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Out of doubt, out of dark to the day's rising I came singing in the sun ≈ Jackie

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Au lieu de s'élancer dans une conversation ennuyeuse sur le sujet Codyien et comme elle ne comptait pas le revoir de si tôt. « Il y a sûrement eu erreur dans le distribution, je suis sure que ton paquet cadeau ne va pas tarder à arriver. » Joan rit en regardant la brune. La jeune femme se leva lestement. « M'en veux pas mais j'avais pas entendu … je suis dure de la feuille tu sais. » Joan rangea le peu d'objets précieux qu'elle avait – son portable en fait – au fond de son sac avant de regarder Jackie et de s'élancer dans une nouvelle course à travers la plage. Sautant entre les serviettes, retrouvant son équilibre juste au bon moment pour ne pas s'étaler de tout son long sur quelqu'un, quoique si c'était un Luke Skywalker jeune … Une fois au bord de l'eau, elle remonta ses lunettes sur son nez en regardant son amie arriver. « Bouge-toi l'eau va refroidir, je croyais que tu voulais te baigner pas faire une longue promenade de méditation sur la plage de Punta Cana ! » Joan secoua la tête et se retourna pour glisser un pied, puis un autre, dans l'eau. Ça faisait frais après avoir passer un moment au Soleil.
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Si Joan avait raison et qu’il y avait en effet eu erreur à la distribution, Jackie devrait trouver à son retour du Spring Break un bel homme devant sa boîte aux lettres. Ou tout nu, dans sa chambre. Devinez quelle possibilité était la plus probable, sachant qu’elle n’a pas de boîte aux lettres personnelle à la Lowell House. C’est bien ça, aucune. Le rire de son amie arriva à lui arracher un sourire. Elle avait ce don de partager sa bonne humeur, c’était impressionnant. Finalement, elle se leva et s’en alla à toute vitesse en direction du paradis bleu, un peu comme dans la chanson de Michel Bergé, mais en bleu. Jackie c’était plus tôt en mode Relaaax, take it easyyyy ! qu’elle décida de rejoindre la plage. Lorsque son amie se retourna, les pieds à quelques centimètre de l’eau, pour crier à Jackie de se bouger les fesses, celle-ci se mit à courir et rentra dans l’eau éclaboussant tout et tout le monde qui se trouvait dans un rayon d’au moins deux mètres autour d’elle, y compris Joan. Allez, c’est toi qui traîne là ! J’suis déjà dans l’eau non mais dit ! Elle nagea un peu plus vers les profondeurs de la mer pour ne plus avoir pieds et agita les bras pour ne pas couler.
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La jeune femme poussa un cri aigu lorsque les gouttes projetées par l'arrivée en fanfare de Jackie dans l'eau entrèrent en contact avec sa peau. Il faisait combien de degrés dehors ? Beaucoup. Et les deux brunes étaient quand même restées assez longtemps exposées au soleil si bien que la peau de Joan était brûlante. Autant dire que la rencontre de sa peau à trente-neuf degrés et de l'eau à vingt-huit degrés fut un grand moment. La Quincy aurait du laisser ses lunettes dans son sac, elles la gênaient maintenant. Trop douée cette fille. Joan regarda autour d'elle comment se débarrasser de celles-ci puis elle finit par simplement les tendre à un groupe de filles qui sortait de l'eau. Ça c'est fait. « Tu vas morfler Alvarez ! » cria-t-elle dans le vide. Puis quand elle eut repérer la jeune femme, elle plongea dans l'eau et nagea vers elle. Une fois arrivée à sa hauteur, elle grimpa sur ses épaules, appuya sur sa tête, tenta de la faire couler. Évidemment elle n'y arriva pas, elle avala plus d'eau salée qu'autre chose.
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A cette heure de l’après-midi, le soleil était au plus haut et cognait, fort. Vraiment très fort. Tellement fort que lorsque la Lowell entra dans l’eau pour rejoindre Joan – et finalement la dépasser et aller un peu plus loin – des frissons lui vinrent sur tout son petit corps. L’eau, pourtant chaude, procurait une sensation de rafraîchissement pour le moins agréable. Nageant dans l’eau salée des plages de Punta Cana, Jackie se moqua lorsque son amie, toute éclaboussée d’eau par l’entrée fanfaronnante de la brunette, lui cria qu’elle allait morfler. Ouuuh, j’ai peur Joan !, un éclat de rire dans la voix. Oh zut, elle aurait vraiment mieux fait de se méfier de son amie à frange qui arriva à sa hauteur et essaya de la couler, sans grand succès en fait. Jackie, qui s’en était plutôt pas mal sortie avec une tasse d’eau salée, retrouva sa liberté et se mit face à son amie. Espèce de foldingue ! Jackie s’approcha d’elle et se cala dans ses bras, mettant ses jambes autour de la taille de son amie. Regarde comme c’est romantique ma Jojo ! Un p’tit bisouuuu ! Jackie approcha dangereusement ses lèvres de celles de Joan avant d’éclater de rire et de lui faire un gros bisou sur la joue.
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C'était possible d'être bourrée de l'eau ? De l'eau salée en fait, l'eau tout-court elle avait déjà essayé, et non à part avoir envie d'aller aux toilettes, ça ne faisait rien de spécial. Mais deux minutes dans l'eau suffisaient à Joan pour se mettre à pouffer et à rire comme une grosse mongolitaine sans cervelle. Lorsque la Quincy vit son amie s'approcher dangereusement d'elle, elle fronça les sourcils, le nez, la bouche en mode position tortue. « J'aimerai que notre relation reste platonique, j'ai peur que ça devienne trop bizarre après tu vois ? » Joan prit un air triste avant de rigoler et d'éclabousser Jackie. La jeune femme désigna un homme qui nageait non loin de là du bout de son élégante main. « En tout cas ça a fait de l'effet à celui-là ! » Puis elle plongea la tête sous l'eau et rejeta ses cheveux en mode l'Oréal, sauf que sa frange trop longue retomba bizarrement, voir quelques mèches ne retombèrent pas du tout et le reste de ses cheveux étaient assez pas coiffés. Elle essaya de remettre de l'ordre dans tout ça sauf que entre le sel, le mouillé, le sable, ses doigts restèrent coincés dans ses cheveux. Elle tira avec rage, se coulant à moitié.
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Joan n’avait pas eu l’air d’avoir apprécier le dangereux bisou de Jackie qui s’était finalement déposé sur sa joue. Platonique ? Ca veux dire quoi ? Qu’elles n’avaient pas le droit de montrer leur amour au grand jour ? L’amour, le seul, l’unique, le vrai ? Comme c’était triste. Finalement Jackie se redressa devant son amie hilare, battant des bras et des jambes pour ne pas chavirer. Joan, je sais vraiment pas ce que ça veux dire platonique. J’dois le prendre mal ? Bien ? Zut, j’voulais juste un baiser, comme dans les films ![/b] La Lowell aborda une mine toute triste, mais loin de réussir à garder son sérieux éclata de rire. Ses yeux se posèrent sur l’homme que désignait son amie du bout de ses longs doigts. Tu m’étonnes que ça lui ai fait de l’effet le cochon. On est trop belle ! Du coup il a du nous prendre pour des sirènes. La brunette agita son bras faisant signe au garçon qui disparu sous l’eau. Comme Joan en fait. Sauf qu’elle, elle venait de réapparaître tentant une drôle de chose avait sa chevelure. Visiblement, ça n’avait pas marché. Attends bourrique, laisse moi t’aider avec ta crinière ! dit-elle d’un ton amusé. Elle s’approcha de la Quincy, essayant tant bien que mal de lisser quelques mèches rebelles. Finalement, elle la coula sous l’eau par surprise. Lorsque Joan retrouva l’air frais, elle pris un air sérieux. C’était bien mieux quand t’étais sous l’eau en fait. On ne voyait pas l’était catastrophique de tes cheveux.
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La jeune femme activa son côté italien, comedia dell'arte, actrice hollywoodienne des années vingt. Vous voyez le genre ? Si elle était sur un sol et pas en train de se débattre pour ne pas couler, elle aurait porter sa main sur son front et se serait pâmée, it's a sad sad sad story. « Tu as pensé à ton mari ? Et tes enfants ? Je ne peux pas leur faire ça, tu ne peux pas leur faire ça … je suis désolée Jackie, un jour peut-être. » Puis la brune rit avant de laisser son amie la recoiffer. Elle lui tirait les cheveux la Lowell, mais par sympathie – quoique pas la peine de le préciser Joan est toujours sym, agréable, douce, aimante, facile à vivre – elle laissa miss Alvarez s'amuser à la tête à coiffer Barbie, Joanie en fait, je peux même rajouter que Joan était cent fois mieux que Barbie et encore je suis gentille envers cette poupée blonde aux mensurations inatteignables par la race humaine telle que nous la connaissons aujourd'hui. Peu de gens le savent et nombre d'adolescentes tentent de ressembler à ce morceau de plastique. Mais ne nous lançons pas dans un débat politique, l'heure est grave. Joan était en train de se noyer. Elle remonta difficilement à la surface et toussa pendant un an (comprendre deux minutes) avant reprendre une voix de conférence – oui pas de circonstance lisez la suite vous comprendrez – en lançant de son ton le plus Joanien « L'eau salée c'est horrible, je vais me dépêcher tu vas me le payer monstre à frange ! »
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Monstre à frange ? ou ça ? cria la Lowell en regardant, morte de rire, tout autour d’elle. Ah non, c’est de Jackie qu’elle voulait parler. Mais zut, elle s’était vue la Quincy avant d’attaquer la sirène de la mer ? Elle qui s’était débattu un peu plus tôt avec ses cheveux qui ne ressemblaient à rien. On aurait mis deux algues et quelques crevettes dans sa tignasse et c’était elle le monstre à frange de la mer. Oui oui. Allons, ayez un peu d’imagination. Jackie se mit à nager pour retrouver pied dans le sable caillouteux. Oh Joan, laisse tomber un peu. Tu fais pas le poids contre moi, sirène de Punta Cana. Jackie jeta ses cheveux en arrière, avec beaucoup plus de grâce que sa copine. Elle posa ses yeux sur ses petits pieds que l’on voyait au fond de l’eau tellement celle-ci était claire. AAAAAH JOAN REGARDE ! UNE ETOILE DE MER ! Une grosse étoile jaune/orangée était à quelques centimètres de la Lowell qui n’en avait jamais vu d’aussi grosse, et dans le vrai océan. D’habitude c’était à l’aquarium de la ville qu’elle les voyait. Elle attrapa la star de l’océan de ses deux mains et la regarda de ses grands yeux ébahis.
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« Je te laisse le poste de sirène de Punta Cana, moi je suis sirène de Saint-Barth' ce qui est nettement plus classe. » Joan eut une sorte de reniflement snob, je sais pas trop comment décrire ça, mais à ce moment-là toute personne normale aurait voulu la noyer tellement elle était la Blair Waldorf du pauvre. Du pauvre, mais Blair quand même. Alors que Jackie partait à la découverte de l'étoile de mer filante – ou flippante comme vous préférez c'est au choix, le client est roi – la jeune femme s'approcha doucement, à peu près certaine que la brunette allait lui jeter l'animal ou le mollusque, le poisson, le crustacé, enfin le truc qu'elle avait dans les mains quoi, à la figure. « Si j'étais toi je ferais gaffe, il paraît que les étoiles de mer sont porteuses d'un espèce de sida des étoiles de mer, j'ai vu un reportage à la télévision, ou c'était peut-être les crabes … » Joan se prépara à plonger dans l'eau si son amie se décidait à lui balancer l'objet à la figure. Ou alors elle pourrait essayer de remplacer le maillot de bain de la Quincy par une étoile de mer, vous savez comme dans La Petite Sirène, une de ses sœurs à un bikini-étoile-de-mer je crois. Mais par mesure d'hygiène, il fallait mieux éviter. On sait tous ce que font les poissons dans l'eau …
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L’étoile de mer que Lowell avait dans les mains bougeait ses branches dans tous les sens, tout doucement. C’était l’une des plus belles choses que Jackie n’avait jamais vu. Elle leva sa tête et quitta des yeux la petite merveille. Mais n’importe quoi ! Le seul risque avec ce truc là c’est qu’elle te fasse un suçon en forme d’étoile, c’est tout ! Elle leva les yeux au ciel, haussant les épaules en même temps avant de reporter toute son attention sur l’animal marin. D’instinct, elle replongea ses mains sous l’eau quelques secondes pour que l’étoile soit de nouveau mouillée. Il ne fallait pas la laisser mourir la pauvre, et si être hors de l’eau la faisait cuire ? C’était possible ça ? Tu crois qu’on peut la ramener à Cambridge ? J’l’a mettrait dans un bel aquarium, à elle toute seule ! Jackie et sa parfaite innocence, c’était drôlement mignon. On aurait dit un enfant qui venait de trouver un trésor. Elle déposé à nouveau ses yeux sur son amie, prête à plonger dans l’eau au moindre mouvement de la Lowell. Bah Joan. T’as peur d’Astrid ? Ouais, Astrid. Comme l’étoile de mer dans Némo.
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