(Nevandrea) Nice to meet you

Aucun plan. Bah, tu es content de le savoir, sauf qu'elle rejette la faute sur toi quand elle te sort que tu avais gâché le vin. Pardon dis-tu, avant de l'embrasser légèrement. Oui, tu la cherches encore, mais tu aimes bien l'embrasser aussi. Tu ne vas pas arrêter du jour au lendemain en fait. D'ailleurs, sa remarque fait écho à ta provocation, tu souris, doucement, un peu plus avant d'ajouter Je doute jamais de toi, je devrais ? Un autre petit sourire en coin alors que bien sur, tu te lèves. Et puis, tu l'embêtes, fortement, tu t'amuses alors que sa question ne tient pas, mais tu hausses les épaules Peut-être que oui Et cela était impossible pour toi, ça oui. Ainsi, une fois à l'intérieur, la porte se ferme mais tu ne retournes et tu te retrouves face à elle, tu l'observes et tu souris un peu C'est éviter que tu t'enfuit, même si je sais que tu ne le feras pas ajoutes-tu alors que ta main se met à caresser sa joue. Tu t'approches d'elle, ton visage, un peu plus avant de prononcer légèrement Et moi, je peux pas bouger et je me plains pas. Mais tu restes là, tu ne bouges pas, pas d'un poil. Elle te cherche, tu la cherches, sans doute un petit peu, beaucoup.

Comment dire qu'elle aime par dessus tout sa façon de se faire pardonner. C'est fourbe, mais totalement efficace. Est ce qu'elle est devenu accro ? Nul doute possible désormais. Elle ne peut plus se passe de son prince, de son sourire, de sa voix, de sa perfection tout simplement." Non tu peux me faire confiance à propos de tout ! " Promis, juré, embrassé. Le fameux dicton qui fait son retour. Le jeu entre eux semble sans fin. Il la fait patienter, et c'est vicieux de sa part quand bien même il ne fait que lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle ne voit aucun inconvénient à être enfermée chez elle." La fuite n'était pas du tout mais pas du tout prévu au programme. " Nevada elle ne pouvait être on ne peut plus heureuse de se retrouver ici. Difficile de cacher le fait que sa libido augmentait au fil des secondes." Le contraire m'aurait étonné ! Par contre il me semble qu'une douche ça ne se prend pas habillé. Je me trompe ? " Non mais en fait elle ne lui laissait même pas le temps de répondre que sa main s'attelait sur les boutons de sa chemise, beaucoup trop désireuse de le découvrir sous toutes ses coutures bien qu'elle ait déjà eu un aperçu lors de leur bain de minuit.

Piégé dans cette pièce avec elle contre toi, tu ne peux pas rêver mieux en fait. Et puis tu en profites, tu sais pourquoi. Je vais quand même la laisser fermer, juste pour être sur Parce qu'on sait jamais. Une fois, ton garde du corps était bien rentré dans la salle de bain à un bruit suspens, alors tu préfères prévenir que guérir. Et puis, elle continue à te chercher, tu en souris en coin. Fais toi plaisir alors Mais t'as pas le temps de finir ta phrase qu'elle enlèves déjà les boutons de ta chemise. Tu aurais du essayer le t-shirt ce soir. Idiot. Mais à l'instant où elle termine les boutons, tu te rends compte que tu n'as pas pensé à mettre de pansements sur ta cicatrice horrible au niveau de sa cage thoracique. Et pour l'instant, faut croire que mon myocarde est plutôt calme, heureusement. Puis, tu décides d'échanger les rôles, autant ne pas penser à cette cicatrice et tu profites de ça, pour glisser ta main derrière elle, faisant descendre lentement la fermeture éclaire alors que ta main glisse jusqu'à son fessier légèrement. Tu n'as pas réellement quitter la proximité de son visage face au tien et tu ajoutes, avec ton petit air innocent Oups Oui, tu l'as fait exprès, ça va, t'es pas idiot. D'ailleurs tes mains font descendre lentement les manches de sa robe alors que tu observes le mouvement. Toi qui avait rêvait de la faire tomber par terre, à l'instant même où tu la vus sur elle. La chose est faite. Et puis, c'est finalement trop dur, tu n'es pas réellement du genre à être bon joueur, alors tu craques, et tu l'embrasses.

Malgré des mois durant lesquelles la séduction n'avait plus fait partie de sa vie, elle n'avait pour autant rien oublié. Il y a certaines choses qui ne s'oublient pas fort heureusement et ce même après une longue, trop longue période d'abstinence." Fermé ce sera ! " Si ça le rassure, elle ne va pas le contrarier. Fais toi plaisir Ah mais ça c'est certain, comme elle l'a précédemment dit elle est gourmande et ce à de nombreux niveaux. La française ne tarde pas à le débarrasser de sa chemise. Cicatrice auprès de son coeur qui forcément lui rappelle cette échéance tragique mais elle chasse cette pensée de sa tête, surtout qu'elle est loin mais alors très loin d'être déçue par ce qui s'offre à elle et rien qu'à elle. Y'a vraiment de quoi devenir folle et sans doute qu'elle l'est déjà. Andréa profitant que la métisse soit dans ses pensées pour prendre le dessus de la situation. Frisson parcourant son échine. Son pouls s'affole à son souffle qui caresse sa peau matte. Il joue les innocents et son sourire s'étire. La robe ne tardant pas à rejoindre sa chemise et elle a beau jouer la femme assurée, elle a quand même une certaine appréhension très vite éliminée lorsque leurs bouches se rejoignent, enfin. La main de la belle venant caressant la fossette du prince alors que l'autre s'accroche à sa hanche. Poitrine collé contre son torse. Savoir que leurs coeurs battent l'un contre l'autre est la plus belle sensation qu'il lui ait été donné de vivre.

Et voilà, c'est fermé, tu ne vas pas y toucher, t'as autre chose à faire maintenant, ça c'est sur. Surtout contre cette porte, contre elle et contre personne d'autre. Dis comme ça, c'est bizarre, sauf pour toi. Tu caresses son corps, mais tu craques. Ca fait de toi un faible ? Peut-être, mais tu acceptes la chose. Tu es faible face à elle. D'ailleurs, tu ne comptes à quitter ses lèvres d'ici peu. Ca non. D'ailleurs ta main ne peut s'empêcher de caresser ses bras légèrement, son dos et sans doute ses reins. Tu ne t'es jamais réellement sentit aussi vivant que ce jour-là. Tu as même l'impression d'avoir un rythme cardiaque tout à fait correct, évitons juste de le brusquer. Tes mains glissent jusqu'à ses hanches, comme pour l'éviter de s'enfuir. Enfin comment le pourrait-elle ? Elle est bloquée contre la porte et toi. Sauf si elle est magicienne dans l'âme, et ça, tu ne connais pas ce trait de caractère. Tu libères ton souffle comme obliger, la respiration est bien plus saccadée qu'il y a quelques secondes et pour cause, tu ne peux pas t'empêcher d'observer ses lèvres alors que ta langue passe sur les tiennes. Je t'ai déjà dis que tu étais parfaite ? demandes-tu à la jeune française qui est contre toi. Sans doute trop de fois pour répondre à ta propre question, mais en même temps, pourquoi mentir face à cette question, quand tu découvres enfin la corps de rêve qu'elle peut avoir..

Elle n'avait envie d'être nul part ailleurs. Sentiment de bonheur que de se retrouver dans ses bras, que d'avoir une telle proximité avec lui. Dire qu'elle n'en avait jamais rêvé serait mentir. Qui plus est, elle était la seule à pouvoir se tenir à cette place, à parcourir les courbes de son torse de ses doigts. Impossible pour son coeur de ne pas s'emballer dans de telles circonstances. Elle le possède tout comme l'inverse est vrai. Mélange à la fois de douceur et d'envie irrépressible. Son front contre le sien, le temps de reprendre son souffle quelques secondes. Il brise le silence de sa question rhétorique. Sourire amusée. Décidément il n'arrêtera jamais de la complimenter alors qu'à chaque fois elle lui rappelle de ne plus le faire... Mais comment lui en vouloir ? " Et encore tu n'as pas tout vu.. " murmure t-elle au creux de son oreille. Elle se veut aguicheuse, lui promettant ainsi une nuit qu'il n'était pas prêt d'oublier, ou plutôt une douche pour le coup. Elle délaisse ses lèvres quelques minutes pour poser ses baisers dans son cou, sur son épaule alors que ses mains viennent se faufiler dans ses cheveux blonds. Il est désormais bien trop tard pour faire redescendre la température.

Intense moment de bien être, il faut le dire, il faut être honnête, cela fait un moment que tu y penses mais tu ne sautes pas le pas. Tu aurais pu, pleins de fois, mais tu n'as pas osé, sans doute de peur de la brusquer, sans doute parce que tu ne voulais qu'elle s'inquiète. Mais maintenant que vous êtes seuls face l'un et l'autre, c'est tellement plus facile. Tes lèvres quittent les siennes, tu souris légèrement à sa réponse. Tu ne sais pas pourquoi, tu as peur maintenant. Quoi que non en fait. Tu sens ses lèvres sur ton corps, bien que tu sois trempé de vin. Mais cela ne l'arrête pas. Tes mains descendirent alors sur son corps, jusqu'à ses jambes rapidement avant de la surélever, pour la bloquer contre ta taille. Hors de question qu'elle parte maintenant. Tes lèvres capturent les siennes rapidement, ses mains encore dans tes cheveux, bien moins coiffés qu'avant, mais qu'importait, tu étais bien pour une fois. Ton coeur ne se faisait pas violent, tu profitas de ce baiser, un peu trop endiablé pour réellement te rendre compte que petit à petit, toute la température monta, toute cette envie monta. Heureusement que vous étiez seuls quand même

Finalement c'est une bonne chose que son fils ne puisse pas être là ce soir, sinon la soirée n'aurait pas pris un tel tournant. Ses pensées sont sans doute égoïste, et synonyme de mère indigne mais pour une fois qu'elle peut se faire plaisir, pour une fois où rien ne peut les déranger, passer à côté de cette occasion serait totalement idiot. Malgré le désir, la française se veut patiente, désireuse de se délecter de chaque seconde, prenant son temps pour découvrir le corps diaphane du jeune homme. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne se veut pas charmeuse, loin de là. Ses pieds quittent le sol alors que sa langue vient retrouver sa jumelle dans un ballet fou. D'un bras elle s'accroche à son cou tandis que sa main libre part à l'aventure, glissant dans le dos du jeune homme pour s'arrêter à la ceinture avant de se frayer un chemin sur ses formes rebondies. Mode tigresse activée mais son esprit s'alarme quand elle repense à la santé d'Andy. Non sans une pointe d'amertume, elle rompt ce baiser avant de souffler contre ses lèvres." Je devrais quand même te débarrasser de ce vin qui te colle à la peau. " Non pas que ce soit désagréable. Andy + vin, c'est un beau mélange pour elle mais elle se veut précautionneuse envers lui. Loin de ressembler à une baleine, Neva n'est pas non plus un poids plume...

Ses caresses, ses doigts, son corps. Tu ne sais pas comment tu as attendu aussi longtemps, mais à savoir que votre vraie première fois sera inoubliable. Mais voilà qu'elle se retient à toi, cela te fait sourire contre ses lèvres, bien que ce soit un baiser plutôt intense, encore une fois, encore et toujours. Un souffle, tu as les yeux fermés alors que tu l'entends. Tes sourcils se froncent légèrement bien que tes yeux s'ouvrent pour se déposer dans les siens, tu mords ta lèvre légèrement Tu veux faire ça maintenant ? Question débile ? Non, parce que là, tu peux être sur que tu vas rien comprendre. Tu la regardes, petit sourire en coin avant de la déposer doucement, avant de lui voler un baiser, plutôt long et intense. Mais en même temps, tu ne peux pas t'empêcher de faire ça, c'est plus fort que toi. Beaucoup trop fort pour toi de devoir arrêter en si bon chemin. Mais si il faut éviter de la coller de trop. Ou que tu la colles de trop alors. Puis, finalement, tu la regardes, avant de regarder ton jean Je dois enlever alors ? question doublement rhétorique, t'es insupportable quand tu réfléchis pas en fait. Surtout quand tu as encore ton jeans sur toi et que tu crèves d'envie d'être encore contre elle. Tu sais d'ailleurs qu'elle va se foutre de toi, alors sans attendre sa remarque, tu recules légèrement pour commencer à enlever ta ceinture et ainsi, tu déboutonnes ton jeans.

Les traces de vin qui couvre sa peau, elle s'en fiche comme de la dernière pluie. Avec ou sans, on sait très bien où ça va les mener tous les deux. Il avait l'habitude de découvrir ce qu'elle ressentait à son attention par les mots, aujourd'hui elle lui montrait à travers les gestes. Difficile de refréner ses envies surtout quand elles remontent déjà à plusieurs semaines. Rire qui traverses la barrière de ses lèvres. Visiblement elle le rend bien plus fou qu'elle ne le pensait. Elle s'en veut presque qu'il devienne si fébrile." Non demain. " A question idiote, réponse idiote. Elle s'accroche à sa main quelques secondes, le temps de ce baiser volé. Geste qui se veut rassurant. Petite moue innocente à sa deuxième question innocente." Si c'est pas toi, c'est moi qui le fera. " Pas le temps de finir sa phrase que monsieur entreprend le travail de lui même. La française ne perd pas une minute pour se rincer l'oeil avant d'entourer sa nuque de ses mains, plaquant son corps contre le sien. Divine sensation. Elle se mordille la lèvre, le faisant reculer petit à petit jusqu'à cette cabine de douche qui leur ouvre les bras." J'ajouterai sexy sur la liste des qualités. Je le noterai même deux fois. " Pour dire à quel point elle était loin de regretter sa décision.