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Trip to Italy
/w Elia & Théophyl
/w Elia & Théophyl
Je venais d'agripper la jeune femme dans mes bras afin de faire en sorte qu'elle puisse être en position assise sur une espèce de petite commode en fer. Autant l'avoir assise près de moi, que plaquer contre la porte qu'elle avait verrouillée, ce serait ainsi plus simple ainsi pour la déshabiller. Néanmoins, alors que j'avais retiré mon haut plus le sien, je ne voulais pas non plus trop lui en enlever parce qu'il ne manquait plus qu'un concierge, homme/femme de ménage, ou peu importe le métier qui puisse exister dans cet aéroport, ne se ramène avec une clef afin d'ouvrir cet endroit, et je ne pouvais même pas concevoir nos têtes de choqués. Je ne les imaginais déjà pas, suite à ce que nous nous apprêtions à faire et à notre sorti. Un sourire se dessina sur mes lèvres en songeant à tout cela alors que je pus sentir ses mains venir défaire le bouton de mon propre jean. Puis, avant qu'il ne glisse à mes chevilles, je sortis d'une des poches arrières, le morceau de plastique dans un emballage argent qui allait nous éviter bien des galères que j'avais mis de côté bien avant et le posait à côté de la jeune femme. Je sais, je suis malin (a). Elia passa ensuite ses jambes autour de ma taille, me donnant le feu vert pour que je puisse tirer le bout de vêtement vers moi, lui enlevant complètement. On ne fit même pas attention à nos chaussures, comme des fous et des sauvages nous nous apprêtions à faire cela de manière assez bestial. Nous pouvions largement nous comparer avec des impulsifs incontrôlables, car finalement, nous aurions tout aussi bien pu attendre d'arriver véritablement à destination avant de faire ce genre de chose. Mais non, nous étions là dans un espèce de placard, dans le noir, à faire des choses pas très catholiques. Je venais me réapproprier ses lèvres avant de descendre dans son cou et de faire descendre très lentement mes mains le long de son dos, jusqu'à son postérieur. En attendant, je perdais le peu de lucidité qu'il me restait alors que l'unique barrage qu'il nous restait était nos sous-vêtements.
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