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feat Torrey Հ How can I forget you
Ce soir-là comme la plupart de mes soirées, j’étais sortie m’amuser avec des amis. Je n’avais pas vu Feldt, car elle devait être avec ses copines. Ce n’est pas parce qu’on était en couple que l’on devait être tout le temps collé ensemble. Pourtant, je n’avais pas vraiment le cœur à faire la fête. En réalité, j’étais lessivé. Toute la journée, je n’avais fait que des activités de plein air comme par exemple du volley avec Jamie. J’avais beaucoup d’heure de sommeil à rattraper. Oué je sais, ça fait vieux pépé avant l’âge, mais fallait bien faire une pause de temps en temps. Je rentrais donc à l’hôtel à pied. J’en profitais pour admirer les étoiles. Je passais par la plage qui était déserte à cette heure-là. Puis, j’ouvrais un petit portail qui menait au jardin de l’hôtel. C’était un magnifique endroit et je n’en avais pas encore profité. J’aurais eu tendance à croire que le lieu était désert. Pourtant, je m’étais trompé. Pas loin, il y avait une silhouette. Plus je me rapprochais et plus elle me devenait familière. Stop. Je reconnaissais la personne qui me faisait dos. Je l’aurais parié entre mille. Le jardin était légèrement éclairé par des petites lumières tamisés. En comprenant à qui j’avais affaire, je m’étais arrêté. Je ne l’avais pas revu depuis le bal et comme un con, je n’avais pas pris de ses nouvelles. Entre temps, il c’était passé tellement de chose. Maintenant, j’étais en couple avec Feldt et avec tout ce qui c’était passé comme par exemple le fait qu’elle soit enceinte de deux jumeaux à cause d’un con. J’avais mis de côté, l’histoire avec Torrey. Je ne savais pas si c’était la manière qu’employait mon subconscient pour me dire d’être raisonnable. Elle était en couple et moi aussi. Pourtant, au fond de moi, j’avais un drôle de pressentiment comme s’il n’y avait jamais eu de fin. Quelque chose qui n’était pas totalement terminé et c’était perturbant, parce qu’à côté de ça, je ressentais déjà des sentiments pour Feldt. Prenant mon courage à deux mains, je me rapprochais de Torrey pour la saluer. « Salut jeune demoiselle, vous savez que ses imprudents de se promener toute seule. » Mon dieu que c’était ringard comme phrase, mais je n’avais pas trouvé mieux.
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