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TOPIC DE GROUPE N°2 ► Le bar

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Un baiser tant attendu mais, il n'y avait plus rien à dire du moins pas ici. Tout était parfait jusqu'à ce que Ava s'approche de moi avec son éternel sourire sur les lèvres. Elle va pas osé quand même si ? Eh bien si puisque je sens ses lèvres se posaient sur les miennes. Amusée, je la laisse faire après tout c'est Ava, je sais qu'elle a une bonne hygiène pour ça elle ne tient pas de son Mather de frère. Tout aurait pu être parfait mais, Abélard a perdu l'occasion de se taire en réclamant un baiser de la Cabot. J'attends, je ne dis rien préférant laisser les choses se faire. Je bouillonne en moi alors que je vois les lèvres d'Ava sur celles d'Abélard. Il veut qu'on s'amuse à ça ensemble ? Ni une, ni deux, je scrute le bar des yeux où je remarque un jeune homme en compagnie de ma soeur. Parfait ! Affichant un sourire hypocrite sur les lèvres, je vais les rejoindre tapant sur l'épaule de l'inconnu (William) afin qu'il tourne son visage vers moi. C'est à ce moment que je pose mes lèvres sur les siennes une fraction de seconde avant de retourner ma place sans demander mon reste. J'ai fait d'une pierre deux coups. J'avoue que je suis assez fière de moi sur ce coup là.

@Abelard Z. de Belgique-S. @Ava Strudwick @William Bloomberg @Ashleigh H. Strauss
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« Pourquoi te ferais-je confiance ? » Pourquoi? Peut-être parce que cette plaque qui m'a tant coûté m'octroie tous les droits et que je n'en ai jamais fait - ou presque - mauvais usage, que tout un chacun sait en me voyant que je suis le garant des lois. Peut-être que s'il y avait plus de gars comme moi, elle n'aurait jamais connu l'humiliation dont elle a été victime et n'aurait jamais perdu gout à certains plaisirs.
 
Mon geste, peut-être un peu trop cavalier, ébrèche sa prestance jusqu'à toucher une part de sa sensitivité. Un sentiment que je ne pensais jamais la voir manifester, ayant une image d'elle plus vindicative aux vues de tout ce qu'elle a pu jusque là me démontrer. « Ne crains-tu pas de jouer avec le feu ? » Le feu, la glace... Il est vrai que notre relation a très mal débuté, sous de piètres auspices en vérité. Mais il ne m'est pas impossible de remédier à la situation, étant diplomate que lorsque je ne le veux et avec qui n'aiguise mon intérêt. A l'image de cette pochette de costume soigneusement repliée dans mon veston et appariée à la couleur de la robe de ma cavalière, d'un rouge pourpre incendiaire, je crois être en mesure de me déclarer capable de tout, même de gouter à l'enfer. " J'ose tout ce qui sied à un homme, " et qui ose plus n'en est pas un, Shakespeare...  Comme quoi on peut être Lieutenant et cultivé, preuve en est que les flics ne sont pas tous des décérébrés.  L'ambre qui repose dans mon verre retrouve de son éclat lorsqu'entre mes doigts le verre bascule légèrement comme pour en contempler le fond, s'anime de reflets irisés au gré de l'éclairage qui vient s'y réfléchir. Si j'ose jouer? Il y a là beaucoup trop à dire... Je me suis déjà brulé les ailes une fois en allant me soulager auprès d'une autre alors maintenant que je n'ai plus personne à qui déplaire... 

C'est pour cette raison que payer mon verre me parait futile, de l'argent foutu bêtement en l'air alors qu'il me suffit d'effleurer ses lèvres. " Ta moitié n'sera pas jalouse?  " P'tit copain ou p'tite copine, avec elle je m'attends à tout. Pas que je m'en inquiète, loin de là mais c'est un moyen comme un autre d'apprendre à la connaitre.
MAY


@Lisbeth Larsson
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@Clay Fitz. Cooper

APRES L'EFFORT, LE RECONFORT... OU PAS.


Cette plaque à la con ne signifiait absolument rien pour Lisbeth. Il avait eu beau la brandir sous son nez, elle n’en avait eu cure, s’étant comporté avec lui comme avec n’importe qui avait le malheur de l’importuner. Flic, pas flic, il n’y avait aucune différence pour elle. Jamais aucun d’eux ne lui avait prouvé être digne de confiance, de plus, elle ne leur laissait jamais le temps de le faire. Pourquoi ? Craignait-elle de briser ses convictions en se laissant entr’apercevoir qui était vraiment la personne en face d’elle ? Pour l’heure, elle préférait les mettre tous dans le même panier. Ce n’était pas une bonne chose, elle en était parfaitement consciente, mais elle n’y arrivait pas. Pas pour le moment. Mais alors, pourquoi discutait-elle avec lui ? Pourquoi ne prenait-elle pas son ton incendiaire, froid, hautain qu’elle avait eu la première fois ? Pourquoi laissait-elle des émotions filtrer de sa carapace ? Pourquoi se fissurait-elle lentement, pour commencer à dévoiler la véritable Lisbeth ? Et surtout, pourquoi jouait-elle avec le feu ? Elle pouvait presque le sentir irradier et lui chauffer les joues. Quand elle disait que ces derniers temps elle changeait radicalement…

Toujours penchée vers lui, elle observait son verre au fond de liquide ambré et suivait sa trajectoire. Quelques éclats de lumière se reflétèrent dans ses yeux de la même couleur que le liquide alcoolisé. Son regard quitta alors ce spectacle pour en contempler un autre. Le visage de Clay. Mais qui était vraiment cet homme ? Était-ce une bonne personne ? Elle le sentait aussi mystérieux qu’elle l’était et elle n’aimait pas ça. Rares étaient les personnes lui inspirant ce genre de sentiments et qu’elle n’arrivait pas à sonder correctement. Peut-être lui fallait-il simplement des preuves, des gestes, pour arriver à le décoder un tant soit peu. Pour l’heure, il lui assura qu’il « osait tout ce qui sied à un homme ».

« Et qui n’ose plus n’en est pas un. Shakespeare… »

Les hackeurs de son genre (enfin, il n’y en avait qu’une, à sa connaissance) n’étaient pas aussi incultes dans d’autres disciplines que leurs ordinateurs qu’ils n’y pouvaient paraître. En plus, avec sa mémoire photographique, Lisbeth battait des records de connaissances. Ramenant son attention sur son verre, elle se laissa bercer par le silence qui s’était installé entre eux. Tant de facettes cachées l’habitaient que c’était à se demander qui elle était vraiment. Était-elle plutôt cette personne cultivée qui pouvait faire preuve de féminité, de sensualité et bien plus ? Ou était-elle Wasp l’impitoyable qui se fichait pas mal de l’opinion des gens et qui agissait comme bon lui semblait ? Était-elle une combinaison de ces deux personnes ? Ou jouait-elle tantôt avec l’une et l’autre de ces personnalités ? Pour l’heure, Wasp était aux abonnés absents, disparue Dieu sait où.

Sa moitié ? Ce mot la fit grimacer. Pas parce que Lisbeth flirtait ouvertement avec Clay et qu’elle était censée être en couple mais parce que sa moitié devait se tenir à l’écart d’elle. Elle devait l’évincer pour ne pas qu’il lui arrive un autre malheur que cette balle dans sa jambe quelques semaines plus tôt. Pour l’heure, elle ne voulait pas y penser. Il fallait qu’elle montre qu’elle n’avait plus d’attache. Et dans le jeu de la dissimulation, elle excellait.

« Ma moitié ? J’ai une tête à en avoir une ? »

Ces quelques mots s’enroulèrent autour de son cœur et le serrèrent l’espace d’une fraction de seconde. Cette désagréable impression disparut bien vite et un demi-sourire se dessina sur ses lèvres. La jeune hackeuse contempla un instant leurs verres avant de se redresser légèrement. Elle se tourna face à son interlocuteur pour la énième fois et ses doigts vinrent se poser doucement sur son visage. Elle les fit glisser lentement sur sa joue avant d’effleurer son cou pour ensuite se poser un court instant sur son torse couvert de tissu. Elle perçut furtivement les battements de son cœur. Sa main aux geste incroyablement lents, sensuels et doux termina sa course sur son bras qu’elle agrippa doucement. Son visage s’approcha alors de celui de Clay, couvrant la distance restante pour que leurs lèvres s’effleurent presque. Lisbeth fit durer le suspense, sachant très bien jouer avec la patience des hommes (et des femmes aussi). Quand elle estima qu’elle avait assez attendu, ses lèvres se posèrent contre celles de l’homme, tel un souffle léger. Malgré elle, alors qu’elle ne le voulait surtout pas, son cœur manqua quelques battements. Culpabilité ? Non. Excitation pour ce geste interdit ? Peut-être que oui…


EXORDIUM.
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« Bal 2017
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Curieusement je me l'imagine bien dans une relation qui défie la pieuse raison, avec une femme qui ne lui ressemble en aucun point, beaucoup plus femelle qu'elle au quotidien, où l'intime et l'émotion ne se conjuguent qu'au féminin.
Sa bouche se pince au son de ma dernière question. « Ma moitié ? J’ai une tête à en avoir une ? » Même le prince Charles s'est bien dégoté une Camilla alors si un gars aussi laid peut trouver chaussure à son pied, pourquoi pas une androgyne mesquine qui sait en temps voulu se métamorphoser? Mes yeux convergent sur elle lorsque sa voix semble s'étrangler, un doute très vite gommé par ce sourire en demi-lune qui illumine ses traits.

Puis elle se redresse sur son siège, comme fermement décidée à exécuter un plan dont elle n'a peaufiné que les contours. D'un geste peu banal elle fait preuve d'une douceur en totale incohérence avec son audacieux tempérament, peu farouche lorsque ses doigts redessinent ma mâchoire. Solitaire ponctuel dans cette vie de célibat, je ne rejette jamais la compagnie avenante d'une femme pour peu que cette dernière éveille mon intérêt. Alors je laisse la caresse perdurer, lui permettant de me découvrir sous un autre jour, plus familier. Mon attention jadis portée sur sa main fuyante se relève sur ses yeux qui n'ont de cesse de s'enliser dans un désir non-avoué. La main à présent sur mon bras, je la vois se pencher, le visage légèrement incliné, pour s'arrêter, mélangeant son souffle au mien, le sourire crispé dans l'attente de ce qu'elle me fait miroiter. Les jambes des femmes ont ce don unique d’enflammer les esprits, ici ou là, qu’importe l'endroit. Mais en cet instant, ce sont ses lèvres qui, en addiction aux provocations, me laisse songeur quand à la complicité et à la soif de plaisir qui se profilent à l'horizon. Qu'est-ce que ça fait d'embrasser une voleuse de données, de gouter à la saveur de ses chairs dans un baiser ? La réponse je la connais: Renouer avec de vieux démons, me salir les mains d'une délicieuse façon. Au bord du précipice dont je ne vois le fond, je la laisse me guider, fort en mon intérieur de pouvoir me raccrocher durant cette chute de quelque façon.  

Et s'il advenait qu'elle m'ait menti sur sa situation, elle se vautre dans le parjure lorsque la pulpe de ses lèvres entache les miennes du vermillon dont elle les a diabolisées. Aussi légèrement qu'elles étaient venues, elle se détachent subtilement, me laissant sur ma faim sans pour autant chercher plus que ce qu'elle ne m'offre. Les sensations sont toutes décomposées, une à une, jusqu'à ce que la plus ténue ne disparaisse en un volatil souvenir. " Laquelle je dois remercier ? Veronika, Irène ou Lisbeth? " La question a été soufflée après avoir brièvement examiné les places attenantes pour recueillir à nouveau son attention. " Que je puisse comparer avec la prochaine fois."
MAY


@Lisbeth Larsson
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@Clay Fitz. Cooper  

APRES L'EFFORT, LE RECONFORT... OU PAS.


Mais que lui arrivait-il ? Qu’est-ce qui lui prenait d’embrasser ainsi un gars des forces de l’ordre ? Si un jour on lui avait prédit ce geste de sa part, elle aurait traité cet oracle de taré ! A la limite des limites, elle aurait pu y croire si c’était pour obtenir une information. Mais ce soir, elle ne voulait rien apprendre de particulier. Au contraire, elle voulait se vider la tête et, pour une fois oublier ce qu’elle était. Mais se défaisait-on vraiment de sa personnalité ? Qui qu’elle fut en cet instant, Clay la laissa s’approcher suffisamment de lui pour qu’elle découvre son visage sous un nouvel angle. Elle parcourut sa joue, les traits anguleux de sa mâchoire avant de s’attarder sur sa poitrine puis de terminer sa lente course sur son bras. Ses lèvres s’étaient dangereusement approchés des siennes avant de les effleurer après de longues secondes d’attente. Un petit feu naquit au creux de son estomac avant de grandir, lentement, puis de descendre et tout enflammer sur son passage. Son bas-ventre la chatouilla agréablement alors que ses joues se teintaient de rouge. Tout se déroula rapidement alors que le temps semblait s’être figé autour d’eux. Subtilement, ses lèvres quittèrent les siennes et ses yeux se rouvrirent, tout pétillants. Ses pupilles s’étaient rétractés sous l’effet de l’envie et de l’excitation. Elle se mordilla légèrement la lèvre inférieure alors que son regard déviait sur la bouche teintée de rouge de Clay. Si elle pouvait recommencer, elle le ferait sans hésiter. Si la honte l’étreignit à cette pensée ? A peine. Toujours penchée vers l’homme, elle avait à peine remarqué que sa robe s’était légèrement retroussée et dévoilait une partie de ses cuisses. Cuisses qu’elle resserra imperceptiblement comme si ce mouvement pouvait contenir son excitation grandissante. Ce fut la voix de Clay qui la ramena un instant à la réalité. Elle libéra enfin sa pauvre lèvre malmenée.

« Je… Les trois… Ou aucune d’entre elles… Mais… Puis-je utiliser ce prétexte pour recommencer ? »


Elle-même ignorait qui elle était en cet instant. Peut-être était-elle enfin elle-même. En tout cas, elle avait bien du mal à trouver ses mots. Jamais, ô grand jamais elle ne s’était retrouvé dans un état pareil. Si elle avait façonné sa carapace durant des années et des années, elle était à présent à ses pieds, inefficace. Tombés, tous les murs hauts et érigés qui l’entouraient ! La jeune femme battit plusieurs fois des paupières comme si elle essayait de se maîtriser et de revenir sur terre. Elle pensa un court instant à se reculer légèrement mais elle resta clouée sur sa chaise. Ses bras étaient couverts de frissons incontrôlables et, bientôt elle passa sa main qui se trouvait depuis tout ce temps sur le bras de Clay sur sa nuque. Peut-être allait-il refuser cette nouvelle approche c’est pourquoi Lisbeth resta parfaitement immobile. Mais son regard brûlait de désir et d’envie. Il suppliait Clay de prendre ses lèvres en otage et tout son corps irradiait de chaleur et de désir. Rien de subsistait de la femme qu’il avait connue quelques mois plus tôt.

EXORDIUM.
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Il était venu te parler de lui même, quand il aurait pu t'éviter, alors pourquoi jouer le mystérieux, et ne pas vouloir répondre à tes questions. Tu lâcherais pas le morceau, et tu lui faisais bien comprendre. Et là, il parle. Indirectement, en utilisant tout comme toi le subterfuge du pays, histoire de cacher le vrai sujet; Lucky. Tu souris, enfin satisfaite des réponses qu'il te donne. Tu vois bien qu'il parle pas pour t'amadouer mais vraiment de ce qu'il pense. Il a envie de la découvrir un peu plus, il l'avoue et son ni plus ni moins, semble comme pour apaiser l'intensité de son envie de la revoir. Il se serait pas déplacer si loin s'il voulait juste lui la découvrir ni plus ni moins. Il aurait attendu son retour à Boston, quelques jours plus tard. Et il se trahie, en cherchant à savoir si c'est pas ta meilleure amie qui veut savoir des choses, ou si elle n'a pas parlé un peu beaucoup de lui. Tu vois une porte là. Le cupidon en toi ne peut que la saisir. Peut être bien... Phrase en suspense, tu veux qu'il se questionne. Puis si tu peux donner un coup de pouce pour qu'elle oublie un peu plus Cole... tous les coups sont permis. Je pense qu'elle est assez grande pour savoir ce qu'elle veut. Comique quand tu joues à celle qui vient surveiller ses arrières, comme si elle peut pas prendre soin d'elle même. Contradictoire, ouais, mais pour la bonne cause. Je pense que vivre l'instant présent c'est bien. Tu donnes ton accord ? Peut être bien. Après tout il a raison, il a peut être lui même pas pensait au sens de leur relation. Il a pas dû y poser de mots, de statut même. Et tu sais que Lucky veut juste avancer, profiter, pas se prendre la tête, et voir où la vie la mènera. Puis voilà que Ayma débarque pour embrasser le jeune homme. Tu rigoles en lui jetant : spas mon mec ! Si ça avait été le but, d'embrasser le gars avec qui elle te croit flirter, ou qu'elle pense être ton mec, c'était raté. T'en avais rien à foutre qu'elle l'emballe le William. C'est ma sœur. Un conseil, reste loin d'elle si tu tiens à tu sais qui. Puis tu vois au loin Abélard sûrement la raison pour laquelle elle avait fait ça. Une chance que tu sois en 'couple' ou tu serais allée l'embrasser l'eliot, contre son gré, comme elle a fait avec le professeur.

@William Bloomberg @Aymalyne K. Strauss
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Pourquoi ne tournais-je tout simplement les talons pour rejoindre ma table que j'avais quitté depuis trop longtemps ? Pour quelle raison m'infligeais-je donc cela, puisque de toute évidence, ces questions avaient tendance à m'agacer. Bien entendu, comme souvent, je demeurais extérieurement impassible. Laissant finalement entrevoir le fond de mes pensées à la blondinette, cette dernière souriait. Jackpot ! J'allais enfin avoir là paix. me disais-je. La suite fut quelque peu amusante. J'arquais d'ailleurs un sourcil devant l'évidente contradiction de sa réplique. Alors que la suivante fut tout aussi étonnante. Je l'écoutais, le visage aussi serein que précédemment. Que voulait-elle me faire comprendre par là ? J'avais une petite idée... Quelque chose comme, c'était tout ce dont Lucky avait besoin. Et si cela nous convenait à l'un comme à l'autre je n'avais qu'à espérer que mon travail peu conventionnel ne vienne pas ternir ce... Et ternir quoi ? Il n'était pas encore question de mettre un nom sur... ...Ça. "Dois-je comprendre que... commençais-je avant d'être interrompu. Quelqu'un avait tapoté mon épaule et bien sur je m'étais retourné. Sauf que, contre toute attente une jeune femme, encore inconnu à mon carnet d'adresse colla ses lèvres sur les miennes. J'avais eu un léger mouvement de recul, sans que cela ne m'évite ce baiser pour autant. Je ne pouvais pas qualifié de désagréable, sans pour autant affirmer l'avoir apprécié. À dire vrai il avait été trop bref pour que je n'en pense quoi que ce soit, hormis le faire que j'en ignorais le but ? Contrairement à mes habitude ; l'incompréhension se lisait sur mes traits, tandis que je regardais Aymalyne retourner d'où elle était venue.. Puis me parvins un semblant réponse. Il s'agissait de la soeur d'Ashleigh ! Pourtant cela ne m'expliquait pas pourquoi... Tu es trop pressé Will... Songeais je alors qu'Ashleigh s'adressait à l'autre blonde. En somme... La soeur de cette dernière m'avait embrassé en espérant que cela attirerait ses foudres. Et de tout cela je n'étais que l'instrument utiliser pour atteindre cet objectif. Décidément, ce genre d'événement ne me correspondait définitivement pas ! Pourquoi diable étais-je venu ?
Je répondais assez sèchement à la meilleure amie de Lucky. "Oh parce que je suis débile au point de flirter avec ta soeur." Ajouté au fait que ce n'était pas vraiment mon style.


@Ashleigh H. Strauss @Aymalyne K. Strauss
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Ma jumelle semble avoir une ennemie dans les parages (Sasha) qui venait de faire une remarque pertinente. Hippo sait se faire des ennemis. A côté de ça, il est vrai que ça nous arrive d'être parfois un peu trop des pestes. Ma jolie demie-soeur chérie,Nina vient nous rejoindre et je la prends dans mes bras. « T'es à tomber toi aussi, ma belle. » Je la lâche et regarde son cavalier. Merde alors il est carrément canon. J'en tombe des nue, Nina nous présente et je lui fais un sourire charmeur.  « Très ravie de te connaître, Lukà. Ma demie-soeur en a de la chance de t'avoir en cavalier. » Il me fait tout oublier lui, en un regard, un sourire. En plus il tombe bien, j'ai soif et pour boire faut embrasser quelqu'un alors je regarde Nina d'un joli petit sourire, l'air d'une désespérée.  « Diiit. Je peux embrasser ton cavalier? Parce que là j'ai soif et je ne voudrais pas embrasser mon ex qui est un peu plus loin avec d'autres meufs. » Suppliais-je un peu embarrassée de lui demander ça. J'avais vu William, mon premier amour non loin d'ici et je dois avouer que ça me faisait chier donc si je peux le rendre jaloux au passage. Je prendrais un plaisir fou à l'embrasser en plus, puis le jeu est une bonne excuse.

© LOYALS.


@Lukà Petrov @Nina B.-Dunford @William Bloomberg @N. HIPPOLYTE DUNFORD

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La reflexion de Cassie me fit rire, c'est vrai que je ne connaissais pas la personne avec qui elle était allé parlé, mais j'avais bien compris qu'elle ne l'appréciait pas comme la fille qui était avec lui. Sa phrase me fit sourire. T'inquiète je suis comme toi, je fais pas attention aux termes que j'utilise quand j'ai les nerfsajoutais-je en souriant. Elle me parla alors d'Ashleigh, que je connaissais un peu. Oui ou ije la connais un peu, non non j'ai pas besoin de lui aracher sa robe. Je n'ai rien contre elle, par contre toi tu n'as pas l'air de l'apprécier ? Je regardais ashleigh et en effet sa robe semblait être déchiré. je crois que c'est une amie de brent et de nate



dialogue:

@Cassie Von Liechtenstein
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J’étais épuisée de toutes les tensions qu’il y avait eu au court de la soirée. Je ne voulais plus resté ici, il fallait que je m’en aille. Trouver un coin plus tranquille. Je lancer un dernier regard vers certaine personne, annonçant d’un simple geste de la tête que je partais. Je ne voulais pas lançais certaines personnes en plan, mais je ne me sentais pas de taille à continuer à affronter cette soirée. Si tant est qu’elle fut inoubliable, elle fut surtout très tumultueuse. J’étais étonnée même de n’avoir assistais à rien d’autre qu’une baffe. Habituellement pas mal de personne se battaient durant ce bal. Mais il fallait oublier toute cette soirée désormais. Je pris finalement la direction de la sortie.

OUT
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