In the path of a Lighting bolt - Luke & Lassa & Luan

J'étais accoudé à la rembarre du balcon quand tu me rejoins. T'avais enlevé ton pull et laissait apparaître alors ton torse et tes abdos sublimes que je prenais tant plaisir à toucher lorsque tu me prenais sur ta moto. Ca faisait deux semaines que je ne t'avais pas vu à moitié nu comme ça. Et ça ne me laissait pas vraiment indifférent, loin de là. Tu me parlais du paysage qui était beau, mais je te trouvais bien plus plaisant à contempler. Je te répondis par un simple sourire et m'approchais de toi pour venir contre ton torse nu. Sentir la chaleur de ton corps me faisait tellement de bien. Je te glissais à l'oreille d'une voix un peu aguicheuse.

"T'es bien plus beau tu sais."

Puis je t'embrassais dans le cou, posant mes mains sur son torse, profitant de ta nudité partielle pour parcourir chaque espace de ce dernier du bout des doigts, frissonnant par le fait de te sentir si proche, plus proche qu'on ne l'avait vraiment été depuis cette fameuse nuit. Bien sur que j'avais envie de toi, mais est ce que j'en été prêt. J'en savais rien.

L'air de l'extérieur était frais, ce matin. Bon, il était vrai que la journée était à peine commencée, mais tout de même. J'étais bien, alors qu'à l'intérieur, il faisait plutôt chaud. J'avais donc retiré mon chandail tout en te rejoignant, m'installant à tes côtés, un peu décalé vers l'arrière. Un frisson me parcourut de haut en bas en te voyant t'approcher et te sentant te blottir contre moi, contre mon torse nu. Ce contact me faisait me sentir bien, encore plus bien que toujours. Et ta voix, beaucoup plus rauque et aguichante que d'habitude me fit fermer les yeux. « Comment le sais-tu ? » Je voulais le provoquer un peu, sans trop non plus. J'appréciais ce moment matinal avec lui. Vraiment agréable. La proximité qu'on avait à 5 heures du matin aujourd'hui était rare. La dernière fois, ça avait été la première fois. La fois qui m'avait condamné à tomber sous ton charme. La fois qui avait déterminé que je ne pourrais plus me passer de toi. Je te laissais faire, parcourir mon torse, embrasser mon cou. Je frissonnais sous ces attentions, ces caresses, tout simplement. « Oh, Luke... » Cette fois-ci, c'est moi qui posai une main sur ta joue, plongeant mon regard brillant, envieux, stressé, timide dans le tien. Je ne savais quoi dire de plus, je bloquais un peu, bizarrement, ce qui accentua mon tic nerveux : je me mordis la lèvre inférieure. Je voulais que ce moment dure éternellement. Je me laissais faire, te laissant guider selon ce que toi tu voulais. Ce que toi tu souhaitais. Ce à quoi tu te limiterais. J'étais à toi, et je savais que je serais toujours à toi, maintenant...

Je pouvais plus me passer de toi. Plus du tout. Je l'avouerais pas tout de suite, ça, mais je le savais tout simplement que te voir t'éloigner de moi serait difficile, très difficile. J'aimais ta présence, tes contacts, tes lèvres, tes yeux, tout. Et maintenant tes caresses. Caresses si délicieuses, si envieuses. Tu m'embrassais dans le cou et je frissonnais, me mordant la lèvre inférieure par envie et pas gêne un peu. Tu me dis avoir envie de moi. Moi aussi j'avais envie de toi. Mais étais-tu sûr? Je ne voulais te forcer en rien... Tu me rendais fou, j'étais fou de toi et je ne voulais pas te perdre. Mais tu pris l'initative de m'emmener à l'intérieur, vers ma chambre, passant tes mains sur tout mon corps. Un petit soupir m'chappa, même si ce n'était que des caresses sur mon torse. Je vins chercher tes lèvres pour les embrasser à la fois passionnément et fougueusement. «Luke, moi aussi j'ai envie de toi... Es-tu prêt...?» Je continuais de l'embrasser, le serrant contre moi, je voulais être sûr qu'il soit prêt. Je voulais pas qu'il parte au matin, je supporterais pas... Dans ma tête, je le suppliais presque d'être prêt et de rester au matin.

Tu étais prêt. Je ne le réalisais pas encore entièrement, c'était étrange. Ton sourire, ta voix, tout m'affirmait que tu étais prêt et que t'avais envie de le refaire avec moi... J'étais si heureux! « Tu vas voir... je vais être doux, d'accord? Je savais bien que ce n'était pas ta première fois, mais bien ta deuxième avec moi. Mais je voulais te rassurer quand même, que je ne te ferais aucun mal, que je ne te ferais que du bien, ne te procurerais que du plaisir, et serait doux, patient et attentionné dans toutes les caresses que je te porterais. Tu avais retiré ton t-shirt et nous avais entraîné sur mon lit. Je souris en sentant la chaleur qui s'installait entre nos deux corps. Nous nous embrassions fougueusement, comme deux vrais envieux. Tu me rendais fou, c'était incroyable. Pendant que tes mains parcouraient mon dos, , je parcourais ton torse du bout des doigts. Je lâchai tes lèvres pour venir murmurer d'une voix rauque près de ton oreille : « Laisses-toi faire, pour tout de suite... » Je voulais m'occuper de lui avant qu'on ne s'occupe de moi. Je ne voulais pas aller trop vite, non plus. J'espérais juste qu'il se laisse faire...

Je te répondit par un signe de tête affirmatif quand tu me dis que tu allais être doux. J'étais angoissé par cette chose que je n'avais connu qu'une fois avec toi. L'amour, avec un homme. Ça semblait si étrange, si inconnu et à la fois si naturelle et excitante avec toi. Tu me murmuras alors au creux de l'oreille que tu voulais que je me laisse faire. Je te répondis de la même façon.

"D'accord, fait ce que tu souhaites, je suis entièrement à toi."

Je reposais mes lèvres sur les tiennes dont j'adorais le goût. C'était simple, je ne pouvais pas m'en passer, c'était addictif,t'étais mon addiction, mon attraction. J'étais tellement attiré par toi, ton corps si sublime, semblant avoir était taillé comme une statu grec. T'étais vraiment magnifique, surtout à cet instant et je te dévorais des yeux des que nos baisers stoppaient un instant.

"Lassa ... Je te promets cette fois ... Je partirais pas."

La magie du moment me faisait presque perdre mes moyens, mais je prenais soin de ne pas aller trop vite et de rester doux. Il fallait que je le sois, après tout, et je voulais l'être. Je t'avais dit de te laisser faire, et c'est ce que tu fis. Je te regardai avec un sourire aux lèvres, vraiment trop heureux de partager de nouveau un instant comme celui-là avec toi. Je posai ma main sur ta joue, que je caressai du bout des doigts un moment, avant de la faire descendre sur tes lèvres, sur la ligne de ton menton, descendant vers ton cou et y déposant quelques baisers envieux dans le creu de ton cou. Mes doigts continuèrent de descendre pour parcourir ton torse entièrement. Par moments, je te regardais dans les yeux pour voir ta réaction, et reprenais ce que je faisais. Je vins à poser mes lèvres sur ton torse, lui offrant tout plein de petits baisers, sur toute sa surface. Tout en continuant, tu me dis que tu ne partirais pas, cette fois-ci. Je ne savais pas quoi répondre, sinon que de continuer ce que je faisais. J'arrivai à la limite de ton pantalon : je n'étais pas sûr si je pouvais continuer ou non, même si tu m'avais dit que tu en avais terriblement envie. Je voulais ton accord de nouveau...

Tu posais ta main sur ma joue, et je te regardais avec un sourire qui voulait tout dire. J'étais tellement heureux d'être là, dans tes bras. Je changerai pas ma place avec quelqu'un d'autre. Même si j'avais fuis, même si c'était bizarre, j'y pouvais rien, c'était comme ça. Tu me rends dingue Lassa Kentwell, tellement dingue que j'ai l'impression que mon coeur va exploser quand tu me regardes, quand je te vois a demi nu, quand nous nous apprêtons à faire l'amour. Tes caresses me provoquaient des frissons tellement bons que j'en profitais en fermant les yeux. Tu descendais peu à peu sur mon torse que tu couvris de caresses et baisers qui me faisaient tellement de bien. Je me sentais vivant, plus vivant que la plupart du temps. C'était une sensation extraordinaire. Je passais mes mains dans ton dos pour te caresser du bout des doigts, te montrer que moi aussi, j'étais là pour que tu sois bien.

Tu ne semblais pas être réticent à ce que je te faisais. Heureusement. Je ne savais pas comment j'aurais réagi si ça n'avait pas été le cas. Si tu t'étais sauvé ou que tu m'avais repoussé en panique. Tu me semblais beaucoup plus détendu, et ça me rendait grave heureux. Je parcourais ton corps à moitié nu de caresses et de baisers, jusqu'à arriver à la limite de ton pantalon. Au début je me demandais si tu voulais que je cesse ce que j'entreprenais, mais tu ne me fis aucun signe l'indiquant. Alors, j'attrapai délicatement ton pantalon de mes deux mains pour te le retirer sans plus attendre. Je t'avais déjà vu nu, mais c'était comme si c'était une toute nouvelle découverte, à ce moment-même. J'étais terriblement bien avec toi. Toi, tu me caressais du bout des doigts le dos, et ça me rassurait également. Je te fis un sourire en relevant mon visage vers toi, me mordillant la lèvre inférieure une nouvelle fois, sachant que tu craquais chaque fois que je faisais ça, puis te regardai, alors qu'il ne te restais plus que ton boxer. Toujours en me mordant la lèvre, un peu par nervosité je dois l'avouer, je fis glisser mes doigts très doucement le long de ton boxer. « Tu es tellement beau, Luke... Si beau! »b] Oui il était beau, et je me plaisais à le découvrir entièrement comme cela... Je voulais qu'il sache qu'il avait un puissant effet sur moi.