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TOPIC DE GROUPE N°2 ► Le bar

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En compagnie du jeune homme qui fait changer les idées à ta meilleure amie, tu profites de sa présence pour creuser. Tu veux savoir ses intentions, envers elle, envers les femmes, tout simplement. Alors tu le questionnes, de façon indirecte, pour que personne ne comprenne de quoi vous parlez, mais de façon à ce que lui comprenne tout à fait. Et tu vois, à son visage, que ça tilte. Pourtant, il répond pas. Ou vaguement. Il essaye de fuir la discussion, mais avec toi ça se passe pas comme ça. Tu te contente pas de réponse évasive. Tu veux du cash et non tourner autour du pot. Ca peut l'être oui. Ils sont pas ensemble okay, donc il doit rien à Lucky, mais quand même. C'est pas en courant après d'autres nanas que ça la mettra en confiance, ni qu'il l'aura. Qu'est ce qui t'a poussé à venir visiter ce pays ? Les vraies raisons. Tu appuies sur le mot 'vrai' parce que tu veux qu'il parle. Tu veux lui délier sa langue. On ne sort pas un si grand jeu pour un pays qu'on apprécie sans plus n'est ce pas ? Allez, soyons honnête, il l'apprécie pas mal la Lucky. Tu veux qu'il avoue, qu'il est mordu, qu'elle lui plaît bien plus que n'importe quelle nana dans cette salle. Puis pour ton pilier, ton binôme, tu ferais tout pour son bonheur. Et si c'est la poussée dans les bras de ce bel âtre ben why not ?

@William Bloomberg
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Bien entendu que ça pouvait ! Je n'avais pas besoin de lui demander pour le savoir. Peu se fichait de savoir si elle était les seules ou non. Bien souvent elle s'en doutait, sans jamais vraiment chercher à en savoir plus. Seulement voilà, ce que l'on ignorait ne pouvait pas nous faire de mal pas vrai ? Alors à quoi diable jouait Ashleigh ? songeais-je pris au dépourvu. Je me souvenais que Lucky m'ait posée quelques petites questions très indirect à ce sujet sans que jamais je n'y réponde. Et je n'avais pas plus envie d'y répondre ce soir. Préférant bien laisser de côté le fait que oui, si l'occasion se présentait, je ne m'y refuserais pas... Comme par exemple cette interl[size=11]ude avec ma cavalière. Pouvais-je seulement appeler ça comme ça ! Elle insiste en plus !  songeais-je resserrant la mâchoire pour ne pas soupirer. Pourquoi j'avais fait ça ?  me répétais-je pour moi. Elle poursuivait sur sa lancée me mettant face à une affirmation qui était difficile à contredire. Je détournais finalement le regard le laissant errer sur les étudiants qui étaient près du bar à discuter les uns avec les autres dans des conversations plus ou moins houleuses. Lucky était là elle aussi, plus belle que jamais dans cette robe rouge. Je tournais la tête vers Ashleigh qui attendait toujours que je lui réponde. "Je n'en sais rien !" Oh que oui bien sur que je savais. Seulement l'admettre me coûtait bien plus que je ne voulais bien le croire. Alors qu'elle reprenait la parole, insistant toujours, je répondais du tac au tac cette fois. "C'est une belle preuve d'amitié que de partir à la pêche aux infos comme tu le fais pour elle. Arrogante et loyale. C'est tout à ton honneur." la complimentais-je avant de reprendre. "Alors je vais être honnête avec toi." J'avais tout intérêt à ne pas l'être. A me taire, à questionner plutôt que de répondre. Et surtout ne pas dire ce que je m'apprêtais à dire.

@Ashleigh H. Strauss
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Où en étions-nous ? Ah oui, je m'étais un peu prise le choux avec Roman, je n'avais pas aimé son comportement avec Carter parce que ça me rappelait aussi mes peines. Nous avons perdu toutes les deux nos bébés, nous avons été en quelque sorte privées d'un bonheur que nous aurions pu connaître à la venue de ces deux anges. Mais bon, fort heureusement que nous étions assez fortes et courageuses pour surmonter ça. En tout cas, j'avais un entourage sur qui compter pour m'apaiser. En parlant de ça, je regarde William se diriger vers le bar et tout de suite accosté par Ashleigh. Je reste néanmoins en retrait, car je ne veux pas qu'elle me boude pour l'avoir empêché de jouer les policières avec lui. Remarquez, manquait plus la matraque et le gars pourrait prendre ses jambes à son cou. Je le vois presque pâlir, mais il garde cependant son sang froid malgré tout. Lorsque mon regard croise le sien, je lui fais un discret et rapide clin d'œil d'encouragement. Will n'est pas en face de la plus facile à berner, alors ouai, il lui en fallait du courage.

@Ashleigh H. Strauss @William Bloomberg
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Tu le questionnais et tu comptais pas lâcher le morceau. Si bien que lorsqu'il répliqua un 'je ne sais pas', tu n'approuvais pas. On donne pas ce genre de réponse à toi, et surtout pas sur une telle question. Tu secoues donc la tête, faisant claquer ta langue entre tes dents, plusieurs fois de suite, signe que tu n'aimais pas sa réponse. Tu peux faire mieux je suis sûre. Et le voilà qu'il retourne la situation sur... toi. Ce qu'il te dit, tu le sais déjà. Lucky et toi, c'est vingt ans d'amitié, comment dire que vous en avez vu des obstacles sur vos chemins. Mais vous êtes toujours là, l'une pour l'autre, prête à vous soutenir. Vous lisez comme dans un livre ouvert avec l'autre. Et tu sais qu'une fois le faux couple terminé, elle sera là, à t'écouter, à t'entendre lui dire que t'as des sentiments pour Denys et que ça te fait peur. Elle le sait déjà, juste que tu ne peux pas lui confirmer à cause de ton kidnapping et ta protection rapprochée. Alors toi aussi, tu te dois d'être là pour elle, et de t'assurer que ce jeune homme, ne va pas lui prendre son cœur, pour le détruire. Pas comme Loukas et Cole. Je t'écoute dis-tu septique, pas sûre qu'il va te dire quelque chose de sérieux vu comme il a été vague jusqu'à présent. Mais tu lui accordes le bénéfice du doute. Et puis, s'il dit une bêtise, tu lâcheras pas pour autant l'affaire. Tu peux y aller que tu insistes, impatiente comme tu es. Allez, passe la seconde William. La troisième même.

@William Bloomberg
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« Bal 2017
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Fort heureusement les aspects les plus délictueux de ma vie ne sont consignés dans aucun registre, relégués dans un coin de matière grise qu’il me plait d’étouffer comme bon me semble.  Hamilton, ponte et sénateur de Boston pour qui je suis dévoué corps et âme, sait à quel point je peux être digne de confiance… « Prête à tout, comme tu peux le constater. » Cà, je demande à voir même s’il est certain que de la surprendre habillée comme une femme sorte de l’ordinaire. « Enfin… Si je ne termine pas les menottes aux poignets. Ce qui ne me déplairait peut-être pas… » D’un regain d’assurance, je me gausse de cet élan d’un rire sec et grinçant. « Parce que tu n’as jamais essayé…» Vraiment navrant. J’ai du mal à croire que cet exercice lui soit encore méconnu, qu’elle ait inexploré cet aspect de sa sexualité malgré ce que nous tous deux visionnés de son passé une fois seuls à seuls au poste. Un souvenir ô combien douloureux et qui a de quoi en refroidir plus d’une, ce qui expliquerait qu’elle n’ait voulu tenter l’expérience de son plein gré. «  Je pourrais t’initier, à condition que tu me fasses confiance. » Une offre qui n'en est pas une, une proposition visant à remettre en question son arrogance. Et crois-moi que j’ai tout ce qu’il faut, matériel et toutes les connaissances nécessaires à la beauté du procédé. Mais chaque effort de ma part réclame de la sienne une dose de concession et pour l’heure, je ne sais à quoi m'attendre avec elle, déjà maitre de déguisement et peut-être aussi dans les sentiments. Elle s’est reculée au moment propice, n’a voulu se donner pour un verre gratis. Sondant une dernière fois son visage amusé sous l'égide du barman qui s'impatiente de son coté, ma main va la chercher, impatient de mettre un terme à son attente bien que réticent, effleure sa joue un frêle instant avant de m'avancer pour soudainement me raviser, d'un sourire pincé et défiant sa témérité.  " 90% du chemin, Faut pas m'en demander plus. " A toi Wasp de faire le reste puisque tu te dis capable de tout.  
MAY


@Lisbeth Larsson
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@Clay Fitz. Cooper

APRES L'EFFORT, LE RECONFORT... OU PAS.


Dans un coin de son esprit, Lisbeth commençait à se dire que la situation devenait étrange. Si le jour de sa fabuleuse rencontre avec Clay on lui avait dit qu’elle irait au bal, seule, ainsi vêtue et qu’elle l’y rencontrerait, elle aurait bien ri ! A présent perchée sur sa chaise haute, ses talons coincés derrière le cercle de métal entourant son support, elle se trouvait face à ce flic qui lui avait fait revivre de très mauvais souvenirs, les plus horribles de sa vie (?). Certes, ce jour-là, elle avait réussi à effacer son dossier judiciaire de la base de données de la police de Boston mais apparemment, Stockholm leur avait adressé une copie papier. Avec toutes les pièces à conviction qu’il fallait pour la détruire un peu plus. Clay n’avait pas hésité à s’en servir pour arriver à ses fins. Pour ça, elle le détestait mais… Elle ressentait également une petite once de respect envers lui. N’aurait-elle pas fait la même chose pour obtenir ce qu’elle voulait ? Bien sûr que oui ! Wasp est vicieuse, également.

« On va dire que la première fois n’a pas été concluante… Pas du tout même. »


Lisbeth savait très bien à quoi il faisait allusion. Clay devait également connaître le calvaire qu’elle avait vécu pendant cinq longues années alors qu’elle était internée en hôpital psychiatrique après avoir poignardé son paternel pour défendre sa mère. Il avait sûrement lu qu’elle était restée attachée des jours à en perdre le compte aux montants de son lit, à l’aide de sangles de contention. Chose totalement illégale, que la cour de justice suédoise avait enfin punie l’année passée !

« Pourquoi te ferais-je confiance ? »

Son regard finement souligné d’eye liner s’était un peu durci. Pourquoi accorderait-elle sa confiance aux forces de l’ordre, plus précisément à Clay ? Où étaient tous ces prétendus flics quand elle avait eu besoin d’eux ? Du calme, Clay ne fait même pas partie de la police suédoise, il n’y est pour rien. Vrai. Alors qu’elle se reculait légèrement et retournait à son verre, elle sentit un léger mouvement provenant de l’homme assis à ses côtés. Elle se tourna une nouvelle fois et eut juste le temps d’apercevoir sa main qui s’approchait de sa joue pour l’effleurer. Le contact fut si furtif et léger qu’elle crut un instant avoir imaginé ce geste. Il s’était approché d’elle l’espace d’un court instant avant de se reculer. Ses magnifiques yeux mordorés changèrent rapidement d’expression. Était-ce du trouble ? De la surprise ? De la douceur ? Non, de la douceur émanant de Wasp ? Et oui, tout était possible dans ce bas-monde ! La jeune hackeuse se reprit bien vite et se pencha à nouveau vers son interlocuteur.

« Ne crains-tu pas de jouer avec le feu ? »

Son visage s’était départi de son sourire sarcastique. Entr’apercevait-on bien de la sincérité sur ce beau visage ? Une chose était certaine, son expression était plus que sérieuse.


EXORDIUM.
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L'échange avec Siloë n'avait faire que me renfrogner d'avantage, me mettant les nerfs mais je promettais de m'occuper de cette histoire personnellement et bientôt. Elle allait avoir envie de divorcer et ce même après seulement quelques mois. Je ne pouvais déjà plus la supporter, chose qui m'aidait guère à assumer ce mariage à la con. Arrivant vers Ashleigh, je m'arrêtais tout de même au bar pour récupérer l'un des verres que j'avais gagné en embrassant un peu tout le monde ici. Je comptais rejoindre Ashleigh qui avait finalement virer quelque part d'autre en me laissant comme un con au milieu de tout le monde. J'haussais les épaules en changeant de chemin mais me stoppant rapidement en entendant une jeune femme médire sur la mather que je préférais. (Cassie) Je la regarde, cette blonde l'insulter si facilement qu'une personne peut prendre un shooter de vodka et je décide de me venger. Bien évidemment, comme toujours, je le fais par derrière et avec finesse. Marchant dans sa direction, je fais tomber "accidentellement" mon verre sur la robe de cette jeune femme à la langue bien trop pendue. Oups. « Merde.. » dis-je en soufflant. « Pas fait exprès. » J'allais tout de même pas m'excuser de cette bonne action, voyons.

@CASSIE VON LIECHTENSTEIN @ASHLEIGH H. STRAUSS @SILOË PEROL-WOODSTOCK
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Miskin! Tout ça c'était trop parti en couille pour moi du coup après avoir recalé la paire de blondasse seule, vu que ce beau Marin m'avait abandonné, suivit de William qui était devenu trop bizarre. J'ai décidé de retourner au bar finir ma montagne de verres avant de m'asseoir comme une merde pour souffler un coup. Jouant avec mon dernier verre à moitié vide, je m'appuyer sur ma ma quelques minutes avant de décider de le finir et de me diriger vers la piste de danse. Finalement ce bal, bah il était pas si cool que ça au fond...

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@Marin N. Perol
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Complètement bourré, il avait oublié qu'il était en habit de cupidon. Très classe pour un bal, surtout qu'en ce moment, il porte seulement un slip en cœur, des ailes blanches, une auréole, un carquois rouge avec des flèches en cœur toutes roses. Pas le moment de gerber sur le beau parquet ciré surtout qu'il est sur le point d'accomplir quelque chose de plus ou moins difficile. Ça ne devrait pas être dur, convaincre une fille de lui faire un bisous dans cette tenue. Par contre, attention aux photos sur le net demain, car il risque d'en faire la une. Après être arrivé comme un con, mangé et trinqué avec Louve, il l'a perdu de vue et s'est retrouvé ici, au bar, affublé de son costume de cupidon. Pourtant, nous ne sommes pas la Saint-Valentin. Rien à foutre, le bourreau des cœurs va encore frapper ce soir et en commençant par  @Adélaide K. Mitchum. « Mademoiseeeeeelle ! Hé, mademoiselle ! l'interpella t-il en chancelant quelque peu sur ses pieds, tout en se retenant aux chaises. « Que diriez-vous d'un peu d'amour ? Rien n'est plus beau que du love pur et sûr ! Allez, ne soyez pas timide et ouvrez grand vos bras pour que je puisse m'y glisser ! Pas besoin d'être en février pour montrer aux gens qu'on les aime. Suffit d'une attention, aussi minime soit-elle, par jour, pour rendre quelqu'un heureux. Lancelot bute sur les derniers mots en lâchant un hoquet rauque. Il se retient de rire et se met à avancer encore vers la jeune fille, complètement inconnue. « Ne t'inquiète pas, cupidon est là ! » il prend une flèche en plastique dans son carquois, bande son arc et lance la flèche qui rebondis sur les fesses de celle-ci. En s'armant d'un énorme sourire qui s'étire d'une oreille à l'autre, il ouvre les bras dans un signe d'invitation. « Je ne mord pas ! » La soirée risque d'être longue...

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Elle était arrivée tranquillement au bal avec son frère Lucius. Qu'elle avait au préalable supplier de venir avec elle car elle n'avait point de cavalier et lui de même. Il avait fini par céder et les voici déambuler au milieu des autres personnes. Elle avait perdu de vue Lucius, à son grand dam. Elle avait fini par réussir à sortir de la cohue pour arriver au bar assez essoufflée. Elle commanda un verre, sans alcool et attendit en regardant autour d'elle si elle ne voyait pas la bouille de son frère. Peine perdue. Elle soupira et reporta son attention sur le bar où attendait sa boisson. Elle était émerveillée du travail réalisé. Le verre finissait en spirale, ouverte comme une flûte. Dedans, le jus d'orange avait une très belle couleur et des sortes de paillettes étaient à la surface du jus. Ils avaient mis une paille ainsi qu'un citron découpé juste au-dessus. Le tout formé un très joli spectacle. Pour tout dire, elle n'avait même pas prêter attention à l'individu qui parlementait à côté d'elle. Elle finit par le remarquer quand une flèche rebondit sur ses fesses. Étonnée, elle le regarda, haussant un sourcil. Un cupidon. Elle mordilla ses lèvres essayant de ne point rire. L'individu paraissait même assez bourrée sur les bords. Elle le vit qui ouvrait grand ses bras. Elle haussa les yeux en l'air, fis un pas de côté, esquivant ses bras et lui fis un rapide baiser sur la joue. Après quoi, elle pris son verre et partis en direction de sa table, espérant que son cavalier y était.

@Lancelot P. Calixte

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