Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJally (+) Quand ta vie est détruite tu as besoin d'une épaule sur laquel pleurer. - Page 7
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Jally (+) Quand ta vie est détruite tu as besoin d'une épaule sur laquel pleurer.

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Avant qu'il s'en aille il avait voulu qu'on voit pour une garde partagé mais depuis son retour tout allait pour le mieux, il voyait sa fille autant qu'il le voulait et même si je lui en avais voulu pour son absence je n'avais pas pu trop le vouloir en sachant qu'il avait subit et que son absence n'était pas tellement voulu. "Tu sais que tu la verra autant que tu veut." On allait passer les fêtes ensemble, il verrait Zoé autant qu'il en avait envie, il fêterait l'anniversaire de Zoé avec nous et jamais il sera mit de côté de la vie de sa fille. "Tu as été absent un petit moment c'est normal qu'elle t'es manqué et elle est plutôt contente d'avoir retrouvé son papa d'amour." J'étais contre lui en sécurité en train de parler de ma fille donc j'étais bien mais toujours pas fatiguer pour autant, autant tout ce qui s'était passer état épuisant et pourtant le sommeil ne venait pas, j'avais peur aussi au fond et fermer les yeux pour me forcer à dormir ce n'était pas moi. "Non mais tu vois je suis comme toi, je ne suis pas fatiguer, j'espère que le sommeil viendra." Au pire j'irais dans le salon pour éviter de perturber son sommeil à lui.
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Il était vrai qu'avant ton départ, tu avais tenté de convaincre Sally d'établir une garde partagée pour vous protéger mutuellement. Elle s'était braquée, pourtant tu lui avais précisé que ça ne changerait en rien votre fonctionnement actuel. Toi, tu avais voulu te protéger de tes droits de père mais tu avais fini par comprendre qu'elle avait aussi cette crainte que tu finisses par imposer de respect à la lettre de cette garde partagée. Et là ça se comprenait aussi. Vous aviez fini par trouver un bon rythme, et même si rien ne garantissait que ça puisse perduré, tu faisais le pari d'y croire et bien faire les choses. Oui je sais j'ai plus de doutes là-dessus. As-tu assuré sincèrement. On en a fait du chemin.. As-tu ajouté en repensant aux débuts. Puis alors qu'elle te disait que ton absence jouait aussi sûrement sur ton lien actuel avec votre fille, tu ne cherchais pas à la contredire. Oui certainement. J'ai failli y passer aussi, et ça me travaillait beaucoup pendant que j'étais le Vermont. Ta première partie de rémission tu l'avais subie c'était certain mais tu n'avais cessé de pensé à Zoé tout au long, justement parce que le jour même de ton accident de ton statut de père avait beaucoup influencé tes comportements mais ça tu n'en avais pas parlé à Sally. Tu n'étais pas prêt à en parler, et encore moins à Sally. Y'a plutôt intérêt qu'il finisse par venir.. je sais que tu n'as pas dormi depuis un moment, et ça s'explique, mais ça finira par arriver. Après un peu de silence ou à force de discuter jusqu'à épuisement ? Difficile à dire. En attendant tu ne doutais pas du fait qu'elle soit fatiguée, seulement tu savais qu'elle était psychologiquement retenue par un traumatisme qu'elle s'efforçait d'oublier.
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J'avais souvent été partagé sur ce mode là, j'avais peur qu'il puisse n'attendre que cela pour me faire subir les choses dont il avait le droit avec ce mode de garde sur papier, surtout que je ne l'avais jamais écarté de la vie de Zoé, on passait les fêtes ensemble, l'anniversaire de Zoé, on faisait tout ensemble et il savait qu'il pouvait avoir Zoé quand il le voulait, la preuve je lui avais laisser à lui et lui seul Zoé en partant pour le Brésil. "Je suis contente que tu es confiance en moi, oui un long chemin." Je lui souriais en y pensant et maintenant je n'avais plus aucun doute non plus sur notre rôle de parent à tout les eux, on s'en sortait bien à présent et j'étais ravie qu'on s'entende aussi bien. "Oui mais tu es bien là, on est là tout les deux." Il était là et je ne voulais pas penser à ce qui aurait pu ce passer, je ne voulais pas voir le pire comme je ne voulais pas me voir morte ou détruite par mon agression, avec Jamie j'arrivais à penser à autre chose que nos soucis. "Oui je finirais par m'endormir, j'espère.." Je ne voulais pas continuer de parler et l'empêcher de trouver le sommeil, je voulais qu'il puisse ce reposer parce qu'il était surement lui aussi fatiguer.
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Dire que tu commençais tout juste à lui faire confiance serait mentir. Cela faisait un moment que tu n'avais plus de mauvais soupçons ou de grande méfiance. Vous aviez appris à vous connaître, puis à vous connaître dans votre rôle de parent, et depuis ça, ça roulait. A ses répliques suivantes tu acquiesçais. Oui si il faut te bercer ou te raconter une histoire n'hésite pas, ma foi, ça marche avec certaine. Pour le coup tu parlais de Zoé, et non d'une potentielle conquête hein. Au début de ta paternité tu avais vite fait de la guitare un allié pour crée du lien avec ta fille, et jusque là ça nous avait pas quitté tous les deux. Quoiqu'il en soit, face au late show de Jimmy Kimmel vous aviez continué à papoter cette nuit-là, et tu avais comme refusé de t'endormir avant elle. Tu t'étais réveillé avec la mère de ta fille dans tes bras, et elle était restée chez toi plusieurs fois avec votre fille bien sûr.
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