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Are you hiding from me, yeah?

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Mira n’avait pas idée dans quel bazar elle mettait les pieds en lui disant « que le meilleur gagne » car Bonaventure était un compétiteur dans l’âme. C’était même ce qui avait fait sa force dans sa rémission. Il lui suffisait simplement de lui dire : chiche ou même pas cap ; pour qu’il se mette dans les ennuis jusqu’au cou. C’était dans sa personnalité de toujours repousser les limites, de ne pas avoir peur du ridicule ou tout simplement de brûler la vie par les deux bouts comme si elle n’avait aucune importance. Le pire, c’est qu’il n’était pas adepte des sports à sensation, qu’il menait une vie très calme en dehors de son boulot de détective privé. Suicidaire alors ? Il l’avait été par le passé mais il avait tourné le dos à ses tendances destructrices en même temps qu’il avait pris la décision de se sevrer. Non, il aimait simplement relever des défis, se surpasser, se prouver qu’il pouvait toujours aller plus loin, plus haut. « Euh non, pour moi c’est juste une voiture. Je n’y rattache aucun souvenir… Par contre, tous mes goodies, mes comics etc. là par contre, ce n’est pas le même discours. En fait, je suis matérialiste concernant mes passions en dehors de cela, c’est pas le cas » répondit-il tout simplement. Le Quincy n’était pas dépensier non plus. Ses seules folies restaient en matière de fringues ou dans les goodies. Enfin, ce n’était pas tout à fait exact car il y avait également ses voyages. Bonaventure investissait beaucoup dans ses treks et possédait même un garde meuble pour entreposer son matériel. « Je ne me fais pas draguer par toutes mes collègues. En fait, je me fais jamais draguer à vrai dire donc de ce côté-là, tu n’as pas à t’en faire » rigole-t-il. C’était vrai, Bonaventure ne soulevait pas les foules. Il était mignon, il le savait bien mais le genre gentil n’attirait pas car les femmes préféraient jouer les masochistes avec un homme pas fait pour elles.

« Attends, c’est la loi de la jungle petit cœur. Il n’était pas un leader né, pour preuve, il a rapidement mis à sec la savane parce qu’il ne savait pas gérer. Il gouvernait par la force et la peur. Ce lion était un dictateur né alors je ne le plains pas. Il y a des gens qui ne sont pas gâtés par la vie mais ils ne se transforment pas non plus en meurtrier. A la place, ils se battent pour se faire une place au soleil » dit-il avec conviction. « On vit de tout de manière dans un monde gouverné par la loi du plus fort malheureusement. On aura beau tout faire pour changer la donne, les peuples se tourneront toujours vers quelqu’un qui leur promettra la lune et appuiera sur leurs peurs les plus silencieuses car dans fond, c’est ainsi que le pouvoir se crée : sur la peur des plus faibles » reprit-il avec une certaine lassitude. Bonaventure n’avait pas l’intention de plomber l’ambiance donc il avait rapidement enchainé avec une phrase de baratineur comme venait de le qualifier Mira. « Hey, c’était romantique ! » protesta-t-il avant de grommeler quelque chose qui devait dire : « Je suis un incompris ». Il la laissa se lever et aller chercher à boire et Bonaventure eut la surprise de voir le chat se lover contre lui. « Ah je vois. Pikachu est pareil. En général, c’est quand je rentre de garde… il me fait payer mon absence en me demandant plein de câlins » rigole-t-il en caressant le chat. Toutefois il se concentra bien vite sur Mira qui refusait qu’il lui paie une toile. [color=#FF8000] « Pourquoi pas ? Tu fais un travail, je te rémunère pour cela… C’est pas parce que tu es ma petite-amie que je vais t’exploiter ou que tu peux faire quelque chose pour moi gratuitement. « Je sais dessiner mais dans un style beaucoup plus proche des comics qu’autre chose… Et puis, j’aime ce que tu as fait de la belle et le clochard. S’il te plait, ça va te prendre du temps alors c’est normal que tu sois payée »




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Les dires de Bonaventure trouvent écho dans mon esprit, me faisant légèrement froncer les sourcils tandis que je réfléchis à ses dires. S'attacher à ses passions est quelque chose d'important mais … ma première voiture restait malgré tout importante pour moi, tout comme celle qui a brûlé dans l'incendie de la Winthrop House même si elle était moins importante . La vitesse est quelque chose qui me passionne peut-être est-ce pour cette raison que j'aime les voitures. « Enfin dans tous les cas, j'essaierai de ne pas te l'abîmer quand même… ou de te faire avoir un PV. » dis-je riant légèrement, oui c'est plutôt mon genre de griller un feu rouge , ou d'aller un peu plus vite que la moyenne autorisée. Je lui adresse un sourire malgré tout lorsqu'il me parle de ses comics une véritable passion pour lui. « je te montrerai une de mes passions quand on sera chez moi. » dis-je avec un clin d'oeil espérant que cela lui donne le courage de monter les 5 étages qui l'attendent. J'ai une peur que cela soit un obstacle pour lui et pour notre relation. Je monte dans la voiture à ses côtés, regardant la route défilé sous mes yeux en haussant les épaules, détournant un peu le regard à ses dires, pas du tout, mais vraiment pas du tout convaincu. « mais Jade c'est pas ta collègue, » demandai-je en haussant malgré tout un sourcil, avant de tourner mon regard vers lui, le regardant conduire, fixant chacun de ses traits . Si ses collègues ne le draguent pas, c'est une aubaine pour moi, mais je ne les comprends vraiment pas, Bonaventure est juste… l'homme parfait pour moi, un poil gamin, enfantin comme je les aime, un physique à tomber, des défauts tels que la jalousie, sa maladresse, et peut-être aussi son anxiété un peu maladive lorsqu'il semble toujours avoir peur que je le laisse tomber.

« Peut-être qu'il n'était pas un leader né, peut-être que c'était un dictateur MAIS… il ne méritait pas de mourir ! » dis-je avec une petite moue, Scar n'était peut-être pas bon, mais … je ne sais pas je lui trouvais un côté attendrissant, avec sa crinière noire, il faisait … plus sombre que Mufasa mais aussi plus imposant. « Bah moi je l'aimais bien Scar alors on ne regardera jamais le roi Lion ensemble pis c'est tout ! » dis-je en continuant d'afficher cette moue sur mon visage, je n'aime pas être contredit, mais j'aime encore moins lorsqu'on ne me donne pas raison en ce qui concerne les Disney « on parle pas de ça, je veux passer un moment agréable avec toi » dis-je finalement en reprenant ce beau sourire sur mes lèvres, continuant de passer ma main dans ses cheveux, ne me lassant pas de faire ce geste. « tu me laisseras couper tes cheveux un jour ? » dis-je avec un sourire amusée aux lèvres, j'aime cette coupe de cheveux mais… je crois que je l'aimerai encore plus si c'était moi l'auteur. Je rigole légèrement en l'entendant se plaindre, me retournant légèrement vers lui en marchant à reculons, lui adressant un regard et un sourire espiègle. « un romantisme pour que je t'emmène dans ma chambre… c'est bien ce que je dis, baratin ! » dis-je avec un sourire amusé. Lui ramenant son verre de jus de pomme, m'installant à ses côtés et regardant mon chat se frotter à lui, lui accordant même quelques ronronnements « tu le laisses dans une cage ou quelque chose dans la journée ? »lui demandai-je en regardant mon chat... un peu jalouse que ce soit à Bonaventure qu'il réclame des câlins, mais je ne vais pas me plaindre qu'il l'apprécie non plus. Je passe une main dans mes cheveux lorsqu'il me parle de faire une toile pour sa grand-mère. A vrai dire ce n'est pas rien pour moi, c'est tout de même un membre de sa famille, une famille riche qui, je suis sûr, peut se payer un vrai peintre pour faire ce genre de chose . « mais je ne suis pas une professionnelle, tu n'as aucune raison de me payer. » dis-je continuant de me rebeller contre cette idée d'avoir de l'argent. « et puis… tu n'es pas contre le fait de m'exploiter d'une autre manière. » dis-je avec un sourire coquin aux lèvres, passant ma main sous le ventre de mon chat pour l'attraper et le reposer par terre. Finis les câlins pour lui. , il faut qu'il apprenne à partager un peu. « tu veux que j'essaie de t'apprendre. » dis-je finalement lorsqu'il me parle de dessiner les comics, c'est un art comme un autre . Les Disney ne sont pas très différents. « Oui mais c'est en dessin animé, dessiner de vrais traits réaliste, je le fais beaucoup moins souvent. » dis-je en haussant les épaules. J'ai vraiment peur de le décevoir que cela ne lui plaise pas et encore moins à sa grand-mère. Je me mordille légèrement la lèvre, elle est importante pour lui, comme il me l'a expliqué la dernière fois, je ne tiens pas à foirer mes chances avec sa famille avant même que notre relation soit déclaré officiel. « Pfff je ne sais pas Bona... » dis-je en grimaçant, parler d'argent avec lui est loin d'être quelque chose qui me plaît, me rappelant notre différence.



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« Ce serait gentil ! J’ai pas envie d’avoir à nouveau à faire aux policiers »rigole-t-il. Bon, conquérir Mira en lui avouant qu’il avait un passé de délinquant à cause de ses talents d’hacker n’était franchement pas une bonne idée mais la confession lui était venue tellement spontanément qu’il commençait à se demander s’il arriverait à avoir des secrets avec elle. Il faut dire qu’il se sentait vraiment bien en sa présence, comme en sécurité. Un sentiment qu’il n’avait jamais connu avec une autre personne que Jarod. « ça marche ! »dit-il au sujet de sa passion, franchement curieux pour le coup. Elle avait trouvé le moyen de lui faire monter les cinq étages : attiser sa curiosité légendaire. On ne devenait pas détective privé sans un minimum de curiosité ! Toutefois, il se garda bien de répondre au sujet de Jade, n’ayant pas envie de provoquer la moindre crise de jalousie -surtout en sachant qu’il lui en avait fait une belle un peu plus tôt. « Jade n’est plus un problème, elle me fait la tête depuis le lord Hobo » dit-il néanmoins pour qu’elle ne l’imagine pas en plein flirt avec cette dernière. C’était la vérité de tout de façon !

« J’y crois pas mais tu as un problème avec ma pilosité ?! Un coup tu veux m’épiler, le coup d’après tu veux me couper les cheveux ! » râla-t-il en se passant machinalement une main dans sa tignasse toujours désordonnée. « Tu me veux chauve et imberbe ? » la taquina-t-il en passant sous silence cette histoire de Roi Lion car il la sentait presque prête à lui sauter à la gorge s’il osait discréditer Scar. Personnellement, son personnage préféré restait Timon. Il adorait l’humour un peu douteux de ce dernier ainsi que sa philosophie de vie -un peu proche de la sienne tout compte fait. Mira, elle, ne semblait pas réceptive à sa récente tentative de romantisme. « Je mets les formes, on ne va pas me le reprocher… Je t’ai dit, une femme doit être séduite même si tu es avec elle depuis quelques mois » dit-il en bombant le torse légèrement avant de prendre son verre de jus et de boire quelques gorgées. « Non, il est en liberté la journée sinon il serait malheureux comme un poux mais il est cantonné à ma chambre histoire de limiter les dégâts. De toute façon, bien souvent, il dort quand je ne suis pas là » lui répondit-il avant qu’ils n’abordent un sujet assez brûlant : celui de l’argent. Bonaventure ne souhaitait pas qu’elle complexe vis-à-vis de sa propre richesse. Il se fichait bien d’avoir de l’argent ou non ou qu’elle ne vienne pas du même milieu social que lui. « Je ne dis pas non pour un cours de peinture avec toi ni même de t’exploiter autrement » rigole-t-il avant de se tourner vers elle pour glisser son bras autour de ses épaules et la ramener contre lui. « Mira, même si tu n’es pas une professionnelle, je veux te payer. Tout travail mérite salaire et je me fiche bien d’être ton petit-ami… Si je me tournais vers Summer ou vers un parfait inconnu, je le rémunérerai parce que c’est ainsi que cela doit se passer » commença-t-il d’un ton sérieux avant de soupirer. « S’il te plait, je ne te fais pas la charité ou quoique ce soit tout comme je n’ai pas envie que tu développes un complexe vis-à-vis de mon statut social. L’argent, ce n’est pas ce qui nous définit dans la vie et à tes yeux, j’ai surtout envie d’être Bonaventure tout comme tu es ma Mira aux miens. J’ai envie de pouvoir te faire des cadeaux parce que tu m’es précieuse et que je veux te gâter. Je ne cherche pas à ce que tu m’en fasses en retour ou que tu cherches à rivaliser sur le prix. Je me fiche de ça… tout ce que je veux, c’est simplement être avec toi. Je n’ai vraiment pas envie que l’argent soit un sujet de discorde entre nous ou même un sujet à nous éloigner l’un de l’autre » poursuivit-il avec tendresse en la couvant du regard. « Clochard finit bien par être heureux avec Belle non ? C’est bien que leur statut social différent n’a pas été un obstacle pour eux ? Pourquoi ce serait différent pour nous ? »





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Un froncement de sourcils, une incompréhension qui commence à se lire sur mon visage, peut-être également emprunt à une surprise non dissimulée. Je ne m'attendais pas à cela, à ce qu'il m'avoue avoir déjà eu affaire à la police… d'ailleurs pourquoi il a eu affaire à eux. Je souffle doucement, tandis qu'il n'avance pas d'autres explications, me laissant me dépatouiller avec cette nouvelle information sans d'autres indices. « Non mais hey, tu peux pas balancer ça et t'en tirer comme ça. » dis-je en haussant un sourcil, l'attrapant par la main. « Moi aussi je vais t'arracher tes secrets tu vas voir ! » dis-je avec un sourire espiègle aux lèvres. S'il ne souhaite pas m'en dire davantage , je trouverai par moi-même . Son attitude m'intrigue, j'ai beaucoup de mal à voir mon gentil panda derrière des bureaux de prisons, ou encore avec les mains menottés dans le dos. Mais la conversation change quelque peu lorsque nous montons dans sa voiture. Si lui m'a fait une crise de jalousie tout à l'heure, je ne suis pas n reste non plus lorsqu'il me parle de ses collègues, m'affirmant qu'aucune ne le drague. Ouais mon œil, c'est pas ce que j'ai vu l'autre jour au bar… et je te touche le bras par-ci, je pose ma main sur ta cuisse de l'autre, je renvoie ton mariage en arrière-plan, parce qu'elle avait envie de coucher avec ! Par contre un sourire machiavélique se forme sur les lèvres à ses dires. Tiens tiens Miss pouffiasse boudé ? « Tant mieux ! Un ennemi en moins ! » dis-je en haussant les épaules. Peut-être qu'un jour, je penserai à retirer son numéro du site pour adultes sur lequel je l'ai mis. Enfin, tant que mon histoire avec Bonaventure n'est pas officielle, et que je ne peux pas sortir les griffes en public, il n'en ai pas question.

« Mais non, pourquoi tu crois ça ! » dis-je en riant face à ces réflexions… C'est vrai que ça peut porter à confusion, pourtant non… je n'ai « presque » rien contre ses poils. « Non je ne veux pas que tu sois chauve mais… j'aime bien quand tu as une coupe bizarre ... plus courte sur le côté et avec ta houpette devant... » dis-je avec un sourire amusé, passant ma main dans ces cheveux, justement pour les ébouriffer davantage. « Après ton torse… » dis-je faisant redescendre ma main sur sa joue, son cou et passé avant de du laissé retombé contre son torse musclé, le caressant lentement à travers son t-shirt. « il faudrait que je vois si ça a repoussé depuis halloween » dis-je un sourire séducteur aux lèvres, un bon moyen de changer de conversation, et de ne pas se disputer par rapport à un personnage de Disney. Non mais c'est quelque chose de sacrée pour moi, et étant très têtue, je ne renoncerai pas à mes idées . Tout comme je ne peux m'empêcher de rire lorsqu'il essaie de faire passer son baratin de séducteur pour du romantisme… non j'y crois pas, navré pour lui . « Sincèrement qu'est-ce qui a pu te donner l'envie un jour d'avoir un furet domestique. » dis-je en fronçant légèrement les sourcils. Après tout ce n'est pas quelque chose d'ordinaire non plus , on ne se réveille pas juste un matin en se disant " je vais acheter un furet ", ou " je vais acheter un serpent selon moi. Après je ne le critique pas… je ne le comprends juste pas. Je souffle doucement lorsqu'il me ramène à lui, mettant ma tête dans son cou, sentant que la conversation qui va suivre va être compliquée. J'ai beaucoup de mal à accepter le fait qu'il puisse me payer pour faire un tableau, si je peins, c'est pour mon plaisir, c'est une de mes passions... tout comme c'est une passion pour lui de lire des BD, s'il le fait pour de l'argent cela perdrait son sens non ?« mais ça me met mal à l'aise Bonaventure... Je ne veux pas profiter de ton argent, que quelqu'un croit que je suis avec toi pour ça . Je ne peux pas t'offrir de cadeau en y mettant le prix justement, donc accepte au moins celui-là … c'est un cadeau que je te ferai… » dis-je en lui adressant un sourire crispé . Nous n'avons pas eu ... les mêmes moyens tout au long de notre vie, ce qui fait une différence, une barrière que j'aimerais pouvoir briser. « Parce qu'on est dans la réalité... » dis-je en levant les yeux au ciel, retirant , reculant légèrement mon visage de son corps pour le regarder, je ne veux pas non plus que ce soit un problème de discorde entre nous, je veux pouvoir passer cet obstacle. « Alors je ne veux pas que tu me payes pour ce « tableau », d'ailleurs personne n'a dit qu'il sera réussi. Je le ferai parce que ça me fait plaisir tout simplement, que j'aime dessiner, peindre, que j'aime le rock, et que ce sera une façon amusante d'en apprendre un peu plus sur le rock des années 60… et sur ta grand-mère en même temps. Comprends que je ne veux pas être payé pour ça, pour le fait de faire plaisir à l'homme que j'aime . » rajoutai-je une nouvelle fois à la fin, exagérant sur ce point, car je n'accepterai vraiment pas d'argent de sa part ! Si ça aurait été pour un de ses amis... peut-être aurai-je pu accepter… mais pas sa famille non ! Je sais qu'elle est importante pour lui, et que de ce fait, elle n'a pas de prix ! « Accord conclu ? Je fais cette toile avec toi ! Et Gratuitement ! » dis-je avec un sourire, m'en fiche j'ai le dernier mot !



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Bonaventure rigola de bon cœur en la voyant se rebeller face au peu d’informations qu’il venait de lui fournir. En même temps, il n’était pas certain de pouvoir lui révéler ses petites occupations illégales. Certes, depuis le temps, il était passé du bon côté de la barrière mais il lui arrivait encore fréquemment d’user de ses compétences dans le cadre de ses activités de détective privé. « Disons simplement que j’ai certain talent qui m’ont valu une garde à vue. Je n’ai pas été condamné parce que mon père a joué de ses relations. Du coup, j’ai juste écopé de pas mal d’heures de travaux généraux » répondit-il simplement. Dans un sens, il ne voulait pas non plus qu’elle s’imagine qu’il avait commis un meurtre ou un truc trop grave. Il avait juste piraté plusieurs sites et réalisé quelques faux papiers. « Je suis plein de secret, tu risques d’y passer toute une vie… Va falloir que tu restes trèèès longtemps ma petite-amie dans ce cas » la taquina-t-il toutefois avant qu’ils ne se rendent sur le parking puis chez elle. Bonaventure avait été amusé de cette petite pointe de jalousie. Il aimait le fait qu’elle veuille qu’il lui appartienne totalement. Il se sentait vraiment désiré et aimé pour lui-même. Le Quincy avait trop souvent été rejeté pour des raisons amicales que pour une fois, le fait d’être la personne le plus importante pour une femme : ça lui faisait un bien fou.

A son appartement, Bonaventure eut le loisir de découvrir une part de Mira notamment celle liée aux Disney. Il avait bien compris qu’elle adorait le personnage de Scar. Aussi, il ne chercha pas à la contredire, orientant simplement la conversation sur des sujets légers comme son obsession pour sa pilosité. « Si tu continues comme ça, je risque de te porter jusqu’à ta chambre et te faire l’amour Mira » murmura-t-il en dardant sur elle un regard où se lisait clairement une pointe de désir. Il faut dire qu’il avait un mal de chien -ou de loup garou ; à lui résister. C’était simple, il lui suffisait de peu pour tomber totalement à ses pieds. Par moment, c’était flippant. « Si mon coiffeur prend des vacances, je te laisserai peut-être t’amuser mais rassure moi, tu as déjà joué des ciseaux avant ? Parce que sinon, c’est un non définitif » tint-il tout de même à faire valoir. Amoureux oui mais pas folle la guêpe. Tout doucement, ils en vinrent à aborder le sujet des animaux domestiques. « Parce que j’adore les furets et que je sais pas… j’aime ce qui sort de l’ordinaire. J’ai un chien également mais il est chez mes parents car j’ai pas de jardin et je ne veux pas l’enfermer entre quatre murs » lui apprit-il. Son chien lui manquait affreusement mais il savait qu’il prenait la bonne décision le concernant. Il le verrait aux prochaines vacances !

Le couple s’engagea alors sur un terrain glissant : l’argent. Bonaventure ne voulait pas qu’elle développe un complexe vis-à-vis de sa situation sociale ou financière. « Je me fiche bien de ce que les gens pensent Mira. Moi, ce qui m’importe, c’est ce que TOI tu penses. Je n’ai simplement pas envie que tu entres dans une compétition avec moi concernant l’argent ou que tu t’imagines que mes cadeaux sont de la charité ou de la compassion tout comme je n’ai pas besoin d’un cadeau qui soit hors de prix. S’il vient de toi, il me plaira à coups sûrs » lui répondit-il avant de soupirer. « Je n’ai pas envie de te perdre à cause de quelque chose que je n’ai pas choisi à la base. Tu sais, je suis né en Namibie, dans une famille pauvre. J’ai eu de la chance d’être adopté par les Weasley. Ils sont riches d’accord mais moi, je suis juste Bonaventure. Rien que Bonaventure » reprit-il avant de s’incliner quant à sa demande concernant le tableau. Il ne voulait pas insister, pas de suite. A contre cœur, il laissa cette petite victoire à sa petite-amie. « D’accord, gratuitement… A moins que je te paie en nature ? » plaisanta-t-il avant de l’embrasser pour sceller cet accord.





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les dires de Bonaventure ont tendance à me surprendre aujourd'hui, que cela soit sa jalousie envers de Jaysaël, sa soudaine envie de fuir, de se réfugier dans un autre monde, qu'est les jeux vidéo pour fuir les problèmes, et à présent, j’apprends que mon petit ami Quincy, si gentil, mon petit panda… aurait eu quelques ennuis avec la justice . Et il ne me donne pas plus d'informations croustillantes à ce sujet . Non mais il se fout de moi, on peut pas m'offrir une paire de chaussures, dans une boîte et m'empêcher de l'ouvrir, c'pas possible, c'est inhumain ! Ma frustration exprimé, je continue de le regarder avec ce regard d'incompréhension, mêlé avec un peu de tendresse, pour l'amadouer un peu, pour réussir à lui faire cracher une partie du morceau. « Ah oui… Monsieur a fait jouer ses relations ? » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres, laissant même un rire sortir de mes lèvres. « Mais si tu as fini en garde à vue… c'est que tu n'es pas si doué que ça dans ce cas... » dis-je en haussant les épaules, remettant peut-être un peu en cause ses talents de je ne sais quoi ... peut-être que comme ça il tombera dans le panneau, il se défendra et me dira ce qu'il a fait. « Si notre relation secrète ne m'a pas fait faire demi-tour, je pense que je risque d'être dans ta petite amie, encore très longtemps. J'ai vraiment envie d'apprendre tous tes secrets... . Les secrets c'est un peu ma nourriture quotidienne. » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres, même si ce n'est pas totalement faux. Il faut dire qu'en quatre années en tant que Barmaid, j'ai appris beaucoup de choses… c'est fou ce que les gens aiment parler aux barmaids, et leur raconter leur vie.

« Tu ne sais même pas où est ma chambre. » dis-je avec un sourire amusé, ne me gênant pas pour continuer. Après tout… je suis la maîtresse de maison non ? Je laisse donc ma main courir sur son torse, soulevant même un peu son t-shirt, le faisant sortir de son jean, en posant mon regard sur le sien, attrapant ma lèvre inférieure entre mes dents, voulant voir jusqu'où je dois aller pour le faire craquer.  bien-sûr , tu crois que je les crée comment mes fringues, je coupe le tissus avec mes dents ? » dis-je en haussant un sourcil, laissant un sourire espiègle se glisser sur mes lèvres. Je me fou peut-être un peu de lui mais bon … j'ai aucune envie de lui dire ce que je suis capable de lui faire avec une paire de ciseaux dans les mains, sinon il va tous les planquer. «  Mais tu l'as depuis longtemps Pikachu ? Ça vie combien de temps ces animaaux-là ? » dis-je voulant tout de même m'intéresser à ce qu'il aime… y compris son furet. Bon sang le jour où je vais devoir le caresser ou le prendre dans mes bras... j'en frisonne un peu d'avance. « Tu'n'aurais pas préféré un serpent ? » ouais je pense que je préférerais caresser un beau python… j'aurai l'impression de caresser un sac hum… Non faut pas penser comme ça Mira, tuer des animaux pour la mode c'est mal ! De la fourrure c'est beau, mais la fausse fourrure est tout aussi belle et ne nuit pas aux animaux mais il n'y a pas encore d'alternative aux sacs en « faux pythons... » c'est dommage… très dommage ! « Ouais mais tes parents vivent à Boston, tu dois le voir souvent tout de même? » demandai-je malgré tout en parlant de son chien. . Je laisse lentement retomber ma main sur son jean, avant de passer une main dans mes cheveux lorsqu'on aborde le problème de l'argent. C'est quelque chose que j'aurais préféré éviter, comme d'autres conversations houleuses qui risquent d'arriver dans notre couple « je ne veux pas non plus rentrer dans cette compétition avec toi. Mais je souhaite également te faire plaisir, et si je peux te permettre d'offrir un cadeau à ta grand-mère , je veux le faire gratuitement ! Ok je ne penserai plus que tu me fais la charité.. mais évite de dépenser trop ton argent pour moi… tu veux me faire plaisir, mais je n'ai pas besoin de tout ça pour être heureuse avec toi et pour t'aimer » dis-je avec un petit sourire à son intention. À Harvard, 90 % des étudiants sont fortunés, parfois je ne peux que me sentir en infériorité par rapport à eux, lorsque je vois des femmes en cours avec moi, avec des vêtements de luxe, des bijoux en or, qui ont assisté aux défilés de hautes coutures, à Paris, à Milan où je ne sais trop ou encore . Mais je suis heureuse comme ça, si un vêtement de luxe me plaît, je n'ai pas envie de demander à Bonaventure pour qu'il me le paye, ce n'est pas un porte-monnaie ambulant, et je ne souhaite pas non plus qu'il me voie comme une profiteuse. SI un vêtement me plaît et qu'il est hors de prix… j'ai mes astuces pour réussir à me le procurer. « dans ce cas, Juste Bona, et juste Mira… du coup le prochain cadeau que tu me fais… pas plus de 10 $, comme ça je serai sûr que c'est pas de la charité. » dis-je en riant, ça pourrait être un défi drôle tout de même, de le voir chercher dans des brocantes ou autres après un objet à moins de 10$ , lui qui aime les défis. Je laisse ses lèvres venir caresser les miennes dans un doux baiser, avant d'hausser légèrement les épaules face à sa proposition., un autre sourire séducteur aux lèvres. « nous verrons cela en temps et en heure, Monsieur Weasley » dis-je en approchant mon visage de lui pour récupérer ses lèvres entre les miennes, lui donnant droit à un baiser passionné, pressant lentement mes lèvres contre les siennes, et laissant ma langue caressée quelque peu la sienne, avant de me reculer légèrement. « je reviens ! Tu bouges par dis-je descendant du canapé pour disparaître dans le couloir menant à ma chambre « plutôt classique ou … original ? »


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« Pas moi. Mon père… Techniquement, je n’ai aucune relation bien placée » hausse-t-il les épaules en lui répondant. C’était son père qui avait le bras long. Lui, il avait quelques contacts, des informateurs qu’il payait pour obtenir des renseignements mais bien souvent il s’agissait de sans-abris. On ne soupçonnait pas tout ce dont ils étaient témoins le jour comme la nuit. « Ce n’est pas vraiment mes compétences qui sont en doute mais plus mon orgeuil pour le coup. Je voulais me prouver que j’étais le meilleur, je ne faisais plus attention à rien et ça m’a valu de me faire coffrer » soupire-t-il. Comment lui dire qu’il était défoncé du matin jusqu’au soir et qu’il avait commis beaucoup d’erreurs qui avaient fait que les flics étaient remontés jusqu’à lui ? « Enfin, c’est derrière moi tout ça… Je suis un gentil hacker à présent » lâcha-t-il finalement le morceau. Ce n’était pas quelque chose qu’il souhaitait lui cacher. « Mais faut le dire à personne… ça sera notre petit secret » ajouta-t-il avec un clin d’œil. Bonaventure ne parlait jamais de sa seconde vie ou plutôt il évitait. C’est juste qu’un bon hacker évitait de le crier sur tous les toits. Ceux qui le faisaient, amusaient simplement la galerie d’après lui. « Avec moi, je crois que tu auras de quoi festoyer durant de longues années si les secrets sont tes mets favoris. Je ne critiquerai pas, ils sont mon gagne-pain » répondit-il avec un petit rire. Oui, débusquer les secrets des autres, les révéler au grand jour, voilà ce qui payait ses factures. Le Quincy avait pris très rapidement son indépendance financière vis-à-vis de ses parents. Aussi, il vivait de ses placements fructueux ainsi que de ses petits boulots légaux ou non.

« Ton appartement n’est pas très grand, je finirai forcément par la trouver en faisant toutes les portes » dit-il en songeant combien elle était désirable à cet instant précis. « Arrête de te mordiller la lèvre sinon je t’allonge de suite sur ce canapé » murmura-t-il en passant son pouce sur ses lèvres d’un petit mouvement de la main. Il rigola face à sa remarque concernant les ciseaux. « Petit cœur, il y a une différence entre couper du tissu en suivant un patron et me couper les cheveux ! » réagit-il en secouant la tête de droite à gauche. C’est qu’il y tenait à sa tignasse. En fait, Bonaventure avait un côté vraiment coquet à tout bien réfléchir et le pire, c’est qu’il l’assumait pleinement. « Euh tu veux me voir hurler à la mort ? Approche-toi de moi avec un serpent ou un cheval et tu vas me voir courir à l’autre bout de la planète » grimaça-t-il de dégout. Il détestait ces deux bestioles. « Sinon pour te répondre, ça vit une dizaine d’années et je l’ai depuis sa naissance ou presque. En fait, je l’ai trouvé au cours d’une promenade. Il avait du perdre sa mère ou quelque chose du genre… Je crois que le fait que nous soyons tous les deux à ce moment-là des écorchés de la vie m’a fait le prendre sous mon aile » lui avoua-t-il avec une certaine retenue. Il n’aimait pas vraiment évoquer cette période de sa vie. C’est bien pour cela qu’il enchaina rapidement sur ses parents en lui révélant que sa mère habitait Boston mais que son père restait la semaine à Washington pour le travail. Bonaventure n’ajouta rien de plus au sujet de l’argent car cela ne servait à rien de parlementer. Il comprenait son point de vue et tant qu’elle acceptait qu’il lui fasse de temps en temps des cadeaux, cela lui irait. « 10$ ?! C’est un défi ? Non parce que je te signale que Noel est dans quelques mois hein et ça va être short de te trouver une idée de cadeau à 10$ » râla-t-il pour la forme car dans son regard, on pouvait déjà y voir l’étincelle liée au challenge à venir.

Bonaventure grogna toutefois faiblement quand elle s’éloigna de lui. « Reviens vite alors… » dit-il avec un petit sourire avant de réfléchir à sa question. « J’ai envie de dire original » répondit-il en se demandant bien ce qu’elle comptait faire. Avec Mira, il s’attendait à tout et c’était bien pour cela qu’il était fou amoureux d’elle.





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» Oh ...c'est dommage, je me voyais déjà en profiter ! » dis-je avec un sourire amusé aux lèvres. « je ne suis pas à l'abri de me retrouver derrière les barreaux un jour, alors ça aurait été cool d'avoir un petit ami, qui aurait pu me faire sortir de là en 30 secondes. » Dis-je en haussant les épaules avant de rire. Même si au fond, ce n'est pas vraiment une blague. Si pour le moment je ne me suis jamais fait prendre en train de voler. La chance ne sera pas toujours de mon côté . Et même si je suis toujours très prudente, j'ai toujours cette petite appréhension lorsque je passe les portiques de sécurité avec quelque chose dans le sac que je n'ai pas payé. Je l'écoute tout de même parler de ce moment où il s'est fait prendre, attendant d'en savoir un peu plus. Il est vrai que ce qu'il me dit ne lui correspond pas trop . De ce que j'ai pu voir de lui, il semble assez…perfectionniste, je ne le vois pas vraiment prendre de risque inutile... Même si je suis un peu la contradiction lorsqu'on voit qu'il met en danger son mariage pour notre relation tout de même. « Hacker... » dis-je un peu interdite sur le coup. Un hacker qui pirate les ordis, qui peut tout savoir d'une personne en quelques clics . « tu as piraté des sites du genre la NASA ou quoi pour te faire arrêter ? » demandai-je en fronçant les sourcils, comprenant pas trop ce qui est « dangereux » là—dedans… voir même illégale, bon à part peut-être fouiller dans la vie privée des gens, mais les journalistes le fait bien avec les stars ! « je suis une tombe pour les secrets, même mon journal intime ne sera pas au courant » dis-je en riant, ayant cette envie folle de me prendre à son cou, de déposer mes lèvres sur les siennes, de laisser mes doigts glisser dans les siens. D'être simplement moi avec lui en public, mais cela est encore impossible.

Tes mains occupées à ouvrir chaque porte et non à me toucher ce serait un supplice … pour toi comme pour moi. » dis-je en continuer de dessiner des cercles et autres lignes su son t-shirt, descendant lentement ma main vers son bas-ventre, tout en continuant de lui adresser ce sourire sexy, et en mettant en évidence ma lèvre mordue « je suis chez moi… je fais ce que je veux... toi par contre non ! » dis-je passant cette fois ma main sous son haut, caressant véritablement son torse, sa peau chaude rentrant en contact avec mes mains dont la température est nettement inférieure . Tout en faisant ça, je continue la conversation le plus normalement possible. « C'est vrai, le tissu, si je me rate il repousse pas... contrairement à des cheveux ! » dis-je en haussant les épaules. Quoi il aime les défis, et il veut pas que je lui coupe les cheveux ? Je fais une légère moue lorsque je vois une grimace se former sur son visage, redescendant un peu mes mains pour caresser le bas de son ventre « un cheval non, c'pas géniale… mais un serpent… Autour du cou en écharpe ça doit être super chaud… » dis-je en souriant. « t'as qu'à m'imaginer nu, avec juste un serpent sur les épaules, ou qui est enroulé autour de mon corps. Tu vas les trouver beaucoup plus beaux ! »dis-je en riant, laissant glisser mes doigts autour de son t-shirt et quitter la chaleur de son corps, pour le laisser avec cette petite image dans la tête, tandis qu'il me parle un peu de Pikachu, qu'il a recueillit. « moi aussi j'ai trouvé bonbon dans la rue. » dis-je en attrapant mon chat qui répond par un miaulement tandis que je dépose un baiser sur le sommet de sa tête. « il devait pas avoir plus de 2 ou 3 semaines. Quelqu'un l'avait jeté dans la poubelle... » dis-je en me rappelant ma frimousse, trouvé il y a un peu plus d'un an alors que je descendais mes poubelles « mais Monsieur est le chat le plus heureux du monde maintenant. En plus il a une amoureuse qui habite en face ! » dis-je en rigolant avant de le reposer par terre et tourner mon regard vers mon amoureux à moi. « tu peux toujours m'offrir quelque chose pour thanksgiving, ça sera un entraînement avant Noël ». dis-je avec un sourire ; même si je ne passerai certainement pas Thankgiving avec lui..

Je lui adresse un sourire mystérieux avant de disparaître dans le couloir de mon appartement en direction de ma chambre, entendant malgré tout sa réponse. Comme il l'a souligné mon appartement n'est pas très grand . Sa réponse ne me surprend pas vraiment à vrai dire... mais l'autre aurait peut-être plus simple m'enfin. « tu fermes les yeux ! » criai-je, un sourire aux lèvres, tandis que je reviens rapidement dans le couloir, vérifiant qu'il a bien les yeux fermés avant de m'asseoir de nouveau sur le canapé, posant ma précieuse guitare électrique sur les genoux., un sourire d'impatience sur les lèvres. « tu peux ouvrir... »


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Bonaventure avait rigolé face aux répliques de sa petite-amie, lui assurant que si jamais elle se retrouvait en prison, il harcèlerait son père pour qu’il fasse jouer ses relations. Toutefois, magnanime, il lui expliqua dans les grandes lignes ce qu’il faisait par le passé à savoir les fausses cartes, les faux papiers, le piratage des notes ou autres réjouissances du genre. Il était resté vague sur ses véritables activités car Mira n’avait pas à les connaitre et surtout, il ne voulait pas non plus qu’elle s’en inquiète ou pire, qu’elle s’en rende complice en le dénonçant pas. Par moment, on pourrait presque croire que cet homme était un saint mais ce n’était pas le cas.. loin de là. Cependant, il avait voulu lui montrer qu’il lui faisait confiance ne lâchant quelques informations sur sa personne. Déjà un bon premier pas n’est-ce pas ?!

Mira semblait être d’une humeur plutôt séductrice à présent et Bonaventure se retenait à grande peine de rire ou tout simplement de lui sauter dessus. « Arrête, tu es une véritable tentatrice… Je risque d’oublier cette histoire de chambre et baptiser le restant de l’appartement » soupira-t-il non sans caresser le galbe d’une fesse. « Tu fais ce que tu veux… mais je peux encore dire non mademoiselle mon petit cœur ! Je suis pas un petit-ami facile, va falloir me convaincre un peu mieux » rigole-t-il en attrapant ses poignets pour éloigner ses mains baladeuses qui le tentaient plus que tout. Dire qu’elle souhaitait lui couper les cheveux ! C’était bien la première fois qu’il tombait sur une femme voulant jouer les esthéticiennes ou les coiffeuses avec lui.. Bah c’était toujours mieux que se faire friendzonner sans pouvoir rien y faire. « Alors là non ! Rêve ! Rêve même haut en couleur car moi vivant, jamais je trouverai un serpent attirant même sur ton délicieux corps. Je suis pas totalement fou » rigole-t-il de plus belle en secouant la tête de droite à gauche. Mira allait devoir s’y résoudre, il y avait des choses qu’elle ne pourrait jamais faire avec lui et cela incluait tout ce qui était chevaux ou serpent. En parlant d’animaux, ils abordèrent rapidement l’histoire de son chat et de son furet. Un autre point commun. « Ah oui Thanksgiving… Cela me fait penser qu’il va falloir que je rentre sur Washington pour le repas familial. Tu n’imagines pas combien j’ai hâte » lâcha-t-il mollement. Retrouver sa grand-mère ou même ses parents, cela lui plaisait mais supporter le restant de sa famille, beaucoup moins. « Tu vas dans ta famille toi ? »

Sa belle termina tout de même par s’en aller, jouant les mystérieuses et lui, il ne pouvait s’empêcher de l’aimer un peu plus rien que pour cela. « Okay je ferme les yeux »dit-il en jouant le jeu, laissant ses oreilles prendre le relai. Il restait attentif au moindre bruit si bien qu’il sentit sa belle se rasseoir à ses côtés. Quelle ne fut pas sa surprise de la voir avec une guitare électrique sur les genoux. « Ah en effet c’est original » dit-il en observant l’instrument de musique. « Tu vas me chanter une sérénade ? »






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Ce petit jeu de séduction que j'ai mis en place , me plaît plutôt bien. Voir le désir naître dans les yeux du Quincy est quelque chose que je n'aurai pas cru possible il y a encore quelques mois . Ce sentiment, cette impression de plaire, d'attiser une flamme en l'autre, est tout simplement jouissif surtout lorsqu'il s'agit de l'homme qui fait battre mon coeur. Je m'amuse de la situation, voulant simplement le faire languir, le séduire jusqu'à ce qu'il craque et m'allonge effectivement sur mon canapé. « Quel endroit te tente le plus pour commencer ? « dis-je, étirant mes lèvres en un sourire sexy. L'envie de le débarrasser de son t-shirt est forte, il faut dire que le bout de tissu m'empêche de l'admirer, me gêne également un peu dans les caresses que je lui donne ; Je le touche avec sensualité, caressant sa peau, les muscles de son torse en laissant glisser mes doigts fins. « tu serais capable de me dire non ? » dis-je en haussant les sourcils, un léger sourire aux lèvres. Le connaissant, je ne suis pas sûr de ça, même s'il est vrai que je pourrai faire un peu plus, mettre un peu plus en avant mon talent de séductrice, enfoui quelque part, mais qui tend à ressortir de plus ne plus avec cet homme. Je pousse un léger gémissement plaintif lorsqu'il attrape mes poignets pour m'arrêter dans mes gestes » si tu m'immobilises je risque d'avoir du mal à te convaincre mon cher. » dis-je laissant une moue se dessiner sur mon visage ; avant de finalement hausser les épaules lorsqu'il refuse les serpents. « Ok pas de serpent sur mon corps pour toi alors… peut-être que d'autres aimeront l'idée… je vois bien ce genre d'affiche pour lutter contre l'utilisation de la fourrure ou de la peau des animaux pour les vêtements. »dis-je en hochant la tête d'un air très sérieux, même si ce genre de sujet et de lutte m'intéresse beaucoup, étant moi-même dans la mode… je pense que je suis certainement bien placé pour en parler, et peut-être faire changer les mentalités. Je pose ma main cette fois-ci sur sa joue, lui adressant un petit sourire tandis que je caresse délicatement. « tu vas y rester longtemps, ou juste une journée . » Thankgiving est l'occasion de se retrouver en famille au profit d'un repas, mais j'imagine également que pour Bonaventure c'est l'occasion de revoir ses parents, de passer un moment avec eux et peut-être voudra-t-il rester le week-end à la capitale. « Oui… d'ordinaire je retourne dans l'Ohio quelques jours et j'en profite pour faire mes achats de Noël, à l'abri du regard indiscret « dis-je avec un sourire aux lèvres. Au moins là-bas, je suis sûr de ne tomber sur personne d'Harvard. « Mais ils sont à Boston cette année donc je reste ici. » dis-je, faisant ainsi passer discrètement l'information comme quoi mes parents sont en ville actuellement. Je n'ai pas vraiment envie que Bona les rencontre alors.

Je m'échappe quelques minutes du salon pour partir dans ma chambre, - pièce encore secrète pour Bonaventure, pas sûr qu'il soit assez sage pour la découvrir aujourd'hui, pour aller y chercher l'un de mes objets les plus précieux, auxquels je tiens le plus . Finalement je reviens dans la pièce principale en compagnie de ma guitare électrique, souriant en m'installant à côté de mon petit ami et lui ordonnant d'ouvrir les yeux « tu aurais préféré prendre classique ? » dis-je en riant légèrement. La guitare électrique, ça ne peut pas plaire à tout le monde, contrairement à l’acoustique qui a un public plus large pour une raison que j'ignore il faut dire. Ou peut-être même que Bon' n'aime pas la guitare… dommage pour lui c'est ma passion ! « Chanter … non » dis-je en secouant la tête. Malgré le fait que mon professeur de musique ne cessait de me dire que j'ai une belle voix, je ne l'entends pas et je ne souhaite pas me risquer à la faire entendre à quelqu'un d'autre « et c'est un peu dur la sérénade avec une électrique mais… je peux te jouer pleins d'autre chose... Tu es plus rock, électro / techno, hard... » dis-je en levant un peu les yeux au ciel. Hard n'étant pas vraiment ma spécialité non plus. « Oh où je peux te jouer une musique de jeux vidéo... »


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