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After
creepy moments.
Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était puisque mon portable avait rendu lame dans le palais des glaces et je n'avais jamais eu l'idée de mettre une montre au cas où quelque chose de ce type-là m'arriverait. Cela devait faire au moins trois heures que nous avions été enfermé là dedans le soir d'halloween frôlant à plusieurs reprises la crise cardiaque, mais nous nous en étions sorti indemne ce qui était une belle victoire. Nous avions pu rencontrer des personnes sympathiques, la plupart des filles en détresses pour mon plus grand plaisir, mais c'était à présent là, devant le palais, que les chemins de tout le monde allaient se séparer. Certains avaient d'autres choses de prévus, certains des rendez-vous à des fêtes, d'autres chez-eux. Personnellement, comme je l'avais si bien dit, je n'avais pas l'intention de me cloîtrer chez moi par une soirée pareille qui avait si bien commencée. Oui, je l'avais trouvée on ne peut plus drôle.
Madisson m'avait bien fait comprendre qu'elle voulait finir la soirée avec moi et ma foi, je n'y voyais aucun inconvénient malgré la dernière conversation de sourd que nous avions échangé, mais aussi depuis le baiser qu'elle m'avait donné avant de s'en aller telle une voleuse. Voilà présent de bonnes minutes que nous marchions dans le silence -pour une fois- jusqu'à une destination qui lui était totalement inconnue. En effet, depuis tout à l'heure elle me suivait comme mon ombre -j'aurais pu l'emmener n'importe où en fait- mais je m'étais arrêté à la petite rivière de Cambridge que je trouvais apaisante. Je m'asseyais au rebord de celle-ci avant de m'adresser à Madisson. « ça va, tu te remets de tes émotions ? » Moi, me moquer d'elle ? Jamais voyons !
Madisson m'avait bien fait comprendre qu'elle voulait finir la soirée avec moi et ma foi, je n'y voyais aucun inconvénient malgré la dernière conversation de sourd que nous avions échangé, mais aussi depuis le baiser qu'elle m'avait donné avant de s'en aller telle une voleuse. Voilà présent de bonnes minutes que nous marchions dans le silence -pour une fois- jusqu'à une destination qui lui était totalement inconnue. En effet, depuis tout à l'heure elle me suivait comme mon ombre -j'aurais pu l'emmener n'importe où en fait- mais je m'étais arrêté à la petite rivière de Cambridge que je trouvais apaisante. Je m'asseyais au rebord de celle-ci avant de m'adresser à Madisson. « ça va, tu te remets de tes émotions ? » Moi, me moquer d'elle ? Jamais voyons !
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