In the path of a Lighting bolt - Luke & Lassa & Luan

Tu te mordais la lèvre ... Encore. A croire que tu savais que ça me faisait littéralement fondre, me liquéfier sur place à chaque fois que tu faisais ça. Surtout quand tu passais ta main le long de mon boxer en même temps, ça me rendait d'autant plus dingue, dingue de toi. Tu me dis alors que tu me trouvais beau, ça me fit littéralement rougir en plus de tout ce que je ressentais déjà. Je te regardais avec un grand sourire. T'étais bien plus beau, t'avais une plastique de rêve, un truc de malade, chaque partie de ton corps était juste parfaite, et je savais qu'à Harvard, tu ne laissais pas la plupart des filles indifférentes. Mais tu étais mien, et elles ne t'auraient pas. "Toi aussi tu es beau Lassa, tu es magnifique, et tu me rends heureux."

Ce n'était pas la première fois que je faisais l'amour à un homme, loin de là. Mais j'avais comme l'impression de ne ppas savoir comment m'y prendre avec toi, comme si j'étais un adolescent pour qui c'était sa première fois, et qu'il allait trop vite ou pas assez vite, qu'il avait le coeur qui battait extrêmement vite et qui n'arrivait pas à se contenir entièrement. C'était vraiment comme ça que je me sentais présentement, en ta présence, avec toi sous moi, à la merci de mes caresses et de mes baisers qui parcouraient ton corps entier. Tu me dis me trouver beau aussi, être heureux avec moi. Je ne pus résister à venir te voler un baiser passionnément en remontant vers toi, me positionnant à califourchon par-dessus toi. Après t'avoir embrassé, je faisais descendre mes lèvres vers le creu de ton cou, qu'est-ce que j'aimais ça t'embrasser là! Puis, je me dis qu'il fallait continuer, ne pas rester à seulement ces baisers et caresses toutes simples. Je me reculai pour déposer une ligne de baisers brefs sur ton torse, descendant toujours plus bas, jusqu'à atteindre le boxer. Je te lançai un regard et un sourire rassurant, puis fit glisser ton boxer à l'aide de mes dents. Une fois celui-ci retiré, tu te trouvais nu devant moi. Je te regardais, si heureux. Et c'est là que ma main vint commencer à s'approcher de ce que je n'avais eus l'occasion de voir qu'une fois : ce samedi où nous avions fait l'amour ensemble, il y a de cela deux semaines. J'étais quand même assez nerveux, présentement.

Quand je te dis être heureux avec toi, tu vins me voler un baiser, passionné, que je pris le temps d'apprécier, comme une dose, t'étais ma drogue, surtout tes baiser. Tu descendis ensuite dans mon cou, et j'en profiter pour faire de même, te mordillant un peu parfois pour te montrer mon excitation. Tu descendais ensuite, passant de mon cou à mon torse, pour mon ventre. Tu me jetais un dernier regard, je te regardais avec un sourire, puis ton enleva mon boxer à l'aide de tes dents,je fermais les yeux pour profiter encore plus. Ca y est, j'étais nu, pour la deuxième fois, devant toi. J'étais pas vraiment quelqu'un de pudique habituellement, mais là, j'étais gêné, car tellement angoissé de ne pas être à la hauteur quand tu me laisserais agir moi aussi. Pour l'instant, je te laissais faire, comme tu me l'avais demandé précédemment. J'appréciais juste. Et ta main me faisait d'autant plus apprécier le moment.

Est-ce que tu appréciais? Je n'en doutais pas une seconde. Ce qui me l'indiquait? Tu ne bougeais pas trop pour tenter de t'enfuir, et tu fermais les yeux à chaque baiser ou caresse que je te procurais à un endroit que je soupçonnais être une faiblesse. Moi aussi j'avais des faiblesses, et j'avais hâte que tu les découvre, mais pour l'instant, je voulais m'occuper de toi comme il faut. J'avais retiré ton boxer et l'avait jeté au loin dans l'immense chambre que j'avais. Toi seul comptait à mes yeux présentement, et depuis déjà un moment, et ça me rendait fou de te savoir sous moi, acceptant et appréciant ce que je te faisais. Ma main s'aventurait vers ton bas ventre pour avancer les choses. J'avalais ma salive, tout de même un peu stressé : c'était toi qui me faisait cet effet là, si tu savais comment. « Luke... laisse-moi juste... te procurer du plaisir en premier, d'accord...? » Je rougis légèrement. Normalement, je n'aurais pas demandé comme ça, mais je voulais le lui faire savoir, avant de le faire. Je n'attendis pas vraiment de réponse, que ma main attrapa son membre, enroulant mes doigts autour. J'étais comme ému, un peu paniqué, mais tellement heureux d'être avec toi. Et c'est là que je commençai un mouvement de haut en bas très doux, et assez lent en me mordillant la lèvre par nervosité encore, sans même y penser. C'que t'étais beau, Luke... Je savais déjà que ce moment serait l'un des plus merveilleux avec toi.

Je répondis affirmativement d'un signe de tête mais j'ignorai si tu l'avais vu parce que tu avais déjà entreprit de faire ce que tu venais de dire, me procurer du plaisir en premier. Tu commençais alors un mouvement de va et vient et je ne pus m'empêcher de soupirer de plaisir. Ce moment était tellement bon, tellement appréciable, un truc de dingue que j'avais jamais vraiment vécu auparavant. Mes histoires de cul, c'était surtout des filles faciles de Harvard, rien de bien sérieux, c'était juste pour la déconne, juste pour la baise, histoire de s'amuser. La c'était bien plus. C'était pas du sexe pour du sexe, c'était plus une démonstration des sentiments qu'on avait l'un pour l'autre. Je fermais les yeux, te laissant faire, gardant un sourire léger collé sur les mes lèvres.

Je tenais vraiment à te procurer un maximum de plaisir, pour que jamais tu n'oublies cet instant. Jamais je ne m'étais senti aussi bien avant de passer à l'acte avec quelqu'un. Et bien que le Samedi où nous l'avions fait avait été merveilleux, rien ne pourrait égaliser ce matin. Je t'entendis lâcher un soupir alors que ma main allait de haut en bas sur ton membre. Tu commençais à prendre plaisir. Il faut savoir que bien que je ne m'étais pas amateur dans le monde des sports de chambre, jamais je ne couchais à gauche et à droite avec n'importe qui pour simplement prendre mon pied. Je continuai ma caresse avec ma main un peu plus vite, relevant le regard pour te regarder, alors que tu avais un sourire aux lèvres et les yeux fermés. Un instant plus tard, je me penchai vers l'avant et murmurai : « Tu me dis si tu veux que j'arrête... » Sans plus attendre, je remplaçai mes doigts par ma bouche. La dernière fois, je n'avais pas fait ça avec toi... Je rougis un peu en commençant de nouveaux va-et-vient.

Tu me demandas alors si je voulais que tu t'arrêtes. T'es malade ou quoi ? C'était trop bon ce que tu me faisais, bon, et puis "beau" dans un sens. C'était une démonstration de l'affection que tu avais pour moi, et moi, je trouvais ça beau. Je te répondis dans un murmure en ouvrant les yeux pour te regarder un instant. "Non, n'arrête surtout pas." Tu remplaçais alors tes doigts par ta bouche ce qui me fit gémir de plaisir un peu plus intensément, et me courber légèrement au rythme de tes vas et viens. Putain, c'était encore meilleur que quand c'était fait par une femme. Je posais mes doigts sur tes épaules, les pressants dans ces derniers pour te faire ressentir le plaisir qui tu m'apportais.

Si je t'avais demandé si tu voulais que j'arrête, c'était surtout pour être sûr que tu étais toujours prêt et toujours consentant. Je ne voulais pas aller trop vite avec toi, puisque je voulais que tu ressentes un maximum de plaisir, que je te sentes aimer ça sous ma main, sous ma bouche, sous moi... Je voulais que ce soit merveilleux, surtout pour toi, parce que t'étais celui pour qui j'avais des sentiments. Le seul et l'unique, celui qui me rendait complètement fou, de bonheur de désir et de plaisir, j'en doutais même pas. « Tu aimes c'que j'te fais...? » Pour dire ça, j'avais relevé le visage vers lui, un sourire léger sur mon visage, te regardant droit dans les yeux. J'avais cependant repris ce que je faisais en allant un peu plus vite. Je ne voulais pas que tu viennes tout de suite, je voulais juste te faire prendre un maximum de plaisir, pour qu'ensuite ce ne soit que meilleur. Tes doigts sur mes épaules m'indiquèrent que tu aimais ça, oui... Après quelques minutes de ce traitement de plaisir, alternant souvent la cadence, je me relevai la tête puis vint m'étaler sur toi, contre toi, pour chercher tes lèvres et t'embrasser passionnément. J'voulais être à toi, j'étais tout à toi, Luke...

Tu me demandas alors si j'aimais ce que tu me faisais, en remontant vers moi. Je te répondit dans un souffle. "Clairement." Je te fis un énorme sourire. Bien sur que j'aimais ce que tu me faisais, et tu le faisais si bien il faut dire. Entre deux baisers langoureux, la passion pris le dessus et je ne pus m'empêcher de te murmurer sur les lèvres."Je suis fou de toi Lassa."Je te regardais, dans les yeux, attendant ta réaction. J'étais complètement fou de de toi, ça c'était sur. J'avais des sentiments fort pour toi, un truc assez dingue que je pouvais pas expliquer. C'était toi, et juste toi. T'étais mien. Et j'étais complètement à toi.

Tu me confirma aimer ce que je te faisais. J'avais des brillants dans les yeux tellement j'étais heureux de partager ce moment avec toi. Je venais t'embrasser, parce que j'en avais envie, j'en avais besoin. Tes lèvres étaient devenues une vraie drogue de bonheur pour moi, une drogue d'amour, aussi. On s'embrassait tous les deux comme pas possible, et je passais mes mains sur tes épaules, sur ton torse que je caressais du bout des doigts. J'étais à peu près certain -ce serait trop impossible du contraire- que tu ressentais mon envie pour toi. Lorsque tu me dis être fou de moi, j'ouvris les yeux en te regardant. Ma main se posa sur ta joue, mon coeur fit un bond et commença à battre de plus en plus vite. Je te répondis dans le même style, sincère : « Et moi donc... Je suis incapable de me passer de toi, maintenant.. J'y arrive pas.. » C'est vrai que j'étais incapable. J'pensais constamment à toi, un truc de fou quoi. Je ne repris pas le baiser tout de suite, posant simplement mon front contre le tien et respirant contre tes lèvres...