red line, wagon n°2 ► impact moyen

Enfin une personne enfin, tu dis un gros stop sans te rendre compte. Puis tu la regarde et tu lui dis .

"La porte est beaucoup toucher, elle risque de tomber si on l'a touche, le choc a fait décrocher des pièces de la porte. Il y a des blesser autour de moi. Une porte comme ça pèse lourd. Et si elle tombe sur quelqu'un un mort pour coup sûr."

Comment je sais? J'ai déjà vécu un accident du même genre en corée et par chance je suis vivant. Je regarde autour de moi et me demande ce qui pourrait tenir la porte pour éviter qu'elle tombe, mais rien n'est assez important.

"Il y a une femme avec la mâchoire fracturé et une plaie ouverte à la jambe. Aussi deux cas important. Il faut sortir les cas important...Coéquipière"

Je vois son brassard et même si je parle avec des lacérations sur mon visage et du sang sécher près de mes lèvres. Je vais bien, bien grâce a mon amie d'enfance qui est importante pour moi.
Puis un souvenir me reviens...Mes enfants...Ils avaient une sortie.

"Tu as été que dans ce wagon?"

La situation était hors de contrôle et j'avais peur de perdre patience, de ne pas réussir à te sortir de là. Alors quand un homme venait me rejoindre, pour m'aider à te sortir de là, la jeune femme qui était à tes côtés décidait de retourner auprès de Katja. C'était pas plus mal. Mais en attendant, les sièges ne bougeaient pas et je te faisais face, alors que tu étais inconsciente. Cette vision, tu n'imagines même pas à quel point elle peut m'ébranler. Je peux pas te perdre, pas comme ça, pas aussi vite. On vient à peine de se mettre ensemble, à peine de connaître la joie d'être enfin tous les deux. Tu peux pas me quitter. « V'... » que je disais en essayant de tirer le siège qui te bloquait, te compressait. Et je me souvenais du gars à côté de moi, celui qui proposait son aide. « Ta main valide, tu peux tirer avec, tirer avec moi en même temps histoire de voir si elle peut se sortir de là... » Enfin, faudrait qu'un de nous la tire donc au final, le fait qu'il soit blessé n'aidait pas vraiment. Te regardant alors, toujours dans les vapes, je tentais d'y mettre toute ma force. « Alleeeeeez ! » criais-je presque, remarquant alors que les sièges bougeaient un peu et me donnant alors la force de continuer de nouveau. Dans un ultime effort, je tirais une dernière fois de toutes mes forces jusqu'à voir que tu pouvais être libérée. « Tiens moi ça ! Je dois la récupérer ! » Et j'espérais qu'il n'allait pas lâcher les sièges. Lâchant doucement pour qu'il puisse rester au même niveau, je faisais au plus vite pour me mettre sur le côté et te récupérer afin de te libérer. Et une fois que t'étais hors de cette cage de malheur, je disais à ton ami « Tu peux lâcher c'est bon » que je disais soulagé alors que tu étais dans mes bras et que je t'allongeais doucement, pour éviter le moindre souci avec ta santé. Je ne voulais pas te rendre paraplégique, si jamais tes blessures pouvaient t'y pousser. « Veia, Veia... c'est Alex, réponds-moi... s'il te plait bébé, réponds-moi » que je disais en te mettant quelques petites claques légères sur le visage, pour essayer de te réveiller.

Je sens de l'air et je me recule et vois une porte ouverte. Doucement je prends Kimiko dans mes bras et la colle contre moi. Je marche doucement, ma respiration est forte, mais avoir Kimiko contre moi, m'empêche de tousser. Je la regarde dans les yeux un instant.

"Je veux que tu restes dehors, attends les secours. Je vais mettre sur ton bras ce que tu as, soit courageuse comme au bizutage. Souvient toi, le cerveau est traitre, si tu as peur, tu ne pourras pas te calmer. Et je te promets de prévenir seulement si tu souhaite ta famille. Si ton ex se pointe je lui dirais que tu n'as rien eu est que tu es chez toi."

Je la dépose doucement sur les sièges, puis j'écris sur son bras "fracture de la mâchoire". Après je l'embrasse sur le front et lui caresse le visage doucement. Puis je pars rapidement vers les portes. Je regarde et je vois le couple et je sors vite et appelle l'infirmière.

"J'ai besoin d'aide ici c'est urgent"

Je rentre doucement et m’accroupis et je regarde la personne.

"Calmez-vous les secours vont arriver. Respirez doucement."

Je regarde son pouls pour voir comment il s'en sort. Je ne pense pas que je le sortir comme ça. Il me faut l'avis de l'infirmière et d'autres.

Les minutes défilaient à une vitesse fulgurante et je n'aurais pas su dire depuis combien de temps j'avais sombré dans la noirceur.  J'avais imploré Elvia d'appeler Alex en lançant mon dernier souffle. Puis j'avais senti de l'air, une grande bouffé et ma poitrine semblait revenir à la vie. Je ne sentais plus cette affreuse douleur qui me compressait complètement. Mais le mal était fait au niveau de mes côtes. Il avait cette voix qui m'appelait aussi. Cette douce voix bercée par un amour grandissant dans ma poitrine. Mon Alex que j'aurais pu reconnaitre entre mille. Puis des petits coups sur mes joues avaient raison sur ma tête qui avait sombré. Une grande bouffé d'air rentre en bourrasque au creux de mes poumons et je tousse plusieurs fois. Mon visage se crispe de douleur par mes côtes abîmées, puis j'ouvre les paupières difficilement, aveuglé par la lumière et les gens qui s'agitent. «Alex...» Ton nom est lancé d'une voix rauque et difficile. Et si le paradis c'est ici et qu'on est réuni, je préfère y rester plutôt que de retourner sur terre. Je tente d'ouvrir mes saphirs à nouveau et je dessine un autre visage. Je pousse un mince sur mes lèvres sourire soulagé «Kai...» Mon petit nuage a survécu ou bien il flotte lui aussi ? J'en sais rien, mais la vision est belle. Et kat ? Je me concentre sur le visage d'Alex et je dépose mes doigts sur sa joue, frôlant sa barbe. Je goûte de nouveau au sang séché sur mes lèvres et je me crispe en sentant la douleur m'envahir encore une fois. «T'es là...t'es vraiment là.»  Comme quoi que tu avais raison, tu serais toujours là. «T'es venu me sauver.» Mon sourire s'étire davantage et même que j'ai envie de rire légèrement. Quelques larmes perlent au creux de mes prunelles, les émotions reviennent à la charge, comme le bonheur de te voir dans la lueur, accordée d'un foulard sur le nez. À ce moment-ci j'aurais envie de te faire la plus grande déclaration, tant j'ai eu peur d'y passer, mais je me retiens t'admirant comme tu es. «Me lâche pas...brave chevalier» Parce que sur le coup je l'avoue j’ai peur que ce ne soit qu'un rêve et que je sois toujours prise entre ses deux sièges. Mais il est là mon petit geek venant au secours de sa princesse.


blessure : T'es coincé entre deux sièges qui compriment tes membres et rends de plus en plus difficile ta respiration + crâne fendu en avant près du front suite à l'impact + choc à la tête

Il se prenait pour qui lui ? À me gueuler dessus comme ça. J'avais une terrible envie de lui rentrer dedans. Mais c'était déjà le chaos autour de nous alors rajouter une bagarre dans ce bazar ce n'était pas une très bonne idée. Mon regard noir ne le quitte plus. C'est lui qui avait été assez con pour déplacer Katja sans se dire qu'il pouvait la blesser. À vie. Alors ses remarques à la con ils pouvaient se les garder.  La sorcière entre mes bras était à moitié consciente. La douleur devait la mettre dans cet état. J'étais bien heureuse de me retrouver avec un simple nez cassé.  Je me retrouvais complètement perdue dans cet évènement. Je ne savais pas quoi faire. Je voulais aider mes amies mais je ne voulais pas aggraver les souffrances qu'elles avaient déjà.
Je voyais Markus taper dans les portes pour essayer de les ouvrir. J'espérais qu'il y arrive. Qu'on commence enfin à voir une sortie. « Ma grande gueule t'auras au moins permis d'avoir assez de rage pour ouvrir ces portes à la con. » Petit sourire taquin. J'aurai aimé le rencontrer dans d'autre circonstances. Mais on remettra ça à une autre fois. Je le regarde s'approcher de nous alors que Katja resombre dans le coma. Sa tête sur mes cuisses. Maintenant son visage entre mes mains. Le brun essaye de faire un garrot au niveau de sa cuisse pour éviter que le sang continue de  couler… « Putain… J'espère qu'ils vont bientôt arriver les secours…  »

blessure
Tu t’es mangé la barre pour se maintenir en pleine tête, ton nez est cassé.

@Katja LeNoble @Markus Oberyn

Comprendre comment comptait s’y prendre cet homme et pourquoi personne ne venait l’aider. Tu n’étais pas certaine que son plan soit le meilleur mais soit, t’étais prête à l’aider. Jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’une porte était ouverte, un peu plus loin. Ah oui, ceci expliquait surement l’absence d’aide autour de cet homme. Eh, tu venais d’arriver sur le quai et l’horreur te remplissait les yeux plus que la logique. Tu suis l’asiatique (@Yan Jyun Jang) et pénètres dans la rame de métro par le petit espace maintenu ouvert. Faire attention de n’pas te blesser, faire attention de ne blesser personne davantage par maladresse. Ton regard se porte sur les deux jeunes femmes aidées précédemment. (@Dove Underwood @Arwen Davenport ), elles avaient l’air de continuer à discuter et t’espérais que ça suffirait à les tenir éveillées le temps que les secours déboulent. L’asiatique revient te chercher, te demandant de le rejoindre pour urgence. Tu lèves les yeux au ciel. Tu as envie de lui rétorquer que tout est urgent, que chacun mérite le plus vite possible de soins avant qu’il ne soit trop tard. Mais tu te retient, gardant ton calme pour avancer adroitement et rejoindre deux jeunes hommes balafrés par les morceaux de verres. Hey, les garçons. que tu dis, t’accroupissant devant eux. Un rapide état des lieux : le nez de celui dont les cheveux sont plus courts (@Lukas O. Spritz ) semble cassé mais le sang ne s’écoule plus, un bon point. Tes yeux s’arrêtent sur l’était de ses mains. Tout de suite, tu ouvres ta petite boîte à soigner pour en sortir une paire de gants que tu viens faire claquer autour de tes doigts. Je suis Madeleine, je vais te bander les mains pour éviter que les coupures ne s’infectent. C’était le moins que tu puisses faire. Si certaines coupures semblaient superficielles, d’autres nécessiteraient surement quelques straps et tu n’avais rien qui le permettait avec toi. T’es avec nous ? Parle moi. Hey, hey, garde les yeux ouverts. Tu voulais garder le contact, le garder conscient, à tout prix. Ton regard se porte ensuite sur son ami (@Neal T. Hood ) : tee-shirt lacéré par les éclats de verres dont certains c’étaient logés dans son torse. Je vais m’occuper de lui, essaye de rassurer celui là. que tu souffles à l’asiatique (Yan) en désignant l’autre homme qui semblait enclin à une crise de panique.

Résumé : Madeleine fini par rentrer dans la trame et suis Yan pour aller s'occuper de Lukas et Mael.

Faudrait trouver le temps d'arrêter de se battre, se dire que pour une fois on pourrait être d'accord. C'est à celui qui restera le plus longtemps dans le feu, celui qui résistera. Ce ne sont plus des vêtements qu'on hôte, des souffles qu'on impose, ce sont des peaux qu'on incise. Troque les frissons contre le sang. C'est bien moins drôle, quand la seule chose qu'on peut perdre c'est une vie. Sauf que tu vois, le jeu, il existe que si on est toujours deux à la fin. Sans toi, la victoire et la défaite ont la même saveur. "Sors, j't'en prie, sors de là." L'esprit ne débat même pas, lui qui aime tellement ça. Tous les arguments sont dans la même colonne, la tienne. "Y a Jude dans ce wagon, et j'ai.. j'ai besoin de toi, pour Riley." D'accord, y a un seul argument. Deux, avec Junon. Mais, Salomée saura s'en occuper, sûrement mieux que moi. La gorge se racle, l'odeur de fumée attaque les parois. Les répliques ne sont que des murmures. « Riley a besoin de toi. Elle a besoin de sa mère, alors tu t'accroches. » De vous. Jude réussi à se déplacer, il sortira de là. C'est comme ça avec les mauvaises herbes, elles sont résistantes. Puisque nous ne sommes fait que d'épines, que les années ont épaissi le cuir de la peau, on se sortira de là, pour mieux survivre aux prochains obstacles. "Tu sors et tu m'trouve un médecin, et tu reviens avec, ok ?"La tête dit non, mollement, les yeux mi clos. La serre encore un peu contre lui. « Je partirai pas, j'suis désolé. » De l’égoïsme, de pas être foutu de faire un choix raisonné, complètement dompté par un battant trop présent. La vérité, c'est que j'aurai laissé personne derrière, et que sa propre vie n'a parfois pas beaucoup de prix. Peut-être parce qu'on se croit invincible ; idiot, à se persuader que la fin n'aura jamais l'audace de venir l'enlever. Et, quand l'espoir se barre doucement, sur la pointe des pieds, les portes finissent par s'ouvrir. « Leandra regarde, ils sont là. » Ces gens pas fracassés, qui vont pouvoir nous sortir de notre cage brisée. Replie l'une de ses jambes, pour essayer de se grandir en se redressant contre la paroi. « PAR ICI ! » Le problème c'est qu'il arrive plus à hurler vraiment, et que les quelques secours intervenants s'occupent aux plus urgents. Il y a trop de plaies à soigner, pour pas assez de mains. Alors, il glisse à nouveau contre la paroi, reprenant sa place, étourdit par l'effort. L'esprit s'embue. Le cerveau est farceur, puisqu'au milieu de ce film dramatique, entre deux personnages blessés, au milieu de la fumée épaisse, se dessine l'ombre d'un passé. Un air, peut-être, une manière insolente, d'une gamine calqué sur une femme. Les paupières qui allaient s'éteindre s'ouvrent en grand. Une urgence bouscule la torpeur, et les idées se percutent dans l'esprit fatigué. Il faut gérer la douleur, la peur, il faut gérer le fait qu'il hallucine sûrement, que le cerveau le prépare à la veille en lui envoyant des images rassurantes. Le jour venu, dans ces images là, il y aura elle. « Madeleine. » C'est suffoqué, trop bas. Alors il répète, encore, encore, les lettres se faisant enlever dans les râles de douleur.
@Leandra T. Carreirao @Madeleine Blanchard

Dans d'autres circonstances, le premier contact aurait pu être différent mais dans la panique et le chaos environnant il y avait des choses qu'on ne pouvait pas se permettre. Défoulant ma frustration de ne servir à rien, ma rage d'avoir fait une erreur couplé à la réflexion de la gamine, la porte finie par céder pour laisser rentrer l'air presque vicié qui se trouvait dans les tunels. Prenant une grande inspiration pour essayer de calmer l'adrénaline pulsant en moi, je me surpris à esquisser un léger sourire. Ouais, elle avait raison, c'était un peu grâce à elle que la porte était ouverte. Revenant vers les filles pour essayer de faire un soin de fortune, je me rendis compte de ma propre impuissance... Je n'y connaissais rien en premier secours. Levant la tête, je regardais autour de nous pour chercher quelqu'un qui pourrait nous aider, tout en maintenant la pression sur sa jambe pour que le sang cesse enfin de couler.

J'espère qu'ils enverront assez de monde...

Et soudain un éclair me traversa l'esprit. Levant les yeux vers la jeune femme en face de moi, je lui posais la question.

Tu as du réseau ?!

Ne voulant pas retirer mes mains de la blessure de peur de la voir à nouveau couler. Sous terre, j'avais des doutes mais avec la nouvelle technologie, c'était peut être possible.