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@Clay Fitz. Cooper
Si la frustration avait un nom, elle s’appellerait Clay Fitz. Cooper. Son désir grandissant fut pris de court par ce refus d’aller plus loin, de goûter une nouvelle fois à ses lèvres. Diable, pourquoi avait-elle tant aimer ce baiser qu’elle avait pourtant voulu détaché ? Jamais elle n’aurait pensé réagir ainsi à un contact aussi banal. Ce n’était pas comme si elle n’avait jamais embrassé quelqu’un ! Pourtant, elle désirait de tout son être recommencer mais ne le pouvait pas. La main de Clay se posa sur la sienne pour la faire quitter sa nuque. Les règles ? Mais… On s’en fiche, des règles ! Du moins, c’était dans les habitudes de Lisbeth de ne pas les suivre. Clay était un homme de lois et de principes, maintenant elle le voyait très bien. Et puis, ce n’était pas tout : elle avait remarqué son coup d’œil sur une belle blonde. Mm... Célibataire mais il ne se privait sûrement pas de s’amuser un peu. Tant mieux pour lui et… Tant pis pour elle. Son désir bridé, il l’enflamma à nouveau quand il prononça ces mots « Garde cette idée en tête, pour plus tard ». Mince, ça voulait dire quoi, ça ? Elle écarquilla très brièvement les yeux, prête à répliquer. Ou pas, car elle ne savait pas quoi dire. Elle suivait le moindre de ses gestes, trop abasourdie pour faire quoi que ce soit d’autre. Il fallait sérieusement qu’elle se calme et se reprenne. Inconsciemment, la jeune femme se mit à tripoter son bracelet jaune, ce maudit bracelet à la con ! Dans quoi s’était-elle embarqué, encore ? Presque désespérée, elle n’attendait plus rien de l’homme assis en face d’elle quand soudain, il se pencha vers elle. Ses doigts effleurèrent son visage et un nouveau frisson parcourut son échine. Elle le laissa poser ses lèvres contre les siennes, accueillants sa bouche comme si c’était la dernière chose à faire avant la fin des temps. Et il la laissa là, toute pantoise, demandant au barman de lui commander la même chose. Lisbeth le regarda s’éloigner, restant un long moment dans cette position avant de faire face à l’homme travaillant derrière le comptoir. Elle savoura lentement son cocktail puis, quand elle le termina, elle retira son bracelet jaune, dévoilant un autre bracelet, en or celui-ci. Elle apostropha le barman et le lui tendit. La jeune suédoise lui donna une mission sournoise : remettre cet accessoire au flic en prétendant qu’elle l’avait oublié. En espérant qu’il repasserait par-là.
OUT
APRES L'EFFORT, LE RECONFORT... OU PAS. |
Si la frustration avait un nom, elle s’appellerait Clay Fitz. Cooper. Son désir grandissant fut pris de court par ce refus d’aller plus loin, de goûter une nouvelle fois à ses lèvres. Diable, pourquoi avait-elle tant aimer ce baiser qu’elle avait pourtant voulu détaché ? Jamais elle n’aurait pensé réagir ainsi à un contact aussi banal. Ce n’était pas comme si elle n’avait jamais embrassé quelqu’un ! Pourtant, elle désirait de tout son être recommencer mais ne le pouvait pas. La main de Clay se posa sur la sienne pour la faire quitter sa nuque. Les règles ? Mais… On s’en fiche, des règles ! Du moins, c’était dans les habitudes de Lisbeth de ne pas les suivre. Clay était un homme de lois et de principes, maintenant elle le voyait très bien. Et puis, ce n’était pas tout : elle avait remarqué son coup d’œil sur une belle blonde. Mm... Célibataire mais il ne se privait sûrement pas de s’amuser un peu. Tant mieux pour lui et… Tant pis pour elle. Son désir bridé, il l’enflamma à nouveau quand il prononça ces mots « Garde cette idée en tête, pour plus tard ». Mince, ça voulait dire quoi, ça ? Elle écarquilla très brièvement les yeux, prête à répliquer. Ou pas, car elle ne savait pas quoi dire. Elle suivait le moindre de ses gestes, trop abasourdie pour faire quoi que ce soit d’autre. Il fallait sérieusement qu’elle se calme et se reprenne. Inconsciemment, la jeune femme se mit à tripoter son bracelet jaune, ce maudit bracelet à la con ! Dans quoi s’était-elle embarqué, encore ? Presque désespérée, elle n’attendait plus rien de l’homme assis en face d’elle quand soudain, il se pencha vers elle. Ses doigts effleurèrent son visage et un nouveau frisson parcourut son échine. Elle le laissa poser ses lèvres contre les siennes, accueillants sa bouche comme si c’était la dernière chose à faire avant la fin des temps. Et il la laissa là, toute pantoise, demandant au barman de lui commander la même chose. Lisbeth le regarda s’éloigner, restant un long moment dans cette position avant de faire face à l’homme travaillant derrière le comptoir. Elle savoura lentement son cocktail puis, quand elle le termina, elle retira son bracelet jaune, dévoilant un autre bracelet, en or celui-ci. Elle apostropha le barman et le lui tendit. La jeune suédoise lui donna une mission sournoise : remettre cet accessoire au flic en prétendant qu’elle l’avait oublié. En espérant qu’il repasserait par-là.
EXORDIUM.
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(Invité)