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(flashforward) Calis + but you did go away !

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« Personne » confirma-t-elle d’une voix si décidée qu’il n’était pas possible de remettre ses propos en doute. « Cet abruti était surtout une façon de me dire que je n’étais pas complètement toute seule… je recommence à cauchemarder quand je suis seule dans mon lit, pourquoi tu crois qu'il a fini par devenir violent ? » avoua-t-elle non sans un large sentiment de honte mais qu’importe. Thaïs était au-delà de ça, ils étaient au-delà de ça, surtout lorsque Caleb lui avoua des paroles qu’elle n’espérait même pas entendre dans ses rêves les plus fous. Restait à savoir s’il allait encore la fuir ou bien faire ce pas franc en avant, vers elle, alors que la blondinette n’attendait visiblement que ça. « Comme pour moi… il n’y a jamais eut que toi Caleb, que toi. » Le baiser tendre qu’il lui offrit fut un tel baume à son cœur que Thaïs se laissa emporter par les évènements sans condition ni hésitation. En quelques secondes à peine, son ex-mari lui avait ôté son t-shirt, dévoilant sa poitrine nue tandis qu’elle lui enlevait le sien, ses mains partant à nouveau à la conquête de ce corps parfait qu’elles avaient tant désiré, ses lèvres ne pouvait lâcher les siennes. « Je ne suis pas en train de rêver, hein… »
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« J’ai presque envie de dire que je le comprends mais il n’avait pas le droit de lever la main sur toi. Je crois que si je le croise, il comprendra sa douleur » grognais-je avant de l’embrasser tendrement. J’adorais l’entendre dire qu’il n’y avait eu que moi. Pour un être aussi jaloux et possessif que moi, c’était de l’or en barre si bien que la passion ne resta pas très loin de notre étreinte, la soulevant rapidement pour lui ôter son T-Shirt, mes lèvres venant rapidement se jouer de sa gorge, la faisant doucement ployer en arrière pour venir couvrir ses seins de baisers tous plus enflammés les uns que les autres. « Si tu rêves, c’est qu’on a fumé un truc pas net tous les deux » murmurais-je avant de remonter vers ses lèvres pour partager avec un baiser langoureux, la soulevant à nouveau pour la conduire dans sa chambre –c’était la plus près ; l’allongeant sur le lit tout en couvrant son corps de caresses. « J’ai tellement envie de toi mon épouvantail » murmurais-je en la couvant d’un regard chargé de désir sans prendre conscience d’avoir usé d’un vieux surnom remontant à nos années universitaires.

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« Je n’ai pas dit qu’il avait eu raison… au contraire. Mais n’y pense plus, il n’en vaut pas la peine » murmura-t-elle non sans lui faire comprendre au passage qu’elle n’avait pas envie de parler de tout ce qui ne les concernait pas eux directement. Thaïs avait tellement peur que tout ceci soit éphémère qu’elle voulait s’accrocher à la moindre seconde, laissant ses mains redessiner chaque courbe de ce corps délicieux lui ayant tant manqué… comme son propriétaire. Il n’y avait plus de dispute qui tienne, plus de restriction, plus de prise de tête. Cela semblait si simple… tellement simple que l’irlandaise en avait presque la gorge nouée. « Je crois que je vais avoir envie de fumer de ce truc pas net sans arrêt » avoua-t-elle non sans se laisser porter par les bons soins de Caleb, frissonnant à chacune de ses caresses, à ses moindres baisers jusqu’à ce que le surnom de leurs jeunes années ne lui arrache un sourire attendri. « Moi je te veux tout entier… Zorro de moi. » Thaïs pouvait difficilement dire « mari de moi » mais ce surnom lui allait parfaitement et ne lui empêcha pas de lui offrir un baiser d’une fureur à couper le souffle, tandis qu’elle l’allongeait sur le matelas pour lui donner toutes les attentions qu’aucune autre n’avait sûrement dû lui donner. Thaïs l’effeuilla avec un mélange de tendresse et de malice, terminant de le mettre à nu pour redécouvrir son intimité du bout de sa langue, le titillant, le provoquant, tirant sur la corde raide non sans lui offrir de temps à autre des œillades on ne peut plus gorgées d’un désir brûlant.
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« J’essaie mais tu me connais, je ne supporte pas les hommes qui s’en prennent aux femmes et aux enfants » murmurais-je et je ne supportais davantage moins lorsque la femme en question était la mienne bien qu’un jugement du tribunal des familles, nous déclarait divorcés. Je rigolais légèrement contre ses lèvres lorsqu’elle déclara vouloir fumer le truc pas net si cela lui permettait de rester dans mes bras et rien que cette phrase fit battre mon cœur à la chamade tandis que je la portais jusqu’à sa chambre, frissonnant en entendant ce vieux surnom. C’était la belle époque, celle où malgré les épreuves, nous étions heureux ensembles. Heureux et soudés, nous comprenant sans trop de difficultés. Malheureusement, cette époque était lointaine, trop. La suite, ce fut une explosion de sensations, un florilège de plaisir tandis que je gémissais son prénom, essayant de ne pas craquer mais cela faisait si longtemps qu’une femme ne m’avait pas donné autant de plaisir. C’était enivrant mais rapidement, je ne tins plus, la forçant à revenir vers mon visage, l’embrassant comme si ma vie en dépendait pour mieux la renverser sur le lit, la débarrassant de l’unique pièce de vêtement qu’elle portait encore. Durant de longues minutes, mes mains et mes lèvres explorèrent ce corps offerts, le savourant, le taquinant pour mieux le cajoler. De mes doigts et de ma langue, j’explorais sa féminité jusqu’à ne plus en pouvoir. « Thais je… » m’arrêtais-je soudainement, incapable de prononcer les mots d’amour qui ne demandaient qu’à être dits. A la place, j’unissais nos deux corps, lui faisant l’amour comme je ne lui avais encore jamais fait l’amour avec un mélange de passion, de tendresse et de désespoir. Je l’aimais et je ne savais plus comment le lui avouer.

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« Je sais… » murmura-t-elle comme pour le rassurer sur le fait qu’elle ne comptait plus se laisser faire, jamais. Thaïs rêvait même d’une seconde chance pour eux, pensant naïvement qu’il n’était pas trop tard. Elle voulait y croire si fort que cela transparaissait presque dans ses baisers, teintés par le désespoir. Oh bien sûr, Caleb lui apporta un plaisir qu’elle n’avait jamais connu que dans ses bras et qu’elle retrouvait non sans une intense délectation, mais l’irlandaise sentait que son âme sœur, car il l’était resté envers et contre tout, souhaitait lui dire quelque chose et un goût d’inachevé se glissa bientôt dans son esprit. Leur étreinte n’en fut pas perturbée pour autant, Thaïs s’abandonnant complètement à cette dernière comme si elle pouvait disparaître demain… une fois qu’un nouveau mont de plaisir furieux fut atteint par l’ancien couple Weyss, elle demeura le souffle court un long, très long moment. « Pfiooow c’était… merveilleux ! » s’exclama-t-elle dans un cri du cœur. Mais la jeune femme laissa Caleb s’éloigner d’elle quelques secondes avant de se tourner vers lui, cherchant à initier un rapprochement sans trop oser. « Caleb tout à l’heure tu as voulu dire quelque chose d’important… n’est-ce pas ? » murmura-t-elle maladroitement.
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Le cœur battant, je me laissais tomber à ses côtés sur le dos, une main sur mon torse. Il n’y avait pas de mots pour décrire ce que nous venions de partager et un léger sourire étirait le coin de mes lèvres même si je regrettais de ne pas sentir sa chaleur tout contre moi, comme par le passé. Je ne voulais pas d’une étreinte purement sexuelle avec elle. Je voulais plus. Je désirais réellement plus mais les mots n’avaient jamais été mon fort. On aurait pu croire qu’avec les années, ce défaut aurait pu être gommé mais non. Je restais toujours aussi peu à l’aise avec eux, me faisant comprendre bien plus sûrement avec mes actes qu’avec ma parole. « Oui, ça l’était » lui dis-je néanmoins tandis que je réfrénais mon besoin presque impérieux de l’attirer à moi pour partager une étreinte amoureuse. J’ignorais si pour elle, ce que nous venions de partager signifiait quelque chose d’autre que deux ex couchant ensemble. « Je.. » commençais-je sans trop savoir comment dire ce que je ressentais. Je me sentais idiot, maladroit, presque comme mon fils face à son premier baiser. « Je… Tu me manques » réussissais-je à lui dire bien que j’aurais préféré lui dire que je n’arrivais pas à vivre sans elle, que j’avais simplement envie de mourir, de me prendre une balle et oublier ce déchirement dans mon torse. Je voulais lui dire que je l’aimais toujours comme au premier jour si ce n’est plus.
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La gêne. Thaïs ne s’attendait pas à ce qu’un tel silence se glisse entre eux alors que leur étreinte lui avait parue plus naturelle encore que lors de leurs années de mariage. Sûrement le manque et la solitude y étaient pour beaucoup… mais dans l’esprit et le cœur de la blondinette, il n’y avait pas que ça. Elle l’aimait toujours à en crever et ne pas pouvoir s’exclamer à ce sujet la tuait à petits feux… « J’ai l’impression d’avoir treize piges à nouveau niveau maladresse » marmonna-t-elle non sans se racler légèrement la gorge, Thaïs ne sachant définitivement pas comment elle était censée réagir au juste. « Je te manque parce que tu te sens seul ou c’est vraiment moi qui te manque ? » ne put-elle s’empêcher de demander non sans le regarder droit dans les yeux, essayant d’initier un rapprochement physique de quelques millimètres mais elle était encore tellement marquée par sa demande de divorce si froide et dépourvue de toute émotion… qu’elle en était pétrifiée aujourd’hui. Et pourtant, dans le fond de ses yeux reluisait un amour sans faille éprouvé à l’égard de Caleb.
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Un léger rire secoua mes épaules. « Je me faisais la même réflexion » répondis-je avant de tourner la tête vers elle, m’allongeant sur le côté pour pouvoir lui faire face. « C’est toi qui me manque. Je ne t’ai pas sauté dessus parce que j’étais en manque Thaïs. Je… J’avais envie de toi, de retrouver notre intimité mais plus que tout, j’avais envie de te retrouver toi » marmonnais-je avant de me rallonger sur le dos pour mieux l’attirer contre mon torse. Je n’arrivais pas à dire autre chose que ces mots, je ne savais plus comment on faisait. Cela faisait deux ans que je n’avais pas ressenti ce bien-être, cette envie d’être près de quelqu’un. Je déposais un baiser sur son front tandis que ma main se glissait dans ses cheveux comme par le passé. Dire qu’avant notre divorce, nous avions connu aussi une longue période d’abstinence car même les réconciliations sur l’oreiller ne suffisaient plus à nous rabibocher. Nous avions tout gâché aussi bien l’un comme l’autre et même si je regrettais ma demande de divorce, encore aujourd’hui, je me demandais ce que nous aurions pu faire d’autre.
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Thaïs s’était contentée de le serrer fortement dans ses bras, refusant pour le moment de répondre tant ses gestes en disaient long. Au moment où elle voulait réellement lui répondre, l’irlandaise souhaitait que ce soit pour lui dire ces fameux trois petits mots qui brûlaient littéralement ses lèvres. Mais après leur étreinte, elle n’eut pas le temps car il fallait se rendre à l’école de Raphaël pour le chercher et le ramener à la maison. La maison… la jeune femme n’avait pas encore véritablement l’impression qu’il s’agissait de sa maison et d’ailleurs, ils faisaient toujours chambre à part, elle possédait toujours ses cauchemars et leur quotidien restait étrange. Mais ce soir, Thaïs devait mettre tous ses problèmes personnels de côté pour être absolument étourdissante dans sa robe de soirée d’un rouge sang, afin de briller pour ce gala caritatif où elle finit par se mettre au piano, suivi d’un guitariste et d’un batteur pour faire swinguer tous ces culs serrés. Pour un peu, elle était presque tentée de trouver la soirée relaxante avant que son ancien producteur ne fasse une entrée… remarquée. « Je ne savais pas que tu te prostituais dans ce genre de soirée. Depuis quand tu joues gratuitement pour ces pisse-vinaigre ? Merde Tha’, tu vaux mieux que ça ! » avait-il hurlé pour que toute l’assemblée entende, l’humiliant par la même occasion mais Thaïs avait soupé de personnages dans le genre. Aussi se releva-t-elle de son tabouret de piano, s’avançant fièrement et gracieusement jusqu’à cet abject bonhomme pour lui asséner une droite d’anthologie. L’irlandaise des grands jours était de retour. « Pour votre gouverne je joue pour qui je veux, quand je le désire et rien de ce qui me concerne n’est de votre ressort. Encore un mot et je peux vous assurer que même votre mère ne vous reconnaîtrait pas. Encore un mot et je m’assure que votre carrière soit définitivement ruinée, me suis-je bien fait comprendre ? » lâcha-t-elle froidement, sans le lâcher du regard, d’un ton ne souffrant aucune réplique. Bientôt, elle fit signe aux agents de la sécurité de l’escorter à l’extérieur en s’assurant qu’il ne reviendrait pas, avant qu’elle n’incite d’un air bien plus enjoué les invités à continuer à festoyer. Pendant ce temps, Thaïs demanda subtilement un sac de glace au barman pour mieux se planquer dans un couloir désert, éclatant de rire toute seule. « Bordel je me suis défoncé la main mais qu’est-ce que c’était jouissif… »
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Le quotidien était des plus étranges : Thais et moi, continuions de cohabiter ensemble et tout se passait bien mise à part les nuits, où, nous faisions chambre à part. Je ne savais pas comment changer les choses et rapidement, le manque d’effectif força le Capitaine à me rappeler de mes congés. Une sordide enquête de meurtre dans les hautes sphères, une histoire d’escort girl, de femme bafouée et de politicard sur le retour. Il m’avait fallu tout mon self control pour ne pas péter un câble même si, rencontrer le sénateur de New York fut une rencontre enrichissante –surtout pour sa femme au caractère trempé. L’image du loup froid et insensible, en avait pris un coup dans les roustouquettes quand je l’avais entendu dire : mais mamour ; à sa garde du corps d’épouse. Je continuais d’en rire encore ce soir alors que j’étais de corvée de gala. J’avais voulu inviter mon ex-femme (je haïssais ce mot) mais celle-ci y était déjà invité à ma plus grande consternation car je voyais encore un moyen de me rapprocher d’elle, s’envoler.

« Vous attendez une invitation pour la rejoindre Weyss ?! » m’interpella le capitaine Weatherfield alors que je regardais toujours dans la direction dans laquelle, Thais venait de partir après cette droite magistrale. « Allez, va donc te la taper dans un coin discret Roméo et faites pas chier, si j’épouse la bleue, tu peux te remarier avec ta blonde ! » fit Jeremiah tandis que Mallo lui assenait un léger coup sur l’épaule. « C’est peut-être l’occasion que tu attendais partenaire… Allez file, l’amour t’attend » ajouta Caine tandis que sa nouvelle femme venait se blottir contre lui avec un charmant sourire. Je la connaissais bien pour avoir déjà dansé avec elle par le passé. Sur ces derniers mots et non sans une poussée de Quinn, je hâtais le pas vers ma jolie blonde que je retrouvais dans un couloir. « Et je dois dire que c’était une sacrée droite » l’interpellais-je en m’approchant d’elle, attrapant sa main blessée dans les miennes. « Tu n’as rien de cassé, c’est déjà ça… ça m’avait manqué de voir l’Irlande en colère » plaisantais-je.

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