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I know you need me { Madisson

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Je me serais attendu à tous, mais pas à ça. Par à ce qu'elle rigole. J'avais tout d'abord froncer les sourcils afin de comprendre, mais il n'y avait rien à comprendre. « Tsais que je peux te pousser dans l'eau si t'arrête pas ? » Ayant plus de force qu'elle, il me suffirait de bouger mon bras un peu trop violemment pour qu'elle finisse accidentellement dans la rivière. Elle m'en savait capable alors à moins qu'elle avait l'intention de finir sa soirée trempée -et cette fois-ci je ne l'accompagnerais pas chez elle pour qu'elle se change- je lui conseillais de cesser de glousser. Ce qu'elle avait fini par faire en lâchant un simple « d'accord » auquel je me contentais.

Le calme était à nouveau revenu et je sentais le regard de Madisson posé sur moi. « Tu pensais qu'on était quoi ? » Après tout si elle avait rigolé en fin de compte c'était qu'il y avait une bonne raison et puis il fallait bien que je reprenne la parole, car tout ce silence allait finir par me rendre fou ! S'il y a bien une chose que je déteste le plus au monde c'était le calme, le silence qui me faisait très clairement comprendre qu'en gros, on n'avait rien à se dire et qu'on se faisait royalement chier, par conséquent il valait mieux rentrer plutôt que de rester-là comme de glandues perdus au milieu de nulle part. La situation était plutôt bien résumée, mais n'ayant pas l'intention de rentrer et étant surtout trop bavard, le calme ne régnait jamais très longtemps avec moi dans les parages.
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Me pousser dans l’eau ? A vrai dire, il ne se gênerait pas s’il voulait vraiment me mettre dedans. Il faisait très froid, mais ça ne devrait pas l’arrêter. Heureusement pour moi, j’avais arrêté de rire et sa menace ne devrait pas être mise à exécution. Ça m’éviterait d’être malade. Sa réponse m’avait vraiment fait bizarre. « Flirt ». Ce mot me semblait peu approprié mais s’il avait définit ce que ça représentait pour lui, il devait se comprendre. Le regardant, il me retournait la question. Moi qui pensais qu’il s’en fichait de ce que je pensais. L’envie de lui répondre comme lui – « je ne sais pas » – me plairait bien, mais je risquais de finir à l’eau pour de bon. Sans façon. « Vu la situation, je ne pense pas qu’il y ait de mots connus pour décrire ce que nous sommes l’un pour l’autre » dis-je doucement sans cesser de le regarder. La lune l’éclairait un peu et je pouvais détailler son visage. « Nous ne sommes pas des amis, ni meilleurs amis, ni en couple, ni sexfriends, et je me sens rassurée que tu ne me prennes pas pour un plan cul » Souriant un peu, je reposais ma joue sur lui. Je n’avais pas franchement répondu à sa question, mais je n’avais aucune réponse à proprement parler.

Enroulant mes bras autour de mes jambes, je fermais les yeux. Même si notre conversation et notre situation n’avait rien de superbe, c’était toujours mieux que rien. Dans d’autres circonstances, j’aurais aimé que ce soit un moment romantique, mais je devais me faire une raison au plus vite. « Nous sommes juste " nous " et … voilà » Après tout, notre relation n’avait jamais été banale. Meilleurs amis, puis en couple et depuis, rien n’est simple. Notre amitié ne l’avait jamais été et ce que le " nous " représentait désormais à mes yeux ne l’est pas non plus. Pour autant, je ne cessais de l’aimer et de revenir à chaque fois vers lui. Peu importe ce qu’il fait ou ce qu’il dit, je ne pouvais plus m’éloigner de lui. Nous allions devoir nous supporter encore longtemps, je pense. (a)


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Je ne pouvais m'empêcher de sourire en entendant toutes les propositions -bien vite éliminées- qu'elle avait faite. Plan cul ? Je n'y avais même pas songé, car au fond, je respectais bien trop Madisson pour l'appeler dès que l'envie de baiser me prenais. Sexe friends au pire du pire, pourquoi quoi pas, car on réussissait à assembler l'amitié et le cul dedans -ce que nous avions fait il y a plus d'un mois de cela en se disant que nous étions redevenus meilleurs amis- Mais elle n'avait pas tort, à l'heure actuelle, ils nous état impossible de mettre un mot sur notre relation, ou alors il faudrait carrément en inventer un. Le fait d'être un simple « nous » était déjà bien et ça nous correspondait totalement. Après tout, depuis qu'on se connait nous formions un « nous » totalement invincible -et je devrais arrêter d'être nostalgique- « Un nous ? Ça me convient totalement ! » genre elle m'avait donné mon avis ? Non. Mais c'était pour lui faire comprendre qu'effectivement, je voyais la situation exactement comme elle. « C'est mieux que rien » Oui, on aurait aussi pu décider de n'être plus rien l'un pour l'autre. Ce qui, je pense, aurait été pire pour Madisson. Moi et ma fierté, on s'en serait sans doute vite remis.
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Il ne changerait pas. Je ne lui avais pas demandé son avis, mais il me le donnait quand même. A vrai dire, même si ça ne lui avait pas plus, ça aurait été la même chose. Mais bon, il était comme ça et ça restera sûrement ainsi pour toujours. Avait-il oublié le mot « flirt » ? Peut-être. Même s’il avait toujours aimé mener la danse, j’avais de bonnes idées et il lui arrivait de l’admettre. Ou de se les approprier de temps en temps, mais bon, ça m’était égal au final. Mieux que rien, sûrement oui. Dommage pour moi que ça ne soit pas ce à quoi j’ai aspiré lorsque nous étions ensemble. Des beaux rêves qui s’étaient effondrés rapidement et brutalement. « Oui, c’est mieux que rien » Autant aller dans son sens, comme toujours. Soufflant doucement, quelques questions traînaient dans ma tête. Allons-nous être proches, coucher ensemble, etc.. Souriant pour moi-même, je me balayais toutes ces pensées de ma tête en repensant à « nous ». Ce qu’il y avait de bien avec notre relation, c’était que malgré nos disputes et tout ça, on vivait le moment présent. La vie continuait, peu importe ce qu’il se passe.

Contre lui, je me sentais vraiment bien et personne ne m’avait jamais fait ressentir ce sentiment à part lui. Le fait qu’une seule personne me rende aussi heureuse me faisait mal parfois, mais je m’y habituerais à nouveau. Comme avant. « On dort toujours ensemble cette nuit ? » murmurais-je doucement. Une fois la discussion enclenchée, je préférais parler plutôt que de laisser le grand silence tout couper. Je savais aussi que lui n’aimait pas trop ça, alors autant combler le calme de cette nuit. Puis, nous avions convenu ce que nous étions l’un pour l’autre – sans vraiment le faire, à la fois – alors autant lui demander ce qu’il se passe dans un futur très proche. Ce qu’il se passerait demain, les prochains jours ou dans un mois, ça n’avait pas de logique avec lui. Il ne le savait sûrement même pas lui-même et je ne voulais pas me retrouver en face d’un espoir. Après tout, il faisait ce qu’il voulait – comme il l’avait toujours fait – donc nous verrions plus tard pour une prochaine rencontre.

Un léger coup de vent me fit frissonner. Parfois j’oubliais que l’hiver n’était pas loin et donc que le froid allait bientôt recouvrir la ville pour de bon. Me collant à lui, j’avais besoin d’avoir un peu chaud. Puis, comme ça il ne pourrait pas me jeter à l’eau – s’il avait encore l’idée en tête. Ayant envie de bouger un peu, pour avoir chaud, je ne voulais pas me retirer de son étreinte pour autant. Levant les yeux vers lui à nouveau, je savais qu’il avait tiré un trait sur ce qu’il s’était passé et qu’il ne m’en tenait plus rigueur. Alors tout en douceur, je venais poser mes lèvres sur sa joue. Il l’interprétait comme il le voudrait. Je tenais tellement à lui. Me rasseyant bien correctement en me collant à lui, je souriais de plus belle. J’espérais que rien ne change plus et ne plus trop m’éloigner de lui, désormais.


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Elle confirmait mes paroles et j'étais heureux que cela lui suffise. Ou bien elle préférait clore le sujet une bonne fois pour toute et ne pas en rajouter afin de ne pas souffrir encore. J'étais conscient que la demoiselle n'était plus au mieux de sa forme depuis que je l'avais remballé sévère il y a quelques années de cela et la situation devait être dix fois pire depuis que nos chemins c'étaient recroisés. Je ne pouvais pas prétendre savoir ce qu'elle ressentait, car je n'en avais aucune idée tout simplement. Je ne m'étais jamais senti mal -si on ne comptait pas les lendemains de soirée- et je n'avais jamais eu le coeur brisé. D'ailleurs avais-je déjà été amoureux. Je connaissais bien évidemment la réponse à ma question, mais c'était tellement une faiblesse et un manque de personnalité sévère, que je ne préférais même pas y penser.

« Comme tu veux » Je n'allais pas le forcer à dormir avec moi. Je lui avais proposé, car elle m'avait très clairement fait comprendre qu'il lui serait incapable de fermer l'oeil de la nuit après ces évènements au palais des glaces, mais si elle se sentait mieux, je n'allais pas l'enchaîner à un rocher. « Dans tous les cas moi je resterais ici » Et si Madisson voulait rester avec moi je n'y voyais aucune objection. « Si tu n'as pas peur de te faire manger durant la nuit » Je faisais allusion à mon déguisement de mort vivant/vampire assez terrifiant et en rigolais. Je l'a sentais frissonner et c'est vrai qu'il ne faisait pas chaud. Malgré mes vêtements à moitié déchiré, je n'avais pas spécialement froid et je jugeais que c'était mon rôle de la réchauffer, mais je ne pouvais pas lui passer une veste que je n'avais pas. Je me contentais de la serrer contre moi. « En fait vaudrais mieux que tu rentre au chaud peut-être »
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Le choix me revenait de droit et de toute façon, j’avais déjà choisi. « Je reste alors » souriais-je un peu. Je me doutais qu’il ne partirait pas de là et vu comment je suis bien calée ici à ses côtés, je n’avais pas vraiment envie de rentrer chez moi. Sa déclaration me fit rire doucement. Alors tout naturellement, je lui répondis ce que je pensais : « Je n’ai pas peur de toi. Puis je préfère être ici avec toi que seule chez moi » Comme si son costume pouvait me faire peur. C’était bien tout le contraire – il était terriblement sexy, mais je garderais ma pensée pour moi. Il devait de toute façon savoir ce que je pensais de lui. Il lisait en moi comme dans un livre ouvert, je ne pouvais rien lui cacher. Par la suite, j’avais émis un frisson à cause du petit vent qui venait de s’infiltrer sous mes vêtements. Le sentant me serrer contre lui, je ne râlerais pas finalement d’avoir un peu froid. « Peut-être oui, mais je n’en ai pas envie » Têtue ? Bornée ? Oui. Tout comme lui d’ailleurs. Je ne voulais pas être seule dans le noir chez moi alors même si je pouvais avoir un peu froid, ça m’importait très peu. Être proche de lui me suffisait à avoir chaud, donc du moment qu’il me serre dans ses bras, tout ira bien.

Mes yeux se fermèrent tout en douceur alors que je restais collée contre lui, souriant de bien être. Nous avions mis les choses à plat et malgré les questions qui gravitaient dans ma tête, je m’en fichais. Tout ce que je voulais, c’était d’être avec lui. Ce qui était le cas. De toute façon, sans électricité, il n’y avait pas grand-chose à faire. Une vague pensée jaillit, mais je préférais ne pas y penser. Coucher à nouveau avec lui n’était pas une bonne idée. A la place, j’avais envie de faire une petite folie. Après tout, c’est lui qui avait parler de me jeter à l’eau alors … « Tu penses que l’eau est bonne ? » Un bain de minuit en automne. Stupide, inconscient, imprudent. Mais après tout, s’il m’avait menacé de m’y mettre, c’était qu’il n’y avait pas de danger de tomber malade. Non ?


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Bon, le froid n'avait pas l'air de lui faire peur et de lui donner envie de partir. Tant mieux, au moins je ne resterais pas le reste de la soirée tout seul au bord de cette rivière. Rivière dans laquelle elle avait prévu de se jeter alors qu'il y a à peine quelques secondes elle était en train de trembler, frigorifiée contre moi -elle l'était toujours d'ailleurs- « Je pense qu'elle est gelée et polluée » Si j'avais eu pour idée de l'à jeter dedans auparavant c'était dans l'unique but de la faire chier et de lui faire les pieds. Si elle avait été bonne, tiède à point, ça n'aurait pas été marrant. « Mais tu peux vérifier par toi-même si tu veux » Mes mains sur ses épaules, je l'a poussais légèrement en avant pour lui faire croire que je comptais bien la jeter, mais c'était bien entendu juste pour lui faire, car je n'avais pu m'empêcher de rire en voyant sa tête. Si elle comptait faire un bain de minuit -à minuit passé- grand bien lui fasse, mais je savais que cette rivière était surtout connue pour être très polluée.
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Plus je regardais l’eau, plus j’avais envie d’y aller. A croire qu’il pouvait me dire de sauter d’un pont ou du haut d’un immeuble, je le ferais. Alors je lui avais demandé s’il pensait que la température était bonne. Sa réponse me fit faire la moue. Gelée, d’accord, mais polluée, je ne pensais pas. Lorsqu’il me dit que je pouvais vérifier par moi-même, je souris avant de le perdre complètement en me sentant partir en avant à cause de lui. Me redressant, je ne voulais pas tomber à l’eau après ce qu’il venait de me dire. Tournant la tête, un peu paniquée, je le vis rire. Idiot, pensais-je. Ne voulant pas tomber toute seule, je sautais sur lui, enlaçant mes bras autour de sa nuque pour qu’il arrête de m’embêter. « ça te fait rire hein » Fronçant les sourcils, je soupirais en restant collé à lui comme ça. Qu’il n’ose même pas se plaindre ! « Arrête de rire sinon … je t’embrasse ! » Ma conscience me réprima d’avoir sorti une telle connerie. En même temps, c’était le premier truc qui m’était venu et puis … vu qu’il s’arrêtait très peu quand il décidait de se foutre de moi, c’était bénéfique pour moi de l’embrasser. Ça me permettrait aussi de savoir où notre « nous » avait des limites.

Desserrant ma prise sur lui, je remarquais que je me trouvais à califourchon sur lui. Oui, je me demandais de plus en plus si mon corps ne faisait pas un peu ce qu’il voulait pour me mettre mal à l’aise. Sachant que tout avait commencé ainsi l’autre soir, il y a un mois, je préférais sourire et me rasseoir bien sagement à côté de lui. Il râlerait encore sinon que je lui saute dessus et que je cherche les embrouilles. Peut-être que parfois, je le faisais un peu exprès, mais c’était très rare. La soirée où tout avait dérapé, j’avais posé ma main sur sa cuisse pendant le film. En même temps, j’avais tellement été absorbée par Vin Diesel et les magnifiques voitures, que … voilà. Enfin, ce n’était pas la question. Il n’y aurait rien de plus, même si j’avais peur d’avoir un peu froid cette nuit. Déterminée, je ne comptais pas rentrer chez moi pour me glisser sous mes couettes. Les souvenirs de cette soirée remonteraient et je n’en avais pas envie.


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Oui ça me faisait rire. Mais pas besoin de lui préciser puisque je riais déjà à gorge déployée ce qui n'avait pas l'air de lui plaire puisqu'elle ne s'était pas gênée pour se jeter sur moi dans le but de me faire arrêter. Moyen plutôt radical et plaisant vu la position dans laquelle elle s'était retrouvée. Position qui pouvait lui rappeler bien des souvenirs et c'était sûrement pour cette raison qu'elle s'était tout aussitôt reprise en main. Parfois elle avait tendance à écouter son coeur plutôt que sa raison et c'était de cette manière qu'elle m'en voulait après. En même temps, elle disait ne pas me provoquer, mais j'avais du mal à le croire avec ce qu'elle venait de me dire. J'avais esquivé un petit sourire avant de lui répondre. « Fait attention, tu risque de le regretter après » Je ne manquais jamais de lui envoyer un pique et notre relation était aussi composée principalement de piques, alors pourquoi s'arrêter là ?

Assise à mes côtés, elle avait apparemment renoncée à l'idée de plonger dans la rivière et heureusement pour moi, car j'avais comme le pressentiment qu'elle m'aurait poussé avec elle pour ne pas se retrouver toute seule entre ces rochers. Et puis, ça lui évitera tout un tas de problèmes qui étaient la maladie, les infections dû à la pollution, l'état dans laquelle elle devrait finir sa soirée et j'en passe. Je lui avais mis une mauvaise idée en tête, mais jamais je n'aurais pensé que ça puisse la travailler au point de vouloir vraiment sauter.
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M’étant attendu à cette réponse de sa part, je souriais tout comme lui. Je mettais de côté mes questions, mes doutes et tout le reste. Je n’avais pas envie de me prendre la tête ce soir. « Je ne regrette pas la dernière fois que je t’ai embrassé, même si c’était sans ton consentement » précisais-je. La fois où nous nous étions parlé sans vraiment le faire, je m’étais sauvée après l’avoir embrassé. Une envie aussi soudaine que réfléchi. Je ne voulais pas que le dernier souvenir d’un baiser avec lui soit sous un taux trop fort d’alcool. « Mais à ce que j’entends, ma menace a réussi à te faire arrêter de rire » Pourquoi ce serait toujours à lui de me lancer des piques ? Certes, les miens se retournaient toujours contre moi, mais peu importe. Tout était à double tranchants avec lui. Je gagnais autant que je perdais. De toute façon, je n’avais pas besoin de le menacer pour avoir envie de l’embrasser et encore moins le faire.

Finalement, j’abandonnais mon envie de sauter à l’eau avec ses paroles très censées. Pour une fois, il faut préciser (a). La dernière « conversation » que nous avions eue, il m’avait cherché avec des citations. Bien sûr, elles n’étaient pas dénuées de sens, mais lui et moi n’avions pas la même vision des choses. En parlant de ça d’ailleurs … « Tu as eu combien à ton devoir, celui d’il y a un mois ? » Si déjà je l’avais aidé – je ne suis pas totalement idiote – je voulais au moins savoir quelle note il avait eu. Nos domaines principaux – psychologie et philosophie – se rejoignaient en de nombreux points, alors l’aider même sans le vouloir se révélait très facile, en fait.


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