KENYA ♥ I'm depressed baby

"Roh ! Tout un plat pour ça c'est bon c'est pas comme si je le faisais à chaque fois !" J'étais blasé, je lui faisais des bisous, des câlins aussi avant ou après, pour moi c'était la même chose c'est pas de ma faute si après on avait une vie, on se devait bien d'aller à nos occupations non ? J'étais revenu avec notre fille dans les bras, d'abord elle rampait puis elle tombait sur le dos me montrant son petit bidon, elle était mignonne en grenouille, moi en tout cas je la trouvais belle. "Non je vois pas pourquoi je retirais non !" dis-je en voyant la robe qu'elle posait sur notre lit. "Cest un bébé Anya, un bébé, elle se ridiculisera pas ! C'est juste toi, ta peur de taper l'affiche ! Je lui mettrais pas et elle sortira comme ça si je le veux !" Un coup c'était mon bébé puis après le notre et quant elle était pas d'accord avec moi le statut changeait en son bébé, non mais fallait savoir un moment donné. "Je lui ai dis en plus, tu vas pas aller contre mon autorité !" Je prenais Alessia puis une chemise en descendant en bas. Non et non elle allait pas me faire un coup pareille, se poser en tant que maman alors qu'elle m'avait parfois reprocher que je n'étais pas assez père.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Je t'en pris c'est pas la première fois que tu me fais le coup, mais je retiens pas de soucis, je suis certaine que la réciproque est de mise j'allais lui faire le coup, prendre mn pied, puis me barrer juste après. Parce que c'est laid Kenny répondis-je d'instinct par rapport à la grenouille. Un bébé qui va être pris en photo, un bébé qui risque de se retrouver dans les magasines, puis sérieusement on a qu'à lui mettre un déguisement de chien aussi, voyons, t'as cru que c'était un poupon. j'allais prendre une magnifique petite robe, de la couleur de ses yeux. Parce que tu crois sérieusement que c'est un daltonien qui va habiller ma fille ? Quand tu seras voir les couleurs on en rediscutera Okay là, j'avais été méchante et je le sais, sauf que c'était un tout, sa façon d'agir avec moi, sa façon de m'évincer et de me parler comme si j'étais la dernière des connes. Si tu le veux ? Pardon ?! C'est toi qui l'a porté pendant 9 mois ? C'est toi qui a souffert le martyr en accouchant ? Non, toi ces derniers temps, t'étais juste pas là, t'étais à ton travail, t'étais avec tes clients super important, pendant que nous, nous on était obligés de se cacher ici parce qu'à la moindre sortie on se faisait harceler par des photographes, alors elle va mettre cette robe, parce que des photographes il va y en avoir encore, comme toujours et que j'ai pas envie que dans 10 ans, on se moque d'elle en voyant des photos de cette période , parce que son papa voulait qu'elle se promène en têtard juste pour me faire chier ! je voyais rouge clairement, je me mettais à crier, Alessia me regarder, elle commençait à pleurer, je prenais sur moi, pour tenter de me calmer, mais je pense que je l'avais trop fait ces derniers temps, prendre sur moi pour pas engendrer de dispute, pour que tout aille bien, c'était pas moi en fin de compte. Comme tu l'as dis, c'est un bébé, elle a pas la notion de promesse ou d'autorité voilà qu'il prenait la petite pour descendre en bas, comme ci tout ce que j'avais dis n'avait servis à rien. Bonjour, je suis devenue invisible. Je prenais la robe pour descendre en bas, rapidement, peut être un peu trop vite, parce que je tombais dans les escaliers , je les dégringolais pour me retrouver au sol, inconsciente, la tête en sang.
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Elle était sérieuse de me parler comme ça ? Dire que je n'avais pas à lui prendre les couleurs parce que 'j'étais daltonien, je l'écoutais plus, c'était méchant, mauvais, elle était vraiment désagréable et au fond je me disais qu'est-ce que j'espérais ? Je savais qu'Anya n'était pas une petite fille toute gentille, qu'elle avait du caractère mais delà à me blesser, à blesser la personne qu'elle disait aimer non, je ne le croyais pas. "Tu sais quoi ? Va te faire foutre !" dis-je sèchement. Je prenais la petite et je descendais en bas des escaliers, prenant ma chemise que je mis rapidement pour ensuite prendre mes clés et mon téléphone. Alessia ne comprenait pas, elle me regardait avec des yeux tout brillants alors que j'entendais du bruit en haut. Elle allait faire quoi ? Me sortir encore un stock d'insulte non parce qu'au bout d'un moment moi aussi j'allais exploser et je peux vous dire que j'allais carrément péter. Anya arrivait, puis un bruit assourdissant, je me retournais, elle était tombé. Sa tête saignait et moi je me précipitais, elle avait l'air inconsciente, le choc surement je voyais que ça. Attrapant mon téléphone, je composais l'appel d'urgence jusqu'à ce que les secours arrivent. Alessia se mise à crier, ma tête allait exploser, je savais plus quoi faire, je savais pas gérer mes sentiments, je tremblais tellement en cet instant que mettre mon épouse en position latérale de sécurité était difficile. "Allez…" dis-je en essayant de me contrôler mais aussi en parlant à Anya. "Allez Anya…." Rajoutais-je en ouvrant la porte pour que les secours arrivent plus rapidement. Une sirène, des flashs, le chaos.
Deux heures étaient passées entre le moment ou Anya était tombée et les secours, Alessia était dans mes bras alors que ma mère me disait de lui donner, je l'avais appelé, je sais Anya ne l'aimait pas mais je voulais quelqu'un à mes cotés. "Kenny donne moi là…" déclara t'elle en me touchant le bras. Seulement je n'y arrivais pas, ma puce, ma petite princesse, notre nous deux mélangés, non, elle resterait dans mes bras comme Anya aurait du être. "Monsieur Kovalevski, on aurait quelques questions à vous poser…" Dans les couloirs, un agent de police me regardait, moi aussi, je me défaisais pas de ce regard si particulier. "Que c'est il passé ?" demanda t'il simplement. Je racontais l'histoire rapidement, une dispute rien de plus, à propos de la tenue d'Alessia, c'était bête mais ça nous arrivait de temps en temps. "L'avez-vous poussé ?" Je crois que mon cœur manquait un battement. "Non bien sur que non !" m'écriais-je alors qu'Alessia gigotait sous mon cri. Je me calmais, je crois qu'ils pensaient bien que c'était moi. Je voyais les yeux accusateurs à tord. Le médecin venait heureusement tout couper, Anya avait une commotion cérébrale avec un hématome, elle allait bientôt se réveiller après avoir été assoné de médicament. Dieu merci.

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Je sais pas vraiment ce qu'il s'était passé. J'avais descendu les escaliers à une vitesse folle en entendant les clés de Kenny, je voulais pas qu'il sorte avec Alessia ainsi et mon talons avant du se torde et j'étais tombé, c'était surement ça. Mon corps s'était abattu au sol, après avoir descendu les escaliers, ma tête avant suivis le trajet. Le sang coulait, puis se fut le noir total. Je me réveillais à l'hôpital. J'avais l'impression qu'un camion m'était passé sur la tête. J'avais mal au crâne et autant dire que les médicaments m'avaient abruti complètement. J'essayais d'attraper un verre d'eau histoire de me désaltérer, mais ma main se mit à trembler, le manque de force certainement et le verre se brisa. Des infirmiers arrivaient rapidement, j'étais surement leur patiente vip. Au moindre bruit, ils accouraient. C'est juste le verre dis-je doucement. je tentais de me relevais, histoire de partir de cet endroit, nous avions un costume à aller chercher et j'avais un bébé à changer. Oui se fut mes premières pensées, même si elles étaient embrouillés, sauf que bien rapidement, je retombais contre mon coussin. Je fermais les paupières en soupirant, je portais ma main contre mon front, j'avais une sorte de bandeau. Super, j'allais passé pour quoi ce soir, parce qu'il était hors de question que je rate cet événement. Levais moi, je veux sortir assommé ou pas, j'en perdais pas mes bonnes habitudes.
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Je crois que je n'avais pas couru aussi vite de ma vie quand j'avais entendu une personne crier. Anya faisait des siennes et dans cette histoire j'en fus très heureux car c'est bien ma petite épouse, ma tendre femme qui se mit à crier. Je débarquais après avoir abandonné Alessia dans les bras de ma mère. "Hey…" dis-je en arrivant vers elle. "Reste allongé…" Je souriais un peu, les paroles qu'elle avait eu semblait loin désormais, loin de mon esprit mais pour combien de temps. "ça va, t'es juste à l'hôpital, t'es tombé dans les escaliers…" Même s'ils pensent dehors que je t'ai poussé à cause de notre dispute, c'est dingue qu'on en arrive là sans compter les journalistes qui avaient pris des photos d'Anya et les parents de la russe qui m'avaient appelé presque alarmé, limite ils seraient venus rien que pour voir quand elle se réveillerait. Bref, ça devenait épuisant tout ceci. "Ta pas trop mal ?" demandais-je en ne savant pas ou caresser sa peau, son visage non, son avant bras y avait trop de câble et son épaule bien elle était recouverte d'une blouse.

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Je sais ce qu'il s'est passé je me souviens, j'ai juste mal à la tête et j'ai cette horreur autour de la tête, j'ai l'impression d'être Rafaël Nadal dis-je en tirant sur le bandeau, mais j'étais bien trop faible pour le défaire. Je soupirais en levant les yeux au ciel, j'avais mal oui, puis j'étais fatigué et j'avais l'impression d'être drogué. Finalement on dirait bien que je suis allé me faire foutre en l'air avait-je envie de répondre. C'était pas drôle, je le sais bien, mais ça me faisait sourire de sortir ça maintenant. Comme quoi, les paroles de Kenny s'était répercuté contre moi. Un peu, j'ai mal au crâne, puis ils m'ont drogué avec tout leur médicament ... mais faut que je sorte de là, alors va chercher ton costume pour la soirée de ce soir, je me débrouille pour te rejoindre j'attrapais sa main doucement, c'était important comme soirée et j'allais tout faire pour y aller, croyez moi et généralement, personne ne me résiste, la seule personne qui pourrait faire obstacle à ma venue, c'était moi même, si mon corps ne tenait pas.
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Je baissais la tête en souriant, mes paroles je les regrettais quand même, j'espérais qu'elle aussi regrette les siennes car le coup de me jeter ma tare au visage avait été dur à encaissé. Les yeux posés sur Anya, je m'installais au rebord du lit en lui serrant la main. "Non mais tu ne viens pas, j'y vais pas non plus ! Tu crois quoi après ce que tu viens de me faire ? Tu rêves ma cocotte !" dis-je en hochant négativement la tête. "Genre je vais aller me pavaner devant les autres et en plus avec toi qui te sens pas bien, manquerait plus que tu me fasses un malaise, moi à force de me faire peur, je vais devenir cardiaque !" Alessia se mise à pleurer dans le couloir, j'entendais ma mère essayer de la calmer comme elle le pouvait mais en vain. Elle n'y arrivait pas alors elle venait à nous et miracle, la petite était changée, elle portait la robe d'Anya qu'elle avait choisit, j'avais céder mais c'était la dernière fois que je le ferais, j'aimais le penser en tout cas. "Je suis désolé…" Alessia se calmait presque en voyant Anya, c'est dingue ce que sa mère pouvait la calmer mais genre rapidement, un regard limite elle gazouillait heureuse. "Donne la moi !" J'allais vers ma mère, cette dernière qui fit un mince sourire à Anya avant de partir. "Merci…" dis-je en la regardant quand même. Alessia tendait les bras vers Anya, je la posais doucement sur son ventre et elle posait sa tête sur ses seins, j'étais jaloux là. "Elle nous la garde ce soir au cas où elle pleurait de trop, ça t'évitera d'avoir trop de migraines !"

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Si on y va Kenny, j'ai envie d'y aller, puis c'est important, on est pas obligé d'y aller toute la soirée, de se taper les discussions interminables, mais je veux que tu montes sur scène quand tu gagneras ton prix dis-je en fronçant les sourcils. C'était pas négociable à vrai dire. Je ferais pas de malaise, je vais aller bien j'entendais Alessia pleurer dans le couloir, je me relevais, un peu rapidement puisque je fermais les yeux la seconde d'après pour me laisser retomber contre l'oreiller. J'espérais que Kenny n'est rien vu, je ne voulais pas qu'il me fasse la morale, qu'il me dise que je devais rester me reposer. Ma belle mère arrivait dans ma chambre, sans frapper, c'est open door mamie, je t'en pris. Je lui rendais son petit sourire, elle avait tout de même changer Alessia, j'étais heureuse qu'elle ne ressemble plus à une grenouille. Alessia voulait venir vers moi, je levais les bras vers cette dernière pour la prendre contre ma poitrine. Tu veux pas mettre ton pull contre moi, c'est pas doux et je veux pas qu'elle pose sa tête contre du synthétique, déjà que ça me démange. je tournais mon visage vers lui, me rendant compte de la manière dont je venais de parler S'il .. te plait ajoutais-je en arquant un sourcil, comme pour lui demander si c'était vraiment ça qu'il attendait. Je caressais la joue d'Ale pour finalement pousser le pull e ma chemise afin qu'elle se pose contre ma peau. J'avais pas penser que j'allais mourir de chaud avec le pull de mon mari. Ah c'est gentil ... mais tu sais, j'ai vraiment envie d'y aller, puis si je me sens mal je te le dis. Le médecin t'as dit quoi exactement ?
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"Me fait pas ta petite tête, ça sert à rien Anya ! Tu n'iras pas et je n'irais pas point final !" dis-je en la regardant en hochant négativement la tête. Alessia pleurait et je voyais la mine de ma femme qui était bien fatiguée et après elle ose me sortir qu'elle se sent bien, pire qu'une menteuse celle-là. "Oui je vais aller bien !" dis-je en l'imitant. Je levais les yeux au ciel jusqu'à laisser ma mère poser la petite sur Anya, elle souriait mais ne rajoutait rien je sais pas je crois que pour une fois elle avait bien vu mon inquiétude, mon amour pour cette femme et qu'elle se faisait à l'idée que je grandissais sans elle. Je soupirais en l'entendant faire, riant même un peu, elle allait bien oui pour demander ça c'est que madame allait bien. "Tiens…" Je retirais mon haut restant en t-shirt pour lui donner mon pull, j'avais pas froid juste que pour tenir Alessia et la calmer la douceur de mon pull marchait. "Je crois qu'elle sentait que j'étais inquiet, elle me faisait des câlins enfin je sais pas elle touchait ma joue tout le temps, c'était bizarre, elle me fait jamais ça…" dis-je en regardant les filles et surtout Alessia qui dormait tellement mieux que sur moi. "Que tu devais te reposer, y a pas moyen on ira pas, je ferais tout pour que tu n'y ailles pas ! J'ai faillis te perdre une fois, je vais pas te perdre une autre fois, tu as saigné beaucoup vraiment, tu crois que ça touche que toi cette histoire ? Non détrompe toi !" J'avais les yeux un peu brillant, le stresse chutait et mes nerfs lâchaient un peu, j'étais calme mais fallait pas qu'elle insiste. "Tu resteras avec moi, j'ai déjà tout prévu pour ce soir, massage, jacuzzi, petit diner tous les deux, repos total et complet sans Alessia parce que là ça va tu es avec les médicaments mais attend qu'on en reparle dans une heure quand tu auras presque plus rien !" Je connaissais les maux de tête, j'avais assez donné avec la tumeur. Je me levais pour aller voir la fenêtre, ma main tremblait encore, je fermais les yeux en gardant le dos tourné à ma femme.

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Comment ça je n'irais pas ? C'était mal me connaître. Je ferais tout pour aller à cette soirée, tout pour que mon mari puisse avoir ce qu'il mérite. Alessia s'endormait sur moi , elle semblait apaiser tout à coup, le visage contre ma peau. J'avais finalement poser la chemise de Kenny sur le côté, c'est que j'avais chaud. C'est normal, elle s'est inquiété pour son papa je caressais à mon tour la joue de notre bébé, comme pour la rassurer à son tour. J'ai encore toute l'après-midi pour me reposer de toute manière donc y'a pas de soucis [/color] j'arquais un sourcil, je tentais une dernière fois Je sais que ça touche pas que moi... mais je vais me reposer, je te promet. j'attrapais sa main pour la serrer doucement, avant qu'il ne m'annonce le programme de ce soir. On en reparlera dans une heure alors, mais pour l'instant je vais bien, je te le jure Il se levait, j'avais l'impression que plus j'insistais, plus je lui disais que j'allais bien et plus il s'énervait. Je soufflais un peu en attrapant le verre d'eau, cette fois-ci en plastique, étant donné que j'avais cassé l'autre pour boire quelques gorgées. Je resterais à la maison si tu veux, mais toi, toi tu dois y aller, je te regarderai à la télé en attendant que tu viennes à mes côtés dis-je en riant un peu, sauf que ça me faisait légèrement mal au crâne.
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