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I know you need me { Madisson

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Si je lui avais posé cette question ce n’était pas juste pour combler le manque de conversation -quoi que ça se pourrait- Apparemment elle n’avait rien de prévu et le contraire m’aurait étonné. Au pire, elle aurait changé ses plans pour moi. Égoïste ? Peut-être bien, égocentrique ? Je ne crois pas. Je souriais, satisfait de sa réponse. « Moi non plus » J’aurais pu avoir des amis à aller voir ou autre, mais aucune fête était prévu et aucune gueule de bois risquait de foutre en l’air ma journée de demain. Certains étaient déjà à une fête, d’autres en vacance et avec l’absence d’électricité, se donner rendez-vous devenait compliqué. « So…on se fait une journée comme avant ? » Glander la plupart du temps, traîner dans les rues, rigoler et être nous quoi. Non, elle ne rêvait pas, c’était bel et bien une vraie proposition et nous étions loin d’être le premier avril.
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Double choc. Déjà, il m’annonçait qu’il n’avait rien de prévu, ce qui était totalement anormal et je crois que je ne pus pas cacher ma surprise. Lui qui sortait tout le temps à droite à gauche et qui à mille et unes choses à faire, il venait de me prendre au dépourvu. Cependant, je ne lui proposais rien, trop choquée. Pour le coup, il m’avait bien réveillé et la suite me fit me demander si je n’étais pas en plein rêve ou délire. Austin, mon Austin venait de me proposer de passer une journée ensemble. Alors là, heureusement que je m’étais déjà assise sinon je crois bien que je serais tombée sur le cul au sens littéral du terme. « Oh bah oui … Oui, oui, d’accord ! » Comme si j’allais être assez bête pour stupide. Quoique je ne savais pas si passer du temps avec lui ... Au diable tout ça ! J’avais envie de passer du temps avec lui et puis, c’est tout. C’était mon droit, d’ailleurs. Sentant un peu l’odeur de son joint, je souriais doucement. Discuter et dormir avec lui, passer la journée demain en sa compagnie, que rêver de mieux ? Évidemment, je priais pour qu’il ne change pas d’avis sinon … Je le prendrais mal, même si je reviendrais – comme une conne – vers lui. Mais bon, c’est ainsi. « Tu as une idée de quoi faire ou on verra sur le tas ? » Un endroit où manger, un lieu où aller … De toute façon, la plupart du temps, tout se faisait au feeling. Une seule envie me venait : un Starbucks Coffee ! Cela devait faire depuis la dernière fois que nous étions allés ensemble que je n’y avais pas mis les pieds. En clair, ça faisait très – trop – longtemps. Je savais aussi qu’il ne refuserait pas d’y aller, alors c’était tout bénéfique !
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Madisson n’avait pas l’air de s’en remettre ce qui était assez marrant. J’aimais bien l’à prendre au dépourvu et puisqu’elle m’avait collé une étiquette sur le front comme étant le mec jamais stable à toujours traîner à droite et à gauche -ce qui n’était pas faux- je pouvais comprendre l’effet de surprise. Par contre, il ne fallait pas m’en demander tant. « On verra sur le tas » Je l’avais toujours fait au feeling et cela même lorsque nous étions au collège. J’allais parfois l’à chercher à sa salle, à la fin de ses cours pour la kidnapper durant quelques heures afin d’aller s’empiffrer de pâtisserie à la boulangerie du coin tandis que nous amuserions à rendre fou les mioches du coin et à chercher les policiers. Bref, j’arrivais toujours à trouver de quoi m’occuper de toute façon et si vraiment j’avais un gros blanc, je pouvais toujours faire confiance à Madisson pour me faire par de ses idées.

Toujours avec mon joint, j’avais compris dans son regard qu’elle aurait bien aimé tirer une latte, mais elle avait compris dans le mien qu’il en était hors de question. Je savais ô combien ça pouvait l’énerver lorsque je prenais le rôle de grand-frère, mais il fallait bien que quelqu’un veille sur elle (a) Même s’il y avait mieux que moi pour ce rôle-là vu la mauvaise fréquentation que j’étais, mais je savais prendre soin des gens auxquels je tenais.
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Pendant quelques instants, j’imaginais un peu ce que l’on pourrait faire. Il venait de me dire que l’on verra bien demain et sa réponse me satisfaisait. J’espérais juste ne pas devoir l’attendre pendant des heures … En même temps, si l’on dort ensemble dehors, il n’avait pas d’excuses … Qu’importe. Baillant encore une fois, je me rappelais de certains de nos souvenirs. Nous n’avions jamais eu à planifier quoique ce soit. Lorsqu’on le faisait, on changeait tout très vite une fois que l’on se voyait. Enfin, je voulais retrouver un peu ça demain, mais ça, je ne parierais pas non plus. A chaque fois que l’on se voit, ça part plus ou moins en live, alors je n’espérais pas trop. Principe de précaution. Son regard réprobateur quand je regardais son joint m’exaspérait. Ce n’était pas comme si une fois allait me tuer. D’ailleurs, des études ont montré qu’une fois de temps en temps, ça pouvait être bénéfique. Puis, lui fumait vingt fois plus que moi, alors ce n’était pas juste ! « T’es pas marrant aussi parfois.. » soupirais-je tout bas. La prochaine fois qu’il y a une petite soirée comme ça, j’apporterais des trucs et comme ça, il n’aurait rien à dire, vu que ça m’appartient ! Encore, il serait capable de me les prendre ou – dans la situation présente – de tout balancer à l’eau. Sincèrement, je le tuerais pour faire ça, même s’il aurait raison. Si je venais à lui faire ça, il me ferait la peau sans hésitation, alors pourquoi la réciproque ne pourrait pas être faisable ? Enfin …
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C'était moi qui n'étais pas marrant ? Entre nous deux je devais être la personne la plus marrante et qui se prenait le moins la tête. « Pardon ? » Je m'étais tourné vers elle comme si je n'avais pas bien entendu ce qu'elle venait de me rire. L'hôpital qui se foutait de la charité. « C'est qui qui prend la mouche dès qu'on lui dit un truc ? Et arrête de vouloir faire ta rebelle ! » Je riais, car oui je me fichais un peu d'elle et histoire de la provoquer encore un petit peu, je crachais ma fumée grise juste devant elle, mais en faisant bien attention que celle-ci atterrisse vers les cieux pour ne pas empoisonner la demoiselle. Sinon ma morale n'avait aucun sens. « Je préserve ta santé, tu devrais t'estimer heureuse » Non mais c'était fou les gens qui se plaignaient de ne pas avoir de quoi se détruire la santé. Personnellement, je me sentirais flatté si quelqu'un venait à refuser à m'en passer. Ça voudrait dire que cette personne tient à moi. Ou bien qu'il est radin. Tout dépend le point de vue que tu prends.
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Oui, j’aurais du me taire pour le coup, mais c’était sorti tout seul. Evitant son regard, je m’attendais à la pire réprimande au monde. A la place, il riait tout en se foutant de moi. En même temps, je suis une fille, donc c’est normal que je prenne tout le temps la mouche, surtout avec ses piques. Ce n’est jamais plaisant, surtout pas en venant de la personne que l’on aime. Entendre le mot « rebelle » me fit quand même sourire. Sa fumée s’approchait de moi … mais elle s’élevait dans les airs sans que je ne puisse la respirer. Pauvre con. Il me provoque tellement tout le temps que je ne sais pas ce qu’il me retient de lui en remettre une. Pas envie, pas ce soir. « Ah oui ? Je devrais être heureuse ? » Mon pauvre Austin, tu m’as cherché, tu m’as trouvé. Rapidement, je lui piquais son joint et reculais vers l’eau. Non, je n’y toucherais pas. « Alors tu ne devrais pas avoir de problème au fait que je le foute à l’eau, vu que ça fait des années que je te dis que ce n’est pas bon » Tenant le joint du bout des doigts, j’étais prête à le lâcher à n’importe quel moment. C’était lui qui me provoquait, après tout, alors si je foutais en l’air sa drogue, il était censé être « heureux » que je m’intéresse – encore ! – à lui et plus particulièrement à sa santé, non ? Quel hypocrite si ce n’est pas le cas. Il m’avait cherché, il m’avait trouvé ! Me tenant près de l’eau, prête à foutre en l’air son petit joint, je souriais, victorieusement.
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Bien sûr qu'elle devait s'estimer heureuse ! Il ne manquerait plus qu'elle s'en plaint. Elles ne sont pas possible ces filles. Par contre, si je m'attendais à ce qu'elle se serve de mon excuse contre moi, j'en aurais cherché une autre. Je voyais mon joint m'échapper des mains et mon coeur venait de donner un grand coup dans ma poitrine en la voyant me menacer de le jeter à l'eau. « Ouais, mais moi on s'en fou » C'était la seule justification que j'avais trouvé sur le moment, m'approchant tout doucement de Madi' pour essayer de le récupérer. Me penchant doucement vers le bord pour m'en emparer, un cri s'échappa de ma bouche en le voyant tomber dans l'eau. Ma tête tourna tout doucement vers Madisson d'un air peu content. « Bon...pas le choix...va falloir que t'aille le chercher... » Elle avait l'air de savoir où je voulais en venir et même s'il n'y avait plus rien pour mon pauvre joint que je n'avais pas eu le temps de finir, je la pris dans mes bras avant de la balancer dans la rivière.
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Sa réplique me fit lever les yeux au ciel. Evidemment, lui peut se tuer la santé et mourir, ce n’est absolument pas grave. Quel con celui-là parfois. Toujours prête à lâcher sa précieuse drogue dans la rivière, je le regardais approcher de moi. « Non, justement, moi je ne m’en fous pas de toi » murmurais-je sans savoir s’il l’entendrait vraiment. A vrai dire, qu’il l’entende ou pas ne changerait rien. Il savait que je n’aimais pas tout ça, mais il le faisait quand même. Il n’en faisait qu’à sa tête et ce n’était pas nouveau. De toute façon, on ne peut pas vouloir voir la personne que l’on aime mourir. C’est le pire déchirement que l’on a au cœur de perdre celui pour qui l’on éprouve tant de sentiments. Je ne pourrais pas dire ce qui est le pire que de perdre celui que l’on considère comme l’homme de sa vie, son âme sœur ou une personne qui nous a aidé à grandir et qui nous a donné tout son amour. Le voyant se pencher près de moi – bien trop près d’ailleurs – je laissais échapper son joint. Voulu et non voulu à la fois, je ne pus que sourire en l’entendant crier. Pff, tout ça pour un truc qui le faisait mourir. Ses mots me paralysèrent. Attends, il n’est pas sérieux ! Son truc est mort en plus, noyé, fini, terminé ! Sentant ses bras autour de moi, je m’agrippais à lui pour l’entraîner dans ma chute dans l’eau. Ça lui reconnectera peut-être les neurones. Putain. L’eau est gelée et je peinais à remonter à la surface toute seule. Une fois fait, j’inspirais un grand bol d’air aussi froid que l’eau et je ne pus m’empêcher d’exploser de rire. « Tu avais raison, c’est froid et ça pue » riais-je sans cesser de nager pour ne pas couler. Je ne voyais même plus de trace son foutu joint. C’est décidé, je serais bientôt malade et ce serait entièrement sa faute !
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Je m'étais attendu qu'elle me lâche pour qu'elle tombe toute seule, mais non, elle s'agrippait. Pire qu'un Koala cette fille. Je m'étais senti tomber en même temps qu'elle et la chute m'avait bien réveillé là -au cas où nous serions en train de nous endormir- Putain ouais j'avais bien raison, l'eau était gelée ! Moi ne suis pas du genre frileux, là il n'en était rien, j'étais persuadé d'attraper la crève dans les jours qui allaient suivre et si je ne chopais rien d'autre avec, se serait un miracle vu comment l'eau était crade. « Gosh, pourquoi on est toujours obligé de se salir quand on se voit ? » A croire que c'était devenu une habitude. J'essayais de remettre tant bien que mal mes cheveux en arrière, car là, je n'arrivais même à voir Madisson qui se situait juste à côté de moi. Une fois mes cheveux -moins bouclé qu'avant- en arrière, je remarquais que ceux de Madi' n'était pas mieux et lâchais un petit rire. Déjà qu'elle n'avait pas bien chaud, mais là elle n'allait sans doute pas tarder à se transformer en glaçon. « Pourquoi tu m'as emmené avec toi ? C'était pas prévu ça ! » J'affichais un air assez outré, car oui, maintenant j'étais mouillé, décoiffé et j'avais froid. Rappelons-le que mon déguisement n'était pas des plus couverts.
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Si déjà il m’envoyait à l’eau pour une excuse stupide, autant qu’il vienne avec moi pour se rendre compte de sa connerie. Bien que je doute que ses quelques neurones – il est à Harvard, donc il en a sûrement quelques uns – puissent se regrouper et comprendre que sa réaction était idiot, je n’avais pas envie de le lâcher et au final, on se retrouvait tous les deux trempés. Pourquoi on se salit à chaque fois que l’on se voit ? Très bonne question, tiens, mais je ne savais pas quoi répondre à ça à part rire. Merde, je commençais à avoir bien froid en fait. Essayant de dompter mes cheveux pour voir quelque chose, je nageais un peu pour me réchauffer, mais je crois que c’était vraiment peine perdue. J’avais de plus en plus froid et sa remarque me fit sourire de plus belle. « Pour la même raison que tu m’as envoyé à l’eau pour un joint qui de toute façon est mort noyé » Tremblant doucement, j’avais déjà très froid et son air outrée me fit sourire un peu. Revenant vers le bord de la rivière, je m’extirpais de là. Bordel, je me les caillais vraiment. Assise au bord de l’eau, je soupirais, ayant vraiment froid. « Vu que cette eau pue et qu’il fait genre moins mille, je vais rentrer me doucher sinon je vais mourir d’une pneumonie à cause de toi » Oui, j’allais loin. J’aurais une grippe sûrement ou une énorme crève mais sûrement pas une maladie si grave. Mais si je pouvais le faire culpabiliser – après sa morale sur mon état de santé qu’il dégrade lui-même de la pire manière ! – ça me plaisait. Le regardant, d’humeur gentille et bienveillante, je lui proposais : « Tu viens avec moi ? On revient là après si tu veux » S’il avait tellement envie de rester ici, d’accord, mais je n’avais pas envie de mourir de froid et de puer je ne sais pas quoi jusqu’à demain. Vu qu’on pue les deux, je pourrais rester contre lui (a) mais quand même, j’avais bien envie d’une douche et d’un bon gros pull. Par contre … je n’avais pas d’habits pour lui. Il n’en avait pas déposé chez moi – que je sache – et je n’avais pas d’affaires d’hommes chez moi. C’était un peu logique en même temps : mon père ne venait pas ici, je n’avais pas de frères, ni de copains, ni d’ex, ni plu de meilleur ami. Enfin bref …
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