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Et si je t'...[emmenais] | Andréa && Bat

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Bon d’accord, c’était nul d’utiliser les filles, mais il voulait le meilleur pour la famille Jones, car même si il ne savait pas ou il allait avec Andréa, il s’en moquait un peu tant qu’il la rendait heureuse pour commencer c’était son plus grand bonheur, et si en plus elle pouvait gâter les jumelles. Mais il n’avait pas les mots juste pour exprimer ça, mais après tout sa maladresse le protégeait peut-être de se laisser totalement aller dans les bras de la jeune femme. Bat resta près d’elle. « Excuse-moi Andréa, je ne me servirais jamais de tes filles, ou je ne ferais jamais de chantage avec tes filles, je pensais juste que ça t’aiderai de savoir que j’étais là, si un jour tu avais un souci. Et ta sœur, je sais que je mérite qu’elle me déteste et je ne lui en veux pas, je m’en veux a moi !» Batiste s’éloigna un peu de la jeune femme, il savait qu’il avait dit des bêtises en deux phrases et se rendait compte qu’il devait aller doucement et a pas de souris avec elle pour essayer de retrouver de la complicité pour commencer mais il commençait a avoir du mal a être a la fois distant mais présent, puis il se reprit une deuxième fois a parler des filles de la jeune femme. Il souffla doucement avant de s’assoir par terre et de lui répondre en la regardant d’en bas. « Andréa, j’adapterai tes horaires en fonction de ce que tu désires, je suis l’architecte du chantier, tu feras le nombre d’heure que tu veux et en ce qui concerne ta capacité a être qualifié, je t’aiderai a être qualifié…et … Je ne veux pas passer avant tes filles, je pensais que tu l’avais compris ça, mais apparemment tu me vois toujours comme un conn*rd, incapable de te voir avec tout ce qui va avec, très bien prends le ainsi ! » Batiste se coucha sur la couverture qui était déjà sur le sol avant de tourner le dos à la jeune femme, il était un peu fâché de ses dires ainsi que de la réponse de la jeune femme, finalement c’était peut-être mieux avant, quand il ne savait pas que la jeune femme était si près de lui, après avoir réfléchi, il se mit sur le dos et regarda le plafond avant de poser son regard sur la jeune femme, en passant il regarda sa montre il était déjà vingt-deux heures. Il se rassit en tendant la main à Andy, a peine avait-elle touché la main de Bat qu’il l’attira entre ses jambes avant de lui dire doucement. « Andréa, je suis désolé, je ne sais pas ce que je peux dire ou faire avec toi, je veux juste que tu sois heureuse ainsi que ceux que tu aimes, mais si tu le désires, je n’aborde plus jamais tes filles comme sujet, après tout, je ne suis personne… » Batiste n’excercait aucune pression pour que la jeune femme reste entre ses jambes, elle était libre de partir ou de faire autre chose, elle était totalement libre.
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Batiste & Andréa


Il utilisait mes filles comme prétexte et mon âme de maman que j’avais acquéri bien vite en durant les deux années qui précède me faisait réagir plutôt brutalement. Batiste ne tarda pas à me présenter ses excuses, m’expliquant qu’il voulait juste dire ça pour m’indiquer qu’il est là pour moi, il ajouta également qu’il s’en voulait, que ma sœur avait de bonne raison de le détester… je réfléchissais à ses précédente paroles, à mes précédentes paroles, j’avais été sèche, et dure, je ne pensais pas réagir ainsi, je suis bien plus sensible que je ne le pensais envers mes filles. Il se détachait de moi et or mi le froid de mes paroles je ressentais comme un vide de son écartement, car je savais que c’était du à mes paroles. Je lui répondis alors :
-Oui je suis un peu sensible sur le sujet, je m’excuse également je n’aurais pas du réagir comme ça ! J’apprécie l’attention de tu nous porte, merci Batiste.
Et puis on parlais du boulot qu’il me proposait jusqu'à ce que tout s’emballe lorsqu’il vint a parler du fait qu’il ne passait pas devant mes filles, il pensait que je le voyais toujours comme un connard, il se braquait et je ne savais que faire, car ce n’était pas ce que je pensais, je n’avais pas cette confiance d’autre fois mais je ne serais pas à côté de lui si je pensais encore qu’il n’était qu’un simple connard, en réalité ses paroles me laissait sans voie, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il s’emporte comme ça d’un cou, je faisais des gros yeux, et une tête dépité mais il n’en voyait rien. En effet il venait de s’allonger sur la couverture dos à moi, j’avais croisé mes mains et les avait posé entre mes jambes étant assise en tailleurs, je le regardais, l’observant, ne savant que dire. Il finit alors par se mettre sur le dos à regarder le plafond, je me mordis légèrement la lèvre ne savant toujours pas quoi dire, puis son regard se posa sur moi, il me tendit la main et je m’en saisi alors, mais pas le temps de dire ouff que je me trouvais entre ces jambes. J’avais peur, Batiste prenait de la place dans ma vie, dans celle de mes filles c’est certainement pout ça que j’avais réagit comme ça, et pout ça que mon petit cœur battait si vite.
Il s’excusa encore, m’indiquant qu’il ne savait pas quoi faire ou dire, qu’il ne parlerait plus de mes filles, et qu’il ne voulait que mon bonheur, il n’arrêtait pas de s’excuser alors que ce devrait être à moi de m’excuser. Je posais ma main sur son torse et y infligeais une légère pression pour qu’il s’allonge, je me mis alors à côté de lui, je collais mon corps contre le sien, je posais ma tête sur son bras et mon bras sur son torse avant de dure :
Tu n’as pas à t’excuser encore Batiste, je… je t’ais promis une chance mais je ne cesse de te fermer les portes vers moi avant même de les avoirs ouverte, je me suis toujours protégé et c’est plus dure d’arrêter qu’on ne le pense !
Je portais mon regard au sien avant d’ajouter :
-Mais je ne te vois plus comme un connard depuis un moment batiste, je ne serais pas dans tes bras en cet instant sinon ! Il m’est plus facile de te confier mes lèvres, mes bras que de te confier la personne que je suis, tu n’as pas à ne plus parler de mes filles, car mes filles c’est moi et c’est pour ça que je me braque, car c’est des portes que je ferme alors que je t’ais dis que j’essayerai de les ouvrir !
J’arrêtais de parler un instant, je fermais les yeux et inspira, avant de rouvrir les yeux et d’annoncer :

Il s’est passé pas mal de chose aujourd’hui entre nous, et là je veux juste être là contre toi, ne rien dire de plus, juste rester dans tes bras et profiter…voilà batiste, voilà ce qui me ferait plaisir !

(c)lili
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Pourquoi est-ce que la jeune femme s’excusa, mais il s’en moquait tant que lui était excusé c’était le principal et puis, il arrivait à comprendre plus ou moins ce que représentait les jumelles pour la jeune femme, mais il avait peur de ne pas y avoir sa place, d’être écarté de la vie de Jones pour ca, pour protéger ses filles ainsi qu’elle. « De rien Andréa… » Il n’avait rien d’autre a dire de plus, ni sur ses excuses ni sur l’attention qu’il lui portait, la belle avait tout dit. Puis il s’énerva un peu, son attitude n’était pas forcément acceptable mais, il en avait vraiment assez de faire tout pour lui plaire, ce n’était pas sa être honnête avec quelqu’un, elle était en droit de savoir ce qu’il pensait et éprouvait, quoi que le second pont était compliquée a exprimer pour le jeune homme. C’est sure qu’il s’en était pris des portes depuis qu’il l’avait revu, certain a juste titre et d’autre pour le plaisir de le remballer. Batiste se laissa pousser en arrière quand elle appuya sur son torse, il la regarda dubitatif ce demandant ce qu’elle voulait. Elle vint se poser a côté de lui en se servant de son biceps pas hyper musclé comme oreiller avant de poser son bras sur le torse d’Alexander, celui-ci alla doucement poser sa main dans celle de la jeune femme avant de continuer a l’écouter. « J’en ai assez de me prendre des portes, mais j’en prendrai encore longtemps si a chaque fois on se retrouve couché a deux dans un endroit magnifique comme ce soir ! » Il tourna sa tête pour voir le visage de la jeune femme avant de continuer a l’écouter parler sur le fait qu’il n’était qu’un connard et rien de plus. Il ne voulait pas que de ses lèvres, ou que de ses bras, mais il voulait le tout qui allait avec, les jumelles en faisaient évidement partie de la demoiselle, mais ca il aurait du mal a le dire ainsi, et il n’avait plus forcément envie de parler des filles, malgré l’autorisation de la jeune blondinette. « Andréa Jones, j’ai beau avoir vos lèvres, vos bras, je ne suis pas l’homme le plus heureux de la ville, je voudrai hanter tes pensées, te faire vibrer, trembler, sourire, vivre…Tes lèvres ont embrassées d’autres hommes, moi je suis près… » Batiste s’arrêta net, il ne se voyait pas poursuivre sa phrase et lui dire qu’il était près a prendre la jeune femme et les jumelles dans sa vie de tous les jours et de les gâter toutes les trois, c’était impossible de dire ça comme ça, c’était pour lui comme un aveu pour la jeune femme, qu’il pourrait regretter. Mais il sortit de ses pensées quand elle se remit a parler de ce qui c’était passée « C’est ta journée Andréa, tu es libre de faire ce que tu veux ! » Batiste fit un bisou sur le front de la jeune femme en la regardant dans les yeux. Le jeune canadien s’en voulait de n’être qu’un con et pas cet homme qui sait tout, qui dit tout bien, qui fait rever les filles, il était plus tôt du genre a faire des gaffes avec n’importe qu’elle phrase qu’un homme sure et séducteur dirait de façon a faire craquer n’importe qui, c’était pas son truc la drague, emmener une fille dans son lit était plus facile, mais il ne visait pas ca avec Andréa, il savait déjà ce que c’était de coucher avec Jones, mais il cherchait autre chose en ce moment en la regardant.
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Batiste & Andréa


J’avais décidé d’apaiser le tout, je m’étais bien trop fermé ce soir pour pouvoir m’ouvrir à nouveau, j’avais alors délicatement poussé son torse avec ma paume de main, son regard témoignait une incompréhension sur les éléments à venir, je le voyais bien et je dois avouer que ça me fit sourire, je m’allongeais à côté de lui, tout contre lui. Il posait alors sa main dans la mienne et je trouvais ça délicat, puis il m’annonça qu’il en avait assez de se prendre des portes, ce qui était tout à fait compréhensible mais c’était plus fort que moi, puis il ajouta qu’il était près à en prendre d’autre si cela signifiait que l’on allait être l’un contre l’autre comme ça dans des endroits magnifiques.
Batiste m’indiquait qu’il n’était pas l’homme le plus heureux de la ville, qu’il attendait bien plus de moi, qu’il ne voulait pas mon corps mais tout mon être, il voulait être l’homme qui fait battre mon cœur, celui qui hante mes pensée, celui qui rythme mes journées et mes nuits, il ne l’avait pas formulé ainsi mais c’est ce que ça signifiait, il voulait être l’homme de ma vie pour un instant voir plus, mais il allait me falloir bien du temps pour en arriver là… la preuve je parle toujours en je avant de parler en nous . Il s’était arrêté de parler et j’en avais profité pour dire que je ne voulais plus parler, je voulais juste qu’on soit là l’un contre l’autre et qu’on profite simplement de cet instant, il me répondit que c’était comme je voulais, il déposa ensuite un baiser sur mon front, je déposais alors un baiser dans son cou avant de sentir un frisson parcourir mon corps, je murmurais alors :
- Tu ne m’avais pas dit qu’il y avait une autre couverture ?
Je plongeais mon regard dans le sien, lui fis un sourire doux et délicat avant d’ajouter :
-Je passerais jamais toute la nuit sinon ! Ou alors en mode glaçon !
Oui j’avais finalement décidé de passer la nuit avec lui, sans rien faire, juste dans les bras l’un de l’autre, de toute façon becca était à la maison pour s’occuper des filles. J’espérais que ça ferait plaisir à Batiste, que ce serait une juste récompense après tout ce que je lui avais fait aujourd’hui !

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Bien sure que si il avait une seconde couverture, il se leva doucement et alla près de son sac prendre une seconde couverture, il la posa sur la jeune femme avant de venir se remettre a côté d’elle. « Je m’en voudrai que tu ai froid ! D’ailleurs si tu veux, il y a une ou deux loges qui possèdent un clic clac pour dormir. Je ne sais pas ce que tu préfères, tu as le choix entre le sol ou un clic-clac, tu peux même me virer si tu le désires vraiment » Bat mit bien la couverture sur eux deux avant d’aller remettre sa main dans celle de la blonde, il aimait jouer avec la main de la jeune mère. Ensuite il la regarda dans les yeux, sans plus oser rien dire, il attendait sa réponse pour savoir si il pouvait rester la ou déménager pour un mieux certainement, mais a vrai dire il s’ne moquait tant qu’il avait Andréa a moins d’un mètre de lui, c’était mieux que bon pour lui. Mais Batiste avait tellement de chose a lui dire, et en même temps aucune, ça se bousculait dans sa tête, que dire, que faire, il ne fit rien, il n’ouvrit pas la bouche, il était en admiration devant la jeune mère
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Batiste était partie chercher une couverture suite à ma demande, il la déposa sur moi avant de revenir contre moi et de m'annoncer avec des clic clac, il ajouta également que je pourrais le virer du clic clac si je le voulais je ne tardais alors pas à lui répondre:
- Entre le sol et un matelas m’ont choix est tout fait!! La loge sans aucun doute, même si j'ai la flemme de bouger, pour un matelas contre le sol je pense pouvoir y arriver!
Je lui fis un sourire, poussa délicatement la couverture, je remis correctement ma robe en place avant de me lever, et de le regarder attendant qu'il se lève et qu'il m'emmène donc jusqu’à là bas, je ne connaissais pas ce théâtre je ne savais donc pas où elle se situait et je n'avais aucun intérêt à y aller sans lui, j'avais finis par lui faire un petit sourire avant d'ajouter:
- la proposition de te pousser du lit est tentante, mais après j'aurais plus d'oreiller.
Je me mis à rire et me rapprochais de lui, le sourire au lèvres je vins déposé un bisou sur sa joue.

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Batiste sourit, donc ca serait clic-clac ce soir, c’était bon pour lui elle se releva avant que Bat, n’en fasse de même, puis elle lui dit qu’elle n’avait pas la force d’aller jusque-là, mais qu’elle ferait un effort, il prit les couverture puis la laissa s’approcher de lui en souriant, ensuite elle avoua le garder pour qu’il serve d’oreiller bien que l’idée était très tentante, il profita du bisou pour prendre la jeune femme en sac a patate et se dirigea vers le second étages des loges. « Mademoiselle, aime son taxi du jour ? » Alexander ouvrit trois portes avant de trouver le clic-clac, il l’ouvrit assez facilement avant de faire tomber la jeune femme dessus, il s’approcha d’elle « Est-ce que le lit de mademoiselle lui plait ? » Batiste se mit a la chatouiller avant de l’embrasser en se couchant a côté d’elle. Il lui caressa la joue en souriant de toutes ses dents. « Sache que je n’ai aucune envie d’être demain et de devoir te laisser partir a tes occupations. » Bat la regarda profitant de chaque instant passé avec elle, leur danse ensemble, la pizza a midi, les crêpes a quatre heures.
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Batiste avait profité d’un moment d’inattention, j’étais en train de lui faire un bisou lorsqu’il se mit à me porter comme un vulgaire sac à patate, je lui tapais dessus comme une fille peu le faire quand un homme se met à faire ça, puis il me demande si j’aimais mon taxi, je fis un mine boudeuse qui ne pouvais pas voir et lui répondis :
-Absolument pas !!!!
Il ne me reposa pas pour autant, nous avions passé un étage, trois porte avant qu’il me dépose sur le clic clac après l’avoir ouvert, il me demanda si le lit me convenait et je lui répondis :
-c’est déjà mieux que le sol !!
Puis il se mit à me chatouiller, je me tortillais dans tout les sens, puis il arrêta et m’embrasser avant de se coucher à côté de moi. Il se mit à caresser délicatement ma joue, et je lui rendais ses sourire, il m’indiqua par la suite qu’il ne voulait pas être à demain, je le regardais alors tendrement avant de lui répondre :
-Moi non plus…
Je rapprochais alors mon visage du sien, prenant appuie sur mon coude, je glissais ma main dans ses cheveux et vint embrasser délicatement ses lèvres.

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Batiste n’en a fait rien a faire de recevoir des coups de la jeune femme, il était habitué a en recevoir d’Ameline et de Grace, puis il sourit quand elle donna son impression sur le taxi avant de répondre. « Tant pis il n’y avait que celui-là de disponible pour vous a cette heure-ci, puis il est gratuit… » Evidemment que c’était mieux que le sol, mais il ne trouva rien de mieux que de la chatouiller toujours en gardant son sourire aux lèvres. Ensuite la jeune femme annonça que c’était mieux que le sol il fit un signe de la tête avant d’être très contente de l’entendre dire qu’elle ne voulait pas non plus être demain. Mais il la laissa venir poser ses lèvres sur les siennes, et prolongea tendrement celui-ci, sans vouloir l’arrêter, avant de finalement comme un accord de lèvre, s’écarter. « N’oublie pas que je te dois un séjour n’importe où, avec ou sans les twins, ca m’importe peu, demain on se quittera pour se retrouver, et puis tu vas venir passer quelques heures dans ma résidence. » Bat continua de lui caresser la joue avant de lui caresser le cou, l’épaule le bras, pour s’arrêter dans sa main. Il se rapprocha doucement d’elle pour lui tenir chaud avant de mettre les couvertures sur eux, il ne voulait pas rendre malheur la jeune blondinette .
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Batiste m’avait transporté comme un sac à patate, il me demanda comment était le taxi, je lui avais répondu que j’étais m’écoutant mais il rétorqua que c’était le seul de libre et gratuit ce qui me fit rire surtout qu’en plus il se mit à me chatouiller. Je n’ajoutais rien de plus a par que le lit était plus confortable que le sol, puis je vins poser mes lèvres sur les siennes il répondit tendrement à mon baiser avant que nos lèvres se sépare. Il en profita alors pour me rappeler que je lui devais un séjour avec ou sans mes filles où je voulais et que même si on se quittait demain on se retrouverait sans tarder. Il est vrai que je n’avais aucun doute là-dessus, je lui fis un sourire et lui répondis :
-Si j’ai le malheur d’oublier de toute façon je sais que tu me le rappelleras
Puis la main du jeune homme ne cessa pas de caresser ma joue jusqu'à se glisser délicatement dans mon cou, puis sur mon épaule ce qui déclencha en moi un délicat frisson avant que sa main ne continue de glisser le long de mon bras jusqu'à ma main. Puis il s’approcha de moi, je collais mon corps un peu plus au sien, glissant ma tête sur son torse, non loin du creux de son cou, et mon corps un peu plus sur le sien que la dernière fois. Puis je murmurai quelques derniers mots avant de fermer les yeux :
-Prend moi dans tes bras …

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