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TOPIC DE GROUPE N°2 ► Le bar

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Peut-être que t'aurais pas du faire ça. Mais vu ce qui t'attendait ensuite, tu te disais que tu ne t'en sortirais pas trop mal s'il pouvait atténuer sa colère en pensant à ce baiser de gamine. Oui parce que là tu pouvais pas dire autre chose sérieux. T'avais un peu honte de toi parfois mais tu tentais tant bien que mal de rester un peu sérieuse, surtout lorsqu'il te disait que c'était un baiser chaste mais pas déplaisant. Tu répliquais alors « ça va, c'est rassurant » alors que tu lui souriais d'un air plus qu'amusé. Au moins, tu l'avais surpris c'était déjà ça. Il te demandait ensuite si tu l'avais vu avant ou si tu étais venue en le croisant simplement et, après lui avoir avoué que tu allais partir, il te soulignait que la soirée était loin d'être finie. Tu continuais de lui sourire avant d'ajouter « je sais oui mais j'voyais pas l'intérêt de rester seule » alors que tu ne perdais pas ton sourire. Oui, mieux valait rentrer maintenant que fergus t'avais laissée pour retrouver sa cavalière. Tu ne voyais pas l'intérêt de perdre ton temps, seule. Tu lui demandais comment se passait sa soirée et tu lui expliquais comment se passait la tienne. Lorsqu'il te répondit que si tu voulais, il pouvait frapper un mec pour toi, tu te sentis plus attendrie, plus calme aussi. c'est pourquoi tu ajoutais « nan ça va t'inquiète. Ma soirée s'est pas si mal passée que ça et y'a vraiment personne à frapper tu sais » d'un ton amusé alors que tu ne le quittais plus des yeux. tu lui demandais alors à quoi vous alliez boire et il te proposait plusieurs choix que tu approuvais sans peine. Tu lui répondis donc « on a qu'à boire aux trois ? » d'un ton doux alors que tu attendais sa réponse pour enfin prononcer le fameux « à la tienne ! » qui voulait tout dire et qui scellait ta bêtise pour de bon alors que tu portais ton verre à tes lèvres avec crainte...

@S. Kurt Schäfer
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"Reste avec moi alors." Lui lançais-je tout simplement pour pas qu'elle reste seule ensuite, moi, ça ne me dérangeait pas et ayant perdu Ivy de vue, bah je pouvais très bien m'amuser avec une autre fille jusqu'au moment ou je retrouverais à la rose non ? Puis je souris. "ça va alors, ça va m'éviter de salir mon costume." Je lui souris alors avant de lui proposer plusieurs choix et finalement l'entendre dire simplement de boire au trois. "Faudra plus qu'un verre alors." Je lui tire la langue, un peu joueur et probablement un peu provocateur aussi parce que ça sous entend qu'elle devrait me donner encore deux baisers ensuite. Quand elle monte son verre et me dit à la tienne, je lève également le mien, le faisant cogner doucement contre le sien. "Santé." Lui lançais-je alors avant de prendre une première gorgée de la boisson... Gorgée que je me force à avalée en vue du goût, parce que je vais pas lui recracher en plein visage... Bien que j'aurais pu vu que c'est le verre qu'elle m'a donné non... Je souffle alors, pour tenter de calmer ma sensation de brûlure dans la bouche. "Putain, c'est quoi ?" La questionnais-je en relevant le regard vers elle en lui mettant le verre sous le nez, parce que non, c'est pas l'alcool qui m'agresserait comme ça, même s'il y a des alcools forts. Dans tout les cas, là, j'crois que j'ai les larmes un peu aux yeux à causes de l'effet et chaque respiration me donne la sensation de brûlure, putain !

@N. Siham Delgado
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Les quelques mots qu'il prononçait te firent l'effet d'une bombe. Tu t'en voulais d'avoir mis ce truc dans son verre, pire que ça tu t'en voulais d'avoir fait ça à un de tes potes les plus proches. Tu baissais le regard quelques instants avant de lui répondre « merci, t'es vraiment adorable » avant de relever la tête pour lui sourire de plus belle. Tu avais peur, oui. Peur de le perdre avec cette connerie, peur de le blesser avec ce truc qui arrachait littéralement la bouche et pourtant, tu te taisais. Il soulignait alors qu'il n'aurait pas à abîmer son constume et toi, tu souriais en lui murmurant « si c'était de ma faute, je t'en aurais racheté un dix fois mieux » d'une voix amicale alors que tu commençais à trouver le temps fort plaisant en sa compagnie. Tu l'entendais plaisanter à nouveau sur ce baiser, sur le nombre de verre qu'il rajouterait et qui, de ce fait, rajouterait autant de baisers. Cela te fit sourire à nouveau parce que tu savais bien qu'il te taquinait, tu savais bien que tu n'avais qu'une envie, le voir sourire encore et encore pour oublier ce moment fatidique. Alors tu jouais, lui répondant « qui te dit que j'aurais accepté ? » d'une voix amusée alors qu'il te tendait son verre en te disant santé. Là, ton rythme cardiaque s'accélerait alors qu'il fit une tête vraiment bizarre... il te mettait alors le verre sous le nez, te demandant ce qu'il y avait dedans et tu ne sus que répondre. Tu savais qu'il avait le droit d'être en colère contre toi, tu savais que tu avais déconné. Tu ne pouvais pas lui mentir, pas à lui. Alors oui, tu baissais le regard parce que tu étais honteuse, oui tu ne savais plus quoi dire parce que ce genre de comportement, ce n'était pas toi et lorsque tu relevais la tête, les yeux brillants, tu ajoutais « on m'a demandé de le faire... » d'une voix faible alors que tu te grattais à présent le bras nerveusement en sachant que tu prendrais sa colère à la place de Cole. Tu ajoutais cependant « pardonne-moi, j'étais obligée... » d'une voix toujours aussi sourde alors que tu reculais d'un pas en me demandant si tu faisais bien d'être encore là à cet instant...

@S. Kurt Schäfer
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"Tu viens de le faire sans broncher, alors je pense qu'une ou deux fois de plus ne t'auraient pas réellement déranger." Je lui souris, la provoquant dans un sens un petit peu par jeu plus qu'autres choses. On trinque alors réellement et je bois une seule et unique gorgée du verre qu'elle m'a offert... Ouais, je me méfierais d'elle la prochaine fois, c'est clair. Je tousse, cherchant à faire passer l'agressivité de cette boisson, mais putain, non, ça arrache et j'ai l'impression d'avoir la bouche en feu. J'la questionne alors, pour tenter de savoir ce qu'elle a foutu dedans, mais elle me dit juste qu'on l'a forcé à le faire. "Ça répond pas à ma question." Lui lançais-je alors, la voix rendue plus grave à cause de l'agacement mais aussi par cette sensation de brûlure. J'ai le droit de la maudire là ? Parce que merde, ça fait mal et j'me tiens la gorge de mon autre main, ça brûle putain... Faudrait que je trouve de l'eau j'crois, j'sais pas. Si c'est du piment, l'eau fera juste rien, pour ça faut du lait ou du pain... mais j'pense pas trouver du lait facilement alors du pain... J'la regarde alors tenté de s'éloigner de moi et j'lâche ma gorge pour attraper son poignet avec plus de fermeté. Oh non, elle partira pas comme ça... "Qui ?" La questionnais-je alors quand même pour savoir qui l'avait contraint à faire ça... Savoir à qui je devais cette putain de sensation de brûlure dans la gorge.

@N. Siham Delgado
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Ca sera William alors. Oui car Monsieur ça faisait trop sévère et stricte. Puis après l'avoir vu en petite tenue, les bonnes manières ne tenaient plus vraiment. Et tu enclenches le sujet Laponie et Lucky, tout de suite. Pas de temps à perdre. Bien sûr il fait exprès de pas comprendre ta question, en la prenant au premier sens, au lieu d'y voir une question cachée. Très magnifique et toi par ça, tu entends pas le pays en lui même, plutôt ta meilleure amie. On en trouve peu des pays comme ça, qui valent le détour de se déplacer d'aussi loin, à l'imprévu, du jour au lendemain. Tu te fais plus explicite, tout en restant sur l'idée de la Finlande. Au moins, les autres autour, ils capteront pas de qui vous parler. Et t'es du genre à retourner dans un pays que tu aimes bien ou à en visiter plusieurs ? Entendre par là : tu es du genre à avoir qu'une seule femme ou bien en butiner plusieurs ?

@William Bloomberg
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A la réponse de Cassie, je lui offris alors un verre de jus de fruit, elle était plus raisonnable que moi en tout cas, je voulais m'amuser et ce n'était pa avec quelques verres que j'allais y arriver.  Elle me montra alors son ex et m'expliqua qu'il l'énervait, elle se leva alors me disant qu'elle allait revenir. Je ne voulais pas louper la scène entre casse et à son ex, ça sentait l'embrouiller et ça allait pimenter un peu cette soirée trop calme. Je regardais alors la jeune femme, je n'entendais pas spécialement ce qu'elle disait, mais elle avait l'air d'avoir bien énervé les deux autres ce qui m'amusa même si je ne les connaissais pas.  Elle revint alors au bout de quelques minutes. J'ai vu depuis le bar que tu avais réussis à les énerver,
c'était amusant, je trouvais la soirée trop calme. Tu l'as un peu pimenté comme ça
ajoutais-je en souriant, seulement Cassie semblait toujours énerver tu veux qu'on fasse une vacherie à cette nana ? autant demander, elle m'avait donné des idées pour me venger de Malicia alors bon. Je vis alors à l'autre bout de la salle, (Ashleigh)que j'avais déjà pu rencontrer.



dialogue:

@Cassie Von Liechtenstein @Ashleigh H. Strauss
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Je retournais vers Alison qui n’avait rien manqué de la petite scène de loin. Je souriais, un peu satisfaite d’entendre la quincy m’assurait que les deux autres avaient vu rouge suite à mon intervention. Elle proposait ensuite qu’on aille faire une vacherie à cette nana, la blondasse d’Hadès. Je jetai un regard désabusé vers elle (Harper) et le garçon, qui projetaient de passer le reste de la soirée dans la suite de la jeune femme et je secouai la tête : « Je perds pas mon temps avec des garages à bites de ce genre. » Et réalisant ce que j’avais dit, je plaquais ma main sur ma bouche, comme une gamine prise en faute après avoir dit un gros mot. « Je l’ai dit à haute voix ? Excuse moi, je suis pas injurieuse d’habitude mais là elle m’a vraiment énervée je crois. » Dernier regard vers le petit couple et je reportai mon attention sur Ali, qui fixait quelqu’un. Mes yeux suivirent les siens. Ashleigh. « Tiens en parlant de garage à bites… » Je pouffai, attrapai mon jus d’orange, et questionnai mon amie : « Tu la connais ? Elle aussi tu veux qu’on déchire sa robe ? » Et je détaillais la tenue de la mather, avant d’ajouter, sarcastique : « Ha bah non, on peut pas… Apparemment, quelqu’un l’a déjà fait. »




@Alison C. Wheeler @Ashleigh H. Strauss
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Je levais à nouveau mon verre à cela. De toute façon jouer les prof sévère et distant ne m'allait absolument pas. J'étais suffisamment mystérieux et secret sur ma vie pour en prime avoir à faire mine de vouloir me faire appeler par mon nom.
Dans un premier temps, je crus que ma réponse ne lui conviendrait pas et qu'elle se montrerait alors plus direct dans ses questions. J'avais tord ! Alors que je hochais imperceptiblement la tête, je réalisais en l'écoutant qu'elle ne parlais pas du tout de la Finlande. Quoique quiconque nous entendrait n'y verrait que du feu. Je riais doucement. Un de ses rares rire qui s'évanouissait à peine s'était-il fait entendre. Je vois. songeais-je alors que je réalisais qu'elle me poserait toutes ses questions à travers un amusant jeu de mot. Astucieuse la petite. Je gardais alors le silence quelques secondes, buvant un peu de la liqueur qui était dans mon verre. Et voilà, l'interrogatoire commençait.M'étais-je seulement posé la question avant qu'elle ne l'aborde elle même. J'avais énormément voyagé, au sens propre autant qu'au figuré, mais cet aspect de ma vie n'était pas cohérente avec le professeur que j'étais censé être. Pas lorsque mes voyages avaient pour but de trouver et tuer la cible que l'on m'avait désigné. Je respectais cependant suffisamment Lucky pour ne pas vouloir mentir en répondant à sa meilleure amie - surtout lorsque cette dernière lui rapportait mot pour mot cette conversation. "Pourquoi ? Ca serait gênant ?" demandais-je alors évitant ainsi de répondre à la question.

@Ashleigh H. Strauss
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« Bal 2017
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Tg

Alors on en est là, à réduire à néant des années de silence concernant mon statut social en m'affichant aux yeux de tous comme ouvertement célibataire. Un détail qui n'a pas échappé - forcément - à ma voisine que je n'ai encore pris le temps de détailler de front et pourtant, son timbre de voix ne me laisse pas indifférent, ni sa prestance. « Célibataire, vous ? J’ai dû mal à le croire. » Oui, moi aussi parfois. Mais depuis je me suis fait à l'idée d'en profiter librement sans en éprouver le moindre remord. Elle, de son coté, a choisi de se parer de la couleur dorée, un choix osé faut l'avouer, un choix qui aurait pu être également mien si j'avais été disposé à rentrer avec quelqu'un d'autre que Callio à la fin de cette pompeuse soirée. " On appelle çà un paradoxe." Et face à son mutisme, je me sens alors contrains d'être plus explicite sur ma pensée. " J'ai eu le bleu pendant plus d'un an et la seule fois où je l'ai endossé, le jaune ne m'a pas porté chance. Donc... " Mon poignet s'élève lentement pour retomber, un me revoilà avec l'rouge qu'il est inutile de lui préciser, faute d'avoir trompé une seule fois celle avec qui j'ai vécu plusieurs mois d'affilé. Mes yeux se délient finalement de cet halo sanglant pour la dévisager, curieux de mettre enfin un visage à ce dos soigneusement calligraphié. Un instant durant je reste interdit, ne sachant où j'ai déjà vu ces traits pour le moins familiers. " On s'est déjà croisés, pas vrai ? " Pourtant physionomiste par nature, j'ai peine à me souvenir d'une rencontre avec cette jeune femme jusqu'à ce qu'un fin sourire arrogant ne l'illumine. Putain...

Le plus ridicule dans l'histoire? Avoir servi à cette Lisbeth mon parcours sentimental d'un banal affligeant, une faille, alors qu'elle se régale des histoires d’État, nettement plus excitantes... Consterné, l'ébauche de ma connerie ravinent mes lèvres d'un sourire avant de me braquer, contre elle et contre cet environnement qui m'a fait tel que je suis. Et maintenant que je suis pucé, " Un whisky." Ce ne sont que quelques centilitres de versés au fond d'un verre, une commande qui ne tarde pas à m’être servi alors que le malaise s'enracine progressivement entre Wasp et moi. Jamais je ne l'aurais imaginée parée de tant d'éclats, si différente, si attirante, si loin de l'image de parjure qu'elle m'a la première fois inspiré. " Prête à tout... même à permettre de boire sans payer?  "

MAY


@Lisbeth Larsson
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APRES L'EFFORT, LE RECONFORT... OU PAS.


Lisbeth avait fini par enfiler le bracelet à la couleur dorée. Prête à tout ? Il fallait voir ce qu’on lui proposait. Mais la témérité de Wasp n’était plus à démontrer. Rien ne lui faisait peur. Mise à part la Suédoise qui voulait sa peau et la faisait traquer depuis deux mois. Pourquoi les forces de l’ordre n’étaient pas encore au courant alors qu’elle s’était fait tirer dessus une fois et que deux autres tentatives avaient été avortées ? Tout simplement parce que la police ne serait pas plus avancée qu’elle à ce jour. Voire beaucoup moins. Elle, au moins, avait dégoté un pseudonyme à l’aide des téléphones portables volés sur les cadavres du Russe et du Suédois que William avait achevé. Et il lui en avait fallu du temps pour y arriver ! Preuve que sa tortionnaire était très maligne. De son niveau. Ou presque. Mise à part ce contretemps dans sa vie, elle ne craignait rien. Choisir le bracelet jaune ne lui avait pas été compliqué. Par contre, que son voisin prenne le rouge l’avait un peu surprise. Elle ne pensait pas qu’un homme aussi séduisant puisse être seul. Enfin… Seul ne signifiait pas qu’il ne prenait pas du bon temps. La jeune femme à la robe rouge écouta le récit de ses mésaventures en amour avec attention, quand même un peu amusée que Clay ne se doutât encore de rien. Ainsi donc, il avait commis l’irréparable en endossant une seule fois cette couleur. Voilà qui expliquait son choix. Hochant la tête d’un air compatissant, elle reprit son verre en main et termina son cocktail d’une traite. Elle lissa un pli de sa robe avant de pouvoir enfin plonger son regard dans celui du flic. Il capta ses yeux et tilta. Il n’était pas flic pour rien : s’il était un brin physionomiste, il aurait au moins un doute sur son identité. La question tant attendue ne tarda pas à arriver. Lisbeth retint avec difficulté un sourire. Un vieux sourire arrogant dont elle avait la recette. Et c’est là qu’elle comprit qu’il avait compris.

Et ça ne semblait pas lui plaire, loin de là. Il se renfrogna dans un silence affligé : et oui, tu t’es fait avoir et tu m’as déballé une partie de ta vie ! Même pas besoin de se connecter sur le DarkNet, la joie ! Quand le barman revint vers eux, il comprit que quelque chose s’était passé. Était-ce à cause des bracelets ? Avait-elle déjà fait quelque chose de déplacé ? Peut-être que oui… Après tout, tout était permis. Elle commanda un autre cocktail alors que Clay se rabattait sur un whisky. Très bon choix. Le silence s’étira entre eux telle une mélasse gluante. Wasp sirota une gorge de sa boisson alcoolisée avant de pivoter sur sa chaise haute pour regarder l’homme.

« Prête à tout, comme tu peux le constater. Enfin… Si je ne termine pas les menottes aux poignets. Ce qui ne me déplairait peut-être pas… »

Elle avait baissé le ton pour achever sa phrase et avait sensiblement penché la tête près de Clay. Un sourire mystérieux flottait sur ses lèvres avant qu’elle ne se recule légèrement. La colère et la haine qu’elle avait ressenties à son égard s’étaient apaisées. Ce soir, Lisbeth était d’humeur joueuse. Surtout si Clay était partant (tant qu’elle ne finissait pas au poste).


EXORDIUM.


@Clay Fitz. Cooper
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