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(+ Caleb) You're in trouble right now body ! ~ Flashforward

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Thaïs n’avait pas répondu sur le sens de sa phrase, s’endormant rapidement entre les bras puissants et protecteurs de son mari, connaissant son premier sommeil paisible depuis des jours. Diable que celui-ci fut salvateur ! Mais hélas, lorsqu’elle se réveilla, Caleb était déjà parti et bien sûr, cela la conforta dans l’idée que le cauchemar n’était hélas pas terminé. Elle partit promener les jumeaux, les déposant chez son père pour la journée comme c’était prévu et lorsqu’elle rentra, le salon avait été transformé en véritable jardin à l’aide de ses fleurs préférés, entre autres car Caleb y avait également mis des ballons, des nounours et j’en passe. « Je ne savais pas que j’avais été convertie au Judaïsme dans mon sommeil et que je supportais Boston Celtic ? » fit-elle, pince sans rire, toujours aussi sérieuse pourtant. « Il n’y avait pas que les conneries avec Frey, Caleb ! Ta boîte de médocs est encore intacte, j’ai vérifié ! Tu es complètement inconscient et je me dis que ce n’est qu’une question de temps avant que tu fasses une attaque qui va te mener dans la tombe ! » fit-elle en joignant ses deux mains ensemble pour respirer profondément et ainsi ravaler ses larmes.
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C’était tout ce qu’elle trouvait à dire alors que je me tenais à genoux devant elle, une boite de chocolats à la main ? « Ils étaient en rupture de stock, j’ai pris ce qu’ils avaient »haussais-je les épaules ne trouvant pas d’autres mots à prononcer. « Je ne vais pas faire de crises cardiaques bordel de merde ! J’allais bien avant de prendre ces foutus médocs et je vais toujours aussi bien sans eux mais comme je savais que tu me croirais pas, j’ai été consulté un cardiologue et tout va bien… mon insuffisance n’a pas gagné du terrain… Ecoute, s’il faut que ça pour que tu ne divorces pas, j’avalerai la boite entière, emballage compris… Tiens, je veux bien me shooter continuellement aux antidépresseurs pour être certain de ne pas stresser mais bon sang Thais… J’ai besoin de vivre ! Dès que je fais un pas, tu es derrière moi pour me dire : fais pas si, fais pas ça… J’en ai marre que tu me dises que je peux crever dans la seconde »
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Si au départ l’émotion avait poussé Thaïs à dire une connerie histoire de se donner du temps pour réfléchir, cela ne voulait pas dire qu’elle n’était pas touchée. Ceci dit, les propos de Caleb lui scièrent le cœur en deux. « Je n’ai jamais dit que j’allais divorcer… » murmura-t-elle avec difficulté, ne sachant pas vraiment quoi faire ou quoi dire d’autre tant elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui balance ça dans les dents. « C’est affreux ce que tu me dis, tu te rends compte ? Tu m’as surprotégée pendant ma grossesse et t’ai-je balancé dans les gencives : tu es toujours derrière moi et grosso merdo quand tu es là à t’inquiéter pour moi j’ai l’impression de ne pas vivre ? »
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« Pourtant j’ai l’impression que c’est ce que tu essaies de me dire : sois tu te calmes soit tu te casses »soupirais-je avant de m’asseoir sur le sol car je sentais que la discussion allait être longue. « Je ne suis pas contre le fait que tu me protèges comme j’ai pu le faire… mais tu es toujours en train de me dire que je peux faire une attaque, que je vais finir dans une tombe… Bordel Thais, j’ai la trouille de cette putain d’attaque. Je n’arrête pas d’y penser. Dès que je cours et que je sens mon cœur s’emballer sous l’effort, je m’arrête complétement tétanisé… Alors que tu n’arrêtes pas de me le rabâcher continuellement… J’en peux plus ! Je deviens dingue » lui expliquais-je.
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« Je voulais juste te faire réagir je ne savais plus quoi faire parce que ça allait crescendo ! » se défendit-elle mais le pire, c’est que Caleb parvenait à la faire culpabiliser puissance mille. Il avait merdé et c’est elle qui culpabilisait parce qu’apparemment, elle n’avait aucunement la bonne méthode et mettait les pieds dans le plat. Oh elle ne s’énerva pas : à quoi bon ? Elle ferma les yeux, essuya ses larmes et prit une grande inspiration. « Je ne sais pas ce que je peux dire à part que j’ai peur de finir par te perdre une troisième fois et que cette fois ce soit pour de bon. Mais tu as raison, j’ai sûrement dépassé les bornes, hem… les enfants sont chez mon père, tu peux revenir à la maison, je vais dormir à l’hôtel ce soir pour penser à tout ça » avoua-t-elle très sérieusement pour mieux s’emparer de ses clefs de voiture, de son sac à main et de foncer sur le siège conducteur en tentant de garder tout son calme en essayant de démarrer. Là, c’était le poignard de trop dans son cœur car c’est comme s’il remettait en cause tout l’amour et la protection qu’elle lui vouait. Autant dire que le fait de s'arrêter au premier bar qu'elle trouva sur son chemin pour noyer son chagrin lui parut, pour une fois, être l'idée du siècle.
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« J’en ai ma claque » soupirais-je en la voyant partir comme une fusée. J’en avais marre que cela finisse toujours comme ça entre nous, comme si nous ne savions pas parler sans que l’autre ne parte. J’attrapais mon téléphone portable bien décidé à mettre fin d’une manière ou d’une autre à cette connerie. « Je suis fatigué que tu cours dès qu’il y a le moindre souci entre nous. Continue de fuir… moi j’arrête les frais. J’ai déconné, je me suis expliqué. Je cherchais pas à te faire culpabiliser juste à t’expliquer… maintenant fais ce que tu veux, hôtel, couvent ou je ne sais quoi…J’arrête les frais » lui envoyais-je avant de regarder les fleurs, les ballons et ce putain de chocolat. J’en avais ma claque. J’attrapais mon sac avant de soupirer. Ce refuge était une malédiction plus qu’autre chose songeais-je avant de partir à mon tour, bien décidé à prendre le premier vol pour une destination inconnue. Elle voulait de la distance, elle voulait réfléchir ? J’allais lui en donner ! Je demandais néanmoins à Mina et Bambi de garder un œil sur elle et les jumeaux, leur disant simplement que je prenais des vacances pour réfléchir même si en fond sonore, on pouvait clairement entendre le bruit d’un aéroport.
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Un verre, deux verres, trois verres et Thaïs eut la mauvaise idée de regarder son téléphone. Bambi l’appelait justement à ce moment là, lui remontant les bretelles avant de lui donner des indications qui lui firent quitter subitement le bar après avoir payé ses consommations. Sans savoir quel mouche l’avait piquée, la demoiselle se rendit à l’aéroport où, par on ne sait quel miracle, elle parvint à retrouver Caleb. Elle se mit à courir avec les gardiens des portes à ses trousses, se piquant un sprint des plus fameux, parvenant même à presque les semer pour mieux attraper le poignet de l’allemand de son cœur afin de faire ce qu’elle aurait dû faire depuis longtemps : l’embrasser comme si sa vie en dépendait. Ce baiser voulait tout dire, tout ce qu’elle ne parvenait pas à exprimer par des mots. C’est d’ailleurs ce même baiser qui lui donna le courage de s’exprimer, le souffle court, une fois qu’elle fut séparée de lui. « Je t’aime Caleb. On merde tous les deux comme pas possible en ce moment et tu peux me mettre tous les torts du monde sur le dos mais personne ne t’aimera jamais comme je t’aime. Je ne veux que ton bien, même si je m’y prends mal, même si je suis plus lourde que quinze mille tonnes d’acier sur un cargo, je veux simplement le bien de notre famille. Je culpabilise d’être comme un petit poussin et de te suivre partout mais parce que j’ai déjà perdu trop de monde et que toi, si tu mourais, je ne pourrais jamais m’en remettre. Je t’en prie, je t’en supplie, ne pars pas sur une route où je ne peux pas te suivre. Je ferais tout ce que tu veux derrière, même museler mes peurs et tout ce qui s’en suit mais sache que c’est uniquement parce que je veux devenir vieille et ridée à tes côtés que je fais ça » avoua-t-elle avec la plus grande émotion du monde, complètement essoufflée après sa course folle, juste au moment où les deux gardes l’embarquaient en lui passant les menottes comme si elle était une criminelle notoire ou recherchée.
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Un sentiment de ras le bol général se faisait ressentir. Je n’avais plus la foi de me battre ni même de rester. Elle voulait que je m’en aille puis après, c’était elle. Le yoyo commençait à me tuer bien plus surement qu’une attaque. Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre ? Attendre qu’elle revienne ? Me battre ? Elle finirait par repartir, c’était son sport national après tout. Dès que quelque chose se passait, elle prenait la tangente et mon cœur s’en fatiguait si bien que je décidais de mettre les voiles. J’avais pris le premier vol même s’il me fallait attendre trente minutes. Je n’avais même pas fait gaffe à la destination, je partais tout simplement. Puis, je sentis d’un coup une pression sur mon poignet, me retournant. C’était elle. Elle m’embrassa comme si sa vie en dépendait avant de se lancer dans un grand monologue. Comme d’habitude. Mes yeux n’exprimaient pas grand-chose à cet instant précis. Je la regardais partir, emmenée par deux gardes. J’aurais pu sortir ma plaque et les en empêcher mais je ne savais pas si c’était utile ou pas. Je regardais une nouvelle fois mon billet. Tiens, j’avais pris l’Australie. C’est loin l’Australie, c’est bien non ?! Pourtant, une heure plus tard, elle était libre parce que j’avais payé la caution, l’attendant silencieusement. « Rentre à la maison » lui dis-je simplement en ne lui accordant pas d’autres regards. J’étais vraiment fatigué. « Je crois qu’on a besoin d’une pause tous les deux. Pour vraiment savoir ce que nous voulons. Tu avais besoin de réfléchir et bien c’est mon tour… Je viendrais voir les jumeaux dès demain car j’ai besoin d’être près d’eux mais ils ont besoin d’être au calme à la maison donc autant que tu restes près d’eux. Je vais retourner vivre à la Lowell quelques temps »
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Il n’avait rien dit. Il n’avait même pas réagit. Thaïs avait l’impression que le monde entier se liguait pour lui arracher le cœur et ce fut pourquoi, une heure durant, elle ne put s’empêcher de ruminer sur tout ce qu’elle avait manqué, ce sur quoi elle avait merdé et finalement, lorsqu’il paya sa caution. « Chef oui chef, moi rentrer sagement maison ! Sauf que moi j’ai pas réfléchi longtemps. Je suis revenue et c’est toi qui me rejette. Je suppose que tu me rends la monnaie de ma pièce, tant mieux, tant pis, je ne sais plus ce que je dois penser. Si ça se trouve demain je vais me retrouver avec une demande de divorce devant le pif et il ne faudra peut-être pas que je m’étonne ? Peut-être que tu aurais dû me laisser en taule, ça m’aurait fait les pieds, tu crois pas ? Ceci dit je ne t’empêche pas, va chercher bonheur à la Lowell, je ne t’ai jamais empêché de faire quoi que ce soit en te mettant le couteau sous la gorge. Jusqu’à preuve du contraire, vrai que je fuis certaines disputes parce que ça me rappelle trop mon adolescence où on passait tout son temps à me hurler dessus donc oui, j’ai du mal, désolée votre majesté, mais ne t’en déplaise mon cher Caleb… ça fait pratiquement un mois que tu m’évinces avec tes conneries. Bonne réflexion » fit-elle avant de siffler le premier taxi qu’elle trouva histoire de rentrer à la maison. Bordel, fini de culpabiliser en ayant l’impression d’être la seule fautive alors que de son côté, elle n’avait pas fait de striptease devant tout le monde, ne s’amusait pas à mettre des sceaux de pétrole au dessus d’une porte pour ruiner les cheveux d’autrui… autant dire qu’elle fut incapable de dormir cette nuit là. A la place, elle demanda à son père de garder les jumeaux cette nuit histoire de pouvoir se murger quelque chose de fantastique et à elle toute seule, elle s’envoya une bonne bouteille de whisky. Bordel que ça faisait du bien. Au moins, si elle était hilare, elle savait pourquoi ! Mais elle tenait encore bien l’alcool, comme quoi.
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Durant de longues heures, je restais cloitré dans une chambre à la Lowell, me murgeant également tandis que je n’avais de cesse de regarder mon portable comme s’il allait pouvoir écrire ne serait-ce qu’un mot d’excuses à ma femme. Mon comportement était débile mais c’était le mien et je l’assumais comme je l’assumai les jours suivants durant trois jours. Au bout du quatrième jour, n’y tenant plus, je rentrais à la maison de bon matin. Il devait être cinq heures ou peut-être quatre heures. J’avais perdu la notion du temps mais quoiqu’il en soit, je m’asseyais près d’elle, tâchant de la réveiller calmement. « Non, ne dis rien. Laisse-moi parler » lui demandais-je en glissant mes doigts sur ses lèvres avant de prendre une grande inspiration. « Je n’ai pas demandé le divorce car je n’ai jamais voulu une seule divorcer avec toi mais j’en avais marre de te voir partir, que tu m’abandonnes toujours quoique je fasse. J’ai essayé de revenir vers toi, de m’excuser mais cela ne fonctionnait pas et tu es partie. A nouveau. Je crois que c’était la fois de trop et j’ai préféré m’éloigner plutôt que de prononcer des mots que j’aurais regretté la seconde d’après mais la vérité, c’est que je ne peux pas vivre sans toi. Oh j’ai sûrement tué notre couple, j’en ai bien conscience. Cela fait trois jours que je me dis que je suis qu’un branleur et que tu mérites cent fois mieux que moi » commençais-je avant de me racler la gorge. « Je ne voulais pas dire que tu m’empêchais de vivre simplement que moi, je n’avais plus l’impression de vivre. Du jour au lendemain, on m’a mis cette épée de Damoclès. Je dansais, je faisais du sport, je me sentais fort et en bonne santé pour au final découvrir que ce n’était pas le cas. Du jour au lendemain, on m’a interdit plein de chose, on m’a traité comme un homme en sursis qui allait passer l’arme à gauche d’un instant à l’autre. Je respirais plus, je n’osais plus rien faire alors oui j’ai déconné mais j’avais besoin de me sentir vivre, libre de toutes mes putains de craintes… mais le problème c’est que j’avais beau tout faire, je n’arrivais pas à atteindre l’objectif » soupirais-je tandis que je me prenais la tête dans mes mains « J’y arrivai pas parce que j’ai compris que je me sens vivant et libre que lorsque tu es près de moi, quand je vois les jumeaux me sourire ou quand je te vois heureuse près d’eux. Il n’y a que toi qui arrive à ce résultat et il a fallu tout ce merdier pour que je le comprenne. Je n’ai pas envie de mourir Thais… J’ai la trouille de m’endormir près de toi et de jamais me réveiller…Mais quitte à mourir, je préfère le faire auprès de toi plutôt que loin de toi. Tu m’as dit que tu te sentais comme un boulet mais au final, c’est moi. Je suis le boulet dans notre couple… Je voulais que tu le saches… »
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