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Un tour à la plage ► Thélia

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Thélia ღ

« Je te l’offre cette chemise, va. Garde-la. » Je savais pas s'il était sérieux et j'hésiterais bien entre vraiment lui prendre ou lui laisser. M'apprêtant à lui répondre il tira sur la chemise et m'attira plus près de lui. Je sentis ses mains dans mon dos puis glisser jusqu'au haut de mon bassin ce qui fit de léger frisson. la chemise était pas très épiasse et je pouvais comme sentir ses mains sur mon corps puis on était si proche. Mais il s'arrêta pas là, venant me pousser de ses mains pour que je tombe légèrement sur lui à califourchon. Je sentais mon coeur accélérait, sérieux quand même on était bien trop proche ça devenait du sadisme complet. Il voulait me brûler de l'intérieur ou quoi ? « Je ne t’ai même pas demandé si tu voulais boire ou manger quelque chose…quel hôte je fais… » On avait pas eu le temps et vraiment je m'en moquais de manger ou boire. C'est vrai, en plus je commence à avoir faim. Pas la même faim dont il parlait, vous voyez ? Alors que j'étais à califourchon, je vins l'embrasser. Là je pouvais pas me retenir, le petit diable en moi avait chassé le petit ange pour me dire de me laisser aller et de foncer. Je l'embrassais et je nous avais fait ainsi tomber sur le lit, lui sur le dos et moi sur lui à califourchon.



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J’avais véritablement du mal à penser et à voir les choses comme je devais les voir. La jeune femme était assise à califourchon sur moi et je ne pouvais que me délecter de sa présence sur mes jambes, mon torse, mes mains sur son dos… Je lui demandais néanmoins si jamais elle avait faim, vu que je lui avais rien proposé avant. « C'est vrai, en plus je commence à avoir faim » J’arquais un sourcil alors que j’allais m’apprêter à lui demander ce qu’elle allait vouloir manger. Évidemment je n’avais pas compris son allusion si bien que je fus assez surpris lorsque je pus sentir ses lèvres contre les miennes mais ce n’était en rien pour me déplaire. Nous basculâmes ensuite sur le lit, elle toujours contre moi. Mon cœur battait la chamade, si fort que ça en était presque douloureux. Je songeais précipitamment que c’était la première depuis que nous nous connaissions que nous expérimentions une telle proximité. Et ce n’était pas pour me déplaire. Mes mains voyageaient tranquillement dans son dos, je les retenais presque de ne pas s’minimiser sous la chemise je voulais faire durer le plaisir aussi longtemps que je pouvais. Je n’étais pas pressé et j’espérais qu’elle non plus. Maintenant il n’y avait pas de retour en arrière. Je poussais un petit cri guttural alors que d’un mouvement du bassin je retournais la situation, je l’allongeais sur le lit de tout son long et me plaçais au-dessus mais sur le côté. Je l’embrassais encore et toujours alors que je reposais sur un coude, une main vint commencer à déboutonner très lentement les trois premiers boutons de chemise, j’avais pris possession de son cou et je mordillais tout doucement le lobe de son oreille. « Dernière offre pour manger quelque chose…après je ne te laisserais plus jamais partir… »
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Au dessus de lui et allongé sur le lit on s'embrassait jusqu'à mon tour je me retrouve moi sur le dos et lui au dessus de moi. Il c'était mit sur le côté et je sentis une main qui tentait de déboutonner la chemise que je portais. Je pouvais sentir mon coeur battre encore plus vite. Puis le pompom fut quand je sentis ses lèvres dans mon cou. Un frisson se dissipa en moi. Je pouvais sentir son souffle également et quand il mordilla mon lobe, je bougeais doucement la tête, non que j'apprécie pas mais parce que ça me donnait des frisons et que cette zone était une des plus sensibles sur moi. « Dernière offre pour manger quelque chose…après je ne te laisserais plus jamais partir… » J'avais tout sauf la tête à manger là. Impossible d'avaler quelque chose avec toutes les sensations qui se passaient dans mon corps et toutes les émotions que j'étais en train de ressentir. Tais toi lui dis je doucement mais sans une once de méchanceté. A mon tour je vins mordiller sa lèvre, tirant à peine dessus tout en passant mes mains au bas de ses reins. Je les fis glisser légèrement vers le haut pour faire remonter son débardeur et je pouvais sentir son torse, sa peau clairement. Avec délicatesse et douceur je remontais encore mes mains pour faire monter le tee shirt également. J'étais en chemise, lui entièrement vêtu, il fallait équilibrer les choses tout de même. Je voulais à la fois lui arracher ses vêtements pour aller vite mais également je voulais profiter de chaque parcelle de son corps que j'allais pouvoir toucher, effleurer. Après tout j'étais pas certaine qui y aurait droit à une seconde fois et je voulais donc saisir le moment.



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J’avais donc fait basculer la jeune femme sur le lit, de sorte qu’elle soit carrément allongée et moi au-dessus d’elle. Néanmoins, j’étais appuyé sur un coude et je l’observais tout en l’embrassant. Guettant la moindre de ses réactions, j’avais envie de la dévorer toute crue. Mais je voulais être sur une dernière fois qu’elle était pleinement consciente de ce qui allait se passer. Je lui avais donc dit que si jamais elle voulait manger quelque chose, que c’était sa dernière opportunité pour le faire. « Tais-toi » Sa réponse m’arracha un sourire alors que je pouvais sentir ses mains dans mon dos qui tentaient de remonter progressivement mon débardeur alors qu’elle me mordillait la lèvre. « Quelle autorité…j’adore. » Je me suis à rire alors je décidais de l’aider, me relevant sur un coude, je fis passer par-dessus ma tête le tissus et le lancais loin derrière moi. Puis je revenais fondre sur ses lèvres avant de carrément venir terminer de déboutonner sa chemise. Cependant je ne l’enlevais pas, venant me placer entièrement sur elle, je reposais sur mes avant-bras afin de ne pas l’écraser sous mon poids. Sa chemise ouverte me donnait vue sur le tracé de chair qui se trouvait entre ses seins, et qui continuait jusqu’à son nombril. Tranquillement et sensuellement, je vins déposer une lignée de petits baisers partout où ma bouche pouvait se poser. Elle avait la peau tellement douce. De plus je tentais de prendre tout mon temps afin de ne pas avoir envie de lui arracher cette chemise.
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« Quelle autorité…j’adore. » Je fis un sourire, voulant même rire mais je pouvais pas me prendre un fou rire maintenant, surtout pas maintenant. Devoir couper tout ça pour un fou rire je le prendrais mal et je voudrais me frapper moi même. Je me retenais donc et le voyant m'aider pour enlever le débardeur et le jetais, ça m'aida a reprendre mes esprits quand je pouvais voir entièrement son haut du corps. De près il était encore mieux taillé que de loin quand je l'avais vu avant de me doucher. J'étais presque en train de baver devant sa carrure. Puis un nouveau baiser vint me sortir de mes pensées alors que les boutons de la chemise venait à être ouvert tour à tour laissant la chemise entièrement déboutonner. Puis il déposait des baisers petit à petit, aaaah ça aussi je crains. En fait toutes mes zones sont plus ou moins sensibles en haut du corps mais le fait que je l’appréciais plus qu'un ami, que j'avais envie de lui effectivement ça me faisait encore plus d'effets en le sentant. Je lui fis remonter le visage alors pour que je puisse le voir et tant bien que mal je tentais de lui montrer de tourner pour que je me retrouve à nouveau sur lui. Collé à son corps, je m'appuyais sur mes genoux, un entre ses jambes et l'autre à l'extérieur. Déposant un furtif baiser sur ses lèvres, je descendis à son cou tout en faisant glisser mes mains vers le bas de son ventre, tirant doucement sur l'élastique de son jogging. Enlève le lui soufflais je à l'oreille alors que je commençais à lui faire des bisous sensuels dans le cou.



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Je n’arrivais pas à croire ce qu’il était en train de se produire entre Elia et moi. Pourtant je l’avais désiré depuis la première fois que je l’avais vu et même si j’avais tenté de combattre ce sentiment à ma façon, je m’étais rendu compte après les nombreuses pensées que j’avais eu à son égard que c’était peine perdu. Et maintenant que je me retrouvais au-dessus d’elle, je me sentais sur le point d’exploser. Littéralement. Elle était tellement désirable que ça en était presque douloureux. Puis, alors que j’étais en train d’embrasser la partiel de chair entre ses seins, puis son ventre, elle remonta mon visage et fit en sorte que nous échangeâmes une nouvelle fois notre position. Elle se retrouva donc sur moi, me chevauchant presque comme une amazone ce qui m’arracha un sourire. Elle se mit alors à m’embrasser dans le cou, m’arrachant plusieurs frissons de plaisir d’affiler. Elle me rendait dingue cette fille. Puis je sentis une main se glisser vers le bas de mon ventre, tirant doucement sur l’élastique de mon jogging. Je retins un sourire alors que j’avais carrément envie d’accélérer les choses. « Enlève le. » Elle me chuchota ses quelques mots d’une façon si sensuelle que j’eus carrément envie de chanter un opéra. « Mais je suis tout à toi… » En gros, je lui faisais comprendre qu’elle pouvait littéralement faire ce que bon lui semblait de ma personne. Ainsi à l’aide de mes bras, je fis glisser la chemise déjà ouverte sur ses fines et douces épaules dévoilant une poitrine délicate. Me relevant comme-ci je faisais des pompes, je me mis à embrasser cette partie de son corps. Je songeais à ce moment précis que je n’avais probablement du jamais désirer autant une fille qu’elle en ce moment-même.
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« Mais je suis tout à toi… » Ceci provoqua un rictus à mes lèvres, ça ça pouvait être risqué pour lui de me le dire. Puis il enleva la chemise de mes épaules déposant des baisers. Son jogging fut le prochain a finir quelque part dans la chambre, sur le sol. Je me collais alors à lui, nos deux peaux en contact l'une avec l'autre et j'avais comme l'impression qu'un radiateur était présent dans la pièce. J'avais chaud et je sentais mon corps s'enflammait un peu plus chaque seconde qui se déroulait. Déposant encore des baisers dans ce cou, je descendais entre son épaule et le cou, glissant des baisers juste au dessus des pectoraux mais ses lèvres me manquaient bien trop et j'y revenais aussitôt pour l'embrasser de plus belle. Mélangeant ma langue à la sienne. Elles faisaient qu'un et bientôt nous aussi ça serait le cas. Cependant d'une main je descendais le long du côté de son corps pour mettre une main au niveau de sa hanche. J'aimais faire parcourir mes doigts sur son corps, le toucher et je voulais lui enlever ce qui lui servait de caleçon. Ca commençait à devenir plus chaud et mon envie ne cessait de monter en flèche aussi, arrivant au moment fatidique, à notre liaison, notre connexion et faire sortir tout ce que je ressentais en moi.



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Alors que je venais implicitement de lui dire que j’étais carrément à elle et qu’elle pouvait faire ce que bon lui semblait de ma personne, j’avais réussis à faire glisser la chemise qui recouvrait encore le haut de son corps, sur ses épaules. Je parsemais ensuite sa poitrine de fins baisers papillons puisque nous nous trouvions sur le point de franchir une ligne qui n’avait aucun point de retour. J’en étais parfaitement conscient mais avec ce que je ressentais en ce moment-même, il était impossible que je ne la considère pas comme plus à mes yeux qu'une simple amie. Au contraire, j’avais des sentiments. Et du genre qui s’intensifiaient lors de ce genre de moment intime. Mon jogging vint rejoindre mon débardeur quelque part sur le sol et ils ne restaient plus que nous sous-vêtements de bas-étages qui délimitaient cette limite que nous nous apprêtions à franchir. La jeune femme était de plus en train d’embrasser mon torse, mon épaule et replongea sur mes lèvres pour mon plus grand bonheur. Mes mains parcouraient toujours plus son dos, trépassant parfois le bout de ses reins afin de traverser le fin tissue qui cachait encore ses parties intimes pour caresser ses fesses. J’avais la nette sensation de voler et de m’abandonner tout entier à elle. Puis je retournais une fois de plus la situation, m’allongeant sur elle cette fois-ci alors que nos bouches étaient encore entremêlées. Je faisais néanmoins attention à ne pas l’écraser sous mon poids. Puis avec des doigts habiles, je me mis à caresser sensuellement son flanc gauche jusqu’à arriver vers son sous-vêtement et le fie glisser de sorte qu’elle puisse l’enlever. Je me reculais ensuite sur les coudes quelques instants, admirant son corps et sa nudité. Y’avait rien à dire et à rajouter, elle était purement magnifique. C’est ainsi que je ne pus retenir un sifflement admiratif.
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On tournait une nouvelle fois pour qu'il soit dessus moi et moi en dessous. Puis en quelques mouvement mon bas de sous vêtement glisser et avec mes jambes je le fis descendre pour qu'il attérit lui aussi au sol. Je le regardais me regarder et ça me gênait un peu, puis son sifflement en rajouta une couche. Je me mis une main sur les yeux rapidement pour ensuite l'attirer une nouvelle fois à ma bouche. A mon tour je tirais sur son caleçon pour que lui aussi se retrouve à nu. Mon coeur battait encore plus quand il était entièrement nu lui aussi. Petit à petit ça s'approchait un peu plus mais alors que je m'apprêtais à le tirer par le cou doucement pour que nos corps soient collé j'interrompis tout le regardant. Tu as une.. ? Ouais si on oubliait ça non merci, j'avais Matys et pour le moment ça suffisait. Je voulais pas avoir à faire à une 3e grossesse alors qu'on se connait à peine, qu'on est pas en couple et que je suis encore jeune pour avoir deux enfants.



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La fille avec laquelle je m’apprêtais à faire des choses pas très catholique, était mieux foutue qu’une déesse romaine. Nan franchement, tellement que je crus durant un bref instant que j’allais finir par ruiner notre moment. Néanmoins, je constatais que mon regard posé sur elle et le sifflement que j’émettais ensuite l’avais mise mal à l’aise, car elle se cacha les yeux, m’attrapant ensuite pour que nos bouche se collent une fois encore et de plus. Un sourire s’empara de mes lèvres alors que je l’embrassais encore et encore. Puis elle tira sur mon caleçon afin que je me retrouve en tenue d’Adam à mon tour. La nudité ne me posait pas de problème, je n’étais pas pudique mais toujours un peu nerveux à cause de ce genre de situation. J’avais seulement hâte de sentir son corps nu contre le mien. Nous allions finalement atteindre notre but alors que j’avais du mal à tenir la cadence. Elle me ramena vers elle mais s’arrêta en plein chemin m’arrachant une expression de surprise. « Tu as une.. ? » Le soulagement s’installa peu à peu dans mon esprit alors que j’hochais positivement la tête. Heureusement qu’elle y avait songé avant moi. Je fondis sur ses lèvres collant mon corps contre le sien et pendant que je l’embrassais, j’ouvris le tiroir d’une table de nuit et en sorti un. Cela me faisait rire car je ne devais pas plus en avoir que trois caché dans cet appartement. Nous étions bien tombés. J’appliquais la chose après m’être reculé tranquillement et je revins prendre possession de ses lèvres puis je descendis vers son cou, sa poitrine, son ventre et enfin une de ses jambes que j’écartais. Je me mis à embrasser l’intérieur de sa cuisse, ne voulant que vérifier si elle était réellement prête. Je revins vers elle, et après avoir flâné tout contre son corps. Je plongeais mon regard dans le sien, lui demandant implicitement si tout allait toujours bien pour ce qui allait suivre.
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