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I know you need me { Madisson

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Elle aimait me faire rappeler le fait que cela avait été sans mon consentement, moi qui aimais être maître de mes choix et de mes gestes. « J'étais consentant dans ma tête, sinon je t'aurais giflé » Direct, mais véridique. Et c'était aussi pour rassurer mon égo. J'avais finalement arrêté de rire, parce qu'il fallait bien s'arrêter un jour -surtout avant d'avoir des crampes d'estomacs- et puis mon envie de rire était passé, mais je lui laissait croire que c'était grâce à sa menace. Je ne m'étais quand même pas empêché de rouler les yeux jusqu'à apercevoir le ciel, d'une manière assez désespéré avant d'afficher un sourire amical.

La demoiselle avait repris de plus bel avec une question dont je ne m'attendais pas du tout. Je n'aurais jamais cru parler d'une de mes copies de psycho avec elle. Du moins plus maintenant. Au collège ce n'était pas rare que je me vante de mes bonnes notes sans avoir travaillé, histoire de l'énerver, mais elle ne se gênait pas à brandir ses copies dès qu'elle me dépassait. C'était une gentille petite guerre forte innocente. « dix-sept » J'étais satisfait de ma note, mais il est vrai qu'elle m'avait inconsciemment aidée -je ne lui dirais pas- et que notre pseudo conversation m'avait fort inspirée. Assez pour boucler ce devoir en moins de temps que je l'avais prévu.
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Me gifler ? Lui ? J’en doutais complètement. Pire d’ailleurs, je ne le croyais pas capable de faire ça. Comme s’il m’aurait rattrapé pour m’en mettre une pour un simple baiser qui de toute façon n’avait aucune signification pour lui … Puis de nous deux, c’était moi qui mettais les claques, pas lui. Cependant, je ne voulais pas rentrer dans cette discussion de ce côté-là. « Tu étais consentent à un baiser voler après une discussion de sourd ? Tu m’étonneras toujours, Da Silva » Il y avait disons trois chances sur quatre pour qu’il ne réponde pas à cela. Je ne savais parfois pas comment réagissait sa fierté à qui je ferais bien la peau, en y pensant bien. Un homme reste un homme et il ne dérogerait pas à la règle. De temps à autre, je me demandais comment était ses relations avec les autres personnes qu’il fréquente et je me rappelais à ce moment-là qu’il était préférable que je ne sache absolument rien. Rien du tout du tout !

Il me vint alors de parler de son devoir de notre fameuse discussion qui n’en fut pas vraiment une. Curieuse, j’avais bien envie de savoir combien il avait eu pour sa copie. Dix-sept. Oh mon dieu. Non pas que je doute de ses capacités, mais c’était une très bonne note quoi. Levant les yeux vers lui, je souriais, amusée avant de poser un bisou sur sa joue. « Tout le plaisir était pour moi » murmurais-je. Une façon de lui dire « de rien » au « merci » qu’il ne formulera jamais. Je n’étais pas dupe, je savais que je l’avais aidé, mais qu’il ne l’avoue pas ne me gênait pas. J’avais l’habitude. Une compétition des notes avait toujours un peu existé entre nous, mais c’était de bonne guerre. Après tout, je l’aidais régulièrement, donc ses notes étaient un peu les miennes au final (a)


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Ce n'était plus une surprise d'étonner la demoiselle. Je ne répondais pas à cette dernière phrase et non plus à sa remarque par rapport à ma note. Pour le tout, je me contentais d'afficher un simple sourire. Je n'allais pas admettre qu'en effet pour ce baiser elle m'avait prise par surprise et que je n'avais en rien donné mon consentement. D'ailleurs j'étais plutôt remonté ce jour-là et la pseudo discussion n'avait en rien aidée. Je n'allais non plus pas remercier Madisson de m'avoir aidée. Elle m'avait toujours beaucoup aidée dans mes devoirs notamment lorsque je l'appelais à trois heures du matin pour savoir s'il n'y avait pas une dissertation à rendre dans cinq heures. Grâce à elle -et à moi un peu, quand même- j'avais réussi mes années avec brio, empochant une bourse par la même occasion.

Je me laissais tomber en arrière afin de m'allonger. Le sol était loin d'être confortable, mais ça ferait amplement l'affaire -disons que j'avais connu pire-. Mon regard vers le ciel, on ne voyait ni étoiles, ni lune, juste quelques nuages par-ci, par là qui annonçait le mauvais temps d'aujourd'hui. Oui, je pouvais parler d'aujourd'hui, car il devait bien être minuit passé. J'avais rabattu mes deux mains sur mon torse et avais fermé durant quelques secondes les yeux. Ma tentative était bien tentée, mais ça n'allait pas être ce soir que j'allais trouver le sommeil. Oui, mes insomnies avaient tendances à me gaver parfois, mais ce soir je n'étais pas seul, alors j'aurais largement de quoi m'occuper. « T'as rien à me raconter là ? » Le mec qui ne peut pas s'empêcher de parler en avait marre de ce silence. Cela faisait près d'un mois que nous nous n'étions pas adressé la moindre parole, le moindre sms et le moindre regard, je voulais bien croire que sa vie n'était pas très palpitante, mais autrefois nous avions toujours un truc à se raconter. À moins que c'était moi qui parlais trop. Après, il est vrai que je ne voulais plus parler de ma vie avec Madisson et peut-être était-ce pareil de son côté. Après tout, nous n'étions plus amis.
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Voyant qu’il s’allongeait, je souris un peu, restant assise encore pour le moment, le regard perdu sur l’eau. Il n’avait rien répondu à ce que j’avais dit. Ça ne m’étonnait pas vraiment de sa part. Connaître aussi bien une personne apportait autant d’avantages que d’inconvénients. On pouvait prévoir à l’avance tout ce qui allait se passer et à la fois être surpris, déstabilisé même pour une futilité. Un regard vers lui me montrait mon ancien meilleur ami les deux mains sur son torse, les yeux fermés. Endormi ? J’en doutais. Il n’avait jamais été du genre à s’ombrer aussi facilement dans le sommeil et encore moins à dormir réellement. Ses insomnies n’avaient jamais été simples pour moi à gérer mais je m’y étais faite. Lorsqu’il me réveillait en pleine nuit pour savoir un devoir, lorsque nous passions la nuit ensemble, etc.. Je dormais toujours en classe le lendemain alors que lui pétait le feu. « Tu veux que je te parle d’une amie ? D’une soirée avec les Cabots ? De mon dernier devoir de philo ? » Evidemment, je me foutais un peu de lui. Je doutais qu’un seul élément de cette petite liste l’intéresse vraiment. En tout cas, s’il pensait que j’allais lui retourner la question, il pouvait rêver. Je ne voulais absolument rien savoir. Filles, conneries, soirées, je préférais être une ignorante. Moins on en sait, mieux on se porte parfois. Avec lui, cela s’appliquait complètement et s’il commençait à me raconter quoique ce soit, je posais ma main ou mes lèvres sur sa bouche pour qu’il se taise. Facile et rapide. Avec le baiser, j’avais l’espoir de lui faire penser à autre chose et donc qu’il ne revienne pas sur le sujet. Pour le moment, je n’avais pas croisé une seule personne qui le connaissait et qui pourrait me raconter certaines choses qui me déplairait énormément. Peut-être est-ce la raison pour laquelle je devais me faire à l’idée que nous ne pourrions jamais être ensemble. Nous étions trop différents, même si nos similitudes nous poussaient à être proche. L’ignorance de sa vie me convenait complètement avec notre nouvelle relation.


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Je sentais bien le ton de sa voix devenir moins agréable. Elle était clairement en train de se foutre de ma gueule et je réalisais que nous n'avions plus rien à nous dire en fait. Je tombais de bien haut et ça faisait assez mal de réaliser que la communication entre nous était réellement coupé. Car oui, je n'oubliais pas les fois où je m'étais confié à Madisson -seule personne à qui je me confiais réellement puisque j'aimais bien paraître pour le mec sans problème et totalement insensible- « Tu sais quoi ? En fait je préférais quand tu taisais » je lui affichais un grand sourire avant de sortir une boite de ma poche où se trouvait un joint d'avance. Il me permettrait de m'écraser sans trop me faire mal. Je l'allumais à l'aide de mon briquet qui avait été fort utile dans le palais de glace et en sorti une longue fumée grise. Voilà qui faisait du bien. Suite à ma phrase, je restais on ne peut plus silencieux, le regard dans le vague, toujours posé sur le ciel, joins au bec.
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Pourquoi devrais-je toujours être agréable avec lui alors qu’il se permet de me lancer des piques ? Chacun son tour, après tout. Evidemment, c’était toujours moi qui perdais et qui m’excusais au final pour revenir près de lui. Une habitude comme une autre, après tout. Sa réponse me fit serrer les dents. Super sympa. Bon, si c’était ce qu’il voulait, je n’allais pas gâcher ma salive alors qu’il ne voulait pas m’écouter. A la place, je le regardais sortir un joint et commencer à le fumer. Mon regard se détacha rapidement de lui. Il y avait ce « nous », mais il ne définissait rien. Rien du tout. Soupirant doucement, peut-être que j’allais renter finalement. De toute façon, que je sois là ou pas, il s’en foutait. En plus, si je ne pouvais même plus parler, quel intérêt ? Me levant doucement, j’époussetais mes affaires pour qu’elles ne soient pas sales. « Puisqu’on a rien à se dire, je te laisse en amoureux avec ton joint. Je me sens de trop » Fâchée ? Peut-être un peu. En même temps, il n’y avait rien à faire et le vent commençait à se lever un peu trop à mon goût. Soufflant doucement, je tournais les talons pour m’en aller. Il ne me rattraperait pas vu la façon dont je lui avais parlé et sa foutue fierté à la con. Autant rentrer chez moi, prendre une petite douche et m’envelopper dans mes draps. Choisir de ne pas rester avec lui me faisait mal, mais vu qu’il a décidé d’être encore et toujours un con, autant être seule que mal accompagnée.


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Je fronçais les sourcils en la voyant se lever et dépoussiérer son jean. Était-elle sérieuse ? Apparemment oui vu qu'elle s'éloignait de moi en tournant des talons. « Ouais, partir c'Est-ce que tu sais faire de mieux » Je faisais allusion-là à la manière dont je m'étais rendu compte qu'elle avait déserté notre ancienne ville sans me prévenir. Moi, rancunier ? À peine ! Je soupirais, recrachant par la même occasion une seconde fumée grise. « Donc tu vas faire quoi ? Rentrer chez toi, aller te coucher avec une boule au ventre en te disant que de toute manière ton con d'ancien meilleur ami ne ressentira jamais les mêmes choses que toi ?! » Je ne faisais que retranscrire ses pensées. Loin de là l'idée que je puisse me trouver con. « T'aimerais quoi Madi ? Dit le moi franchement ! Qu'on oublie tous, qu'on sorte ensemble ?! » J'avais essayé de rester calme, mais elle me savait impulsif alors pourquoi bordel de merde elle jouait avec mes nerfs ?! « Je vais être sincère avec toi Madi', alors regarde moi bien dans les yeux » A présent debout, je me tenais face à elle afin de la forcer à me regarder. « Tu sais très bien au fond de toi que je voudrais toujours que ton bien, alors stipulais arrête de penser à moi parce que jsuis pas un mec pour toi, tu vaux beaucoup mieux que moi et tout ce que je réussirais à te faire au final c'est te blesser ok ? » J'espérais qu'elle avait bien ancré mes paroles dans sa tête, car ce n'était pas tous les jours que je parlais de cette manière et même si ça ne se voyait pas forcément -peut-être même qu'elle ne le remarquera même pas- mais j'avais essayé de mettre un peu ma fierté de côté pour lui parler avec le coeur.
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Ses premières paroles ne me touchèrent pas. Si j’avais envie de partir, je le faisais. Que ce soit lorsque lui avait mis fin à notre couple ou parce qu’il y avait un dialogue de sourd. Ce soir, c’était parce qu’il m’avait dit de la fermer, alors je ne voyais pas pourquoi je devrais lui tenir compagnie. Faire la plante verte, ce n’était pas mon truc. Plus il parlait, moins je me sentais bien. Bien sûr que je savais que ce con n’aurait jamais les mêmes sentiments que moi. Il n’était vraiment pas obligé d’en rajouter une couche. A quoi joue-t-il ?! Le fait qu’il dise aussi facile de présenter le « on oublie tout et on ressort ensemble » me fit froncer les sourcils. Connard. Debout, face à moi, j’attendais la suite de ses paroles, sachant très bien que ça n’allait être rien de tendre. Au début, ses mots me firent comme l’effet d’un coup de couteau en plein cœur. Cette image est souvent prise et je trouve qu’elle me correspond tout à fait en ce moment même. Ne quittant pas son regard, je le laissais finir. C’était moi ou il avait parlé avec son cœur ? J’avais du rêvé, je crois. « Je t’aime, Austin. Malgré tout ce qu’il s’est passé jusqu’à maintenant, je n’ai jamais cessé d’avoir des sentiments pour toi. Je sais que tu penses à mon bien, je le pense aussi pour toi. Mais tu ne peux pas me dire que tu n’es pas un mec bien et que je vaux mieux, ou que je mérite mieux. Même si tu me blesses, je ne peux pas faire autrement. Je suis amoureuse de toi, ça m’est tombé dessus comme ça et je ne peux pas lutter contre. J’ai essayé, mais je n’y arrive pas … » Il ne ressentirait jamais ça, nous ne sortirons jamais ensemble et je ne cesserais peut-être jamais de partir dans des situations comme celle-ci, mais il ne pouvait pas croire qu’avec ses paroles, je l’oublierais d’un coup. Je crois bien qu’il pourrait me secouer, me foutre à l’eau, me frapper contre un arbre, me lobotomiser, me torturer … je l’aimerais encore. C’est tellement stupide, mais je pense que lorsque l’on tombe sur une personne que l’on juge être son âme sœur, on ne peut pas s’en débarrasser. Peu importe les merdes qui viennent barrés la route, on s’obstine à y croire. Ça fait mal, tellement mal que personne ne peut comprendre. Tout le monde essaye de vous raisonner, mais en vain.


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Je m'attendais à n'importe quoi comme réaction de sa part, même à une gifle la connaissant. Ne sentant aucune douleur dans ma joue droite comme dans ma joue gauche, je supposais qu'elle n'avait pas levé la main sur moi. Une chance, car cela en devenait lassant à force. Je l'a laissais parler afin de savoir ce qu'elle avait à me dire et j'étais bien conscient de tout ce qu'elle m'avouait. Le fait qu'elle m'aimait n'était un secret pour personne. « Mais je ne suis pas un mec bien Madi, je l'ai jamais été, je tai toujours traîné dans la merde et je ne suis même pas sûr d'être digne de ton amitié, alors de ton amour n'en parlons même pas » Je marquais une courte pause avant de reprendre. « Ouais viola c'est dit, jsuis pas digne de ton amitié , alors peut-être qu'on n'aurait jamais dû se revoir comme ça, ça t'aurais évité de souffrir, car bordel tu passe à côté de pleins de choses » Et c'était bien vrai. En plein dans mes paroles, je me rendais compte que j'avais consumé mon joint à une vitesse hallucinante. J'affichais de grands yeux en le voyant déjà fini, avant de le jeter par terre.
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A nouveau, j’avais l’impression de parler à un mur. Il disait sans cesse qu’il n’était pas une bonne personne et que je méritais mieux. Sauf que ça ne changerait toujours rien. Levant les yeux au ciel, je ne savais pas pourquoi il essayait de m’influencer, de me persuader autant que l’amitié et l’amour était voué à l’échec et que je passais à côté de pleins de choses. Il n’avait toujours rien compris. Peut-on en vouloir à une personne qui ne peut pas comprendre et/ou accepter que l’on a besoin d’elle pour continuer à vivre ? L’attachement est une incitation à la douleur, mais c’était trop tard pour y penser désormais. « J’en ai rien à faire, Austin. Même si tu m’as attiré dans des merdes pas possibles, je m’en tape. Tu me dis que tu ne mérites pas l’amitié ou l’amour, mais est-ce que tu as seulement essayé de mettre ta putain de fierté de côté pour ressentir ça ? » Autant parler de ce qui ne va pas et qu’on en parle plus après. Fermant un instant les yeux, je me mordais l’intérieur des joues pour ne pas craquer devant lui. Hors de questions de pleurer, pas ce soir. « Que je sois proche ou loin de toi, je souffre. C’est comme ça. On y peut rien » dis-je en rouvrant les yeux sur lui. « Je ne me prive pas pour toi. Si j’ai envie de faire la fête, que tu sois là ou non, j’y vais. Si j’ai envie de faire une connerie, idem. Je ne passe à côté de rien » Après qu’il est lâché son joint, je soupirais doucement, rassemblant tout mon courage pour finir par lui dire : « Mais si tout ça est une façon de me dire que tu ne veux plus de moi dans ta vie, que tu préfères faire comme si l’on ne s’était jamais connu ou revu, tu n’as qu’à me dire droit dans les yeux que tu veux que je parte » Non, je ne jouais pas une tragédie, mais à force de tourner autour du pot, autant que ce soit clair. Le « nous » est peut-être trop fragile pour jouer la comédie encore longtemps. Il savait ce que je ressentais pour lui et s’il ne ressentait ni la même chose et qu’en plus, il estimait que rester avec lui n’est pas une bonne idée, soit, je partirais. Après tout, j’en souffrirais juste pendant quoi, quelques mois. Comme si ça comptait pour lui. Parfois je me demandais s’il avait déjà essayé d’avoir des amis, des vrais. Pas ceux avec qui on fait la fête avec ceux avec qui on parle, on échange, etc. Je n’en avais pas souvenir. C’était encore pire pour l’amour. Mais je n’avais pas à le juger. S’il ne voulait plus me voir, il avait l’occasion en or de me le faire comprendre et même si c’est stupide de lui donner le choix, peut-être étais-ce mieux ainsi.


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