Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Caleb) this is a complete nightmare...
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(+ Caleb) this is a complete nightmare...

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Cela faisait quelques jours déjà que Thaïs avait des doutes. Le comportement de Caleb était de plus en plus étrange, il était tantôt fuyant, tantôt colérique, lorsqu’il ne noyait pas tout simplement le poisson dans des excuses abracadabrantes… bref, la jolie blonde s’inquiétait et aujourd’hui, elle avait décidé de passer à la pêche aux indices. Durant une bonne heure, elle avait fouillé l’appartement de fond en comble, non sans mal, pour tomber sur un tombe de tubes de pilules proprement… effrayant. Par chance, ou malchance c’est selon, toutes les indications potentielles étaient marquées en braille et il ne lui avait fallut qu’un coup de fil à Anna pour découvrir le pot aux roses. Résultat, elle avait flanqué tous les tubes sur la table à manger, attendant que Caleb ne l’honore de sa présence. Elle venait d’ailleurs de tomber sur une nouvelle planque dans ses paires de chaussettes lorsqu’il passa la porte de leur appartement. « Ca fait combien de temps que tu me prends pour une conne ? » lança-t-elle d’un ton glacial alors qu’elle avait trois paires de chaussettes en main, toutes avec un tube dedans. « Tes examens hein… j’t’en foutrais ! Ca fait longtemps que tu te cames ? REPONDS CALEB ! »
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Mon quotidien était devenu un enfer sur Terre. Je n’arrivais presque plus à émerger et je ressentais de moins en moins les effets des médicaments me faisaient de l’effet me forçant à toujours en prendre davantage. Je savais que je devais arrêter avant de faire une connerie mais c’était comme si mon genou m’était arraché à vif sans anesthésie. La douleur était mentale, j’en avais bien conscience seulement je n’arrivais plus à raisonner convenablement, tout se mélangeait me rendant pire qu’une bombe à retardement. Ce soir, je rentrais de mes cours, Thaïs devait déjà surement m’attendre. Peut-être pourrions-nous aller au restaurant, je ne me sentais pas d’humeur à faire la cuisine mais elle ne semblait pas d’humeur pour rien vu l’accueil glacial qu’elle me réservait. « Ce n’est pas ce que tu crois » me défendis-je du mieux que je pouvais en voyant mes médocs sur la table. « J’ai juste mal au genou alors pas de quoi me faire une scène pour quelques médicaments ! » râlais-je « Tu dramatises toujours » soupirais-je en sentant poindre un mal de tête. Il fallait que je prenne un médoc pour me soulager.

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Thaïs écarquilla deux grands yeux surpris tandis que Caleb lui paraissait en plein déni. Là, c’était vraiment le pompon et hors de question qu’elle laisse passer une chose pareille. « Tu te fous de moi ? Je dramatise ? Tu as compté le nombre de tubes que tu te trimballes ? Sans parler du fait que beaucoup étaient cachés dans des endroits improbables comme dans tes chaussettes… mais oui, je suis conne, c’est tellement logique de planquer ses tubes de médocs !! Arrête de me prendre pour une conne au moins une fois dans ta vie ! » vociféra-t-elle, incapable de se calmer car là c’était trop grave. Ce n’était plus dramatiser… Caleb avait un problème, clairement. « Bordel Caleb mais on va avoir un gosse !! Tu pensais que ça allait durer combien de temps avant que je ne m’en rende compte hein ? Comment tu veux que je te fasse confiance si tu me mens sur un truc aussi grave ! »
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Elle n’avait pas gobé le mensonge que pouvais-je y faire ?! Pour une fois, je n’avais pas envie de me disputer avec elle mais Thaïs semblait décidée du contraire. J’étais fatigué avant l’heure. « Tu as fouillé mes affaires ? Je ne sais pas comment je dois le prendre, ça veut dire quoi, dès que je vais faire un pas de travers, Colombo va pointer son nez ? La confiance règne » rétorquais-je tout en prenant les tubes de médicaments pour les fourrer dans mon sac. « Je sais qu’on va avoir un gosse !! Bordel Thaïs, je ne suis pas con et je ne vois pas qu’est-ce que ça peut te foutre que je prenne un peu de médoc, je me bourre pas la gueule comme ton père à longueur de journée. La seule chose que je risque, c’est de ne plus avoir mal au genou. La belle affaire ! En fait, dans le fond, ça te plait de me faire passer pour un irresponsable, Thaïs la magnifique, Thaïs la parfaite que ce pauvre connard de Caleb fait souffrir ! Vas y, gueule un grand coup dans la rue que je suis le pire mari de l’existence et ne parlons même pas de mon rôle de père ! Nul à chier…. Limite, tu devrais me trouver un remplaçant si je suis si à la rue que tu ne sembles vouloir le dire »

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Thaïs n’eut même pas la volonté de lui dire qu’elle avait fouillé parce que justement, elle craignait quelque chose du genre… elle avait vu son père sombrer plus ou moins dans l’alcool et elle reconnaissait les réflexes, voilà pourquoi. Mais là, Caleb perdait complètement les pédales… tant et si bien qu’après son discours à donner envie à n’importe qui de lui arracher les yeux, ce fut une gifle monumentale qui partit toute seule, et autant dire que la jolie blonde y mit toutes ses forces. Des larmes coulaient déjà contre ses joues mais elle s’en moquait, car quelque chose s’était brisé en elle. « Pour info, mon père a faire une cure de désintoxication, il s’est soigné justement pour être là pour sa famille… je ne vais même pas répondre au fait que je puisse te remplacer ou pour tout ce que tu as dis parce que j’ose espérer que c’est la drogue qui parle et pas l’homme que j’ai épousé. Si tu veux continuer à te camer, très bien, fais-le, après tout tu es un grand garçon. Mais ce sera sans moi Caleb. » Thaïs déglutit avec difficulté et tourna les talons pour se rendre dans la chambre, où elle commença à faire un sac. S’il ne voulait pas réagir, il fallait bien qu’elle le fasse, pour protéger le bébé.
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« J’oubliais, le grand Sam ! Finalement, vous êtes des exemples à suivre, l’alcoolique repenti et la belle aveugle martyrisée par son mari hein » lâchais-je froidement en retenant ce réflexe primaire de me frotter la joue même si cette dernière chauffait plus que de raison. J’étais habitué à prendre des coups, ce n’est pas Thaïs qui allait me faire mal. De tout de manière, j’étais complétement anesthésié d’antidouleurs, la belle affaire. « C’est ça alors ? Tu te casses ? Finalement tu prends la première excuse pour te tirer. Je rentre plus dans le moule, le : je ne peux pas vivre sans toi Caleb est déjà terminé. T’es la seule dans cette pièce à me sortir cette histoire de drogue. Je prends des antidouleurs parce que j’ai mal au genou ! Il faut quoi, que je continue de danser dans la douleur ? C’est ça que tu veux ? Que je serre les dents, que je sois un homme, un vrai et pas une merde qui essaie un peu de soulager sa douleur. Enfin tu ne peux pas comprendre, madame a des principes… Et bien casses-toi si tu veux, rien à battre mais viens pas pleurer quand tu te rendras compte que tu as fait une connerie » lâchais-je avant de me rendre à nouveau dans le salon où je laissais exploser ma colère en balançant la télécommande en plein dans l’écran plasma, virant une chaise puis une deuxième. J’étais ivre de colère mais surtout fou de douleur. Elle m’abandonnait comme je l’avais prédit.

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Thaïs n’eut même pas le temps d’en placer une que déjà, Caleb se rendait dans la pièce d’à côté et balançant un objet de rage sur un autre sans que la jolie blonde ne sache quoi exactement. Elle eut néanmoins le cran de se rendre dans le salon, secouant à plusieurs reprises la tête de façon négative. « Mais à part ça tu prends juste des antidouleurs parce que tu as mal au genou !! Merde Caleb, c’est moi l’aveugle du couple pas toi, ouvre les yeux ! La moindre chose te fais péter une durite, tu es irritable pour rien, TU ES EN MANQUE NE T’EN DÉPLAISE ! Alors donne-moi une raison de rester, vas-y, je t’écoute ! Bah toi pour nous ! Parce que là, cette personne colérique que j’ai en face de moi, ce n’est pas l’homme dont je suis tombée amoureuse, pas l’homme que j’ai épousée ! Je veux mettre notre bébé à l’abri, car combien de temps cela va-t-il durer avant que ce soit contre moi que tu vas lever la main, hein ?! » Déjà la crampe qu’elle avait eue lors de leur précédente dispute la reprenait, la poussant à se crisper sur elle-même. Thaïs voulait se réveiller de ce cauchemar, à tout prix… mais pire, du sang s’écoulait maintenant entre ses jambes.
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« FOUS MOI LA PAIX AVEC TES LECONS DE MORALE MERDE » m’écriais-je dans un mouvement d’humeur. « Tu sais très bien quelles sont mes raisons, je t’aime qu’est-ce que tu veux que je te dise ?! Que je me mette à tes pieds pour te baiser les pieds comme un toutou ?! Je ne vais pas te supplier de rester si c’est ce que tu attends. Tu veux te barre, tu te barres et t’assume, ce n’est pas moi qui t’abandonne…C’est toi qui te tire ! Echange pas les rôles » terminais-je avant de me masser la nuque, partagé entre ma colère et l’envie de fondre sur elle pour l’embrasser, pour lui demander pardon, lui dire que je suis paumé, que je ne sais pas où j’en suis. Malheureusement mon regard fut rapidement attiré par une tache sombre qui commençait à se former à ses pieds. Mes yeux remontèrent jusqu’ à la source. « Thaïs » murmurais-je livide avant de me précipiter vers elle pour la soutenir. « J’appelle une ambulance ! » paniquais-je en appelant le 911. « Je suis désolé bébé… Tout va bien se passer, ils vont arriver ! »

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« Caleb… » Là, pour le coup, Thaïs était bien incapable de s’énerver ou même de répondre quoi que ce soit tant sa tête tournait telle une toupie. A vrai dire, avant de perdre connaissance, elle sentit simplement Caleb la soutenir en lui promettant que les secours allaient arriver mais rien d’autre. Pendant son inconscience, la jolie blonde fut effectivement emmenée aux urgences, où elle fut prise en charge sans attendre et heureusement : elle souffrait d’une importante hémorragie et les médecins mirent du temps avant d’en trouver la source et pouvoir les tirer d’affaire tous les deux, elle et le bébé. Ce n’est donc que bien plus tard que le médecin ayant pris en charge Thaïs s’avança auprès de Caleb. « L’hémorragie était importante et il n’aurait pas fallut que nous soyons intervenus cinq minutes plus tard, nous aurions été impuissants : celle-ci aurait pu les tuer. Nous avons heureusement trouvé la cause et sauvé la mère et l’enfant mais l’épreuve a été rude. Ne vous attardez pas à son chevet si vous sentez qu’elle fatigue. »
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« Je suis désolé Samuel… J’ai essayé… Thaïs.. » murmurais-je avant qu’il ne me mette une droite, le regard froid, me plaquant par la suite contre le mur de la salle d’attente. [i] « Si tu l’aimes dégage de sa vie maintenant avant de la tuer ! Soigne toi et peut-être que je te laisserai l’approcher pour que tu puisses votre ton enfant mais en attendant, je veux que tu quittes sa vie ! Je me fous de tes excuses, elles ne tiennent pas avec moi… Tu as failli tuer ma fille et mon petit-fils ou ma petite-fille »[/] lâcha-t-il froidement avant de me laisser seul dans cette pièce froide. Je me laissais glisser le long du mur en pleurant. Je me sentais minable, dégueulasse. Samuel avait raison, je ne méritais pas de rester près de Thaïs, pas dans cet état. Elle valait mieux qu’un junkie sur le retour. Le médecin arriva sur ces entre-faits et j’hochais la tête, les mains tremblantes. C’est ainsi que je me retrouvais dans sa chambre, n’osant presque pas la toucher ni même parler de peur de briser le silence, de la réveiller ou même de faire empirer son état. Les mots de son père n’avaient de cesse de me tourner dans la tête et peut-être avait-il raison. « Je suis désolé… Je suis vraiment désolé » pleurais-je à nouveau en prenant sa main dans les miennes.

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