TG ☼ Let's play tonight and happy birthday Mulliez

Affalé comme un pacha sur le fauteuil presque collé au radiateur pour tenter de faire sécher mes fringues, j’aperçois une silhouette que connais trop bien. Le seul, l'unique, que dis-je le phénix du campus : Marin. Un large sourire vient aussitôt racoler mes lèvres. - La légende dit vrai, le meilleur pour la fin. J'attrape son plateau, surplombé par un gâteau qu'il n'avait évidemment pas fait lui même et j'ai à peine le temps de le poser sur la table qu'il secoue déjà le champagne avant de le laisser jaillir sur mon suvert encore trempé et mon torse tout juste sec. Décidément, ça devient presque de la persécution leurs conneries. Il paraît que c'est ma fête. Il ne perd pas une seule seconde pour la porter à ses lèvres et y goûter et au vu de son sourire, il a pas l'air d'être mauvais. Brut, comme on l'aime. Comme on les aimes toutes. Je lui arrache la bouteille des mains pour en faire de même avant de m'essuyer les lèvres du bout de la langue en ne manquant pas de lancer un regard insolent à Megara qui n'en rate pas une. - C'est dommage, j'étais déjà prêt J'hausse les épaules en lui montrant mon torse reluisant de mousseux. C'est sans aucun doute l'invité que j'attendais, en fait c'est même pas un invité Perol, c'est le suprême. Si il y a bien une seule personne au Monde avec laquelle je ne me comporte -pas toujours- comme un véritable enfoiré, c'est bien avec lui. Il me connaît depuis mes neuf ans, il sait tout du meilleur comme du pire et c'est bien dans le pire qu'on a toujours été les meilleurs. - Ecoute j'sais pas, ça s'est éparpillé. Certains baisent, y'en a qui se tape un défilé de basse couture et d'autres qui se branchent sur le balcon. Je lui fais un signe de tête en direction de l'amas de corps humains regroupés autour d'une cigarette. - Je les pousserai bien, mais ça fait désordre. Je relève les yeux vers Megara en laissant traîner mon doigt aux bords du gâteau pour en goûter la crème. - Ah, et une rouquine qui s'impatiente. Maintenant, la vraie fête peut commencer.

@Megara Berlusconi @Marin N. Perol

(Invité)

En pleine discussion avec Mila, t’entends une nana qui braille son nom de l’intérieur pour lui venir en aide et lui filer des fringues sèches. En même temps, si cette même nana s’était abstenue de se glisser sous la douche avec Basile, elle en serait pas là. Tu suis Mila du regard, tu la regardes passer la porte-fenêtre et t’abandonner à côté de l’autre tête de con (Gabano) que t’aurais bien envie de balancer par-dessus le balcon. Heureusement pour toi, toute une troupe débarque, chacune à son tour, pour le rejoindre ; t’attends pas plus de trois secondes pour dégager à ton tour et le laisser s’étouffer dans son harem. Ils peuvent bien faire ce qu’ils veulent, une orgie s’ils en ont l’envie, mais ce sera sans toi. Tu profites d’entrer dans l’appartement pour fermer la porte-fenêtre derrière toi et enfermer cette bande de singes sur le balcon, au froid. Un sourire provocateur au visage, t’offres ton plus beau doigt d’honneur en direction de Gabano, qu’importe qu’il y fasse ou non attention. Et une fois à l’intérieur de l’appartement, la tronche émerveillée par ton superbe coup fourré, tu lèves ta main en direction du dernier arrivé (Marin) en guise de bonsoir alors que tu files en direction du bar. Sauf qu’il te faut quelques secondes pour capter de qui il s’agit ; et à ce moment-même, tu peux pas t’empêcher de sourire comme une conne. « Il a enfin daigné se bouger le cul ce con. » que tu balances en t’approchant du couillon qui secoue sa bouteille comme un mongole. T’es pas trop fière que ce soit ton frère dans ce genre de moment, tu te demandes s’il a pas été adopté d’ailleurs. Et dès que Basile vient chopper la bouteille de champagne des mains de Marin, dos à lui, tu déposes brusquement tes mains sur ses yeux. « Devine qui c’est, le moche. » Tu lui laisses même pas le temps de répondre que tes deux mains viennent s’écraser violemment sur chacune de ses joues, faisant raisonner deux bonnes claques dans la pièce. Que c’est chou.

@basile mulliez @gabano wolfgang @marin n. perol @mila scorsese

(Invité)

Moi qui avait manqué une occasion de stalker des gens avec Holly, je me suis retrouvée toute seule dans le vent. Megara étant partie avec Basile, je fixe le vide un instant. Les gens sont tous partie chacun de leurs côtés et comme une conne, je me retrouve seule. Ça me fait rire, nerveusement un peu quand même, parce que Serah et Elliot sont parti depuis un sacré moment. Mais ça va, pas de jalousie, on est bien là ! Je contourne les gens pour me rendre à la cuisine, à la recherche d'un petit quelque chose à boire. Je me sers d'une bière qui trainait là, dans le frigo de chais-pas-qui et la décapsule pour commencer à boire.

(Désolée j'suis total larguée là, faut me sortir de mon ennuie mulliez - TG ☼ Let's play tonight and happy birthday Mulliez - Page 8 1881463262

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@Megara Berlusconi @Basile Mulliez @Holly Blackburn @Serah Bushnell @Elliot Maxwell

(Invité)

"c'est beau l'espoir mulliez" mais c'était pas demain la veille que ça arriverait. question de fierté. puis flancher, c'était perdre, pas vrai ? bref, j'avais besoin de fringue sèche. c'était juste pas possible là. j'allais pas rester comme ça, dégoulinante. j'avais déjà du mascara plein la tronche à un tel point où l'on pourrait me confondre avec un panda, j'pouvais pas continuer le massacre. alors ouais, mila à la rescousse s'il vous plait. ce serait mon super héros du soir, ni plus ni moins. et elle débarquait -plus vite que l'éclair- s'écrasant dans mes bras et venant voler un baiser au passage. est-ce que j'étais en train de prostituer ma bouche contre un tee shirt ? j'en avais l'impression. "j'pouvais pas te laisser t'écraser comme ça" puis elle avait déjà l'air sérieusement attaquée. c'était quoi cette jeunesse à être mort au bout de dix minutes ? la suivant jusqu'à sa chambre, j'ouvrais tranquillement la penderie fouillant un peu partout avant de saisir un jean et un top assez court. la simplicité avant tout. "tu crois je rentre mon cul dedans ?" on avait pas le même gabarit et vu nos différences de taille, j'aurais probablement plus l'air d'avoir un short qu'autre chose. même pas une réponse qu'elle disparaissait revenant quelques minutes plus tard alors que j'étais à moitié habillée. "arrête de me regarder comme ça mila, on dirait que tu vas me sauter dessus" wow, tout le monde était en feu ce soir. c'était presque étouffant d'être sous cette dose d'excitation générale. "c'est grave silencieux d'un coup, on devrait aller voir ce qu'ils préparent." sûrement un mauvais coup. parce que je les connaissais et que y en avait aucun qui se tenait bien. alors en rentrant dans le salon, y avait une petite chose (louve), qui semblait fière d'avoir enfermée un groupe dehors. sauf que dans le groupe, y avait dinah et holly. ptdrrrrrr, elle avait cru quoi ? que c'était la fête et qu'elle pouvait faire ce genre de chose ? lui mettant un coup d'épaule, j'venais débloquer la porte fenêtre passant ma tête à l'extérieur. "désolée, on fait apparemment garderie ce soir, paraît que c'est super drôle d'enfermer les gens sur le balcon"

@Mila Scorsese @Basile Mulliez @Dina J. Ricci @Holly Blackburn @Gabano Wolfgang

(Invité)

❝ Happy BirthdayBasile. ❞
TG & DINA.

T'as abandonné Basile, n'emportant que les misérables souvenirs auxquels tu t'accroches malgré toi, ou juste parce que tu le veux bien peut-être. T'embarques le tout avec toi, prenant le chemin du balcon en laissant derrière toi une hyène affamée, prête à tout pour dévorer sa proie. Basile. Visiblement, la rouquine (Megara), a une faim de loup ce soir. Beaucoup trop de soirs même. T'étais pas non plus du genre difficile comme meuf, mais pas désespérée, là est sûrement la différence. Sur le balcon, la clope entre les doigts, le regard qui dérive dans celui de Gabano, le verbe plutôt flatteur, il arrive à t'esquisser un sourire. - Tu t'faisais chier a ce point ? Que tu souffles en l'analysant de haut en bas, le regard un peu gourmand sur les bords. - J'peux toujours essayer de rendre ta soirée plus intéressante s'tu veux ! Que tu dis alors que tes yeux traînent en direction du salon, ne trouvant presque personne de vraiment intéressants. Ce serait pas difficile de la rendre meilleure. Une blonde (Holly), se ramène à son tour et sa voix attire ton attention. Tu te retournes à peine dans la foulée, la toisant rapidement avant de répondre.. - Non, t'es arrivé assez tôt pour ne pas encore déranger.. Alors, je t'en prie ! Sourire aux lèvres, tu lances un regard en coin vers Gabano, avant de balayer le balcon de ta main, la paume vers le ciel comme pour l'inviter à prendre place. Un ouragan passe sous vos nez, claquant la porte derrière elle en verrouillant la serrure, fière d'elle. Gamine perdue, ça en était presque ridicule, tu croises les bras en la regardant se noyer dans sa vulgarité et stupidité, un peu trop pour une si petite personne à ton goût. Tu pouffes un rire, haussant les sourcils alors que rapidement Ziggy débarque pour vous libérer, piquant l'autre pauvre meuf au passage. - Que veux tu, vous auriez dû mettre un videur pour les mineurs à l'entrée je pense.. Que tu rétorques assez fort pour que l'autre gamine (Louve), entende aussi.

©️ MADE BY LOYALS.

@Megara Berlusconi @Gabano Wolfgang @Basile Mulliez @Holly Blackburn @Ziggy Atkinson @Louve Perol

(Invité)

Let's play tonight and happy birthday Mulliez

feat. invités et leur invités

Megara suite à ma réplique décide de m'proposer un round 2 et sans me demander mon autorisation elle prend mon téléphone pour entrer son numéro avant de s'enfuir à l'intérieur. Je souris à la suivre du regard, son cul surtout j'avoue et répond à mon appel alors que du monde vient me rejoindre. Et dans ce monde, il a la belle blonde Dina. Cette fille? Elle a vraiment un charme fou et c'pour ça que la savoir ici, ça fait remonter l'ambiance d'un bon cran. "Un peu, disons que c'est pas tellement ma cam' et j'connais pas les principaux intéressés donc je m'en fou." ouais autant le dire hein, j'vais pas faire copain copain et la fête avec des gens que j'connais pas en faisant style on est ami depuis un bail. C'est là qu'elle me tend une perche et mon regard se pose dans le sien un sourire en coin s'élargissant dans la foulée "C'est une proposition qui donne envie." et me rapprochant un peu d'elle, c'est ce timing qu'à décidé de prendre Holly pour nous rejoindre. Dina insinue un truc qui me plait et en même temps qu'elle me regarde je tourne aussi les yeux vers elle d'un sourire qui s'élargit encore. Par politesse je tends mon paquet de cigarette à Holly d'un "T'en veux une?" quand soudain, Louve décide de nous enfermer tel une gamine en me faisant un grand fuck, ce qui m'amuse plus qu'autre chose puisque je pouffe brièvement de rire en la voyant faire "Elle est vraiment ridicule cette meuf." ouais, j'sais pas ce qui m'a pris ce soir là, la faute à l'alcool for real. Quelqu'un viendra forcément nous ouvrir en fait, so... bref. C'est d'ailleurs dans l'instant que Ziggy vient à notre secours "Y'a pas moyen de l'enfermer dans sa chambre avec une barbie?" que j'dis en parlant de Louve, ouais ça nous éviterait de devoir la surveiller.

@Megara Berlusconi @Louve Perol @Dina J. Ricci @Holly Blackburn @Ziggy Atkinson

Ma venue n'était pas vaine, puisque à peine les pieds chez le Mulliez, que son sourire s'élargissait, agrémenté d'une phrase des plus ravissantes. « Putain, tu as toujours su me parler, viens on va dans une chambre qu'on règle ça tout de suite. » répondis-je en riant, laissant le timbre rauque de ma voix s'envoler dans l'air, volatile, elle venait faire écho à celle de mon meilleur ami, Basile. Une gorgée à peine avalé que le jeune mather avait lui aussi soif, et vu son regard envers la rousse je ne savais pas si cela concernait le champagne ou bien la gente féminine. Quel séducteur, faîtes qu'il ne change jamais. Dire qu'il grandissait lui aussi, et tel un père, tu en aurait presque la larme à l'oeil, grand, vaillant, toujours en forme. Il avait été un premier soutien dans ta baisse de morale, je lui devais tout et ce depuis ma tendre enfance. Après tout, on avait fait la promesse suprême, celle du sang, stupidité enfantine qui avait finalement peut être un impact en y réfléchissant. « Ouais, des nazes quoi, ils savent pas ce que tu aimes. Bon, le gâteau t'as pas intérêt à le foutre à la poubelle sinon je te scalpe, mais vraiment. » Deux billets d'avions, en premières classes, ça revenait à une petite somme tout de même, un cadeau pareil ça ne restait pas au fond d'un tel sac. J'entends soudainement crier, et rire, mais un rire cristallin, et particulièrement familier. Louve ? Elle venait de fermer la véranda, piégeant avec elle, les personnes présentent sur le balcon. Je regarde la scène en ayant un rictus. Une vraie emmerdeuse. La mather se précipite finalement vers nous, heureuse, dans une euphorie communicative. « Ta gueule, et apporte moi des verres. » répliquais-je tout sourire, l'amour fraternel toute une histoire.

@Basile Mulliez @Louve Perol

(Invité)

J'envoie un baiser fictif et moqueur à Marin en guise de réponse. Et puis c'est Louve qui réapparaît brusquement, comme un vieux fantôme qu'on aurait préféré oublier, verrouillant la porte-fenêtre du balcon faisant du reste du groupe ses prisonniers. Fière d'elle, elle sourit et puis remarque enfin que son frère est là. Elle comprend vite, mais il faut lui expliquer longtemps à la Perol. Je les laisser se retrouver le temps d'un instant, trop occupé à savourer le gâteau de Marin qui est presque aussi bon qu'il est beau. Une vraie petite femme à marier ce type. Je les ignore, parce que j'ai pas envie de la voir. J'ai pas envie de lui parler. Pas après tout ça. Je lui donnerai pas cette satisfaction, j'en ai déjà bien assez fait. Elle n'a rien voulu comprendre ni même essayer de lire entre les lignes, mais moi, c'est le maximum que je peux donner et c'est à prendre ou à laisser. Elle l'a laissé et c'est tant mieux.

Marzia semble se réveiller d'un long coma, je la suis de près quand elle se dirige vers la cuisine pour se servir une bière et suis le mouvement. Je sors le Zippo de ma poche pour la décapsuler d'un geste maîtrisé, puis le range avant d'en boire une bonne gorgée. - Ça va toi ? Elle a l'air plus discrète que d'habitude et ça ne lui ressemble pas. La voix exécrable de Ziggy tinte derrière mon dos et quand je me retourne, elle est déjà en train de déverrouiller la porte. Quelle bonne samaritaine elle fait.. quand on la connaît mal. J'entends à peine leurs voix, mais je perçois quelques bribes d'agressivité à l'égard de Louve. Je grince déjà des dents, partagé entre le plaisir de la savoir mise à mal et la haine que ce soit d'autres que moi qui se permettent de le faire. - Viens, on y retourne. Pas parce que j'en ai envie, mais pour surveiller de plus près. Discrètement, je viens m'adosser contre la grosse poutre qui maintient leur bar en buvant une gorgée de plus, les yeux rivés sur la pièce. Je ne ferai rien, elle m'a assez répété ô combien elle était assez grande pour se débrouiller sans moi, qu'elle n'avait pas besoin de protection. Il faut pas lâcher les mots sans les assumer, même si je sens malgré moi, mes poings se resserrer. - Bon Marin, le cadeau il est où ? que je lance à mon binôme pour faire diversion.

@Marin N. Perol @Marzia S-Prada @Ziggy Atkinson @Louve Perol

(Invité)

L’air Marin a pour effet sur toi de faire ressortir ce petit côté emmerdeur que t’as, quoique pas foncièrement méchant. Et au vu des réactions des cagoles de la soirée, ça a le don d’en crisper certains. T’en tiens pas compte, toi, ça te fait plus rire qu’autre chose ; tu te contentes de jeter ton dévolu sur ton frère tout en snobbant le roi de la soirée (Basile) ; et quand il te balance que tu ferais mieux de la fermer et d’aller lui chercher des verres, c’est ta main qui vient incontrôlablement se claquer sur l’arrière de son crâne. « Oups, c’était plus fort que moi, scuze. » que tu balances vainement, un sourire malicieux scotché à tes lèvres. Puis finalement, quand t’entends l’énième mouton Gabano rabâcher la même chose à peu de choses près que ses garages à phallus, tu te retournes lentement vers lui. Et t’as ce sourire qui énerverait n’importe qui aux lèvres, tes cils battant comme si tu tentais de te dédouaner par avance de ce qui allait sortir de ta bouche. « Et toi, tu voudrais pas la fermer et t’enfermer à ma place dans une piaule avec les Barbie pétasses qui t’entourent, juste histoire de leur décoincer un peu le cul ? Ca leur ferait pas de mal de s’en prendre une visiblement, elles ont l’air frustrées les pauvres filles. Elles me feraient presque de la peine. » que tu lances d’une voix mielleuse, avec un brin de pitié, en haussant les épaules et les mains. C’est que tu penses à elles au moins, toi, elles te font de la peine à manquer d’humour et à jouer les mégères dans une telle soirée. T’as du mal à les comprendre. Mais qu’importe, tu finis par te retourner en lançant un dernier sourire hypocrite en leur direction, rapportant directement ton attention sur Marin. « Donc si j’ai bien compris, si je te pique ton lit cette nuit encore, tu t’en rendras pas compte vu que tu seras pas là ? Intéressant. »

@marin n. perol @basile mulliez @gabano wolfgang

(Invité)

j'étais pas le genre de fille qui piquait pour rien, qui ouvrait sa gueule à tout bout de champs pour tout et n'importe quoi mais ce genre de stupidité ? très peu pour moi. elle se rendait compte au moins qu'elle avait l'air misérable et totalement pathétique à lever son majeur comme si ça lui donnait un quelconque style. j'sais pas, fallait évoluer à un moment et si c'était pour s'adonner à ce genre de connerie, autant qu'elle reste chez elle plutôt qu'emmerder les grandes personnes. "une baby sitter tu veux dire" m'enfin, j'allais pas m'éterniser sur ce cas là autant inintéressant que pitoyable. y avait probablement des trucs bien plus intéressant à faire comme remonter un peu l'ambiance de cette soirée puisque tout le monde était en train de s'éparpiller. "laisse là, elle mérite pas qu'on s'intéresse à elle" pourquoi lui donner de l'intérêt ? elle était vulgaire à souhait et le prouvait une nouvelle fois avec le comportement qu'elle était en train d'aborder. j'levais les yeux au ciel parce que forcément, à l'entendre parler, ça donnait envie de sauter par dessus le balcon histoire d'échapper à la masse de conneries qui pouvait sortir de sa bouche. "tu sais petite conne, c'est pas parce que tu écartes les cuisses plus vite que ton ombre que tu dois mettre tout le monde dans ton cas. et tu sais quoi ? j'pense que je préfère largement passer pour la fille frustrée qu'être le garage à bite que tu es mais j'suppose que tu te rends même pas compte que pour la majorité présente ici, t'es juste une pétasse de plus." un beau sourire pour couronner le tout et va te faire foutre tiens. c'est pas comme si l'un de nous avions du temps à perdre avec toi.

@Dina J. Ricci @Gabano Wolfgang @Louve Perol

(Invité)

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