Torrey & Wyatt - How can I forget you ?

feat Torrey Հ How can I forget you

La nuit était silencieuse. Il n’y avait plus aucun bruit, même la brise du vent, se faisait silencieuse. Au milieu de silence, je continuais de serrer la main de Torrey s’en pouvoir m’en défaire. Peut-être que je me répétais, mais j’avais la sensation d’être loin. Quelque part, où nous serions que tous les deux et que nos actes n’auraient aucune conséquence. Je lui avais dit qu’elle me faisait perdre le contrôle. Pourquoi le cacher ? A nouveau, elle murmurait mon prénom. Son regard était suppliant comme si elle aussi voulait trouver une solution à tout ça. Peut-être que céder à cette tentation nous soulagerait, mais on serait vite rattraper par les remords. On c’était tous les deux engagés avec une autre personne. Être égoïste serait déplacer. Lorsque mes yeux croisèrent les siens, j’eu envie de tout laisser tomber. Je n’avais même pas remarqué que je m’étais encore plus rapproché d’elle. Ma main caressait son visage. Elle avait la peau douce et sa bouche en cœur avait la couleur d’une pétale de rose. « Il faut que l’on soit raisonnable… se promettre de ne rien faire qui pourrait les blesser.. » Les mots étaient sortis difficilement. Même cette promesse me semblait irréelle. Comment être de simple ami, alors, qu’une telle connexion c’est installé entre nous deux.

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feat Wyatt Հ How can I forget you

Sans répondre à mon appelle de son prénom par la parole, Wyatt se rapprocha tout de même de moi et je profitai autant que possible de la chaleur diffusé par son corps près du mien. Lentement, sa main remonta sur ma joue pour la caresser et je ne pu m’empêcher de lover mon visage dedans, fermant les yeux de cette court satisfaction. Le monde aurait pu arrêter de tourner, plus rien n’avait d’importance. Je me demande même si j’aurais réagis à une explosion tout près de nous. « Il faut que l’on soit raisonnable… se promettre de ne rien faire qui pourrait les blesser.. » Je fronçai les sourcils et secouai la tête de façon négative. À quoi bon faire des promesses qu’on risquait de ne pas tenir? S’il y a bien une chose que je déteste dans la vie, ce sont les promesses… À quoi ça sert de se mentir? Et si l’on veut vraiment faire ou ne pas faire quelque chose, jamais, selon moi, on est obligé d’être lier par la promesse pour y arriver… Ce genre de chose doit être inné. Alors non, je ne comptais pas lui promettre quoi que ce soit. « Je n’peux pas Wyatt… pas de promesse. Je me sentirais encore plus mal si… » Je ne terminai pas ma phrase, répugnant à dire à voix haute ce que j’avais réellement envie de faire. Je me dégoutais, mais j’avais du mal à me retenir. Parce que c’était plus fort que moi. C’était comme si j’étais poussé par une force invisible. Comme si ça devait arriver. Je posai ma main libre sur la sienne qui caressait mon visage et fermai les yeux. Comme j’aurais voulu qu’il m’embrasse sans se poser de question.

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Sa réponse ne se fit pas attendre. Torrey bougeait négativement sa tête et ce qu’elle dit par la suite confirmait mon intuition. Comment pouvais-je lui demander une telle promesse, alors, que l’on risquait de la briser à cet instant. En couple, j’étais du genre fidèle, mais si je cédais, ça serait une première pour moi et en même temps, ça remettait tout en question. J’avais tellement peur de ce que j’étais capable de faire. Mon dieu, on aurait dit une fillette ! Je devais être sûr de moi, mais avec elle à mes côtés, je n’étais sûr de rien. Elle c’était lovée au creux de ma main et j’inhalais encore plus l’odeur de son parfum. On dit que le parfum attirait les corps. Dieu que j’avais envie de l’embrasser. Je rapprochais mon visage d’elle. Nous étions à quelques centimètres l’un de l’autre. J’avais juste à baisser un peu plus ma tête et je l’embrassais. « Si quoi.. » C’était fatiguant de résister. Je commençais déjà à baisser les armes.

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J’ouvris les yeux, plongeai mon regard dans le sien. Je sentis qu’il se rapprochait encore un peu. Quelques millimètres à peine nous séparaient maintenant. Je sentais très bien son souffle sur mon visage, son haleine sucrée me donnait envie. Mon cœur me faisait mal à la poitrine tellement il cognait fort. « Si quoi.. » Je déglutis à nouveau difficilement, serrai un peu plus sa main dans la mienne et bougeai imperceptiblement en respirant de plus en plus vite. « Si… » Ma voix semblait venir de très loin comme elle était à peine audible. J’avais un mal fou à articuler. Je m’humectai lentement les lèvres, j’avais la gorge sèche. Seigneur, ma langue touchait pratiquement ses lèvres en glissant sur les miennes. « Tu… » M’embrasse. Aurais-je voulu dire, mais j’en étais définitivement incapable. J’t’en pris Wyatt…. Fais quelque chose. J’aurais du m’en aller. Bien avant même. Mais j’étais incapable de bouger, mes jambes n’auraient même pas supportées mon poids si j’avais été debout.

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Je sentais que son corps était tendu comme si elle attendait quelque chose. A vrai dire, j’étais dans la même situation. J’osais à peine bouger tellement on était proche. La réalité me rattrapait bien vite. Non, je ne pouvais plus faire semblant. M’abstenir, devenait une véritable torture. Alors, lentement, je baissais un peu plus mon visage et mes lèvres rentrèrent en contact avec les siennes. C’était comme une explosion des sens comme si l’embrasser m’éveillait. Est-ce le fait de s’être retenu durant cette dernière heure ? Aucune idée. Tout ce que je savais, c’est que je l’embrassais et que j’avais du mal à m’arrêter. A chaque échange, j’en redemandais plus comme si c’était vital, mais très vite, l’image de Feldt s’imposait à moi. Je me sentais tellement dégueulasse de lui avoir fait ça, mais en même temps, c’était tellement dur de me séparer de cette étreinte. Avec Torrey, je redevenais celui que j’avais toujours été avant Harvard, je retrouvais la chaleur de l’été au Nouveau-Mexique. Je mis fin à notre étreinte. Je m’éloignais et baissais la tête, honteux. Que dire après ça ? Maintenant, je lui faisais du mal à elle aussi.

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Était-ce ce que Dieu voulait vraiment pour nous? Ma foi aurait de très bonnes raisons de flancher après aujourd’hui. Dans tous les cas, ma volonté elle avait prit la poudre d’escampette depuis longtemps. Lorsque les lèvres de Wyatt entrèrent en contact avec les miennes, j’eu l’impression d’exploser. Ma main sur la sienne vint prendre son chandail et je le serai très fort entre mes doigts, le tenant tout près de moi de peur qu’il s’en aille. Chaque seconde, notre baiser était de plus en plus passionné, gourmand. J’en voulais encore et encore et pourtant, je savais que c’était terriblement mal. Kovu… Lily… Et la petite amie de Wyatt. Mon cœur se serra à nouveau et il mit fin à notre échange, reculant un peu et baissant la tête. J’avais chaud, mes joues devaient être rougies par l’émotion et la fougue de notre baiser. Malgré la culpabilité qui m’assaillait, j’avais une envie irrépressible de l’embrasser à nouveau. Seulement j’avais peur qu’il me repousse. Peur d’être rejeté. Le mal était déjà fait, non? Oh, qui étais-je donc devenu pour penser ainsi? Je relevai doucement son menton du bout de l’index, l’obligeant à me regarder et vins doucement poser mes lèvres contre les siennes. Je n’avais aucune idée de ce que je faisais, mais, pour une fois, je répondais à mes envies les plus secrètes et profondes.

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A nouveau, elle posait ses lèvres contre les miennes. Au début, j’essayais de résister, mais très vite, je fus rattraper par le désir d’en avoir plus. Je posais ma main sur sa taille et l’attirait contre moi. Je l’embrassais plus ardemment. Je pouvais sentir le goût sucré de sa langue mêler avec la mienne. Ce n’était plus un simple baiser, non, c’était un peu plus fougueux. Je faisais basculer Torrey au-dessus de moi et continuais de la tenir fermement. J’en voulais toujours plus. C’est comme si toute morale m’avait abandonné. Je me laissais totalement aller. Plus aucune barrière ne se dressait entre nous. Je remontais ma main le long de son dos jusqu’à sa nuque. Pendant une seconde, j’arrêtais notre étreinte pour nous laisser reprendre notre souffle. Elle avait les joues rougis et les cheveux légèrement ébouriffés. Rien que de la regarder, mon pouls s’emballait. Ma main était toujours posé sur sa nuque, aussi, je me relevais légèrement et l’attirais à moi pour attraper ses lèvres. Puis, je descendais mes lèvres sur son coup.

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Allait-il me repousser? M’empêcher de pousser notre bêtise plus loin? C’aurait été préférable même si c’était loin d’être ce que je voulais réellement. Mais non.. Il répondit plutôt à mon baiser, glissant une main sur ma taille pour m’attirer d’avantage contre lui. Nos corps semblaient faits pour s’imbriquer parfaitement l’un dans l’autre. Je suivis le mouvement, mêlant ma langue à la sienne dans un ballet inattendu et langoureux. Soudainement, je basculai au dessus de lui et plongeai mon regard dans le sien. J’étais à bout de souffle, mais je respirais mieux que je ne l’avais fais durant toute l’heure qui avait précédé cet échange. C’était comme si on m’avait enlevé une boule énorme qui m’obstruait l’œsophage. Sa main sur ma nuque me donnait des frissons le long de l’échine. Lorsqu’il m’embrassa à nouveau, j’accueillis ses lèvres avec bonheur et lorsqu’il m’embrassa dans le cou, je ne pu m’empêcher de gémir doucement. Savait-il seulement que c’était l’un de mes points faible? J’eu un sourire et agrippai son t-shirt à deux mains avant de les glisser jusqu’au bas, passant mes doigts sous le tissu pour caresser sa peau. Je détaillai ses abdominaux biens musclés du bout des doigts alors que je ne pouvais plus quitter ses lèvres.

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Je continuais de déposer des baisers dans son cou. Elle sentait divinement bien. J’adorais lorsque les femmes mettaient du parfum. Ça me faisait complètement chavirer et la en l’occurrence, j’allais devenir dingue. Torrey gémissait. Savait-elle qu’elle allait me rendre fou à continuer comme ça ? Je sentis ses mains passés sous mon t-shirt. Hum. J’aimais le contacte de sa main sur ma peau nue. J’avais posé mes deux mains sur ses hanches tout en resserrant ma prise sur elle. Elle avait le corps aussi brulant que le mien comme si on allait se consumer sur place. Mes baisers allaient de plus en plus bas jusqu’à sa clavicule. Puis, je remontais jusqu’à ses lèvres. Mordant légèrement sa lèvre inférieure, je passais mon autre main sous son top. C’est à ce moment-là, qu’un camion de pompier ne passait pas loin de là. L’alarme me ramenait à la réalité. Qu’est-ce que je faisais ? Je n’avais pas pensé à Feldt et je ne voulais pas que Torrey trompe son copain par ma faute, mais… Mais quoi ? Bordel. Je mettais fin à notre étreinte. Pendant un instant, nos visages restaient à quelques centimètres l’un de l’autre. Puis, je reculais en arrière. Allongé sur l’herbe tendre, je mettais ma tête entre les mains. « Qu’est-ce qu’on fait. » Je mettais parlé plus pour moi-même. J’étais mal pour elle, mal pour Feldt, mal pour son mec et mal pour nous, mais quel con ! Je foirais tout. Qu’est-ce qui m’arrivait !

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J’étais complètement en train de perdre la tête. Je ne savais plus ce que je faisais et mes mains se promenaient d’elles-mêmes sur son corps brûlant. J’adorais le voir là, allongé sous moi comme s’il m’appartenait alors que c’était loin, très loin même d’être le cas. C’est d’ailleurs la première chose qui me revint en tête lorsqu’une sirène de pompier vint briser le silence et qu’il m’embrassa une dernière fois avant de s’allonger sur l’herbe, la tête entre les mains. « Qu’est-ce qu’on fait. » Qu’est-ce qu’on fait? Quoi qu’est-ce qu’on fait? Dans le futur? Maintenant? Ce qu’on a déjà fait plutôt? Je ne comprenais pas sa question qui n’en avait pas vraiment été une d’ailleurs. Je secouai la tête sans savoir quoi dire. Les mains posées à plat sur son torse et haletante, j’en vins à me dire qu’il vaudrait mieux que je m’enlève de là. Après tout, j’étais encore assise à califourchon sur lui. J’inspirai un coup et me levai pratiquement d’un bond, reculant de quelques pas et m’arrêtant plus loin sous un arbre qui me permettait de me cacher dans son ombre. Dieu que je me sentais mal et bien à la fois et je n’arrivais pas à comprendre comment c’était possible.

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