red line, wagon n°2 ► impact moyen

Et je sais qu'on est plus beau dans les ténèbres, je sais qu'on les connais, les chorégraphies. On sait comment s'enchaînent les pas, on sait virevolter, danser, se révolter. On sait faire, mais désormais, j'ai besoin que tu me laisse de l'espace, j'ai besoin de mon solo dans le spectacle de notre vie. Abandonne moi ici, laisse moi choisir les mots, les pas, les idées, pendant que toi, de dehors, tu pourra prendre les paris. « Refusé. » Tu peux serrer, resserrer, tu sais que j'userais de tout pour te faire sortir. « Je sortirais pas sans toi. » Soupire, souffle, alors que le monde sort, essaie. Je refuse que ça se passe comme ça, si c'est la fin de mon histoire, j'ai pas envie que ce soit la fin de la tienne. « Ils vont venir, ils vont ouvrir ces portes, briser ces fenêtres. Ils vont venir te chercher, et je te suivrai. Je te lâcherai uniquement quand le médecin me foutra dehors. » secoue la tête ; "Arrête.." arrête de dire n'importe quoi, parce que je te foutrais dehors avant. Je ferais en sorte que tu me déteste, si ça peut te faire partir, si ça peut te faire rejoindre la sortie plus vite. « C'est toi et moi, jusqu'au bout. » et les yeux se posent difficilement sur le poignet, et ça fait ce pincement, ça m'aide pas, ça. « On abandonne pas quand ça devient difficile. » On s'abandonnera jamais, mais là, j'ai besoin que tu te sauves. C'est pas un abandon, c'est de la préservation. Tu vois, tu l'entends, la nuance ? « On abandonne pas. » et tu vois, je ne me battrais pas pour moi, je ne me débattrais pas contre mon corps qui souffre, contre ses hanches qui ne tiendrons que mal le corps, mais il y a une chose à laquelle j'ai toujours été forte ; me battre contre toi. Ce qu'on fait de mieux. Quand c'est trop calme, on sème le chaos, mais qu'est-ce qu'il se passe quand le chaos se sème autour de nous ? "Jasp'." et la voix est froide, elle s'amuse plus, Leandra. "Sors, j't'en prie, sors de là." parce que les flammes arrivent, que j'ai aucune idée de ce qu'il se passe dans le wagon d'à côté, mais que la fumée noire peut abîmer tes poumons. "Y a Jude dans ce wagon, et j'ai.. j'ai besoin de toi, pour Riley." Pour Aaron, aussi, mais je sais que la princesse a plus de poids dans la balance. "Tu sors et tu m'trouve un médecin, et tu reviens avec, ok ?" ça marche, cette histoire ? Est-ce que ça te donne de la motivation ? Assez pour me laisser ? Assez pour t'échapper ? Reste en vie, parce que de nous deux, t'es celui qui le mérite le mieux.

@Jasper O. Ellington

ok, c'est bien ses chats. qu'est-ce qu'il fait là alors ? il m'avait dit qu'il était à l'université, que ses gamins faisaient des recherchent... enfin gamins, je suis sûre qu'il doit y en avoir des plus vieux que moi.
il ne devrait pas être là ou alors je suis inconsciente depuis trop longtemps. sûrement. de toute façon, tout me semblait incohérent et ma propre conscience vacillait entre les songes et la réalité.
j'étais biaisée par la douleur, et je rêvais qu'elle s'apaise enfin. j'étais juste contente qu'il soit là. contente de pouvoir puiser un peu de force là.
son baiser dans ma paume me réchauffe et je pourrais me laisser sombrer dans l'inconscience, je suis entre de bonnes mains, non ? même si j'ai vu plus élégant que du sang et du vomi comme accueil.

sa main dans mon dos m'arrache une grimace mais ma tête tourne quand il place ses mains sous mes jambes.
je n'ai pas la force de protester mais ça fait un mal de chien. les larmes de douleur roulent et j'aimerais qu'il me pose, je me fais violence pour ne pas crier ma souffrance, même si je sens que je vais pas rester longtemps parmi eux.
ma cheville me fait tellement souffrir quand elle pend mollement dans le vide.
le périple jusqu'à la porte me semble durer une éternité et la nausée ne manque pas de revenir m'envahir.
je tousse quand il me pose en tapant ma tête contre le métal, posant mes mains sur le trou qu'a fait la barre. « markus. » que je chuchote pour qu'il puisse évaluer que ce n'est pas juste une barre qui est rentré de quelques centimètres... c'était passé au travers. mais j'ai pas la force, la douleur est si forte que ça irradie dans tout le corps. je pose mes mains sur la veste de kaiden pour tenter d'arrêter le sang.
je dois faire peur. « markus. » que je dis en tentant d'attirer son attention mais trop concentré à vouloir ouvrir la porte. à vouloir me sortir de là. l'inquiétude lui va bien.

la voix d'elvia résonne et j'ouvre doucement les yeux. elle crie. j'entends pas vraiment mais elle crie. un sourire quand elle s'approche de moi, m'essuie pour être plus présentable. « un amour. » que je dis à sa sollicitude de ne pas me voir paraplégique. j'enlève ma main pour qu'elle puisse faire état des lieux de mon trou dans la jambe. « plus bouger. gentille. markus. » que je dis en sombrant à nouveau.

trou noir.

Malgré mes années de moto et les chutes qui allaient avec, je n'avais presque aucune notion de médecine... Je l'avais déplacé parce que je voulais la sortir de là sans même me rendre compte que j'aurais pu faire pire que mieux.

M'acharnant sur la porte pour essayer de la faire s'ouvrir d'avantage, une voix me rappela à la réalité. Une voix que je ne connaissais pas. Me figeant un instant, je me retournais silencieux, mon regard passant d'une fille à l'autre. Merde, je n'avais pas pensé à ça... J'avais pourtant fait en sorte de la déplacer la plus délicatement possible.

Mais à situation exceptionnelle, réaction à la con. Mon sang ne fit qu'un tour lorsque je me pris sa réflexion... Tirant la porte d'un coup sec, je levais la jambe avant de mettre un gros de coup de latte dans cette dernière pour essayer de la faire sortir de son axe.

J'avais fermé ma gueule à la première réflexion mais la deuxième fut celle qui arriva à me faire sortir de mes gongs.

Si tu as encore assez d'énergie pour ouvrir ta gueule, va aider ! Les secours vont pas arriver se pointer avant d'avoir évacuer le premier wagon qui est en train de cramer !

Mon self-contrôle est aux abonnés absents... Il a du rester sur le quai avec les secours. Quelques coups de pieds dans la porte plus tard pour éviter que ça ne soit autre chose, le haut de la porte de droite fini par s'incliner vers l'intérieur alors que l'extérieur glissait lentement vers les rails. L'accompagnant vers l'extérieur, nous avions enfin une porte assez grande pour que les civières puissent passer. Mais la voix de Katja atteignit les oreilles et je revint rapidement vers elle.

Kat...

Elle revenait de reperdre connaissance... Ce n'est qu'à ce moment là que je vis le sang s'écoulait à nouveau que sa plaie.

Et merde...

Retirant la veste qui lui couvrait la jambe, j'arrachais un morceau du t-shirt que je portais avant de retirer le bandana que j'avais autour du visage pour essayer de faire nouveau garrot. Il fallait que les secours se pointent avant qu'il ne soit trop tard...

Je commence a essayer d'ouvrir la porte comme je peux, je vois un jour et en mode MacGyver, je fais mon possible pour pousser les porte. Je serre les dents, la douleur entre les mains de l'objet se fait sentir. Mais je me suis muscler et je veux aider les autres. Et durant l'accident les portent ce sont un peu ouverte par miracle.

Je cherche autour de moi et vois un extincteur, rapidement j'ai une idée. Je le prends et et le retourne et tape une partie de la porte avec le cul. Je fais cela pendant longtemps et je commence a être épuisé. Mais je revois l'image de mon père souriant et la force me revient. D'un coup je réussis a exploser ce que je voulais et les portes sont déverrouiller.

Je me redresse et pousse comme je peux, tant pis pour moi.

"A L AIDE , J AI BESOIN D AIDE POUR LES PORTES"

Brassard croisé de rouge autour du bras, tu te demande s’il est bien utile au milieu d’une telle pagaille. Tu vois la fumée qui se dégage du premier wagon, un peu plus au loin, quelque chose avait pris feu et ça n’était pas de bon augure. Les pompiers ne tarderaient pas à arriver mais d’ici là, quelle ampleur tout cela aura-t-il pris ? Certaines personnes ne pouvaient pas bouger et l’évacuation serait terriblement compliquée, tu le sais. Alors que certains s’affairent à tenter de débloquer les portes, tu t’avances vers le wagon complètement saccagé et laisse ton regard vaguer sur les différentes personnes. T’entends un type à l’avant crier de venir vous aider. Tu t’apprêtes à le rejoindre quand tu entends une voix t’appeler. Ta tête se tourne. C’est bien à toi qu’elle s’adresse, le brassard n’aura pas été vain. Tu reviens quelques pas en arrière et t’approches de la vitre légèrement éclatée. Il serait bien trop dangereux de t’y glisser. Hey, ça va ? qu’tu dis aux deux jeunes femmes. Question débile, vu leur état. Mais c’était important pour toi d’faire la discussion, les garder consciente. Un rapide état des lieux et c’que tu remarques en premier c’est le morceau de barre dans la cuisse de la blonde @Arwen Davenport . Pas joli joli. Il faut que ton amie s’allonge ! que tu dis à la première (@Dove Underwood) Sur le dos ! Tu précises, au cas où. C’était important ! Sa position actuelle n’allait pas l’aider bien longtemps. Tu dénoues le foulard que tu as autour du cou et tente de le glisser à travers les débris de verre. Est-ce que tu peux l’attraper ? qu’tu demandes à la jeune femme, espérant qu’elle pourrait se lever pour le récupérer. Adieu joli foulard à fleurs qui était l’un de tes derniers souvenirs de New-York et des gens qui t’entouraient à ce moment-là.

Résumé : Madeleine s'apprête à aider pour l'ouverture des portes quand elle est hélée par 2 femmes à l'intérieur du métro. Elle leur vient en aide, donnant les consignes de premier secours à distance.

"Un restaurant chic au minimum ouais. I'm a queen, honey" Tu ris légèrement. Mais tu te sens mal, terriblement mal. Tu as la sensation de pouvoir sombrer à tout moment et ça t'effraie. Tu te raccroches à @Dove Underwood toujours et encore à elle, tu t'oublies complètement. Et même si l'on peut penser que c'est admirable, ce n'est pas non plus la meilleure idée du siècle. "Priam. Prénom sexy, il est sexy ?" Ouais t'as besoin de te raccrocher au truc le plus bête et gossip du monde. Et ton amie vivant avec un beau mec, quoi de mieux ? Tu penses à Mikke, tu sais qu'il prenait le métro lui aussi. Le même métro... et ça, ça t'effraie terriblement. Pour ne pas paniquer, ton coeur se serre d'autant plus si bien que tu gémis de douleur. Tu as peur pour lui, peur pour Dove, pour Elvia... pour tous. Mais là où tu voyais l'état de Dove et ses amies, tu ne voyais pas l'état de l'homme pour qui ton coeur battait un peu plus chaque jour. Et encore une fois à penser aussi fort à lui, tu t'oublies. Tu oublies ton état bien plus alarmant que tu ne le laisses paraître. "Mikke. Il s'appelle Mikke. Il ronchonne beaucoup mais c'est sa manière de rigoler je pense." Te raccrocher à la moindre chose, le moindre détail. Tu trembles. Tu as froid mais chaud en même temps. L'infection commence à renverse la tendance, gagner la bataille. Tu transpires comme un boeuf mais tu as froid. Tu renfiles douloureusement ta veste alors que soudainement tu entends de l'agitation à l'extérieur. Des gens en dehors des wagons de précipitent à votre secours. Mais pour toi et Dove, qu'est-ce qu'ils peuvent faire ? Tu entends soudainement ton amie appeler quelqu'un, tu tournes la tête. La première chose que tu vois dans cette pagaille c'est le brassard rouge de @Madeleine Blanchard. Elle vous demande comment vous allez, tu ne réponds pas. Déni profond de ta douleur mais ça fait un moment que tu pleures silencieusement. La femme à l'extérieur te sonne de t'allonger. Et elle a raison. Mais toi, tu as l'impression d'abandonner Dove. Mais tu sais que tu dois au moins t'occuper un peu de toi. Alors quand l'inconnue tend son foulard à travers la vitre brisée, tu te décides à te lever. "J'y vais." De toute façon Dove ne peut rien faire. Tu manques de tomber plusieurs fois, tu étouffes tes cris de douleur contre ta manche et tu te rattrapes à n'importe quoi dès que tu te sens vaciller. Tu finis par attraper ce foulard. "Merci. Mon amie fait une fausse couche, on peut rien faire ici. Si... si je m'évanouis, tu pourras veiller sur elle ? Tu es la seule en qui j'ai confiance maintenant." Tu pointes vers son brassard. T'as seulement besoin de soutien, un seul soutien. Parce qu'après avoir noué le foulard autour de la plaie dans un cri, tu t'écroules au sol d'épuisement, la barre se claque contre une autre matière métallique, provoquant un bruit sourd alors que la douleur te plonge dans un état semi-conscient. Te raccrocher à quelque chose, n'importe quoi...

Je serre les dents et mon visage se durcis et mes plaies se ré-ouvres, du sang coule pour venir tâcher mes vêtements. Je tente de pousser comme je peux et toute ma force réussi a pousser un centimètre. Je pense a beaucoup de gens, Kimiko,mes enfants,mes chiens, mes proches.

Il est hors de question que je laisse les gens agoniser dans la douleur. Je force comme je peux et une porte s'enfonce un peu plus. Puis je me retourne vers l'autre et j'essaie, mais je n'y arrive pas. Je prends extincteur et tape contre la porte. Je vois que quelque chose ne vas pas. Il manquerait plus que ça.

"J'AI BESOIN D'AIDE, POUR LES PORTES C'EST URGENT."

J'ai peur du pire, pourquoi il faut que ça se passe comme ça? Je regarde autour de moi et je me demande si Jae est ici ou bien ailleurs.

ok va pour le resto chic pour la princesse arwen! je te souris, ça ne me dérange pas du tout de t'emmener au restaurant tu es une amie précieuse à mes yeux donc je le ferais avec grand plaisir. je te parle ensuite de mon colocataire et tu me demande directement s'il est sexy ce qui me fais rire ouais il l'est après c'est simplement un coloc je ne vois pas plus loin sauf pour de l'amitié. il pourra devenir un bon pote oui ça je ne me fais pas de doute là-dessus. tu me parle ensuite d'un mec, un crush et lorsque j'entends mikke ça me fais bizarre. j'en connais qu'un et c'est le mikke de alice, disons qu'elle l'aime beaucoup et il l'a pris pour une conne donc je n'ai pas envie qu'il t'arrive la même chose. il est comment ce mikke? avant de te dire les choses je veux être sûre que c'est bien le même. je vois ensuite des personnes de l'extérieur qui viennent pour tenter d'ouvrir les portes et je vois une femme(@Madeleine Blanchard) qui a un brassard je l'appelle directement pour qu'elle nous aide et elle s'arrête pour nous parler entre une vitre brisée heureusement qu'il existe encore des bonnes personnes de nos jours. @Arwen Davenport attrape le foulard et je vois qu'elle vacille en même temps tiens bon arwen, cette femme va nous aider. j'en suis sûre et j'espère que d'autres personnes nous aideront aussi. moi j'ai simplement besoin d'aller à l'hôpital, je souffle un bon coup et je pose ma tête contre un siège.

La situation était critique et il fallait intervenir au plus vite pour aider un maximum de monde et faciliter le travail des urgentistes qui étaient en chemin. Mais Owen n’avait-il pas dit qu’ils étaient déjà en route quelques minutes plus tôt ? Bon sang, tu avais perdu toute notion du temps. Quelle avait été la durée du passage d’Owen et son amie chez toi ? Court, rapide, pas très long. Certainement, oui.. Tu te retrouves à aider à distance ces deux jeunes femmes dont la situation de la blonde t’apparaît très clairement. Tu vois la blonde (@Arwen Davenport ) se lever pour venir récupérer ton foulard. Tes yeux s’arrondissent comme deux gros litchis. Non, toi tu restes allongée ! que tu l’avertis. Mais trop tard, elle tangue déjà en essayant d’attraper le foulard. Tu ne vas pas t’évanouir ! que tu commences par l’avertir, incapable de faire quoi que ce soit pour son amie (@Dove Underwood ). Tout c’que tu pouvais faire, c’était pour cette fille-là, secourir au minimum de là où tu étais. Maintenant noue ce foulard au-dessus de ta cuisse, fort ! Très fort ! A défaut d’arrêter l’hémorragie à cause de cette vilaine barre, vous alliez comprimer l’artère entre la plaie et le cœur. C’que vous faites c’est très bien les filles. Rallonge-toi, c’est important. Rallonge-toi et continuez de parler. Ne fermez surtout pas les yeux, je vous l’interdit ! Tu hoches la tête d’un regard entendu avant de poser les yeux sur les autres personnes, blessées pour la plus part, pire pour d’autres. La mort en avait fauché plus d’un. Je vais à l’avant du wagon pour tenter d’ouvrir les portes ! Ne paniquez pas, restez calmes et.. éveillées ! Je vous retrouve dès que je le peux ! Et sur ces paroles, tu retires ton bras d’entre les morceaux de verre de la vitre, te griffant au passage, et rejoints l’asiatique (@Yan Jyun Jang ) qui hurlait qu’on l’aide en tapant contre la porte avec un extincteur. C’quoi ton plan ? que tu lui demandes en le regardant, sans vraiment comprendre comment il comptait débloquer ces fichues portes !

résumé : Madeleine continue d'aider Arwen et Dove avant de les laisser pour rejoindre Yan et tenter de débloquer les portes du tram