skype, il bafouilla totalement et passa à autre chose. Ca semblait compliqué et je n'avais pas envie de m'aventurer là-dedans. « Je suis avec toi là, tout de suite, maintenant, je peux pas te manquer. », disais-je en souriant comme une gamine. Je souriais niaisement dès qu'il me sortait un truc mignon, fallait que j'arrête. Quand je vous dis que je vais finir in love de ce mec, c'est pas une blague. Cody m'entraina dans l'eau. Bon sang qu'elle était bonne. Une fois que l'eau nous arrivait à la taille, Cody se positionna derrière moi et m'encercla de ses bras. La dernière fois qu'il avait fait ça, c'était au bal de fin d'année pour ne pas que je le frappe, ce qui était beaucoup moins romantique. Enfin, il m'avoua qu'il comptait me couler, le traitre. « C'est pas du jeu, tu sais que très bien que j'ai la force d'un chaton et que je peux pas me défendre. », disais-je en secouant la tête. « Dans tous les cas, la vengeance sera terrible. », lançais-je, résignée, attendant ma sentence.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bon, ça va, Cody remerciait le ciel de lui avoir donné une copine niaise. Genre tu disais une phrase un peu mielleuse pour changer de sujet et ça passait tout seul, comme papa dans maman. Maintenant, le jeune homme savait comment prendre Danae, il suffisait qu’il sorte son discours de poète made by Bleeker, qu’il y ajoute une pincée des morceaux de chanson qu’il avait écrit (son plus grand titre s’appelant ’quand je suis avec toi je manque de toi ouhouhou’, écouté par un milliooooooooooooonième de personne, tube de l’été dans la tête de Cody) et voilà, le tour est joué, il avait Danae dans la poche. Ou dans ses bras. Pour mieux la noyer mon enfant. Elle n’était même pas drôle, elle se soumettait carrément aux tortures de Cody sans rechigner. Il avait envie qu’elle râle, il s’était habituée à sa Danae râleuse. Il posa délicatement ses lèvres contre son épaule, se concentrant sur la défense à deux balles de sa petite amie. Ou plutôt sa non-défense. L’air blasé, il se redressa pour faire remarquer ; « J’ai l’impression que là, ça t’arrange de pas pouvoir te défendre. » Elle en profitait à mort, oui. Du coup, ce n’était pas rigolo. Toutefois, dire que Cody ne tirait aucun bénéfice de la situation serait une erreur. Au contraire, inconsciemment, il se baignait non seulement dans la mer, mais aussi dans la chaleur électrisante d’un corps calé contre l’autre, de son odeur, du velours de sa peau. Mais inconsciemment seulement, Bleeker ne se rendait pas bien compte de tout ça, il était plus comme un bébé qui découvrait la vie, qui apprenait à mettre les carrés dans les carrés et les ronds dans les ronds. Enfin non, Cody n’en était pas à ce stade-là avec Danae, pas d’histoire de rond dans un rond, vous croyez quoi. « Trente secondes. » Il avait fait le décompte dans sa tête, sonnait donc la fin. Ses doigts parcoururent les bras de Danae, la délivrant de cette étreinte tout doucement. Sauf qu’au lieu de la noyer comme initialement prévu, Cody changea ses plans. Il effectua un tour de maître en tirant sur le lacet nouant son maillot au niveau de sa nuque. Elle se croyait maligne avec le petit oiseau, elle allait voir que parfois, maman oiseau sort de son nid et laisse ses œufs à l’air libre. « Aaaaah, je suis maladroit ! Désolé, Olsson. » s'exclama-t-il en mode pas du tout crédible. Et Bleeker n’en profita même pas pour mater, il se dépêtra de Danae et prit la fuite de sitôt, s’enfonçant davantage dans la mer.


Légende gif : quand Danae demande la permission de sortir à son maître (Cody).
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cody et Danae ♡ And suddenly you're all I need.

Je vais commencer par vous apporter une petite précision : j'avais beau être un peu niaise sur les bords - romantique et fleur bleue dans l'âme - je n'en étais pas naïve pour autant. Cody n'avait pas encore fait de faux pas, mais il ne fallait pas croire qu'à la première grosse boulette, il pourrait me dire deux mots doux et que tout serait oublié, bien au contraire. J'étais du genre rancunière - mes grosses disputes avec mes amis Jackson et Nikolaï le prouvaient - et je ne me laissais pas amadouer si facilement. D'ailleurs, pour une fois que je me laissais amadouer, Cody n'était pas content. Visiblement, il aurait voulu que je me défende face à sa menace de noyade, mais je n'en avais pas très envie. Nous n'étions pas très coordonnés, de toute manière : quand je faisais ma rabat-joie, Cody n'avait qu'une seule envie : que je me taise, mais quand je ne disais rien, Cody voulait que je râle comme je le faisais si bien. Mais là, la situation m'amusait plus qu'autre chose. J'étais d'humeur joueuse, et s'il me coulait, je me vengerais en conséquence. « Ca m'arrange assez, oui. », répondais-je simplement. Je devais bien avouer que j'appréciais de sentir le corps chaud de Cody contre le mien, ses bras m'entourant délicatement. C'était une sensation agréable. Cody sonna la fin du temps imparti de trente secondes et je fermais instinctivement les yeux, bloquant les yeux, m'attendant à boire la tasse d'une seconde à l'autre. Néanmoins, à ma grande surprise, ma noyade ne se produisit pas. A la place, je sentis la ficelle de mon maillot de bain se défaire. « CODY BLEEKER ! », criais-je alors qu'il était déjà parti à l'autre bout de l'océan. Et voilà que je me retrouvais seins nus sur une plage à Saint Barthélémy. Heureusement qu'on était pas sur une plage de la Méditerranée en plein mois d'aout, où des centaines de personnes auraient assisté au spectacle. Mais là, la plage était presque déserte, à ma grande joie. Je m'empressais de rattacher la ficelle de mon maillot et partais à sa poursuite. « Tu vas me le payer ! » Je le rattrapais en moins de deux - l'avantage d'être sportive, on ne pouvait pas en dire autant de Cody - et lui attrapais la cheville en tentant de le retenir en arrière. Je lui sautais littéralement dessus et lui grimpais sur le dos, le déséquilibrant et lui faisant boire la tasse. « Alors, on fait moins le malin, là ? », lançais-je, toujours sur le dos de Cody. J'avais l'impression d'être Sandy chevauchant son fidèle Flipper, sauf que j'étais une fille et que Cody n'avait pas vraiment l'allure d'un dauphin.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lalalala Cody pouvait se féliciter d'avoir mis sa copine à poil dès le premier rendez-vous. Peu d'hommes pouvaient se vanter de cette performance. Sauf les mecs qui copulent avant de se mettre en couple, genre tout de suite, genre cinq minutes après la rencontre quoi, mais là, il s'agissait d'un autre cas de figure. Cody et Danae suivaient le schéma presque normal d'une relation de couple et c'est donc pour ça qu'il détenait le record de la plus rapide mise à nue jamais vue dans l'histoire des mises à nue (on exclut aussi les pornos, je ne l'ai pas précisé précédemment). « J'aime t'entendre crier mon nom ! » s'exclama-t-il alors qu'il s'éloignait progressivement de Danae. Il y allait à son rythme, comme une promenade de vacances. Il faut dire qu'il n'avait pas la carrure très aérodynamique, ce qui facilita le retour en force d'Olsson. Puis malheureusement pour lui, elle avait eu le temps de rattacher son maillot. Même pas elle lui laissait mater, tcho monde cruel. Au début, il crut qu'un crabe lui attrapa la cheville et que rapidement, ce crabe fut rejoint par une baleine géante. En fait, ce n'était que Danae qui s'écrasa sur lui avec la grâce d'un éléphant sur un tapis roulant en plein Jeux Olympiques et évidemment, Cody s'écroula sous son poids. Sympa la tasse, il n'oublierait pas de lui préciser qu'au petit dej, il ne buvait rien, en cas de méprise, vous comprenez. Il parvint à se redresser car Danae ne voulait pas non plus qu'il crève, même si l'idée d'être transformé en poney ne lui plaisait guère. Le souffle lui manquait mais son cerveau était suffisamment oxygéné pour songer d'ores et déjà à la vengeance. Vous croyez quoi, V pour Vendetta, C pour Coh-Lanta (emo) Je sais pas pourquoi je dis ça, j'trouvais la phrase cool mais en fait non et j'ai la flemme de l'effacer. « Non … Je suis tout trempé ... » grommela-t-il avec une petite bouille presque attendrissante tandis qu'il cherchait le regard de Danae par-dessus son épaule. Très attendrissante, trop attendrissante. « A...A...A... » Il profitait de ce moment de tendresse pour se pencher en avant, encore, encore, encore, presque en U (si seulement il était assez souple) assez pour faire glisser par-dessus sa tête sa petite amie. Il faut dire que son dos tout huilé par l'eau de mer ne permettait pas la moindre prise. Un dauphin, il ne fallait pas oublier qu'il saute … Mais qu'il replonge. Et là, Sandy boit la tasse. « Tchaaaouuuum ! » s'écria Cody. « Oups, j'ai éternué. » Actor studio. « Merde, j'ai loupé un épisode, t'étais pas sur mon dos y a cinq secondes ? » demanda-t-il, la voix mutine.


Légende gif : quand Danae sourit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cody et Danae ♡ And suddenly you're all I need.

Quel mérite avait Cody à m'avoir mise à poil - partiellement déjà - dès le premier rencard, s'il ne profitait même pas de la vue ? Et ne me faites pas croire qu'il est bien trop poli et respectueux pour ça. D'une, vous avez appris à ne pas mentir parait-il, et de deux, parce que le « j'aime t'entendre crier mon nom » était digne d'un film porno et ne faisait définitivement pas mec poli. Juste, Cody ne savait juste pas saisir une opportunité quand elle se présentait. Tant pis pour lui. Je l'avais d'ailleurs rattrapé en moins de deux - j'aurais pu faire une pub pour manger-bouger, 5 fruits et légumes par jour, pas trop gras, pas trop salé, pas trop sucré tellement j'avais une bonne condition physique (et des chevilles de taille raisonnable, merci de vous inquiéter). Je lui avais ensuite grimpé dessus avec une grâce inégalable - faut croire que j'aimais bien lui grimper dessus, souvenir de cette fois où je lui ai attaché sa ceinture de sécurité. Je criais victoire alors que j'avais réussi à lui faire boire la tasse. C'était déjà un exploit pour une jeune fille frêle telle que moi. Faut pas croire, sous l'amas graisseux de Cody se cachent des muscles d'acier qui pourraient me réduire en poussière en quelques secondes. Bon, j'exagère un peu, je suis pas face à Hulk non plus. Enfin, tout de même, car il réussit à m'éjecter de son dos en moins de deux, en mimant un éternuement - incroyable performance d'acteur au passage, il mériterait un oscar (je décerne beaucoup d'oscars aujourd'hui, vous ne trouvez pas ?). Résultat des courses : je buvais la tasse à mon tour. Car bien sûr, j'avais oublié de fermer la bouche au moment de couler. Je sortais la tête de l'eau et me retrouvais face à Cody. Je lui crachais littéralement l'eau que j'avais avalé à la figure (c'était le moment glamour par Danae Olsson). Et ça me faisait rire en plus. Un sourire malicieux se dessina sur mes lèvres tandis que je mettais mes mains en forme de pince et attaquais généreusement les bourrelets de Cody. « Attaque du crabe ! » Je ne savais absolument pas si Cody était chatouilleux ou même s'il sentait quelque chose à travers sa brioche, mais ça valait le coup d'essayer.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Magnifique plongeon de Danae (dont Cody aurait dû s'inspirer pour un RP deux semaines plus tard) tout en douceur, en grâce, en volupté … Non j'déconne. Applaudissons-la pour sa superbe imitation du Titanic, on s'y croirait, jusqu'au splash final et Cody apprécia sa manière d'intégrer le spectateur à son show. Oui, se faire cracher dessus par Danae fit vrombir le Bleeker qui n'en demandait pas tant. Vraiment pas tant. Il aurait fallu que la Quincy amène un filet de pêche avec elle parce qu'apparemment, elle ramenait du crabe de son périple dans les récifs sous-marins. Ils auraient eu à bouffer pour ce soir. En plus, Cody était chatouilleux, particulièrement quand on tripotait ses bourrelets. J'vous jure, c'était presque une zone érogène. « Danae ... » grogna-t-il en serrant les dents, essayant par la même d'attraper ses pinces improvisées. Ahah, bingo. « Le crabe, je le mange. » Et il lui arrache les pattes dans un élan sadique mais il ne détestait pas encore Danae au point de la démanteler. Peut-être un jour. Je vous tiendrais au courant. Puis les faits divers et la rubrique nécrologique vous tiendront au courant, aussi. Puisqu'il tenait solidement les poignets de sa douce tortionnaire, il l'attira à lui et retrouva ses lèvres salées qu'il embrassait avidement, assez fier de dire que cette fille que trois personnes – à tout casser – avaient pu voir à oilpé, et bien, c'était sa petite amie. Il se perdit dans son cou, dans la racine de sa nuque, sa mâchoire, puis s'éprit de nouveau de sa bouche. Malgré cette fièvre aussi soudaine qu'addictive, il trouva l'énergie nécessaire pour se stopper avant de s'enflammer et riva toute son attention sur Danae, sur son visage, ses yeux. « Ils ont vraiment de la merde dans les yeux à Harvard. » souffla-t-il finalement. Il abandonna ses poignets, elle serait vraiment fourbe de recommencer à lui tripoter la brioche maintenant. Il glissa une main dans ses cheveux humides et dessina de son pouce l'échancrure de sa lèvre inférieure ; « La plus belle, c'est toi. » Instant poetic lover, instant romantique, instant jeveuxtepécho, prenez-le comme vous voulez. Lui, il avait juste eu besoin de le lui dire.


Légende gif : quand Danae embrasse Cody.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cody et Danae ♡ And suddenly you're all I need.

Etre passée par la case amie avant de devenir officiellement la petite amie de Cody était un réel avantage : on s'était déjà vus dans des situations embarrassantes - plus lui que moi mais bon - et on avait donc dépassé le stade « je suis une princesse et quand je pète ça fait des paillettes » que vivaient généralement les couples au début d'une relation. Moi, je pouvais cracher à la figure de mon petit ami sans que celui-ci s'offusque. Bientôt, je pourrais roter et péter à ma guise sans qu'il me trouve dégoutante - quoique non, ça casserait le mythe. Cody grogna - hum sexy - alors que je lui touchais ses poignées d'amour. Cody attrapa mes délicieuses pinces de crabe et les retira de sa brioche pronto, n'appréciant visiblement pas ce contact. Tiens, j'avais donc touché un point sensible. Il était chatouilleux le petit, c'était bon à savoir. Me tenant toujours par les poignets - je me sentais soumise tout d'un coup -, il m'attira à lui et s'empara de mes lèvres. J'oubliais tout l'espace d'un instant et fermais les yeux. Cette sensation devenait addictive. J'en voulais toujours plus, je laissais Cody parcourir mon cou, ma nuque et ma mâchoire, m'abandonnant totalement à lui. Lorsque Cody stoppa le baiser, je poussais un soupir, ne voulant pas que ça s'arrête. Un large sourire se dessina sur mes lèvres aux paroles de mon petit ami. Ce que ça pouvait être romantique de dire ça. Les papillons dans l'estomac, ce n'était pas une légende : je les sentais bien faire des loopings à l'intérieur de mon ventre. « C'est peut-être toi, l'aveugle de l'histoire. » Peut-être que c'était Cody qui était aveuglé par moi et que je n'étais pas si exceptionnelle, en fait. Je me sentais partir tandis que Cody me complimentait. C'était généralement le moment dans les films où je devais dire le fameux « je t'aime », sauf qu'on était pas encore à ce stade. Je me contentais donc de l'embrasser délicatement pour lui témoigner tout mon attachement. Je me détachais doucement de lui et faisais glisser mes mains le long de son torse. Je plongeais mon regard dans le sien, un sourire malicieux sur mes lèvres. « Et tu sais qui est le plus chatouilleux ? C'est toi. » Et j'attaquais de nouveau, en profitant que mes mains soient libres de l'étreinte de ses poignets. Moi, fourbe, vous avez dit ? A peine.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Charmant. La relation idyllique de Cody et Danae ; puisqu’ils s’étaient déjà vus dans des états déplorables, Danae avait l’assurance que si elle pétait en compagnie de Cody, il continuerait à la trouver jolie. C’est en ça que l’on reconnait un amour voué à l’éternité. Il n’empêche que le budget Febreze en pâtirait mais à côté de ça, Cody et Danae feraient grimper l’action désodorisant à la bourse, ce qui boosterait considérablement l’économie et relancerait la croissance. Danae pète, Cody l’asperge de pschit-sent-bon, ils sauvent le monde. Les Superman des temps modernes. Il paraît que les Quincy oeuvrent pour un monde meilleur et l’Olsson sacrifiait donc son cœur à un amour sans fin avec Bleeker dans le seul et unique but d'améliorer la condition humaine (et aussi parce que personne d’autre ne peut accepter ses intestins moisis). Décidément, ils étaient faits l’un pour l’autre. En vrai, le Lowell ne pigeait pas une seconde comment une fille comme elle, si bien portante, à l’hygiène de vie irréprochable (si l’on omet le détail précédent), belle, vouée à de grandes choses, pouvait s’intéresser à une épave comme lui. OK, il est drôle, mais après ? Après rien. Il y avait forcément une couille dans le pâté, un emballage trop beau pour un cadeau trop pourri … Mouais, non, y avait rien à jeter chez Danae. Il était sérieux, elle était magnifique et techniquement, il n’avait pas le droit à ces filles-là. Elles étaient faites pour les gravures de mode, les mecs que l’on voit dans les pubs pour Cacharel, pour les profs bien portants qui ont encore tout à lui offrir. « Nan … » Emporté par la caresse enivrante des lèvres de la future chirurgienne sur les siennes, il en oubliait les mains de Danae. « HAN ! » brailla-t-il quand ses mains se remirent à lui prodiguer des chatouilles de torture. Oui, c’était automatique ; elle appuyait sur ses bourrelets, il faisait ’han’. Après la boîte à Meuh, je vous présente la boîte à Han, un concept, comme le déo pour front. « Mais arrête Danae, je suis sensible ! A-A-A-rrêteeeeeee. » Il reculait en même temps qu’il agitait les bras comme un moulin pour parer ses attaques. Elle était méchante avec lui, en fait. D’un coup, dans un acte ultime de défense, il posa ses mains sur les boobs de la jeune femme, comme s’il fallait les empreintes digitales de Cody à cet endroit-là pour que la machine à chatouille torture. Ça semblait marcher. Il baissa les yeux pour fixer ses mains – et uniquement ses mains I promise ; « OK, ça c’est bizarre. » That akward moment you realized you're touching your girlfriend’s boobs at first date. Il pencha la tête sur le côté et analysa la situation ; « Fallait bien que ça arrive un jour, si tu veux mon avis. » Pourquoi se sentait-il obligé de commenter au lieu de juste retirer ses mains et prétendre à l’accident ? Allez savoir, c’est Cody.


Légende gif : quand Cody touche sans faire exprès les boobs de Danae.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)