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(flashforward) Calis + but you did go away !

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Deux ans. Deux longues années que Caleb avait demandé le divorce et deux ans que Thaïs était dans le désarroi sentimental le plus total. Pourtant, ils continuaient de faire en sorte de se disputer le moins possible, et de se respecter pour présenter une unicité parentale irréprochable à leur fils de cinq ans, Raphaël. L’irlandaise avait bien évidemment eut la garde de ce dernier au moment du divorce, mais elle n’empêchait jamais son ex-mari – bien qu’elle ait une sainte horreur d’être contrainte de l’appeler ainsi – de venir voir la chair de leur chair. Cette fois-ci, ils avaient même réussi à se mettre d’accord pour que Raphaël vienne une semaine à New York chez Caleb, et ce sans batailler ni rien. L’allemand avait proposé, la blondinette avait accepté. Elle trouvait au contraire excellent qu’ils passent du temps « entre hommes », bien que de son côté, elle ait tenté d’offrir un semblant de stabilité à leur petit prince en évitant de collectionner les conquêtes. Depuis un an, Thaïs fréquentait son producteur, ce dernier l’ayant même demandée en mariage sans qu’elle n’ait apporté la moindre réponse à la question. La bague traînait encore dans un tiroir et risquait même de finir par y moisir car la veille, une violente altercation avait eue lieu entre la pianiste mondialement connue et son producteur. Résultat des courses, elle s’était pris un coin de table, lui offrant un magnifique cocard en règle et un poignet quasi violacé. Thaïs avait tenté d’en camoufler la majeure partie avec du fond de teint, en vain, avant d’opter pour les lunettes de soleil en entendant la sonnette de son appartement retentir. « Bonjour Caleb… je te laisse patienter dans le salon, je vais chercher notre fils » fit-elle d’une voix aussi accueillante que possible mais le voir si près et le savoir pourtant si loin… cela la tuait tout de même sur place. Bien que là, tout de suite, elle l’évitait pour éviter une discussion pénible.
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Deux ans que je vivotais sans trop vivre après avoir essuyé dispute sur dispute avec celle que je considérais toujours comme la femme de ma vie, malgré notre divorce. Une décision que j’avais prise, pensant faire son bonheur et celui de notre fils car notre vie de famille était devenue intolérable. Je ne me rappelai pas de la dernière fois où nous avions passé une soirée sans nous disputer, à croire que les querelles étaient devenues notre seul moyen d’expression. Je savais très bien que je vivais trop pour mon boulot, être flic, c’était presque une vie à part. D’ailleurs, le nombre de divorcés à la criminelle signifiait à lui seul que ce travail nous bouffait. Mon coéquipier l’était même si à sa décharge, il s’était marié avec une connasse de première. Au moins, sa nouvelle compagne le rendait heureux. Je dois dire que je l’enviais profondément. Depuis Thais, je n’avais pas connu beaucoup de femmes malgré la croyance populaire. Dernièrement, je m’étais un peu stabilisé avec Katia mais c’était surtout parce que j’en avais marre d’être seul et d’écumer les bars pour trouver une femme avec qui passer la nuit. C’était peut-être trash de penser ainsi mais la vérité était que j’étais incapable d’en aimer une autre que ma jolie blonde, la mère de mon fils. Aussi, satisfaire mon corps, était une façon comme une autre de passer le temps, de tuer la solitude.

« Salut » marmonnais-je comme à chaque fois que je venais chercher notre fils chez elle. Je n’aimais pas cette situation surtout que contrairement à moi, Thais était en couple depuis un an avec son producteur. Un mec dont j’avais une furieuse envie de lui casser la gueule. «Attends, c’est quoi cette connerie de porter des lunettes de soleil chez toi ? » l’arrêtais-je aussitôt en la retenant par le poignet pour les lui enlever. « Putain, je vais lui casser sa gueule ! Où est-ce qu’il est ?! » grognais-je en plantant mon regard furieux dans le sien. On avait certes divorcé mais l’amour que je portais à cette femme ne s’était jamais éteint bien au contraire.

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Thaïs aurait dû le savoir : porter des lunettes de soleil chez soi, hormis les aveugles, il n’y avait personne pour s’adonner à ce curieux réflexe ! Sauf que Caleb l’avait connue aveugle et que même en ce temps là, l’irlandaise ne portait jamais de lunettes. Cela fit rapidement tilt et fatalement, non sans avoir grimacé violemment car il s’était emparé du poignet violacé et douloureux qu’elle avait du mal à bouger depuis deux jours, Thaïs soupira aussitôt. « Tu ne vas rien faire du tout » lâcha-t-elle avec bien moins de chaleur que d’ordinaire. Depuis leur divorce, même si cela lui faisait atrocement mal, jamais elle ne s’était comportée froidement ou de façon désagréable… elle essayait tant bien que mal d’oublier ses propres sentiments pour le bien de leur fils, quitte à ce que cela ne lui brise mille fois le cœur. « Il n’est pas là et si ma mémoire est bonne cela ne te regarde en aucune façon, en revanche Raphaël t’attend alors rends-moi mes lunettes s’il te plaît. »
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« Bien sûr que si ça me regarde quand ma femm.. enfin mon ex-femme se fait passer à tabac par le même avec qui elle vit en prime avec mon fils ! Est-ce que c’était la première fois ? » lui demandais-je en essayant de ne pas trop jouer au flic mais en même temps, j’en avais trop vu durant mes enquêtes pour faire comme si de rien n’était avec Thais. Surtout avec Thais. Je l’aimais encore en fait, je n’avais jamais cessé de l’aimer. « Tu viens avec moi, hors de question que tu restes ici une minute de plus ! ça va être quoi la prochaine fois ? Il va te frapper devant Raph’ et après, il s’occupera de notre fils ? » lui demandais-je avec autant de chaleur qu’elle car je n’avais jamais supporté qu’on puisse faire du mal à une femme. Pour preuve, la seule fois où j’avais failli me montrer violent, j’étais parti aussi sec. Ce passé était loin derrière moi, cela faisait des années que je n’avais plus eu de problème avec la drogue ou les médicaments.
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Thaïs déglutit avec difficulté car le lapsus à peine dissimulé de Caleb était encore pire que le fait qu’il se soit barré à New York pour devenir un flic à part entière et rien d’autre. Du moins l’irlandaise voyait-elle les choses comme ça. « Justement, ex-femme donc ce ne sont pas tes oignons et en prime il n’y aura pas de prochaine fois ! » La blondinette essayait de se leurrer car fondamentalement elle ne savait pas être seule. Elle l’avait été bien trop longtemps pour supporter de l’être à nouveau mais ça, Caleb le savait sans le savoir manifestement, même s’il venait de lui faire une proposition qui lui fit écarquiller grand ses yeux si profonds et expressifs. « Pardon ? Tu sais très bien que je donnerais ma vie pour protéger notre fils, il n’est pas question qu’il le touche ! Mais il n’est pas non plus question que je te suive Caleb. Il paraît que tu es en passe de te marier et d’avoir d’autres enfants, Raphaël a pleuré deux heures dans mes bras après que tu me l’aies ramené parce qu’il ne supporte pas ta bourgeoise et qu’elle l’a emmerdé des plombes avec ça. Merci mais tenir la chandelle en prime, ça va, j’ai déjà donné ! »
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« Bon sang Thais, tu n’y crois même pas et je suis bien placé pour te dire que des prochaines, il y en aura. Merde, sur combien de cadavres j’enquête pour au final me rendre compte qu’il s’agit ni plus ni moins d’une querelle domestique ayant mal tourné ? Des femmes battues qu’on retrouve mortes sur un trottoir, j’en vois suffisamment pour que tu deviennes qu’un simple dossier pour un flic » essayais-je de ne pas m’emporter mais elle était si aveugle pour le coup que ça me rendait dingue. « Et tu le protégeras comment si ton connard de mec te fout Ko ? Tu le protègeras comment d’un homme déterminé à lui coller une rouste ? Ce ne sont pas tes deux trois cours de boxe à la fac avec ta belle-mère qui y changeront quoi que ce soit ! » soupirais-je en me passant la main dans les cheveux. « Et je n’ai jamais eu l’intention d’épouser une autre femme que toi et d’avoir d’autres enfants. Raphael me suffit amplement et je ne compte épouser personne d’autre que toi ! Je ne sais pas où elle a été pêcher ça mais une chose est certaine, elle va dégager directement ! Tu viens à New York point barre ! Ecoute, tu peux habiter chez ton père si ça te chante mais je ne bougerai pas d’ici tant que tu ne l’auras pas quitté »
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« Tu fais chier à garder tes réflexes de flic avec moi aussi » lâcha-t-elle comme un cri du cœur car Thaïs ne parvenait pas à s’ôter de l’idée que son métier avait tout gâché entre eux. Horaires impossibles, blessures, inquiétude… l’irlandaise avait fini par définitivement craqué même si elle avait tout fait pour le faire réagir. Résultat, il en avait eu marre et s’était barré à New York en divorçant au passage, la dégoûtant particulièrement du mariage par la même occasion. Ah ils étaient beaux, leurs échanges de vœux devant témoins ! « Je ne vois sincèrement pas pourquoi tu t’inquiètes de mon sort, Caleb. Clairement, t’es pas logique » lâcha-t-elle avant de lui chiper les lunettes, tournant les talons au passage pour aller chercher leur fils, tout content de passer du temps avec son papa. « Hey petit monstre, laisse-moi attacher tes chaussures ! Tu vas être content, je viens aussi quelques jours avec vous. » Têtue oui. Idiote, non.
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« Je suis flic, je ne vais quand même pas devoir m’en excuser ! » grommelais-je car Thais ne voulait pas comprendre que je faisais quelque chose que j’adorais et qu’en prime, c’était une façon pour moi d’exister. Je savais bien qu’elle s’était toujours inquiétée pour moi et que si elle l’avait pu, elle m’aurait enfermé dans un boulot de bureau bien pépère pendant qu’elle parcourait le monde pour ses concerts. Si elle pensait que j’étais le seul en tort dans l’échec de ce mariage, elle avait tort justement. Combien de fois était-elle partie des jours durant pour ces concerts ? Combien de fois m’avait-elle appelé pour me dire justement qu’elle ne pourrait pas rentrer car il y avait une soirée de gala à laquelle, son producteur voulait qu’elle assiste. Tu parles, il voulait surtout se la taper et désormais, il lui tapait sur la gueule. Là aussi, j’avais dû fermer ma gueule alors je m’étais plongé dans le boulot de mon côté aussi. Avec le recul, on avait été idiots de nous croire à l’abri de tout. Cet excès d’orgueil nous avait couté notre mariage. « Ce n’est pas parce que nous sommes divorcés que tu ne comptes plus pour moi. Je ne fonctionne pas comme ça de mon côté va falloir t’y faire ! » rétorquais-je avant qu’elle n’aille chercher notre fils. Je les attendais patiemment tout en songeant que j’ignorais toujours où elle comptait vivre à New York.
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Thaïs ne répondit rien à sa première réplique, n’ayant pas envie de lancer une discussion interminable sur le sujet car de toute manière, ils ne seraient jamais d’accord. Ce qu’il ignorait, c’est que sa cavale perpétuelle, elle en était exténuée. Ses concerts avaient été considérablement réduits, de même que ses passages en public et autres galas car elle ne voulait pas rater l’éducation de son fils, seule chose qui la retenait vraiment de faire une connerie depuis deux longues années. « Pour ta gouverne, c’est moi la sentimentale des deux alors si tu me prends pour une pierre, tu te flanques ton idée dans l’œil mais profond. Première nouvelle que je compte encore pour toi tiens ! » Il n’y avait pas d’animosité dans la voix de Thaïs, juste de la lassitude. Sa voix trahissait sa frustration de ne pas être comprise par Caleb au même titre qu’elle ne le comprenait définitivement plus. « Tu vas rester pour me faire mon beusou du soir hein maman ? J'aime pas l'amoureuse de papa elle est pas belle ! » « Je serais là pour ton bisou ET ton câlin du soir mon chéri ! Papa veut qu'on passe du temps tous les trois mais si papa est amoureux tu dois être gentil, tu me promets hein ? » fit-elle en mettant Caleb en avant, se refusant les lauriers. « Tu es venu en moto ou en voiture ? Dans le premier cas je vous suis, dans le deuxième je monte avec vous. »
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« C’est vrai, la pierre sans sentiment c’est moi ! J’oubliais toutes mes excuses ! » marmonnais-je comme si c’était un scoop que je ne puisse pas la considérer autrement que comme la personne la plus importante après notre fils. Elle pensait réellement que j’avais cessé du jour au lendemain de l’aimer ? Pensait-elle réellement que je puisse être capable de mettre notre mariage derrière moi comme si de rien n’était ?! Décidément, nous avions réellement perdu notre faculté à nous comprendre si c’était le cas, à croire que fatalement, nous n’étions pas réellement des âmes sœurs comme je l’avais toujours pensé. « Je suis venu en voiture » lâchais-je comme si ce simple mot m’arrachait la gueule. Je n’aimais pas les voitures mais pour un long trajet comme le nôtre, je préférais de loin assurer le confort de notre fils. Bien m’en pris car ainsi, elle avait tout loisir de prendre ses bagages avec elle. « Salut bonhomme ! Comment va mon champion ? Alors comme ça, cruella t’a fait pleurer ? Rassure toi de suite, ta mère restera la seule et unique ça te va ? » murmurais-je à l’oreille de mon fils sans savoir que Thais pouvait m’entendre. En même temps, je ne mentais pas, aucune femme ne pourrait remplacer ma jolie blonde. « Prête ? » lui demandais-je en me retenant de caresser sa joue. Je sentais que le quotidien allait être sportif !
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