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(flashforward) Calis + but you did go away !

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« C’est dû à beaucoup de choses, mais ne t’inquiètes pas je suis une grande fille. » Thaïs avait passé l’âge, du moins de son point de vue, qu’on ne lui mouche le nez et puis elle ne voulait surtout pas que Caleb ait conscience de tout ce qu’elle pouvait bien penser et ressentir. Après tout, lui le vivait peut-être très bien, mais pour elle, être aussi proche et en même temps si loin… c’était sûrement la pire torture qu’elle ait eu à affronter. Il faut croire que sa prétendue force ne s’avérait pas si extraordinaire que cela. « Oh j’adore donner du bonheur à mes fans et je suis fière d’être devenue la pianiste que je suis mais… la solitude, être loin de Raph, le harcèlement de certains fans, je crois que je sature. J’ai décidé il y a quelques mois de mettre la pédale douce sur ma carrière. Quant à notre fils, il était perturbé parce qu’une petite fille lui a offert son premier bisou ! » Thaïs éclata de rire, attendrie rien que de l’avouer à Caleb. C’était adorable.
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« Je sais, tu l’as toujours été » marmonnais-je avec une certaine amertume. Je me souvenais que trop bien du nombre de fois où Thaïs avait réglé ses problèmes en me tenant éloigné, me laissant simplement sur le fait accompli : sa septicémie était l’exemple qui me venait le plus rapidement à mon esprit. « J’espère que pour toi que ça ira bien » ajoutais-je avant de m’affairer à nous préparer un petit déjeuner pour m’occuper les mains et pour avoir une excuse de lui tourner le dos. Je ne voulais pas qu’elle comprenne à quel point, ce genre de phrase m’atteignait. J’avais souvent eu l’impression qu’elle me tenait à l’écart d’une partie d’elle-même. Je m’étais battu par le passé mais plus aujourd’hui. Je n’en avais plus la force. Je vivais plus sur le fil qu’autre chose, crevant de solitude dans mon coin où les rares instants de soleil étaient ceux partagés avec notre fils. « Je comprends mieux. Notre fils est déjà un tombeur hein ! » plaisantais-je mollement tandis que je dressais rapidement les œufs brouillés sur une assiette avec le bacon. J’étais devenu un afficionado des petits déjeuners américains. « Et tu vas faire quoi de ton temps libre ? Au fait, tu te rappelles de Mallo et Jeremiah ? Ils vont se marier dans quinze jours… Si ça te dit d’être ma cavalière, ça leur ferait plaisir»

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Ce n’était pas par pur désir d’éloigner les gens mais en l’occurrence, Caleb ne pouvait vraiment pas comprendre. Du moins plus… il fut un temps où Thaïs avait l’impression d’être en tort continuel à propos de ça mais désormais, ils n’avaient plus de comptes à se rendre et l’allemand n’avait plus besoin de s’inquiéter pour elle. « Tu n’as plus besoin de t’inquiéter pour moi Caleb » ne put-elle s’empêcher de dire, même si elle se mordit aussitôt la lèvre inférieure car elle ne voulait ni être cruelle ni vraiment le repousser. « Excuse-moi, c’était méchant. Je crois que je vais finir par prendre une boîte de somnifères pour arriver à fermer l’œil ça m’évitera d’être hargneuse. Pardon. » Thaïs était nerveuse, voilà la vérité. Cela se sentait dans ses gestes, dans ses paroles et même dans le ton de sa voix. Cette incertitude la bouffait vivante… même si la proposition de Caleb calma légèrement cet état de fait. « J’ai toujours gardé contact avec Mallo. Comment oublier quelqu’un qui porte le même prénom que ma mère ! Ceci dit oui, Raph est déjà un tombeur mais c’est un tombeur timide, très timide. » Thaïs se releva du siège où elle était assise pour mieux se rapprocher de Caleb, l’incitant à se tourner vers elle en plaçant sa main sur sa joue. « Je ne veux pas que tu te sentes obliger de m’inviter. Si ça te fais plaisir à toi avant tout, je viens avec joie. »
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« Je n’ai peut-être plus besoin mais ça ne veut pas dire que je n’en ai plus envie non plus » soupirais-je. Je savais bien que je n’avais plus mon mot à dire dans sa vie, que je n’étais nul autre que le géniteur de son fils. Je n’étais plus rien et ce constat me crevait le cœur mais je ne pouvais rien faire d’autres que fermer ma gueule. Le divorce, je l’avais voulu mais à l’époque, c’était la dernière tentative d’un homme qui ne savait plus quoi faire pour sauver son mariage. Un acte irréfléchi, désespéré qui le rongeait depuis lors. « Tu n’as pas à t’excuser, c’est juste plus fort que moi mais comme tu l’as justement fait remarquer, tu n’as plus aucun compte à me rendre pour ce qui est de ta vie. Tu es une grande fille Thaïs » marmonnais-je tandis que je profitais de ce moment pour l’inviter maladroitement au mariage d’un de mes amis et collègue. J’entendis le tabouret de Thais frotter contre le sol pour mieux la sentir s’approcher de moi jusqu’à ce qu’elle vienne caresser ma joue, comme au bon vieux temps. Machinalement, ma main vint se poser sur la sienne. « J’ai envie que tu viennes avec moi » avouais-je avant de me racler la gorge. « Il faut croire pour en revenir à Raph qu’il est aussi timide que toi et tombeur que moi »

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« Disons que je ne comprends pas pourquoi tu t’inquiètes » avoua-t-elle car après tout, il avait sa vie ici. Ce n’était peut-être pas parfait mais de nombreuses femmes devaient lui courir après, Thaïs n’en doutait pas. Cela lui faisait mal rien que de l’imaginer mais faire l’autruche ne l’aiderait pas à aller mieux. Alors si, elle voulait s’excuser pour lui faire comprendre qu’elle ne lui souhaitait aucun mal mais ne savait simplement pas comment réagir face à lui. Il lui semblait plus inaccessible encore que lors de leur rencontre et pourtant dieu sait combien l’irlandaise avait souffert de sa froideur. Finalement, c’est en suivant son instinct que Thaïs se sentit à nouveau bien, emplie d’une chaleur qu’elle avait crue éteinte à jamais. La raison ? Le simple fait de pouvoir le toucher et qu’il ait placé sa main contre la sienne. « Alors je viendrai » lui promit-elle d’une voix murmurante, sa respiration s’étant un tantinet accélérée tant elle était troublée. « Je crois qu’il vaut mieux ça que l’inverse parce que je n’ai jamais été douée pour draguer, oula non… » éclata-t-elle sincèrement de rire à cette pensée.
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« Parce que tu comptes énormément pour moi » répondis-je à défaut de pouvoir lui dire que je l’aimais toujours comme un dingue, qu’au début, j’avais essayé de succomber à d’autres bras avant de me rendre compte que l’acte n’était que machinal, que je n’y prenais aucun plaisir. Aussi, même si bon nombre de femmes continuaient à vouloir me fréquenter, j’avais toujours repoussé jusqu’à craquer pour cette avocate. Katia. Enfin, craquer, c’était surtout nerveusement, en étant en couple, je me disais que cela me permettrait de soupirer mais le résultat était qu’elle s’était révélée envahissante et briseuse de couille professionnelle. « Merci » murmurais-je avant de déposer un baiser au creux de sa paume. La tension sexuelle était à son comble et je la regardais avec un sourire amusé. « Va falloir que je lui donne des cours même si pour ma part, c’est le désert le plus complet » avouais-je sans aucune honte. Je n’avais rien à cacher et cela démontrait combien, je n’en avais rien à foutre de ma dernière relation.

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« Si tu savais… » murmura-t-elle d’une voix presque résignée car la situation était insoluble. Thaïs n’avait jamais cessé d’aimer Caleb et bien qu’elle ait tenté de ne plus penser à lui, de l’effacer de ses rêves les plus romantiques… rien n’y faisait. A chaque fois, son souvenir lui revenait en tête plus douloureux encore que les précédentes fois, et le cœur de l’irlandaise saignait à grands flots de ne pouvoir soulager sa peine immense. Ce fut sans doute la raison du long frisson lui parcourant l’échine suite au baiser qu’il déposa sur sa paume, lui arrachant une expression à la fois triste et touchée. Au départ, Thaïs ne sut pas exactement quoi faire de sa confidence, mais elle la touchait tout de même en plein cœur. « Il faudrait qu’on lui donne des cours tous les deux et qu’il décide lui-même de sa propre façon d’agir. » Mais subitement, la belle blonde n’y tint plus. Elle entoura le corps de Caleb de ses bras, le serrant contre elle comme si sa vie en dépendait, la respiration haletante, le corps tremblant. Quitte à se maudire d’ici quelques minutes, autant ne pas résister… car elle avait l’impression d’être à la maison.
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« Oui… » n’eues-je le temps de dire qu’elle ne vienne entourer ma nuque de ses bras pour mieux se serrer contre moi. Aussitôt, j’entourais sa taille de mes bras, la serrant davantage à mon contact, la tête plongée au creux de son cou, respirant son odeur. Je me sentais tellement bien à cet instant précis que je me sentis poussé des ailes, me reculant légèrement pour plonger mon regard dans le sien avant de céder à la tentation de l’embrasser passionnément, la repoussant lentement mais surement contre le réfrigérateur, une main sur sa joue, l’autre reposant sur sa taille mais celle-ci vint rapidement se retrouver sous son T-shirt pour caresser cette peau qui me manquait. A bout de souffle, je me reculais à nouveau. Qu’est-ce que j’avais fait ! C’était de la folie, elle allait m’en vouloir mais j’étais tellement attiré par elle, tellement amoureux que le moindre contact me donnait envie de bien plus. « Je suis désolé.. Je.. Excuse-moi, je n’aurais pas dû… Je veux dire, j’en ai envie mais je ne veux pas te faire subir ça.. Je tâcherai de contrôler mes pulsions » bafouillais-je légèrement en reculant, lui tournant le dos tandis que je passais mes mains dans mes cheveux. Bon sang, elle allait me prendre pour le pervers de base.

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Il l’avait embrassée. Il l’avait embrassée et Thaïs était tentée d’obtenir davantage, de retrouver leur proximité, leur intimité, leur amour qui s’écoulait dans leurs veines respectives depuis le moment où ils avaient posé le regard l’un sur l’autre. Celui-ci ne s’était pas éteint une seconde et face au baiser qu’il venait de lui donner, l’irlandaise en était désormais persuadée. Sa respiration était haletante et bien loin d’être offusquée par la présence des mains de Caleb sous son t-shirt, elle se sentait prête à faire de même… du moins l’aurait-elle fait s’il ne s’était pas subitement reculé, créant à nouveau un froid insupportable entre eux qui lui fit aussitôt froncer les sourcils. « Pourquoi tu t’excuses Caleb ? T’ai-je donné l’impression que j’allais te repousser ? » Thaïs ne s’emportait pas mais elle était visiblement blessée de ce rejet, surtout s’il en avait autant envie qu’elle… « Moi je ne suis pas désolée. En deux ans je n’ai laissé personne me toucher. Je ne veux pas de quelqu’un d’autre. Alors je sais, je piétine ma fierté en l’avouant mais bordel de merde j’en ai ma claque d’être misérable ! » Thaïs ne pleurait pas mais ses yeux brillaient. Elle avait mal. Mal d'être repoussée par le seul qu'elle pouvait bien désirer.
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Je craignais tellement d’avoir franchi une barrière, d’avoir commis l’irréparable, de l’avoir blessé par mon baiser que je m’excusais aussitôt avant de me retourner vers elle subitement face à sa confession. « Personne ? » murmurais-je comme si j’essayais de sonder son regard, son honnêteté. « Je pensais que.. enfin avec ton producteur à la con » marmonnais-je avant de prendre conscience que l’un comme l’autre, nous avions cessé de vivre deux ans auparavant et je n’en pouvais plus. Rien que par un seul baiser, j’avais atteint des sommets inégalés alors je n’osais penser au reste. D’ailleurs, je n’avais pas envie d’y penser, je voulais le vivre totalement, complétement. Aussi, je me rapprochais d’elle, prenant son visage entre mes mains pour mieux caresser ses joues d’un revers de mes pouces. « Je n’ai jamais pu.. Il n’y a toujours eu que toi » murmurais-je. Elle était la seule à me donner du plaisir, la seule à me donner cette impression d’être aimé. Sur ces mots, je l’embrassais tendrement, comme me réappropria en douceur de ce territoire qui avait été le miens. Puis, la passion reprit ses droits sur nous et le baiser devint bien plus exigeant, bien plus furieux tandis que je la soulevais dans mes bras pour la poser sur le plan de travail, mes mains lui enlevant son T-shirt.

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